Post de Etienne de Callataÿ

Pourquoi les grands groupes français rachètent les banques privées belges? Après Degroof Petercam racheté par le Groupe Crédit Agricole, c'est au tour de Nagelmackers, la plus ancienne banque privée de Belgique, de tomber entre les mains d'un autre groupe bancaire français important, à savoir BPCE. Ces acquisitions transfrontalières dans le domaine bancaire en Europe restent rares même si ces deux opérations sont très rapprochées dans le temps. De là à y voir le début d'un mouvement de consolidation de plus grand ampleur? Le momentum est plutôt favorable pour les acteurs de taille conséquente avec des résultats supérieurs aux attentes comme en témoignent les publications récentes de BNP Paribas et d'Unicredit. La logique est ici purement capitaliste. https://lnkd.in/gcG3hNwD

Mon analyse sur la consolidation du secteur de la banque privée belge J'ai eu l'honneur d'être interviewé par le journal financier L’Echo Dominique Liesse avec notamment mes confrères Etienne de Callataÿ (Orcadia) et Olivier Celis (DDEL) pour discuter de la consolidation en cours dans le secteur de la banque privée belge. Voici quelques points clés de mon analyse : 1. Réglementation accrue📈 : L'évolution des régulations, notamment en matière de lutte contre le blanchiment d'argent (AML), a considérablement augmenté les coûts d'acquisition de clients. Les institutions doivent investir massivement dans des outils de conformité et recruter des experts qualifiés, devenus rares et très demandés. Cela rend la croissance externe plus attrayante que la croissance organique. 2. Intérêt des acteurs français🇫🇷 : La France, ayant déjà consolidé son marché, se tourne vers la Belgique pour trouver de nouvelles opportunités de croissance. Le marché belge, traditionnellement concentré, attire ces investisseurs en quête d'expansion. 3. Expertise belge reconnue 🌍 : La réglementation rigoureuse en Belgique a forgé une expertise solide et une réputation enviable, particulièrement en Private Banking. Les institutions financières belges sont donc attractives pour les investisseurs étrangers. Enfin, on m'a demandé si nous avions déjà été approchés pour un rachat. Bien entendu, cela a été le cas, mais mes associés et moi sommes passionnés par notre métier et dans la force de l'âge. Nous avons des objectifs ambitieux, notamment atteindre un milliard d'actifs sous gestion d'ici 2030, et une vision très long terme qui est renforcée par la présence de collaborateurs seniors. Nous pensons que des sociétés à taille humaine et agiles peuvent réellement tirer leur épingle du jeu en mettant leur expertise et leur passion au service des clients. Nous avons investi massivement dans la réglementation et sommes donc sereins pour nous concentrer sur le service et la performance des portefeuilles de nos clients. N'hésitez pas à partager vos réflexions et à engager la conversation sur ce sujet passionnant. #BanquePrivée #Finance #Investissement #GestionDePatrimoine #Réglementation #Consolidation #PrivateBanking #Expertise #Croissance

Succès pour BRED Banque Privée, qui se voit décerner le label « excellent » par Décideurs Magazine pour la seconde année consécutive. Ce label souligne toute la valeur ajoutée et l’expertise dont bénéficient nos clients. BRED Banque Privée dispose d’une offre interne très solide en s’appuyant sur PROMEPAR Asset Management, PREPAR-VIE et ADAXTRA Capital, filiales de la BRED Banque Populaire. Au-delà de cette offre interne, elle a construit aussi des partenariats externes remarquables et travaille en architecture ouverte. BRED Banque Privée, c’est aussi une équipe d’experts de haut niveau : une ingénierie patrimoniale qui délivre un conseil juridique et fiscal pointu, une équipe d'ingénierie immobilière capable de faire de la valorisation immobilière, mais aussi de la transaction immobilière, et enfin, des experts cession-transmission qui réalisent des opérations dont le montant est compris entre 2 et 30 millions d'euros. #Banque #Classement #BanquePrivee

Au sein des banques françaises, le cœur de métier, la banque de détail, affiche généralement un niveau de rentabilité plus faible que ses pairs, avec notamment des coefficients d’exploitation plus élevés d’environ dix points par rapport à la moyenne des banques européennes et américaines. Cela provient en partie de la typologie de certains acteurs, dont le coût du capital est plus bas, mais aussi des faibles marges sur le crédit immobilier, nettement plus élevées ailleurs.   Pour compenser cette rentabilité structurellement basse, les banques françaises ont été amenées à diversifier leurs métiers, de trois façons. D’abord en enrichissant, dès les années 1970 pour les premiers (Crédit Mutuel), la banque de détail avec l’assurance. Puis en allouant des fonds propres à d’autres métiers plus rentables, tels que les services financiers spécialisés et la BFI. Enfin, en se développant à l’international, notamment en Europe de l’Est et en Afrique.   Depuis quelques années, les banques françaises, mais aussi une partie des banques internationales, comme Citigroup et HSBC, ont pris conscience du faible niveau possible de synergies dans la banque de détail en dehors de son territoire, y compris en Europe. Les usages diffèrent trop, ce qui limite fortement les synergies, informatiques notamment. Cela a entraîné une longue série de cessions, pas seulement en Europe de l’Est et en Afrique mais aussi dans la plupart des pays.

