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Mardi soir dernier, j’ai eu l’opportunité d’assister à la 2e édition de La Montérégie passe à Table, organisée par Tourisme Montérégie et Expansion PME. 🍽 Un panel animé par nul autre que Frederic Pichette, maître de cérémonie, s’est tenu afin de discuter des réalités de l'approvisionnement local et d’entendre la voix des restaurateurs et des producteurs invités. 💬 Voici ce que j’en retiens 👇 : ➥ On doit s’encourager entre nous à consommer local, à encourager nos organisations « à échelle humaine ». ➥ Le local, c’est peut-être plus cher et ça demande peut-être plus de travail, mais c’est important pour notre richesse collective, ça permet de dynamiser les régions. Rappel : « On ne peut pas être local, sans être saisonnier ». ➥ La mise en contact entre les entreprises, les transformateurs et les restaurateurs crée une magie symbiotique, un maillage naturel. C’est l'arrimage entre les acteurs qui permet éventuellement de répondre à leurs besoins respectifs. Il faut l’offrir [le local] pour que ça fasse du chemin. Il faut prendre le temps de prendre le temps. ➥ Au final, ces échanges offrent des contextes gagnants-gagnants-gagnants. Par exemple, les identifiants au menu permettent de mettre en valeur les produits et les artisans, devenant un levier d’attractivité pour les touristes et consommateurs. ➥ Ce maillage apporte une notoriété croisée, qui se découle ultimement en une fierté supralocale. Bref, « le local, ça tisse l’économie, ça tisse le social. Ça tisse toute ». 💥 Ne manquez pas votre chance d'assister au second événement de Montérégie passe à table, le 5 novembre prochain, dans l’est de la Montérégie : https://lnkd.in/eqa7dsug 🍽 Poursuivons la discussion ! #tourismegourmand #approvisionnementlocal #agroalimantaire #agrotourisme

#RH #dirigeant #TPEPME 🔜 Nous nous ferons un plaisir de vous rencontrer pour faire un point global sur vos RH (obligations, recrutement, formation, entretien professionnel etc) ou vous proposer une mise en relation avec LE partenaire du territoire le plus à même de vous accompagner 😊 📌 Prenez contact avec SANDRINE NEAU (s.neau@mef-mulhouse.fr)

METROPOLE EUROPEENNE STEPHANO LYONNAISE C'est un projet qui me trotte dans la tête depuis longtemps, ce projet de réunification de Saint-Étienne Métropole, de Vienne Condrieu Agglomération et de la Métropole de Lyon. Evidemment culturellement, c'est un territoire aux multiples facettes qui devront continuer à s'exprimer mais géographiquement le territoire est déjà là. D'ailleurs ce projet a existé de 2012 à 2022 avec le pole métropolitain "Eurométropole" qui ralliait les métropoles de Lyon, de Saint-Etienne, les communautés d'agglomérations de Vienne-Condrieu, Porte de l'Isère, Villefranche-Beaujolais-Saone, ainsi que la CC de l'Est Lyonnais. Alors aujourd'hui, on doit bien continué à penser l'avenir. 2030, c'est demain, et puis cette métropole européenne est déjà-là. A bordeaux, la métropole Bordeau Euratlantique ou Bordeaux 2030 a été imaginé dans les années 2000. On ne peut plus avancer ou naviguer à vue, il faut penser 2030-2040-2050. Quel est selon vous le meilleur nom à lui donner? Lyon, la Métropole du Rhone et de la Loire, la Métropole Européenne de l'ouest, la Métropole Stephano Lyonnais, etc.

