Rencontre exceptionnelle à La Filature, Scène nationale de Mulhouse ce vendredi 5 avril à 18h autour de la création de « Carnets de là-bas » de Sonia Wieder-Atherton et Clément Cogitore. Table ronde Société en chantier 𝗜𝗠𝗔𝗚𝗘𝗦 𝗘𝗧 𝗥𝗘𝗚𝗔𝗥𝗗𝗦 : 𝗟𝗔 𝗙𝗔𝗕𝗥𝗜𝗤𝗨𝗘 𝗗’𝗨𝗡 𝗖𝗢𝗠𝗠𝗨𝗡 avec Clément Cogitore, artiste contemporain et réalisateur, Marie-jose Mondzain, philosophe, spécialiste de l’art et des images, et l’amicale participation de Bernard Goy, conseiller arts visuels à la DRAC Grand Est. Si les artistes ont toujours créé des images et si les philosophes s’y sont souvent intéressés, toutes et tous n’ont pas forcément interrogé l’image en tant que telle, au singulier, et encore moins ses modes d’apparition à nos yeux, comme le font Marie José Mondzain et Clément Cogitore, dans leurs travaux respectifs. Cette table ronde est l’occasion de se confronter aux enjeux du regard dans notre société et d’appréhender notre rôle de spectateur·rice – des images et donc du monde. Il s’agit de comprendre qu’une image n’est pas fondée sur les objets mais sur la nature des regards posés sur eux. Qui fait voir quoi à qui ? Comment voir ensemble et partager un regard ? Quelle est la langue des regards ? Il faut espérer que l’image – précisément le dispositif qui la met en place – ait encore le pouvoir de nous donner toute liberté d’exercer notre parole et notre jugement, et créer du commun. Le cycle Société en chantier est présenté en partenariat avec la Librairie 47° Nord et le Service Universitaire de l'Action Culturelle de l'Université de Haute-Alsace - UHA.
Post de Emmanuelle Walter
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#Rencontresdédicaces #Rencontresdédicaces Des rencontres pour animer le dialogue entre la BD et les autres arts: La Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques (ADAGP) inaugure un nouveau format de tables rondes, sous la forme de rencontres entre… @ActuaLitte
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Des rencontres pour animer le dialogue entre la BD et les autres arts
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Si vous êtes loin, voici une opportunité de suivre notre visite commentée de l’exposition ANKER ET L’ENFANCE.
🗓️ À l'occasion de l'exposition 𝑨𝒏𝒌𝒆𝒓 𝒆𝒕 𝒍'𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒄𝒆, assistez à la visioconférence en direct lundi 25 mars à 10h par Antoinette de Wolff, guide conférencière à la Fondation Pierre Gianadda Albert Anker et l’enfance est une exposition qui se décline avec des thèmes illustrés par des œuvres représentant l’image de l’enfant impliqué dans son temps, chez les grands-parents, dans la communauté ou s’épanouissant dans le jeu et dans l’apprentissage de l’étude. Avec un talent exceptionnel, Anker, interprète fidèle de la vie quotidienne, brosse cette société où se côtoient adultes et enfants dans une entente admirable. Cet artiste du Seeland, décédé à Anet en 1910, signe certainement les portraits de bambins les plus remarquables de l’art du XIXème siècle et s’affirme comme l’un des plus grands peintres d’enfants de l’art occidental. Pour vous inscrire à la visioconférence 👉 https://bit.ly/AlbertAnker Pour en savoir plus sur l'exposition 👉 https://bit.ly/Anker2024
Albert Anker et l’enfance, à l'occasion de l'exposition à la Fondation Giannada
app.storiamundi.com
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Nouvelle publication // Julie Bawin. 𝑨𝒓𝒕 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒐𝒗𝒆𝒓𝒔𝒆𝒔 𝑿𝑰𝑿𝒆-𝑿𝑿𝑰𝒆 𝒔𝒊è𝒄𝒍𝒆. Paris : CNRS Éditions. // 20.03.2024 À une époque où les mots « censure » et « déboulonnage » sont régulièrement prononcés et alors que se multiplient les débats autour de la cancel culture, du wokisme et de l’appropriation culturelle, la question de l’atteinte portée aux œuvres d’art dans l’espace public apparaît comme centrale. Cette actualité, aussi brûlante soit-elle, s’inscrit en réalité dans une histoire longue et complexe que l’on peut faire débuter à l’ère des expériences iconoclastes de la Révolution française. Une histoire qui se poursuit au cours des deux siècles suivants avec des querelles d’ordre esthétique, moral et politique, l’art public cristallisant autour de lui des affrontements venus d’en haut comme d’en bas. Ce livre est le premier à proposer une vue d’ensemble des controverses nées autour d’œuvres prenant place non pas dans les lieux sacrés et confinés de l’art, mais dans un espace censé être accessible à tout un chacun. Art public et controverses constitue ainsi un complément essentiel à l’étude de l’art public et une contribution originale aux interrogations très actuelles sur la censure. Pour tous les détails, nous vous invitons à cliquer sur le lien ci-bas.
