🧐 L’enseignement vous tente ? Rejoignez-nous ! Tout au long de l'année, L'EC44 recrute des enseignants non-titulaires pour le remplacement des professeurs absents (maladie, maternité, congé de formation...). 📢 Participez à nos réunions d’information pour découvrir le projet de l'EC44, les modalités de formation et de recrutement, les règles de l'emploi des enseignants et les perspectives de carrière. 🗓️ RDV le 17 décembre de 17h30 à 19h 📍 centre Ozanam - 15 rue Leglas-Maurice à Nantes. Contact recrutement : saar@ec44.fr Retrouvez nos offres d'emploi de professeurs remplaçants : https://lnkd.in/e9mccr_3 #recrutement #enseignementcatholique44 #ec44 #recrutement
Post de Enseignement Catholique de Loire-Atlantique
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💼 RECRUTEMENT D'ENSEIGNANTS BÉNÉFICAIRES DE L'OBLIGATION D'EMPLOI POUR LA RENTRÉE 2025 Plusieurs offres à pourvoir pour les enseignants du premier et du second degré ! Pour en savoir plus consultez notre article ⬇️ #recrutement #enseignants #enseignement #handicap Académie de Montpellier
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🚨 Crise du recrutement enseignant : un défi majeur pour notre système éducatif 🚨 Les résultats des concours de recrutement d'enseignants 2024 montrent une situation préoccupante : plus de 3 000 postes restent non pourvus. Les académies de Créteil, Versailles, Mayotte et la Guyane sont particulièrement touchées, tandis que les disciplines comme les mathématiques et les lettres continuent de souffrir de pénuries importantes. Malgré quelques améliorations, la tension persiste. Chez France Travail, nous comprenons l'importance de ce défi et nous nous engageons à collaborer avec les acteurs éducatifs pour trouver des solutions innovantes et durables afin de rendre le métier d'enseignant plus attractif. Ensemble, œuvrons pour l’avenir de notre éducation. 🌟 #Éducation #Recrutement #Enseignement #AvecFranceTravail
Enseignement : les concours ne font pas le plein, la crise du recrutement se poursuit
lemonde.fr
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Vient de paraître Le n° 195 de Connaissance de l'emploi intitulé "Les enseignants contractuels sont-ils des enseignants comme les autres ?" Autrice : Célestine LOHIER À l’instar de nombreux pays de l’OCDE (OECD-OCDE), l‘enseignement public français fait face à des difficultés croissantes pour recruter des enseignants du primaire et du secondaire. Dans ce contexte, l’Éducation nationale mobilise des canaux de recrutement en parallèle du traditionnel recrutement par concours, au premier rang desquels le recours au contrat, en augmentation quasi continue ces vingt dernières années. Pourtant, les enseignants recrutés par ce biais sont encore peu étudiés et donc peu connus. Ce numéro de Connaissance de l’emploi en propose un portrait et un tour d’horizon de leurs conditions d’emploi. L’exploitation des données de l’enquête Emploi (Insee) montre que ce canal de recrutement alternatif conduit à recruter des enseignants au profil différent de ceux recrutés par la voie du concours. De plus, l’Éducation nationale leur offre à la fois moins de formation et des conditions d’emploi moins avantageuses qu’à leurs homologues titulaires. https://lnkd.in/eHf28Qzj
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Crise de recrutement des enseignants : on ne traite pas le fond des problèmes que l'on connaît pourtant trop bien (rémunération et conditions de travail). Et donc on subit continuellement ses conséquences, qui s'aggravent et causent de grands soucis aux équipes en place ! Il faudrait une politique de fond et sur la durée pour améliorer les choses. Mais bon, on ne semble pas aller dans cette direction. Donc... dans un an le constat sera le même et en pire ? Pourtant il y a un vrai enjeu de société, et ça devrait être prioritaire... Énervant, non ?
