📅👨🏻🌾 Ce jeudi avait lieu la conférence “Racines et Résilience”, temps fort du Mois de la Transition Alimentaire organisé par Grenoble-Alpes Métropole. Ce fut l’occasion de se projeter ensemble sur l’avenir de l’agriculture sur le territoire isérois. 👉 En highlight : le travail de prospective mené par Solagro en concertation avec l’ensemble des acteurs du PAiT pour imaginer collectivement le système agricole de la grande région grenobloise à horizon 2050. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ont de l’ambition ! Voici les objectifs fixés : 🌾 une transformation significative des pratiques agricoles pour atteindre 70% de surfaces en bio et 30% en agroécologie 🐄 un accompagnement des élevage vers plus de qualité tout en maintenant 70% du cheptel bovin lait et 90% du cheptel bovin viande (contre -85% et +10% dans un scénario tendanciel) 🍽️ une végétalisation de nos assiettes avec une ↘️ des gros mangeurs de protéines animales (de 50%→10%) et une ↗️ des consommateurs végétariens/végans (de 5%→30%) Et les résultats sont au rendez-vous : 🌎 -48% d’émissions de GES agricoles 🚫 un arrêt de l’utilisation des engrais de synthèse 😷 une consommation de produits phytos divisée par 4 🌿 le développement d’infrastructures agroécologiques Maintenant que tout le monde s’est mis d’accord sur la ligne d’arrivée, il ne reste plus qu’à s’en donner les moyens ! Grenoble-Alpes Métropole Ville de Grenoble ESPACE BELLEDONNE Le Grésivaudan - Communauté de communes Pays Voironnais Communauté de communes du Trièves Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté Parc naturel régional de Chartreuse Parc naturel régional du Vercors Chambre d'agriculture de l'Isère
Post de Elise Huber
Plus de posts pertinents
-
📣 Domorrow soutient deux structures qui seront présentes au Salon International de l'Agriculture le 27 février 📆 : 🐄 Afin de valoriser leurs publications sur les sujets agricoles et alimentaires, la Fondation pour la Nature et l'Homme intervient lors des tables rondes suivantes : 👉 “Comment préserver un élevage laitier durable et ancré dans les territoires ?” 👉 “Crise du bio : comment relancer la consommation ?” 👉 “Faut-il sacrifier l’écologie pour aider les agriculteurs ?” 🌍 Quant à Terre de Liens, l’association en profitera pour présenter son 3ème rapport sur l’état des terres agricoles en France : 👉 Le portage foncier agricole : levier pour une agriculture en transition ? 🐮 Un beau moyen de porter la diversité agricole devant ces éleveurs, producteurs et innovateurs français. Nul doute que cet événement mettra à nouveau en lumière les enjeux du développement durable et de l'agroécologie. 😍 Thomas Uthayakumar | Marion Maréchal | Hugo Arnaud #agriculture #agroécologie #publications
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
« Le Puy-de-Dôme et l’adaptation aux crises environnementales » Sebastien Crepieux, fondateur d’Invers, était invité à participer à la table ronde du Festival monDEmain, aux côtés de Blandine Chazelle - Les Monts qui pétillent, Marie-Pierre Demarty - Tikographie - l'association et Olivier Mezzalira - VALTOM. Face à l’urgence environnementale mondiale, l’action et l’adaptation au niveau local démontrent toute leur pertinence. Invers est né de la volonté de développer une filière de protéines durables sur le territoire. Né en 2016, Invers s’appuie sur un insecte – le tenebrio molitor - pour déployer au niveau du territoire un modèle d’élevage local, circulaire, durable. Les enjeux du modèle ? 🌾 Embarquer les agriculteurs partenaires dans la transition, tout en améliorant leur résilience. Avec un modèle basé sur de petites unités verticales à la ferme, Invers propose un élevage nécessitant de faibles surface aux sols, indépendant des aléas climatiques et limitant le risque sanitaire. La juste rémunération des agriculteurs partenaires est clé pour financer la transition avec des pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la vie des sols. 