Julie Bawin. Art public et controverses XIX e -XXI e siècle . Paris : CNRS Éditions.
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L'art au service de la cause ? L’exposition d'art contemporain « Odyssée artistique à l’ère Anthropocène » explore les complexités et les défis de notre époque. Un voyage artistique qui transcende les frontières traditionnelles de l'expression pour donner vie à des réflexions profondes sur la relation entre l'humanité et la planète. Les artistes présentés ont uni leurs talents pour examiner les impacts de notre mode de vie contemporain sur la Terre, mettant en lumière la nécessité urgente de changement. Alors responsabilité individuelle et/ou collective ? Force est de constater que le déni des pouvoirs politiques qui légitime les guerres et les accords de libre-échange sont l’apanage d’un machiavélisme qui favorise l’exploitation abusive des ressources et la prédation de toujours plus d’énergie. Le débat est ouvert et sa raison en est l'avenir de notre humanité ou d'une certaine humanité.
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La Fédération des Récupérathèques dans la revue Culture et Recherche. Un numéro pour les artistes et les acteur·ice·s qui questionnent le rapport à la création. La FÉDÉRATION DES RÉCUPÉRATHÈQUES accompagne les étudiant.e.s dans la gestion d'espaces concrets qui questionnent le rapport aux matériaux et le geste de créer en école de création. Écoconception, réemploi et gouvernance partagée sont des thématiques clés que nous abordons avec les étudiant.e.s qui portent des projets de Récupérathèques. Comment trouver sa place dans le monde de la création ? C'est quoi "être un·e créateur·ice" aujourd'hui? Quels sont les valeurs et les imaginaires que nous avons envie de porter à travers nos pratiques? Ces réflexions portent la FÉDÉRATION DES RÉCUPÉRATHÈQUES et les jeunes de notre réseaux en écoles de création. "Une école d’art est selon moi le lieu où l’avenir s’invente et où nous ne nous préparons pas à réussir, mais à nous construire et par conséquent, à penser un futur." Chloé Boulet, étudiante porteuse de la Récupérathèque Le Déambulateur à l'esä Dunkerque. Le numéro de la revue : https://lnkd.in/eBDZ3urn Merci pour ce travail de mise en valeur. Ministère de la Culture alicia arco Julia Krisch Chloé Boulet Olivier Milis Emma De Meira Samuel Mecklenburg Maison de l'Écologie Tiphaine Calmettes Florence Roy Thierry Heynen Gilbard Anne Rivolet Célia Charbaut LA RESERVE DES ARTS ANdÉA Association nationale des écoles supérieures d'art École Supérieure d'Art Nord - Pas de Calais / Dunkerque - Tourcoing #creationartistique #cultureetrecherche #economiecirculaire #transitionecologique #reemploi
LA RÉSERVE DES ARTS est dans la revue Culture et Recherche du Ministère de la Culture ! Nous sommes fiers d'apparaître aux côtés d'acteurs tels que la Fédération des Récupérathèques et le collectif 17h25 (Théâtre du Châtelet Festival d'Aix-en-Provence, Opera National de Paris, Opera National de Lyon @ Théâtre Royal de la monnaie) et bien d'autres ; comme outil du faire pour la création artistique et l'urgence écologique comme opérateur de la transition écologique de la culture comme acteur d'utilité publique et sociale comme accompagnateur des metteurs en marché avec un impact territorial en Île-de-France et en région Sud... Un grand merci à Isabelle Fuchs et toute l'équipe de la revue pour cet article, qui nous souhaitent, et on l'espère tout autant, "de retrouver vite un lieu en petite couronne, pour qu’elle reste l’un de ces endroits à intérêt artistique général où l’on vient trouver ce que l’on cherche, mais également où l’on trouve ce que l’on ne cherche pas [...]" Retrouvez l'ouvrage dans son intégralité sur le site du Ministère : https://lnkd.in/eBDZ3urn Charlène Legendre-Dronne Louis-Xavier LECA Louise Malé-Mole Ministère de la Culture Karine Duquesnoy Rachida Dati Maxime Triquenaux Gaëtan Bruel Laurent Roturier Carole SPADA Florence Roy Région Île-de-France Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur #reemploi #creationartistique #transitionecologique #cultureetrecherche #economiecirculaire #regionIDF #regionSud #regionPACA
Création artistique et urgence écologique
culture.gouv.fr