La crise de recrutement des enseignants s’enkyste
lemonde.fr
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La crise inédite des vocations se confirme dans l’#enseignement. Ce lundi 8 juillet, le ministère de l’Education nationale a publié les chiffres des concours des enseignants. Et entériné le manque de postulants pour les 27 589 postes ouverts à la rentrée prochaine, comme redouté en mai. Après un déficit de 4 000 postes en 2022, 3 100 en 2023, quelque 3 186 postes ne seront donc pas pourvus en septembre prochain, faute de candidats. Cette troisième année d’affilée de crise des #vocations montre que ce qui pouvait passer pour un phénomène passager s’installe dans le temps. Le « plus beau métier du monde » manque d’#attractivité pour des jeunes qui pointent du doigt #salaires et conditions de travail et ne sont plus que 1,46 à candidater en moyenne par poste disponible. Nul doute que ce manque d’attractivité devra figurer au rang des chantiers majeurs du prochain ministre de l’Education nationale. #école #égalitédeschances #insertion Financia Business School
Education : près de 3 200 postes n'ont pas été pourvus aux concours d'enseignants du public et du privé
francetvinfo.fr
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👉 A lire : "Les enseignants contractuels affectés dans l’enseignement supérieur. Année 2023, Note de la DGRH - Enseignement supérieur, n°3, MESR, septembre 2024. 👩🏫 En 2023, 20 340 enseignants contractuels (hors vacataires) étaient en fonction dans les établissements publics de l’enseignement supérieur, soit 25 % des personnels enseignants. 🎓 Les doctorants contractuels et les attachés temporaires d’enseignement et de recherche (ATER) constituent les catégories les plus représentées. ⚠️ Il faut toutefois noter que la répartition par statut diffère selon les disciplines et que la part des femmes varie en fonction des statuts. Texte complet :
Les enseignants contractuels affectés dans l’enseignement supérieur - Année 2023
enseignementsup-recherche.gouv.fr
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Le métier d'enseignant mérite d'être mieux valorisé en France, et je ne parle pas uniquement d'une hausse des salaires. 🖥️ Plus de moyens - une école où les enseignants ne sont pas obligés de demander aux parents de faire des photocopies, par exemple. 👫 Des accompagnants à la scolarité partout et pour tous les besoins. 📚 Une révision des programmes avec plus de temps donné aux fondamentaux. 🤔 Une pédagogie où les enfants sont challengés, où on leur demande de réfléchir, où ils sont tirés vers le haut. Il faut transmettre aux enfants le goût de l'effort, la persévérance.
Le nombre de candidats aux concours de recrutement des enseignants ne cesse de chuter depuis les années 1990, tandis que les départs volontaires augmentent.
De la vocation à l’abandon : les chiffres derrière la crise du métier d’enseignant
lemonde.fr
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Un sujet important, il en va de la qualité de l'enseignement supérieur et des conditions de travail de tous les enseignants, titulaires et vacataires.
