Post de Emilie Driutti

👀Élus CSE? 👀 Responsables RH? Je vous invite à prendre 2 minutes pour découvrir Coup de pousse et La carte française ! Devenez acteurs du changement, à nos côtés 💪

Chaque semaine, les entreprises partagent leur chiffre d'affaires à leur équipe (et encore pour les + transparentes). Nous, on partage 4 KPI bien plus précieux : 1️⃣ - Le nombre de flacons en plastique à usage unique évités la semaine passée. Chaque recharge de poudre à diluer vendue est une victoire contre le plastique à usage unique. Aujourd’hui, on est à 1,5 million de flacons évités. Avec Baptiste et toute l'équipe, c’est notre étoile du berger. 2️⃣ - Le nombre de familles sensibilisées à l’écologie. Pour agir, il faut d’abord comprendre. Alors on développe des outils pédagogiques et on les diffuse au plus grand nombre. On mesure par exemple : 👉 Le nombre d’abonnés à notre magazine pour enfants Les Missions Plancton. 👉 Le nombre d’abonnés à nos newsletters. Aujourd’hui, on est à 200 000+ abonnés. 3️⃣ - Le nombre de boutiques qui ont renouvelé leur confiance en Pimpant. Notre poudre à diluer ne deviendra jamais la norme sans s’intégrer au quotidien local des français. Et pour ça, il faut qu’on soit mis en avant dans un maximum de magasins, mais surtout, qu’ils continuent à nous repasser commande. Aujourd’hui, Pimpant est présent dans plus de 900 magasins avec un réassort hyper régulier. 4️⃣ - La note de bien-être moyen de l’équipe. Pimpant, c’est avant tout 25 êtres humains géniaux qui mettent leur énergie, leurs compétences et leur cœur chaque jour dans notre mission. Alors on leur demande chaque mois : “Est-ce que vous recommanderiez Pimpant comment entreprise où travailler ?” Aujourd’hui, notre note est de plus de 9/10. Notre réussite financière est une conséquence de notre impact positif. Pas l’inverse. Sur QVEMA, on nous a dit que ça ne fonctionnerait pas. Sur BFM, on nous a dit que c’était dangereux. Mais un jour, tout le monde nous dira que c’était évident.

La meilleure raison de descendre de nos vélos 🚲 pour rentrer dans le métro 🚇 en allant au boulot : une campagne Naturalia financée à 0,02€ près. Un des moments qu’on préfère toutes les deux (👋Sidonie Tagliante) dans l’année, c’est la sortie de nos campagnes d’image. C’est souvent le fruit de dizaine d’aller-retours entre nous, les agences (👋 Vanina Wolff-Paoli, Aurore Duhamel, Sophie Roussel Marie Legaret), nos partenaires internes ( 👋 Astrid Castaignon, Caroline MARTIN, Sébastien Lévy) pour nous assurer qu’on délivrera bien, et de la façon la plus précise, le message que porte Naturalia. 🧮 Dans les faits ça donne de nombreuses sorties de calculettes pour vérifier qu’une fois le prix d’achat et la TVA versés, les ratios représentent précisément la contribution de chaque produit aux coûts et au développement de l’enseigne. 🎨 Ça donne des défis artistiques pour s’assurer que le beurre sera tranché à 0,12€ centimes prêt 💵 (👋 Fabien Nuñez). 💓Ça donne des échanges avec des fournisseurs qui rappellent à quel point nous sommes liés pour faire grandir la bio et que nous nous entraidons depuis des dizaines d’années (merci à @Etienne Jullien pour son témoignage qui nous touchent profondément). 🎉 Ça donne un sentiment de fierté notamment sur notre lait 🥛 bio 🇫🇷 qui est très bien positionné sur le marché, et pour autant qui rémunère de façon juste les éleveurs (0,57€ / l). Tout ce travail nourrit la communication responsable qui est la nôtre : 👉 Car on peut parler accessibilité en tenant ses engagements, 👉 On peut faire une campagne prix mais qui s’habille d’une DA léchée et qui garde la tonalité de la marque, 👉 On peut rappeler qu’un distributeur c’est une chaîne de valeur énorme et que ses prix nourrissent le développement de modèles agricoles 🧑🌾 nécessaires à une alimentation plus saine et vertueuse, qui permettent aussi de développer un grand nombre de métiers incontournables au quotidien des français (souvent méconnus). 👉 Nos prix permettent aussi à l’enseigne d’aller plus loin dans ses engagements. Alors oui ! C’est un bon prix et pas que pour nous 😉.