🐛 Améliorer notre souveraineté alimentaire. Face au défi d’une Europe qui importe aujourd’hui 70% de ses besoins en protéines à destination de l’alimentation animale, l’insecte est une alternative pleine de sens : un élevage à faibles émissions carbone, nécessitant de faibles surfaces au sol, économe en eau et qui valorise les co-produits du territoire (le son de blé, utilisé pour nourrir les insectes) 🌱 Sur le long terme, la filière vise un modèle régénératif, avec la valorisation de l’ensemble des co-produits de la chaine de production et notamment des déjections d’insectes : un fertilisant riche en matière organique capable de se substituer aux produits phytosanitaires aujourd’hui majoritairement utilisés. Adaptation et résilience sont les maitres mots des modèles de demain. Des modèles dans lesquels le territoire reprend tout son sens, avec de fortes coopérations entre les acteurs. Merci et bravo à Damien Caillard, Tikographie - le média pour l’animation de cette table ronde ! #protéinealternative #adaptation #résilience #agriculturedurable
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
RECHERCHE INTERVENANTS : Comment les filières redessinent le paysage agricole ? Pour le compte du réseau régional des territoires Bio (Hauts-de-France) BIO EN HAUTS-DE-FRANCE et Douaisis Agglo organise une journée de rencontres et d’échanges pour l’ensemble des collectivités de la Région Hauts-de-France . Cette année notre prise de hauteur sera sur le lien entre filières, déspécialisation des territoires, résilience des fermes. Pour ce faire, nous recherchons des intervenants experts pour notre table ronde !! Voici notre trame - Comment la densification des outils de transformation a changé le paysage agricole des Hauts-de-France ? quelles conséquences humaine, environnementale, économique des fermes… - A quoi ressemble un système agricole résilient (infrastructure agro-écologique, rotation longue et diversifiée, utilisation de matière organique) ? Conséquences (produits diversifiés mais en petit volume…)? - Quels questionnements pour adapter les outils de la filière pour promouvoir un système agricole résilient ? - Exemple d’un outil Cette journée aura lieux en octobre sur Douai. Si vous êtes intéressé pour intervenir, vous connaissez une structure ou un intervenant, merci de me contacter, merci de diffuser cet appel à candidature. Solagro, Académie d'Agriculture de France, INRAE, Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB), Le Basic
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🌿 Depuis 10 ans, Biospheres accompagne les changements de pratiques agricoles dans les Monts du Lyonnais 🌿 Face aux sécheresses répétées, nous nous engageons auprès des éleveurs locaux pour adapter les pratiques et pérenniser les activités grâce aux techniques d'#AgricultureRégénératrice. 🌱 𝗨𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 En collaboration avec le GIEE, Danone, et la FDCuma du Rhône, un groupe pilote concrétise une nouvelle approche durable avec le programme "Les Deux Pieds sur Terre". 🌾 Essais Métail-Maïs : des cultures alternées pour améliorer la structure du sol et réduire les intrants chimiques. 📚 Formation continue : des programmes sur le compost de déchets verts et la gestion des pâturages pour renforcer les compétences des agriculteurs. Augmentation significative de la matière organique du sol, diversité des pratiques et engagement des agriculteurs montrent que la régénération des sols est non seulement possible, mais aussi bénéfique pour tous. En octobre 2023, plus de 70 agriculteurs et techniciens ont participé à une journée d'échanges, témoignant des bénéfices concrets de ces nouvelles pratiques. Article ➡️ Lacteur n°24 - Le Mag des producteurs de lait Danone