❓Le saviez-vous ? 60% des enseignant·es à l’université sont des vacataires payé·es moins que le smic horaire. 🔄 Depuis les années 1990, le nombre d’étudiant·es augmente. Pas le nombre d’enseignant·es titulaires. 💰 Autonomes dans leur maigre budget depuis la loi LRU, les universités font appel à un nombre exponentiel de vacataires… Qui coûtent 5 fois moins cher que les titulaires. 🤓 Le statut de vacataire, initialement conçu pour assurer une tâche déterminée répondant à un besoin ponctuel, est ainsi détourné de sa vocation : les vacataires sont désormais recruté·es pour répondre à des besoins permanents. Cette substitution de salarié·es par des auto-entrepreneurs acte 🥁l’ubérisation de l’université 🥁 Avec quelles conséquences ? Précarité, illégalité, coûts cachés. Concrètement, c’est combien ? La vacation revient à 50€ de l’heure de cours, contre 300€ en moyenne pour un titulaire. Le nombre d’auto-entreprises dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche a été multiplié par 6 en 15 ans. Les retards de paiement, malgré les évolutions réglementaires, sont toujours monnaie courante. En 2017, les délais annoncés par les universités allaient de 360 à 697 jours. 👉 Notre note sur l’explosion du recours aux vacataires et ses conséquences, à retrouver sur notre site Alice de Charentenay Alessio Motta Zoë Dubus Hugo Mosneron Dupin https://lnkd.in/er_sgb97
L’explosion du recours aux vacataires, ou l'ubérisation de l'enseignement supérieur
nosservicespublics.fr
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Pas assez qualifié malgré 15 ans d’enseignement ? Si vous vous inquiétez de la pénurie d’enseignants, cette histoire de « bureaucratie » aiguë risque de vous faire rager. Sans compter qu’elle soulève une question qui dérange : combien sont-ils dans la même situation ? On manque d’enseignants en France comme au niveau Mondial. On en cherche désespérément en France pour combler la pénurie. À la rentrée, Le Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse a publié lundi 8 juillet 2024 un communiqué indiquant que 3 185 postes seraient non pourvus cette année. Afin de répondre aux enjeux prioritaires de recrutement, le ministère ouvre son propre portail de recrutement, #RejoindrelEducationnationale . M. Patrice X (non divulgation de la véritable identité) aurait pu pourvoir l’un de ces postes. Cet Enseignant Contractuel de 51 ans enseigne les SES, Economie-Gestion au secondaire et Supérieur depuis 15 ans. 10 ans en France et 5 ans à l’étranger au travers de l´AEFE - Agence pour l'enseignement français à l'étranger. En mai, le ministère de l’éducation l’invite, par courriel, à poser sa candidature pour un poste d’enseignant ici. Ça tombe bien : Patrice, qui est résident à l’étranger, veut justement revenir en métropole. Il ne lui reste qu’à obtenir un feu vert d’enseigner du ministère de l’Éducation. Ça ne devrait normalement être qu’une formalité. Après tout, Patrice n’est pas seulement un enseignant qualifié, il a près de deux décennies d’expérience. Il possède un Master MEEF, a des lettres de recommandation dithyrambiques et très bonnes notation administrative de ses anciens chefs d´établissement. Ah oui, j’oubliais : Il avait été admissible aux concours CAPET Economie-Gestion, et pour raisons personnelles n’a pas souhaité poursuivre le processus de titularisation. Le verdict du ministère de l’Éducation : Sur une vingtaine de candidatures, avec le même dossier, dans différentes académies, au travers de la plateforme, trois entretiens positifs avec Inspecteurs d´Académie qui donnent leurs accord… ET cinq refus, par manque de qualifications, et ce sans le moindre entretiens au préalable… Douze sont toujours en instance d’instructions... Et toujours pas de proposition de postes à moins d´une semaine de la rentrée. « Franchement, j’étais amèrement surpris par ces retours négatifs, me dit Patrice. Ça m’a fait un peu mal. J’ai les qualifications pour enseigner, poursuit-il. Il y a les diplômes, et il y a l’expérience. C’est une décision arbitraire regrettable, surtout qu’il y a une pénurie d’enseignants. Il y a un manque de jugement quelque part. »... Suite en commentaire. Anna Benjamin Emilie Brouze Sophie de Tarlé Mathilde Goanec laurence guilmo Sylvie Lecherbonnier louise tourret Marion Rousset Antoine Deiana Thomas Deszpot géraldine woessner Justine Reix Vincent Edin Philippe Watrelot Alternatives Economiques Blast le souffle de l’info Mediapart Le Canard enchaîné Céline Heyriès Boris Melmoux-Eude Caroline Pascal Emmanuel Spinat
Vous êtes en recherche d’emploi et êtes intéressé pour vous investir au sein de l’éducation nationale ?