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Cette exposition soulève un point fondamental sur la manière dont la diversité de la société française est représentée dans les sphères de pouvoir et d’influence. Il est en effet crucial de reconnaître que les quartiers populaires et les personnes issues de l’immigration contribuent à la richesse économique, sociale et culturelle du pays bien au-delà des arts. La présence d’entreprises implantées en banlieue, créant de l’emploi et stimulant l’économie locale, en est un exemple évident mais souvent sous-estimé ou invisibilisé. Le discours sur la diversité, l’immigration en France doit s’étendre au-delà des discours symboliques et se traduire par une représentation plus équitable dans les hautes sphères politiques, économiques et institutionnelles. Trop souvent, les personnes issues des quartiers populaires ou des QPV (quartiers prioritaires de la ville) sont confinées à des rôles locaux ou associatifs, alors qu’elles ont le potentiel de jouer un rôle clé au niveau national, en tant que chefs d’entreprises, responsables politiques, scientifiques, etc. L’absence de cette représentation nationale renforce un sentiment d’exclusion et maintient des barrières sociales. La France a besoin de cette diversité au plus haut niveau pour refléter véritablement son identité “plurielle” et permettre à chacun de contribuer pleinement à la société. Il est temps de briser ces plafonds de verre et de reconnaître l’importance d’une représentation inclusive et diversifiée dans toutes les instances de décision. Cet exposition au delà de démontrer les récits de vie remarquables de femmes et d’hommes issus de l’immigration et des outre-mer, qui ont joué un rôle central dans l’histoire française et aussi un appel à une véritable intégration de la diversité à l’échelle nationale qui résonne avec une aspiration partagée par beaucoup : celle d’une égalité d’opportunités qui dépasse les origines et les lieux d’habitation, et qui valorise le talent et l’engagement là où ils se trouvent.
Historien, Chercheur-associé au CRHIM (Lausanne), codirecteur Groupe de recherche Achac (Paris), codirecteur agence des bâtisseurs de mémoire
EXPOSITION « PORTRAITS DE FRANCE » L'exposition « Portraits de France », conçue par le Groupe de recherche Achac en collaboration avec le Musée de l’Homme et soutenue par l’ANCTerritoires et DILCRAH sera présentée à Toulouse à partir du 12 octobre. Cette initiative s'appuie sur le recueil éponyme, souhaité par Emmanuel Macron et élaboré à l’initiative de Nadia HAI (ministre de la ville) sous la supervision d'un conseil scientifique, ayant conduit à la publication d'un rapport officiel en 2021. L’exposition (imaginée à l’origine pour le Musée de l’Homme) propose un parcours à travers les récits de vie remarquables de femmes et d’hommes issus de l’immigration et des outre-mer, qui ont joué un rôle central dans l’histoire française. Au fil de 12 périodes historiques, à travers 50 panneaux et la mise en lumière de 318 personnalités, de figures emblématiques telles qu'Aimé Césaire, Marie Curie, Joséphine Baker ou encore Gisèle Halimi, l’exposition offre une exploration de la diversité riche de la société française. Elle propose ainsi une nouvelle lecture inclusive de l'histoire, en réhabilitant la mémoire de nombreuses personnalités étrangères longtemps négligées dans le grand récit national. A l’occasion du sommet de la francophonie, le président de la République rappelle que la France est « un pays ouvert depuis toujours » et pour l’illustrer, Emmanuel Macron puise dans la liste des 318 noms : « On peut décider qu'on aurait beaucoup mieux fait de la physique nucléaire sans la polonaise Marie Curie (...), que l'on aurait pu danser beaucoup mieux sans Charles Aznavour, etc.», a-t-il précisé. Après deux ans d'itinérance, cette exposition - qui existe en plusieurs exemplaires désormais - s’installe à Toulouse à l’itiative du tactikollectif, à la MJC Pont des Demoiselles, dans un contexte où il est plus que jamais important de valoriser la contribution des personnes issues de l’immigration aux domaines artistique, politique, économique et scientifique, illustrant ainsi la « France plurielle ». Une des commissaires de l’exposition, Aurélie Clemente Ruiz la présentera le samedi 12 octobre 2024 en avant-première. L’exposition à Toulouse : https://lnkd.in/eJavtahT Réserver l’exposition : https://lnkd.in/eZbqnWhF Le recueil Portraits de France : recueil-portraits-de-france.pdf (https://lnkd.in/eMXg62CE) #immigration #outremer #memoire #recitnational #diversité #inclusivité #france318 #histoire #memoire #culture #parcours Yvan Gastaut Emmanuelle Collignon Nicolas Bancel Sandrine Lemaire Salah Amokrane Samia Chabani #achac Rachid Benzine Isabelle Giordano Leila Slimani David Diop Nadia Hathroubi-Safsaf Naima Huber Yahi, Ph. D. Sébastien Gokalp Olivier Klein Constance Rivière Dominique SOPO Hakim El Karoui Ligue des droits de l'Homme
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APPEL A CONTRIBUTION Perspective actualité en histoire de l’art Anachronismes, nº 2025 – 2 Longtemps pensé comme un « péché mortel » des sciences historiques, l’anachronisme fait pourtant partie des pratiques courantes en histoire de l’art, souvent de manière inconsciente, à travers l’usage de catégories et de notions forgées au 19e siècle en Europe. Parallèlement, d’autres pratiques de l’anachronisme ont émergé depuis une trentaine d’années, où il est utilisé comme une méthode qui permet de faire émerger de nouvelles questions, de nouveaux objets, de nouveaux récits. Ce numéro de la revue Perspective fait le point sur ces pratiques involontaires ou revendiquées de l’anachronisme en histoire de l’art.