💥 Charlie Perreau vous présente la fondatrice de la semaine : Salomé Géraud 👩 J’ai rencontré Salomé par l’intermédiaire d’Arthur Nowicki (Vae Solis) qui accompagne plusieurs entrepreneuses, dont Emilie Korchia (My Job Glasses), qui est d'ailleurs passée dans ce rendez-vous hebdomadaire. 🏥 Après avoir fait Sciences Po à Aix (en service public), Salomé a commencé sa carrière comme directrice d’un Ephad. Elle a ensuite été débauchée par un ancien prof de Sciences Po pour monter un fonds de dotation dédié à la maladie d’Alzheimer. C’est en 2017 qu’elle crée sa boîte avec son mari, Pierre Géraud-Liria, qui est ingénieur agroalimentaire. 🍏 Leur combat ? Faire que le zéro déchet passe à l’échelle. « 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐲 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞𝐫, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐞𝐢𝐧𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐮 𝐳𝐞́𝐫𝐨 𝐝𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐭. 𝐋𝐞𝐬 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐠𝐫𝐨𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥’𝐡𝐲𝐠𝐢𝐞̀𝐧𝐞 », souligne Salomé. Le couple a ainsi fondé Le Drive tout nu, un drive zéro déchet. Comme pour les drives classiques, les consommateurs font leurs courses en ligne et peuvent récupérer leur commande sous une heure. A la différence, que les produits sont dans des sacs en toile ou dans des bocaux en verre. Etant toulousaine, la société a d’abord ouvert un drive dans la Ville Rose, puis s’est implantée près de Bordeaux et de Lille. Pour que les consommateurs aient des repères en termes de prix, elle package des produits (200 grammes de pâtes par exemple). Le panier moyen est de 70 euros et un drive génère un million d’euros de chiffre d’affaires. 🛒 Point atypique : les contenants ne sont pas consignés. Le Drive tout nu paie les clients qui ramènent les bocaux et sacs. « 𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐢𝐧𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞́𝐞 », résume Salomé qui précise qu’environ 90 % des bocaux sont rapportés. Au printemps dernier, la jeune entreprise a ouvert son supermarché zéro déchet, « Le Super tout nu », à Labège, près de Toulouse. Il a été inauguré par Olivia Grégoire, à l’époque Ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation, qui en a même profité pour faire ses courses. « 𝐄𝐥𝐥𝐞 𝐚 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐭𝐫𝐞̀𝐬 𝐞́𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐛𝐮̂𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐞̀𝐯𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐛𝐨𝐜𝐚𝐥 », raconte Salomé. 💸 Le Drive tout nu a levé 750.000 euros en amorçage puis 5 millions d’euros en 2022 avec MAIF Impact, One Creation Coopérative et ses fonds historiques (makesense, France Active…). Les prochains objectifs ? S’implanter à Paris, en Belgique et en Rhône-Alpes. 💪 Une des forces de Salomé : elle sait très bien s’entourer. L’ancienne PDG de Picard Surgelés, Cathy Collart Geiger, est entrée à son conseil d’administration. Belle prise !

👉 62% des communes françaises ne disposent d’aucun commerce. Elles étaient seulement 25% en 1981*. Face à ce déclin alarmant, certains résistent. C'est le cas de cette épicerie pas comme les autres, que nous avons suivi le temps d'une journée. Les clients l'appellent “le supermarché sur roues”. 🚚 Chaque jour, cette épicerie-ambulante parcourt la Nièvre (Bourgogne-Franche-Comté) avec à son bord plus de 4 000 références : produits frais, charcuterie et fromages du terroir… Bref, tout ce qu’il faut pour remplir son panier de courses. Ils sont 5 camions de la laiterie Boisfleury à parcourir plus de 150 km quotidiennement pour lutter contre le déclin des commerces de proximité et surtout contre l'isolement des personnes âgées dans ces zones rurales isolées. ❌ Car oui, pour de nombreux clients âgés à la mobilité réduite, sans l’épicerie ambulante, impossible d’aller faire leurs courses. Dans cette région, le supermarché le plus proche se trouve en général à des dizaines de kilomètres. Et c’est sans parler des autres petits commerces qui ont fermé la porte les uns après les autres. “Des fois, on est les seuls à passer dans la semaine” raconte Sébastien, épicier ambulant depuis plus de 20 ans. 🤔 Alors, quelle place pour le modèle de l’itinérance dans la redynamisation des bassins de vie ruraux peu denses ? De modèle existant depuis des générations comme celui des camions de Boisfleury aux récents services « plateformisés » ou autonome pour améliorer la rencontre de l’offre de de la demande… Quelles perspectives pour ces services ? Des idées d’expériences à mettre en avant ? Nous sommes curieux d’avoir vos retours ! 🤗 (*Source : Insee, 2021) #epicerieambulante #commercedeproximité #mobilité