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Des nouvelles du projet VITIS FRUITS Clean L’agriculture innovante et résiliente qui traite les problèmes phytosanitaires, rejeté de carbone a-t-elle sa place : - Dans le Tarn - En Occitanie - En France Pas sûr du tout ! D’après L’administration départementale du TARN et certains élus locaux, un agriculteur incompétent qui essai de traiter les problématiques phytos, carbones avec des objectifs de production ne peut pas venir du bon sens paysans. Certains élus sont exemplaires en faisant des centrales photovoltaïques au ras du sol sur les meilleures terres du GAILLACOIS (mas de rest). Un des seuls endroits en France ou l’administration et les élus soutiennent les projets agricoles innovants c’est les Pyrénées Orientales ou le manque d’eau oblige à trouver rapidement des solutions de résilience. Donc je suis à la recherche d’un département viticole, d’une région viticole ou d’un pays de l’union Européenne , qui crois en l’agriculture innovent pour développer le projet VITIS FRUITS Clean.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Excellente explication de ce que vivent les filières émergentes qui proposent des solutions de transition ....des verrouillages socio techniques en amont comme en aval ...car le changement coûte et nécessite de vrais changements de posture ... MULTIFOLIA #filieresainfoin #alternativesantiparasitairesdesynthese #equifolia#vitifolia#sainfoin@sainfolia
Ce matin et à quelques jours du Salon International de l'Agriculture Un peu de lecture au travers d’un article paru dans le journal agricole local L AVENIR AGRICOLE un avis d’un chercheur INRAE , membre de l’ACADEMIE AGRICULTURE FRANCE et également Président du conseil scientifique des Chambres d'agriculture Oui il faut redéfinir des indicateurs lorsqu’ils ne permettent pas d’avancer ! Rappelons que les réseaux dephy étaient les premiers groupes initiés avec des agriculteurs VOLONTAIRES soucieux d’évoluer dans leurs pratiques . Pour l’anecdote ce groupe dephy de la Haute Marne a évolué vers plus de 80% en AB ….certains diront qu’on a n’a mal tourné 😅, et pourtant c’est ce qui nous conduit à porter de nouveaux projets en lien avec la prise en charge de nos filières pour fournir une alimentation durable et accessible . Et dans 10 jours la fin du projet #traversees porté par INRAE et Lisode - ingénierie de la concertation durant 3 ans dans une partie du département donnera quelques axes sur les freins psychologiques des transitions . Depuis , impossible de trouver une nouvelle impulsion qui garantisse à la fois une sécurité au risque des transitions et une avancée vers des systèmes plus efficients avec l’écosystème comme grand levier de ces changements Si on peut s’accorder que le risque ne doit pas être supporté par les agriculteurs et que des solutions d’évitement doivent être trouvées , on ne peut nier également qu’il existe des avancées qui sont mises trop souvent au rang des impossibles . Comme le souligne l’article , il faut aussi une vraie prise de conscience de l’aval et de l’amont dans les filières pour arriver à faire bouger les consciences . Que serait le SIA sans être un lieu où on doit reconnecter les traditions et les valeurs portées dans chaque région et chaque système avec l’évolution , l’innovation et la recherche nécessaire à notre métier , autour de tous ceux qui font l’agriculture et qui devront la faire demain? Marc Fesneau Agnès Pannier-Runacher Antoine Pellion sebastien windsor Christophe Béchu Bérangère Abba Christian HUYGHE Région Grand Est Anne-Sophie BLONDEL Chambre régionale d'Agriculture Grand Est LIFE Biodiv'Est agridées think tank Pour une Agriculture du Vivant Pour une Hydrologie Régénérative Bleu-Blanc-Coeur Conseil National pour la Résilience Alimentaire C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur Agence BIO Lidl France Marché International de Rungis SEMMARIS Direct-Market.fr Jean-Paul Hebrard Agridemain Jean marie Seronie Bertrand Valiorgue The Shift Project
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