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Éclairer la société, à travers l'art. 🤍 Les faits divers Dimanche prochain, débute un cycle de conférences organisé par MK2 & INA - Institut national de l'audiovisuel avec Claire Sécail : Le fait divers dans l’œil de l’INA sur les enjeux médiatiques et politiques des faits divers, à travers notre patrimoine audiovisuel. Dimanche 24 novembre, sera exploré : Faits divers et politique — Certains responsables politiques ont bien compris l’intérêt des faits divers pour occuper une surface médiatique et en tirer bénéfice. Mais les mécanismes de politisation d’affaires criminelles fonctionnent selon des logiques diverses et parfois démocratiquement vertueuses. Dimanche 15 décembre, sera exploré : jeunesse et fait divers — Certains crimes ou délits ont marqué les contemporains en raison du jeune âge de leur auteur. Que nous enseignent ces récits sur la place d’une partie de la jeunesse érigée comme menace pour la société ? En parallèle de l'initiation de ce cycle, s'est ouverte au MAC VAL - cette semaine et, jusqu'au 13 avril : l'exposition Faits divers - Une hypothèse en 26 lettres, 5 équations et aucune réponse. L'exposition vise notamment à mettre en lumière l’impact de la culture visuelle du fait divers sur l’art contemporain. Avec le fait divers comme fil conducteur qui, selon Roland Barthes, nous aide à nommer et à identifier les causalités aberrantes et les relations de coïncidences, l'exposition joue sur les principes de l’énigme et de l’astuce. Les visiteurs et visiteuses sont amenés à décoder, via une scénographie innovante, les multiples propositions artistiques des 80 artistes de différents horizons et pratiques formelles qui y sont exposés. Sous le commissariat de @Nicolas Surlapierre et le commissariat associé de Vincent Lavoie. Photo : Tout ce dont je me souviens, 1969 - Film cinématographique 16 mm, couleur, son, 0’24’’ © ADAGP, Paris 2024 © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. GrandPalaisRmn / image Centre Pompidou, MNAM-CCI Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Art #Culture #Société #Planète
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Espace public comme terrain de jeu…
[EVENEMENT] Deuxième rencontre du cycle 𝐃𝐞𝐬𝐬𝐢𝐧𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞 : 𝐋’𝐞𝐬𝐩𝐚𝐜𝐞 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐚𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐣𝐞𝐮 en partenariat avec la Maison des Arts et de la Création de Sciences Po le 𝐦𝐞𝐫𝐜𝐫𝐞𝐝𝐢 𝟑𝟏 𝐣𝐚𝐧𝐯𝐢𝐞𝐫. La conférence inaugurale portait sur le rôle de l'art et de la culture dans les projets de territoire. Cette seconde rencontre sous forme de table ronde, ponctuée du témoignage d'artistes, interroge les interventions artistiques hors les murs : 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭-𝐢𝐥𝐬 𝐥'𝐞𝐬𝐩𝐚𝐜𝐞 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 ? Ces pratiques peuvent-elles aller de pair avec des projets de transformation urbaine ? Ont-elles le potentiel d'activer un espace plus démocratique ? José-Manuel Gonçalvès, Directeur du CENQUATRE et Directeur artistique et culturel du Grand Paris Express Pascal Le Brun-Cordier, Directeur artistique et urbaniste culturel, responsable du master « Projets culturels dans l’espace public » à l’Ecole des Arts de la Sorbonne Université (Paris 1) Accompagnés de deux artistes Modération par Jeanne Varaldi, artiste et urbaniste 📅 Mercredi 31 janvier à 17h 📍 28, rue des St-Pères Inscriptions obligatoires ➡ https://lnkd.in/eu9kaP4W Delphine Grouès Christophine Erignac Ilaria Milazzo
Table-ronde : l'espace public comme terrain de jeu
sciencespo.fr
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