Quand des difficultés de mobilités sont rencontrés chez les seniors, il est possible de penser "la mobilité inversée".  Expérience intéressante pour ces supermarchés sur roues qui se déplacent pour être au plus prêt des clients. Quelle place pour ce modèle d'épicerie itinérante? Il en existe certains en Moselle vous les connaissez ?  #mobilité#placedesmobilités#inclusion#ruralité#wimoov#wimoovsenior#epiceriemobile#commercedeproximité

🚴 De livreur de repas à entrepreneur engagé dans la cyclo-logistique : un parcours que je n’avais pas vraiment prévu. Quand j’ai commencé comme livreur à Strasbourg, l’idée était de bosser le matin pour avoir les après-midi libres pour mes projets. Entre deux livraisons, j’observais les rues, les gens, et... les affiches publicitaires. Je me demandais pourquoi on voyait si peu de pub pour des événements locaux, pour les festivals ou les expos qui rythment la vie de la ville. Je me disais : il y a des moyens de faire mieux. Petit à petit, l’idée a germé de mettre en place un modèle qui combine visibilité locale et respect de l’environnement. C’est comme ça qu’est née La Cour Des Grands. Aujourd’hui, on travaille main dans la main avec les pros de la cyclo-logistique pour offrir aux marques des espaces publicitaires qui collent à leurs valeurs – et aux attentes de leur audience. Chaque jour, nos partenaires parcourent des dizaines de kilomètres dans les centres-villes. Ce sont de véritables ambassadeurs urbains pour nos clients, et leurs vélos-cargo deviennent des panneaux mobiles qui captent les regards là où ça compte vraiment. 📍 En hypercentre, là où il y a du passage, là où l’attention est immédiate. Pour les responsables marketing qui cherchent de la visibilité en accord avec une stratégie durable, cette solution transforme la communication extérieure en une expérience concrète et locale, avec un impact visible. Prêts à faire rouler votre message en centre-ville ? 🚴♂️ #Cyclologistique #PublicitéDurable #MarketingResponsable #MobilitéDouce #Hypercentre

La meilleure raison de descendre de nos vélos 🚲 pour rentrer dans le métro 🚇 en allant au boulot : une campagne Naturalia financée à 0,02€ prêt. Un des moments qu’on préfère toutes les deux (👋 Marine Giraud) dans l’année, c’est la sortie de nos campagnes d’image. C’est souvent le fruit de dizaine d’aller-retours entre nous, les agences (👋 Vanina Wolff-Paoli Aurore Duhamel Sophie Roussel, Marie Legaret) nos partenaires internes ( 👋 Astrid Castaignon, Caroline MARTIN, Sébastien Lévy) pour nous assurer qu’on délivrera bien, et de la façon la plus précise, le message que porte Naturalia. 🧮 Dans les faits ça donne de nombreuses sorties de calculettes pour vérifier qu’une fois le prix d’achat et la TVA versés, les ratios représentent précisément la contribution de chaque produit aux coûts et au développement de l’enseigne. 🎨 Ça donne des défis artistiques pour s’assurer que le beurre sera tranché à 0,12€ centimes prêt 💵 (👋 Fabien Nuñez). 💓Ça donne des échanges avec des fournisseurs qui rappellent à quel point nous sommes liés pour faire grandir la bio et que nous nous entraidons depuis des dizaines d’années (merci à Etienne Jullien pour son témoignage qui nous touchent profondément). 🎉 Ça donne un sentiment de fierté notamment sur notre lait 🥛 bio 🇫🇷 qui est très bien positionné sur le marché, et pour autant qui rémunère de façon juste les éleveurs (0,57€ / l). Tout ce travail nourrit la communication responsable qui est la nôtre : 👉 Car on peut parler accessibilité en tenant ses engagements, 👉 On peut faire une campagne prix mais qui s’habille d’une DA léchée et qui garde la tonalité de la marque, 👉 On peut rappeler qu’un distributeur c’est une chaîne de valeur énorme et que ses prix nourrissent le développement de modèles agricoles 🧑🌾 nécessaires à une alimentation plus saine et vertueuse, qui permettent aussi de développer un grand nombre de métiers incontournables au quotidien des français (souvent méconnus). 👉 Nos prix permettent aussi à l’enseigne d’aller plus loin dans ses engagements. Alors oui ! C’est un bon prix et pas que pour nous 😉.