recrutement.education.gouv.fr
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Il manque 30 000 postes d'enseignants titulaires à l'université alors que le nombre d'étudiants ne cesse d'augmenter (et que dans le même temps le "budget par étudiant" a baissé de 20% ces dix dernières années). La solution de nos gouvernements successifs - et je l'ai longuement expérimentée - c'est de recruter des vacataires: ça coute pas cher (payés moins que le SMIC) et ils ne sont pas comptabilisés dans les effectifs Merci au Collectif Nos Services Publics pour cette note très claire et très complète Extrait: "Les vacataires sont désormais majoritaires au sein des personnels enseignants de l’ESR. On estime leur nombre à 167 000 pour l’année scolaire 2021-2022, un chiffre en augmentation constante (+ 30 % en 7 ans). Hors ce statut, l'enseignement supérieur est assuré par 55 000 enseignants-chercheurs titulaires, 13 000 enseignants titulaires, et environ 20 000 enseignants contractuels. Les vacataires représentent donc plus de 60 % des effectifs d’enseignants de l’ESR. En 2020-2021, on peut estimer la contribution des vacataires à l’enseignement supérieur à 5,6 millions d'heures équivalent-TD (25 % des heures de cours), soit l'équivalent du service d'enseignement de 15 000 enseignants ou de 29 000 enseignants-chercheur titulaires à temps complet. Le développement massif de la vacation ne pose pas seulement la question du statut juridique précaire et parfois illégal d’une part importante des agents de l’ESR. Les vacataires sont en partie des jeunes chercheurs en attente d’une titularisation et ils assurent le plus souvent une part significative de la formation en premier cycle (...) La précarité du statut de vacataires et l’invisibilisation de leur situation a des conséquences importantes sur leurs conditions de travail. Ils et elles sont d’abord confrontés à un retard systématique, souvent de plusieurs mois, dans le paiement de leurs heures du fait de la complexité administrative qu’induit le paiement à la tâche, lié à leur statut, ici aussi aux marges de la légalité. En outre, leur rémunération se situe en deçà du SMIC si on la rapporte au temps de travail effectif : pour les TD, les vacataires sont payés 10,20€ brut de l'heure, là où le smic brut horaire s'élève aujourd'hui à 11,65 €. De plus, les vacataires n’ont accès à aucun des dispositifs chargés de protéger la rémunération des agents publics, tels que la garantie individuelle de pouvoir d’achat (GIPA), de compenser les désavantages des contrats courts, tels que l’indemnité différentielle pour absence de congés payés, de faire valoir leurs droits à la protection sociale (sécurité sociale, chômage, retraite) ou de se défendre en cas de conflit avec leur employeur. Enfin, le recours massif aux vacations occasionne un surcoût de gestion et une désorganisation administrative et pédagogique qui nuit à la qualité du service public"
❓Le saviez-vous ? 60% des enseignant·es à l’université sont des vacataires payé·es moins que le smic horaire. 🔄 Depuis les années 1990, le nombre d’étudiant·es augmente. Pas le nombre d’enseignant·es titulaires. 💰 Autonomes dans leur maigre budget depuis la loi LRU, les universités font appel à un nombre exponentiel de vacataires… Qui coûtent 5 fois moins cher que les titulaires. 🤓 Le statut de vacataire, initialement conçu pour assurer une tâche déterminée répondant à un besoin ponctuel, est ainsi détourné de sa vocation : les vacataires sont désormais recruté·es pour répondre à des besoins permanents. Cette substitution de salarié·es par des auto-entrepreneurs acte 🥁l’ubérisation de l’université 🥁 Avec quelles conséquences ? Précarité, illégalité, coûts cachés. Concrètement, c’est combien ? La vacation revient à 50€ de l’heure de cours, contre 300€ en moyenne pour un titulaire. Le nombre d’auto-entreprises dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche a été multiplié par 6 en 15 ans. Les retards de paiement, malgré les évolutions réglementaires, sont toujours monnaie courante. En 2017, les délais annoncés par les universités allaient de 360 à 697 jours. 👉 Notre note sur l’explosion du recours aux vacataires et ses conséquences, à retrouver sur notre site Alice de Charentenay Alessio Motta Zoë Dubus Hugo Mosneron Dupin https://lnkd.in/er_sgb97
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