5 idées pour vos week-ends d’automne - SNCF Connect

[LES HALLES EN 5 DATES CLÉS] - En France de 1945 à nos jours. Chez Biltoki alors que nous parcourons sans cesse le pays à la rencontre des élus locaux, on nous demande souvent si le renouveau des Halles ne serait finalement qu'une tendance passagère, voire même un effet de mode. Nous répondons simplement que cette activité millénaire a traversé les siècles. En examinant son évolution au cours des dernières décennies, nous pouvons affirmer que les Halles et les bistrots resteront des piliers dans nos villes, même s'ils doivent aujourd'hui se réinventer pour garder leur attractivité. #Halles #Bistrots #CentreVille

Histoire de vous donner un avant-goût du café histoire du 6 novembre et de vous rappeler que l'exposition sur l'histoire du hangar J1, sis sur le quai de la Joliette, est toujours en place sur les palissades du port de commerce au niveau du bd des Dames, voici une vue assez exceptionnelle du site en 1936! Alors que pourrez-vous lire sur les panneaux de l'exposition réalisée pour le compte de l'ADIM Développement Immobilier qui réhabilite le site ? Et bien entre autres que "le J1 a été édifié au début des années 1930, à une période où le besoin de faire évoluer le bassin de la Joliette et ses infrastructures pour les adapter aux besoins logistiques et commerciaux était prégnant pour l’économie marseillaise." "Dans les années 1920, le bassin de la Joliette, tel qu’il a été pensé au milieu du XIXe siècle est en effet devenu obsolète. En l’absence de môles, les navires sont obligés d’accoster perpendiculairement au quai ce qui complique et ralentit le déchargement des marchandises. Faute d’outillage, tout repose sur les manutentionnaires et entraine un coût humain important. Enfin, le bassin de la Joliette ne dispose pas de gare maritime pour les passagers. Face à cette situation, la direction du port et la Chambre de Commerce décident d’entreprendre de grands travaux afin de donner naissance, grâce au remblaiement d’une partie du plan d’eau, à 4 môles obliques, tous dotés de hangars, nommés J (pour Joliette) et numérotés de 1 à 4, équipés de grues et desservis par des voies ferrées reliées à la gare d’Arenc." Pour la suite, rendez-vous sur le quai de la Joliette 😉 Source : CCIAMP LA COLLECTION. Kevin DEPREZ, Laura Boirard, Christelle Caors, Mélissa Bourgeois, Bortoli Pierre, frederic AUBANTON, Delphine Reuland, ROLAND CARTA, Stephan BERNARD, CARTA - REICHEN ET ROBERT ASSOCIES ARCHITECTES URBANISTES, Grand Port Maritime de Marseille - Port de Marseille Fos, Rémi Costantino, Nicolas Sire, Stephane Pellen,Marianne Berbon PS: pour le café histoire, désolée mais nous sommes au complet et nous avons dû clôturer la liste d'attente (vous êtes plus de 50 à y être inscrits). Merci pour votre engouement. Promis, je vais trouver une solution pour reparler de cette thématique!

Seulement quelques kilomètres séparent les villes de Monthelon et de Reims et pourtant leur avenir s'annonce différent... Prise de conscience pour les uns... Déni pour les autres... À REIMS, LA FUTURE USINE D'ENROBAGE DEVRAIT BIENTÔT VOIR LE JOUR "L’arrêté préfectoral autorisant la construction de la future centrale d’enrobage au nord-ouest de Reims devrait être délivré dans les prochaines semaines. Les opposants sont prêts à engager un recours devant le tribunal administratif" Article L'Union 👉https://lnkd.in/d6EMqt6A L’USINE DE BITUME NE VERRA PAS LE JOUR À MONTHELON "Il n’y aura pas de centrale à bitume à Monthelon. Voilà plus d’une semaine désormais que la préfecture de la Marne a entériné cette décision par arrêté, elle autorise en revanche le reste des activités de l’écopôle de Champagne à exister. La fin d’une polémique qui ne cessait d’enfler" Article L'hebdo du vendredi 👉https://lnkd.in/eAuVXwtJ Et pourtant, plus de 15000 personnes ont signé la pétition contre l'implantation de la centrale d'enrobés à Reims... PÉTITION NON À L'IMPLANTATION D'UNE CENTRALE D'ENROBÉS À CHAUD À REIMS (51) 15.959 signatures 👉https://lnkd.in/egrREUVB Bravo la Ville de Reims 🍾 #pollution #santé