YAMI est invité au Salon International de l'Agriculture 2024 ! 🐮🌱 𝗥𝗗𝗩 𝗦𝗮𝗺𝗲𝗱𝗶 𝟮𝟰 𝗳𝗲́𝘃𝗿𝗶𝗲𝗿 sur le stand YAMI ! Une expérience qui s'annonce très intéressante et challengeante : 𝗗𝗲́𝗳𝗶 𝗡°𝟭 Parler de #flexitarisme / #vegetarisme , de la préservation des ressources en eau dans un si grand événement dédié au terroir, à la tradition française, à l’amour des bêtes et de la terre. 𝗗𝗲́𝗳𝗶 𝗡°𝟮 Dans le contexte actuel politique et économique très tendu du secteur : Réussir à porter un discours qui va dans le sens d’une décarbonation du secteur de l’#agriculture, malgré toutes les autres contraintes que les agriculteurs-trices peuvent déjà connaître. 𝗗𝗲́𝗳𝗶 𝗡°𝟯 Peut-on être écolo et soutenir l’agriculture ? Parler d'engrais chimique, produits phytosanitaires, gestion des fumiers, demande croissante de la production, #importations & #exportations, etc. Autant de sujets que d’échanges intéressants qui peuvent en découler, et de solutions existantes ou à trouver à mettre en exergue. Hâte de vous rencontrer et d'échanger avec vous lors du salon ! 👋 UniLaSalle
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le temps gagné est du temps de perdu! Dans cet article d'un canard agricole, un fin limier de l'INRAE dresse un bilan exact des politiques d'économie des produits phytosanitaires. L'occasion pour moi d'enfoncer quelques clous, déjà martelés dans de précédents travaux: https://lnkd.in/eadFsURW Sur le fameux indicateur qui fait tant jaser: le NODU reste, en dépit de ses imperfections, le moins mauvais d'entre eux. Le Comité scientifique et technique du plan Ecophyto (dont je faisais partie) va d'ailleurs sortir une note qui le confirme. Les autres indicateurs (QSA ou celui européen HRI-1) qui ont la faveur de la profession agricole ont plus de travers encore car trop approximatifs. Bâtir uniquement l'action publique sur la réduction des risques mène dans l'impasse. Certes, cela permet de chercher à éliminer prioritairement les molécules les plus dangereuses. Mais c'est tout. Sinon, les risques demeurent très difficilement évaluables en amont. Les procédures réglementaires d'autorisation des produits ne permettent pas - et ne permettront jamais - des études écotoxicologiques sur le long terme qui prennent en compte les interactions entre toutes les substances utilisées et persistantes dans les champs. Au stade de l'usage, cela revient à demander l'impossible aux agriculteurs : protéger chimiquement les cultures sans impact sur l'écosystème. D'où les zones non-traitées! Démarche pour le moins vaine si on constate la dispersion généralisée des pesticides dans l'environnement. Changer d'indicateur, pour y intégrer le risque, serait dans l'absolu pertinent. Mais le jeu en vaut-il la chandelle? Nous repartirions dans une vieille querelle qui paralyserait à nouveau toute forme d'action. Car le temps que les organisations agricoles pensent gagner en reportant les objectifs à atteindre est un temps de perdu si on ne l'emploie pas à mobiliser des alternatives. Le mur n'en sera que plus proche et plus infranchissable. La logique de marché, ce que j'ai appelé l'"affairisation" globale du modèle agricole, est le principal verrou du changement de pratiques. Il est la cause des "contradictions" qui ulcèrent les agriculteurs: https://lnkd.in/eKR4MHRQ Très clairement les normes commerciales dictées par l'aval sont les plus contraignantes pour l'entreprise agricole, loin devant les normes environnementales. Or, les cahiers des charges des filières ne tirent pas dans le sens de la réduction des phytos. C'est ballot ! https://lnkd.in/e2TV7f64 D'où la pertinence de faire souscrire les engagements agri-environnementaux par le maillon (fort) que sont les coopératives. L'idée rejoint celle des certificats d'économie des produits phytos (CEPP), mais en beaucoup plus simple et efficace: on appelle ça un contrat ! Reconnectées à leur territoire, les "coops" auraient toute légitimité pour faire respecter ces obligations à leurs adhérents et pour rendre des comptes à l'Etat (y compris sur le partage de la valeur créée).