Lorsqu’on investit en #bourse, il est crucial de mesurer et de vérifier la #liquidité disponible sur une action, surtout dans le cas des investissements à court terme (#trading) ou lorsque l’on souhaite pouvoir vendre rapidement ses titres (opportunite court terme). La liquidité d’une #action se réfère à la facilité avec laquelle elle peut être achetée ou vendue sur le marché sans affecter significativement son prix. Une action liquide permet aux #investisseurs de réaliser des transactions rapidement et à des prix proches du marché, réduisant ainsi les risques de pertes dues à des fluctuations de prix importantes. En revanche, une action peu liquide peut entraîner des difficultés à trouver des acheteurs ou des vendeurs, ce qui peut retarder les transactions et augmenter les coûts de transaction. Par conséquent, vérifier la liquidité est essentiel pour s’assurer que l’on peut entrer et sortir du marché de manière efficace et à moindre coût.

𝗖𝗢𝗠𝗠𝗘𝗡𝗧 𝗔𝗖𝗛𝗘𝗧𝗘𝗥 𝗨𝗡𝗘 𝗢𝗕𝗟𝗜𝗚𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 ? 𝗣𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲 𝟭🤔 Pour obtenir des obligations, l'investisseur peut les acheter au moment où une entité décide d'en émettre .⬇️ O𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝘂 𝗻𝗲𝘂𝗳 𝗹𝗲 "𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵é 𝗽𝗿𝗶𝗺𝗮𝗶𝗿𝗲". Il peut aussi acheter des obligations qui ont déjà été émises depuis un moment. Dans ce cas, on ne les achète pas à l'entité émettrice, mais plutôt à un autre investisseur qui détient déjà ces obligations et souhaite les vendre.⬇️ 𝗢𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗱𝗲 "𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵é 𝗱𝗲 𝗹'𝗼𝗰𝗰𝗮𝘀𝗶𝗼𝗻" 𝗼𝘂 "𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵é 𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗮𝗶𝗿𝗲". Sur ce marché, sera indiqué le "𝗰𝗼û𝘁 𝗱𝗲 𝗹'𝗼𝗯𝗹𝗶𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻" qui est le montant à payer par tout investisseur souhaitant obtenir cette obligation. Ce lundi nous vous expliquerons mieux la démarche dans une vidéo explicative. Excellent week-end à tous🏝️ #BestEpargne #educationfinanciere #epargne #financepourtous #pensezlefutur #actions # #Investissement

Les deux banques régionales, les Caisses d'Epargne des Hauts-de-France et de Normandie, ont annoncé lancer une étude pour réfléchir à un «rapprochement» 🔍💡 #banques #economie #entreprises #territoire #hautsdefrance #lagazetteoise #lagazettefrance Caisse d'Epargne Hauts de France - Caisse d'Epargne Normandie - Groupe BPCE

⚠🔎💰👇 Update sur la restructuration de GIFI : 40% du capital cédés aux banques 300 millions € de dette effacée Changement de gouvernance opérationnelle #economie #finance #business #businessintelligence #commerce #risque #dette #trésorerie #capital #stratégie

Ce matin, Gemmyo a reçu sa cotation Banque de France mise à jour par courrier. La lettre d'accompagnement mentionne que la réglementation interdit la divulgation de la cote de crédit. Nous devons donc nous contenter de mentionner... notre fierté ? Ou la satisfaction profonde de voir une institution écrire que Gemmyo est mieux géré, a des finances plus saines et inspire infiniment plus confiance que la plupart des pays du monde. Syndrome du bon élève ? Recevoir une sanction externe, objective et enthousiaste de la valeur ajoutée d'une entreprise et de sa capacité à honorer ses engagements est un plaisir difficile à bouder. En particulier, quand on a décidé de sortir définitivement des systèmes en vogue pour l'évaluation de la solidité d'un business model (valorisation à l'occasion d'une levée de fonds, valorisation au moment de la cession du contrôle de l'entreprise), avec leurs surprises souvent amères pour les nouveaux entrants. Une cotation puissante est surtout une force que nous avons appris à découvrir sur les dernières années. Moins glamour que la Series G avec Younameit Capital, elle constitue la base de l'évaluation par les banques françaises quand elles vous approchent. Bien sûr, ces dernières peuvent adapter la cotation à la hausse ou à la baisse en fonction de leur propre interprétation du business, mais nous avons découvert que le ton est donné dès la lecture de la cote de crédit. Votre capacité d'emprunt, et surtout le taux d'intérêt que vous paierez est très lié à cette cote. La BPI le confie volontiers, les autres banques françaises indépendantes ont plus de mal à l'admettre ouvertement... mais notre pratique l'a confirmé. Alors oui, avoir un sceau de reconnaissance du travail accompli et du sérieux de l'entreprise est extrêmement satisfaisant dans un monde qui perd souvent ses repères ! François Villeroy de Galhau

Point business avant de remettre une chemise : 1. Attentisme fort des comités de crédit des établissements bancaires avec des incertitudes politiques, géopolitiques et économiques. 2. Lente baisse des taux : maintien des marges sur les prêts et crédits pour les banques. 3. Placement court terme : max 4% sur 12 mois, et c'est bientôt fini. On est plutôt sur du 3.4% aujourd'hui voire 3% si +12 mois en CAT. 4. Les PME / ETI font de grosses réserves de cash (secteur tech principalement) 5. Secteur immobilier toujours persona non grata (malheureusement) mais de très belles opérations à Paris se réalisent avec des vendeurs qui ont attendus parfois 2 ou 3 ans avant de vendre. J'ai fais financé des biens dans le 16 et 8eme arrondissement à 40% en dessous de la valeur actuelle du marché sur des valorisations > 1M€ faisant tomber le prix au m2 à 10K 👀 6. Les opérations d'acquisition de rachat à la barre du tribunal devienne très fréquentes : le marché se consolide 7. DMB PARTNERS va lever à fin septembre +20M€ pour ses clients Vous voyez d'autres informations intéressantes avant la reprise officielle ?