Photo dans l'article ci-joint de la "rue de la Pierre de Bretagne" (Ingrandes, 49), borne frontière entre Bretagne et Anjou. La frontière politique et douanière entre Bretagne et Anjou (et tout le Val de Loire) résulte de l'annexion du Duché de Bretagne par le Royaume de France en 1532. La Bretagne était à l'Epoque moderne une 'Province d'Etat réputée étrangère', grâce à ce statut particulier les Bretons ne payaient pas l'énorme taxe sur le sel (la "gabelle"), comme les Angevins, Tourangeaux, Orléanais (les pays de la Loire). C'est grâce au prix bas du sel breton (du Pays de Guérande et du Pays de Retz, dans l'actuelle Loire-Atlantique) qu'on a du "beurre breton" (salé), tous les Bretons ont profité de ce sel bon marché venant de la Bretagne méridionale. Voici l'origine d'une spécialité bretonne, un aliment marqueur d'identité, sans le sel du Comté nantais (Loire-Atlantique) pas de "beurre breton" ! Cette différence considérable de prix a entrainé beaucoup de trafics et de fraudes, entre la Bretagne nantaise et l'Anjou. Il en est de même pour le vin. La frontière bretonne entre la Bretagne nantaise et le Val de Loire a eu des conséquences importantes dans l'histoire du Vignoble nantais et des vignobles de l'Anjou et de la Touraine, sur la nature de leurs vins. Une Histoire méconnue et/ou ignorée volontairement, autant pas les responsables des vins dit "de Loire", que par les néo-vignerons "bretons" de la région administrative. Il ne faut pas oublier non plus que les vignobles bretons du Pays de Redon (Ille-et-Vilaine, où l'on cultivait le Muscadet), de la Presqu'île de Rhuys (Morbihan, où l'on cultivait le Gros-plant) et du Pays de Guérande (Loire-Atlantique, où l'on cultivait du Chenin) ne sont que de petits prolongements du grand vignoble historique de la Bretagne : le Vignoble nantais.

Merci Sébastien Payonne pour cet article qui parle de la transformation de 2A Organisation / 2A Group. La diversification de nos activités ne fait que commencer. API News (ex La Lettre API)

Vos 5 minutes #business en #Occitanie « L’été létal », Les Indiscrétions du 1er juillet sont à croquer ici 📲 https://lnkd.in/exiMr7Pf Le 10 juin, nous titrions la newsletter « Dissolution sans dix solutions », dans un jeu de mots peut-être efficace, mais résigné, à l’annonce d’élections législatives. Au lendemain du premier tour, nous passons, ce 1er juillet, à « L’été létal », sur la même ligne éditoriale. La menace de divisions et de tensions extrêmes monte d’un cran, bien au-delà du seul jeu politico-médiatique. C’est à croquer dans votre « HV Touch », dans le « On s’en fout ». Et encore ? En « Zoom », échange revigorant avec la philosophe Gabrielle Halpern et l’élu régional Jalil Benabdillah, au cours duquel sont encensés et détaillés l’hybridation, la coopétition et le temps long ; En « À l’affiche », nouveaux présidents au Comité interprofessionnel des vins du Languedoc, à la French Tech Méditerranée, à la Fédération du BTP 31 et à Digital 113 ; En « Ça pousse », retour sur les Labels de l’Immobilier de Midi Libre. Et aussi ? En « Décodage », Toulouse et Montpellier labellisées services express régionaux métropolitains, Sarkozy en gourou de la valeur travail auprès du Cercle Mozart ; En « Trois questions à… », Pierre Carli (Capitole Angels) insiste sur l’importance, souvent négligée, des études de marché pour les start-up. Courage et chocolat ! #LesIndiscrétions, la smart newsletter éco qui monte en Occitanie (et ce n’est pas fini). Contenu gratuit, utile et au ton décalé. ⚠ Toujours pas inscrit ? Pour s’abonner, c’est ici : https://lnkd.in/e5V_iHam