Ce matin et à quelques jours du Salon International de l'Agriculture Un peu de lecture au travers d’un article paru dans le journal agricole local L AVENIR AGRICOLE un avis d’un chercheur INRAE , membre de l’ACADEMIE AGRICULTURE FRANCE et également Président du conseil scientifique des Chambres d'agriculture Oui il faut redéfinir des indicateurs lorsqu’ils ne permettent pas d’avancer ! Rappelons que les réseaux dephy étaient les premiers groupes initiés avec des agriculteurs VOLONTAIRES soucieux d’évoluer dans leurs pratiques . Pour l’anecdote ce groupe dephy de la Haute Marne a évolué vers plus de 80% en AB ….certains diront qu’on a n’a mal tourné 😅, et pourtant c’est ce qui nous conduit à porter de nouveaux projets en lien avec la prise en charge de nos filières pour fournir une alimentation durable et accessible . Et dans 10 jours la fin du projet #traversees porté par INRAE et Lisode - ingénierie de la concertation durant 3 ans dans une partie du département donnera quelques axes sur les freins psychologiques des transitions . Depuis , impossible de trouver une nouvelle impulsion qui garantisse à la fois une sécurité au risque des transitions et une avancée vers des systèmes plus efficients avec l’écosystème comme grand levier de ces changements Si on peut s’accorder que le risque ne doit pas être supporté par les agriculteurs et que des solutions d’évitement doivent être trouvées , on ne peut nier également qu’il existe des avancées qui sont mises trop souvent au rang des impossibles . Comme le souligne l’article , il faut aussi une vraie prise de conscience de l’aval et de l’amont dans les filières pour arriver à faire bouger les consciences . Que serait le SIA sans être un lieu où on doit reconnecter les traditions et les valeurs portées dans chaque région et chaque système avec l’évolution , l’innovation et la recherche nécessaire à notre métier , autour de tous ceux qui font l’agriculture et qui devront la faire demain? Marc Fesneau Agnès Pannier-Runacher Antoine Pellion sebastien windsor Christophe Béchu Bérangère Abba Christian HUYGHE Région Grand Est Anne-Sophie BLONDEL Chambre régionale d'Agriculture Grand Est LIFE Biodiv'Est agridées think tank Pour une Agriculture du Vivant Pour une Hydrologie Régénérative Bleu-Blanc-Coeur Conseil National pour la Résilience Alimentaire C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur Agence BIO Lidl France Marché International de Rungis SEMMARIS Direct-Market.fr Jean-Paul Hebrard Agridemain Jean marie Seronie Bertrand Valiorgue The Shift Project
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Des approches à soutenir pour changer de paradigme en faveur du vivant dont nous faisons partie.
DG AMASISA Concepteur et développeur de modèles agricoles robustes , de la production à la distribution
Nous sommes heureux de vous annoncer que Pierre Olivier est le 100 eme citoyen à rejoindre AMANDERA pour notre nouvelle levée de fonds participative sur WiSEED. Ensemble, nous avons construit un nouveau modèle de ferme citoyenne qui a pour ambition de faire pousser une armée végétale indispensable aux développements de notre agriculture mais aussi protectrice de nos libertés. La société a pris l'habitude d'ignorer les signaux forts du changement climatique et d'en faire une information secondaire ! Sauf que la réalité est que les températures insupportables sont aux portes de la france 🇫🇷 que les inondations sont déjà là et que les Pyrénées Orientales sont toujours en restriction d'eau alors que l'été n'a pas débuté !!! 🌱Plus de 50 % de notre territoire français est agricole ! Il y a là une opportunitée pour construire une armée végétale organisée pensée Pour une Hydrologie Régénérative qui défendra nos LIBERTÉS. Nous avons besoin encore une fois d'agriculteurs et agricultrices mais au vu de la dynamique d'installation il est impératif d'inventer des nouveaux modèles agricoles duplicables. AMANDERA n'a pas la prétention d'être la solution mais bien une des solutions... Merci pour votre soutien, vos messages. Agro Sourcing FRANCE ACTIVE PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR Amundi Fondation Daniel et Nina Carasso Anyama Association Française d'Agroforesterie Arbre et Paysage 32 Lively.earth Team for the Planet Hugo Clément Sébastien Roumegous Fabien Balaguer Rémi THINARD Remi Roux Maud Sarda Serge Zaka Timothée Parrique Arthur Auboeuf Charlène Descollonges 🏔️Valérie PAUMIER ⏱Maud Caillaux 🦊 Maud CARUHEL
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
https://lnkd.in/dKE972hU Il faut être lucide, la seule agriculture et donc la seule alimentation qui ne détruise pas la biodiversité et préserve la santé de tous c'est l'agriculture biologique. Dans sa forme élaborée d'agroécologie elle est créatrice nette de biomasse, elle permet de stocker massivement le carbone, elle reconstitue la biodiversité et elle apporte des aliments exceptionnels riches en goûts et en nutriments. Abîmée par la grande distribution et de nombreux opportunistes, l'agriculture biologique ou biodynamique est portée par des milliers de passionnés respectueux du vivant et de notre futur. "Que ton alimentation soit ta première médecine". L'agriculture biologique, une médecine du corps, des sols et aussi de l'esprit. #agriculturebio #agribiovar #agroecologie #solsvivants
"La “bio”, seule agriculture qui préserve le vivant": rencontre avec AgribioVar
varmatin.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
Chargée de mission Agriculture & alimentation durable
1 moisEt bravo à Eloïse Descamps pour la présentation !