Savez-vous combien de papier-cadeau est jeté chaque année ? Pourtant, emballer sans jeter, c’est possible ! Et ouais ! Parce que 20 000 tonnes, c'est énorme (Source Citéo 2019). De quoi remplir un sacré nombre de bennes à ordures juste avec du papier qui a eu une durée de vie de quelques minutes seulement. Heureusement, certaines initiatives montrent que l’on peut consommer différemment. C'est le cas d'On s'emballe à la française, porté par Lou Marion 🎁♻️. Leur concept ? Remplacer les emballages jetables liés aux cadeaux par des alternatives réutilisables et jolies ! Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le concept est au top ! Vous imaginez recevoir un cadeau, et ce carnet de voyage qui vous dit que la fois d’avant l’emballage avait été utilisé pour le cadeau de votre cousin, et encore avant de votre grand-mère ! Au top l’emballage qui fait la tournée familiale :) Bref, des emballages pratiques ET écolos. Tout ce que j'aime !💗 Alors forcément je soutiens ce projet malin et durable d’autant plus qu’il valorise le réemploi avec de beaux produits made in France et solidaire (fabriqué dans un ESAT et une SCOP). Vous aussi, vous voulez soutenir le projet et préparer vos futurs emballages ? Ça tombe bien, il reste quelques jours pour leur campagne Ulule : https://lnkd.in/eUQJE8vb Vous aussi vous avez un projet qui vous tient à cœur ? Partagez-le en commentaire. PS: partenariat non rémunéré mais uniquement fait de bon coeur, car la solidarité entre entrepreneurs engagés c’est notre ADN 💚

Un page se tourne dans ma vie ! 🙂 En quittant Decathlon France je m'étais fixé 1 an pour développer cette startup Léon & Marcel. Au final j'y suis resté plus de 2 ans car l'aventure était ouf. Un monde que je ne connaissais pas celui de la food que Nicolas Rivoallan et Audrey Rivoallan m'ont permis de découvrir en me demandant de prendre la direction de leur bébé ! Mes principales fiertés : - Avoir monté un site de toutes pièces et réalisé sur mesure avec Valérie Respaut. - La croissance de l'acquisition client qui a été folle (+400% chaque année). On talonne actuellement les pure players pourtant 10 fois plus gros que nous en CA. - Avoir lancé et mené la digitalisation et l'efficience de l'entreprise avec Floriane MOINEL permettant de diviser quasiment par deux les charges de personnel. - Être allé chercher Axelle Bert Anaïs Pierot et jean-françois Thomas pour m'épauler et développer Code Cuisine Le Traiteur Grand-Est pour tenter d'en faire un avion de chasse. Ma principale défaite : Ne pas avoir réussi à obtenir la rétention nécessaire pour pérenniser (rapidement) l'activité 100% bootstrap. Le vivant c'est toujours plus compliqué qu'on ne l'imagine. Entre une carotte fraîche pleine de saveur qu'on déterre du potager et celle que vous réchauffez au micro-onde 10 jours après, il y a un monde. Je ne parle pas des clients (pourtant âgés) qui ont oublié qu'il y avait des arêtes dans le poisson et des os dans le poulet quand on les travaille de façon traditionnelle et non industrielle 😥 Mon futur : développer mon entreprise personnelle (le coaching, le e-commerce, le podcast, etc) et aller davantage à la pêche. 🤣 Je garderai un pied chez Léon et Marcel en tant qu'indépendant sur les sujets du digital et reste comme toujours ouvert à d'autres opportunités business car j'aime toujours autant le e-commerce 🤩 Sur cette photo, l'équipe n'est pas au complet mais le cœur y est je les adore. 😍 #foodtech #traiteur #ecommerce