Post de Fécamp Tourisme

Sur le territoire du Muretain Agglo....

[Méristème] Pour la journée européenne des Parcs animée par EUROPARC Federation, direction la frontière franco-belge ! 🇧🇪 Avec son homologue belge, le Parc Naturel Régional Scarpe-Escaut a mis en place en 2022 un Groupement européen de coopération territoriale, pour asseoir et renforcer les échanges de part et d'autre de la frontière. Cette histoire commence en 1983, quand le Nord-Pas-de-Calais et la région wallonne signent un protocole d'accord manifestant la volonté de créer un tel Parc entre les deux pays. Dans les années 1990 et 2000, les collaborations émergent : création d'un bureau transfrontalier, des Rencontres du transfrontalier, de la Fête du Parc transfrontalier... De nombreux projets communs voient le jour. S'il est avant tout au service des habitants, le Parc européen apporte aussi un cadre plus institutionnel permettant de faciliter les contacts entre élus. ✳ Découvrez les Méristèmes des Parcs, ces belles histoires des Parcs qui se partagent et se multiplient ➡https://swll.to/gef8lNw

🌦️🔎 Après une coupure estivale passée en Irlande pour tenter de percer le mystère de pourquoi cette île est si accueillante, Florent PELLET est de retour pour une nouvelle année industrielle qui s'annonce riche en projets de transformation. ⏰ Une annonce importante dans le cadre de notre développement sera prochainement communiquée via cette page le 23 septembre, ainsi nous vous invitons à nous suivre pour savoir plus.

L’Union Maritime et Portuaire de Bordeaux est présente dans les instances de gestion dont celui du Parc naturel marin de l’estuaire de la Gironde et de la Mer des Pertuis. Post à découvrir ici ⤵️ #economie #maritime #croissancebleue

La Flandre est festive, la Flandre est gourmande, la Flandre est belle. Que vous y habitiez ou que vous la découvriez, il y a mille et une raisons d’en profiter. On vous en livre quelques-unes au fil de ces pages 👇

Les yoles de mer du Trez Hir s’offrent une entrée vespérale en majesté au deuxième bassin sous le regard bienveillant de la flottille néerlandaise, de la Thalassa et du beaupré de la Granvillaise.

Quand le Vieux-Port accueillait des navires de la marine marchande au début du XXe siècle… On a tendance à l’oublier, mais jusqu’aux années 1950, le Vieux-Port était un haut lieu de l’économie marseillaise. Des navires venus du monde entier y accostaient et y déchargeaient leurs marchandises. Celles-ci étaient ensuite stockées dans les nombreux entrepôts du périmètre, à commencer par ceux situés dans l’îlot Thiars que l’on voit à droite de l’image, aujourd’hui reconvertis en logements et en bureaux. Le nom de Vieux-Port fut donné à la calanque du Lacydon en 1853, lorsque le bassin portuaire de la Joliette fut ouvert, opposant de fait le bassin historique au nouveau. Pour autant, la création du nouveau port ne signa pas la fin de l’ancien. Reliés entre eux jusqu’en 1938, par un canal qui passait en contrebas du fort Saint Jean, ils fonctionnaient de façon concomitante. Le Vieux-Port continua d’ailleurs à s’imposer comme un haut-lieu de l’économie marseillaise jusqu’à ce que les autorités décident de le laisser à l’usage des plaisanciers… Ce changement trouve vraisemblablement ses racines dans la transformation de la chaine logistique liée à l’émergence des containers, dans la création des bassins portuaires successifs le long de la côte nord de Marseille jusqu’en 1976, ainsi que dans l’aménagement du port de Fos Lavera à partir de 1953, permettant aux navires de la marine marchande de disposer de tout l’espace nécessaires. C’est ainsi que le Lacydon nettement moins pratique en raison de sa taille et de l’urbanisation de son pourtour fut transformé pour devenir un espace dédié à la plaisance… Ce post est une dédicace à l’Union Maritime Fluviale qui a soufflé hier sa 120e bougie ! Merci pour ce beau gala et au passage… Quand l’histoire est bien racontée, elle n’est jamais soporifique. La preuve 😉 Union Maritime et Fluviale Marseille-Fos (UMF), Hervé Martel, Rémi Costantino, Grand Port Maritime de Marseille - Port de Marseille Fos, Frederic Dagnet, Christophe Castaner, Laurent Lhardit, Perrine Prigent, Aurélien Lécina, Bertrand RIGHO, Stéphane Boumendil, Ghizlène SINI, Jean- François Suhas, frederic AUBANTON et juste pour le voyage dans la rade marseillaise Franck Caro et Christopher Nobili 😉 Source de l'image: Collection privée (D.R)

☝️APPEL AUX DONS☝️ L'Hermione renaviguera en 2026. Patrimoine Maritime Français, elle est aussi le symbole de la paix, de la liberté et de l'indépendance. Ne la laissons pas à terre... Les entreprises françaises et américaines doivent permettre, par leurs dons, de finir le chantier et de rendre à nouveau se chef-d'œuvre aux océans et à la mer. Plus que 4,5M€ sur les 10M€ attendus initialement ! Merci aux collectivités et à la Région Nouvelle-Aquitaine pour leur soutien et engagement. L'Etat, les collectivités, les entreprises, tous les français et étrangers doivent sauver cette cathédrale des mers. La frégate c'est un condensé de patrimoine, culture, formation, social, diplomatie, tourisme, environnement... Association Hermione-La Fayette Région Nouvelle-Aquitaine Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères Ministère chargé de la Mer et de la Pêche Ministère de la Culture Présidence de la République Alliance France Tourisme Atout France Régions de France ADN Tourisme Confédération des acteurs du tourisme (CAT) Business France CPME nationale Armateurs de France

Photo dans l'article ci-joint de la "rue de la Pierre de Bretagne" (Ingrandes, 49), borne frontière entre Bretagne et Anjou. La frontière politique et douanière entre Bretagne et Anjou (et tout le Val de Loire) résulte de l'annexion du Duché de Bretagne par le Royaume de France en 1532. La Bretagne était à l'Epoque moderne une 'Province d'Etat réputée étrangère', grâce à ce statut particulier les Bretons ne payaient pas l'énorme taxe sur le sel (la "gabelle"), comme les Angevins, Tourangeaux, Orléanais (les pays de la Loire). C'est grâce au prix bas du sel breton (du Pays de Guérande et du Pays de Retz, dans l'actuelle Loire-Atlantique) qu'on a du "beurre breton" (salé), tous les Bretons ont profité de ce sel bon marché venant de la Bretagne méridionale. Voici l'origine d'une spécialité bretonne, un aliment marqueur d'identité, sans le sel du Comté nantais (Loire-Atlantique) pas de "beurre breton" ! Cette différence considérable de prix a entrainé beaucoup de trafics et de fraudes, entre la Bretagne nantaise et l'Anjou. Il en est de même pour le vin. La frontière bretonne entre la Bretagne nantaise et le Val de Loire a eu des conséquences importantes dans l'histoire du Vignoble nantais et des vignobles de l'Anjou et de la Touraine, sur la nature de leurs vins. Une Histoire méconnue et/ou ignorée volontairement, autant pas les responsables des vins dit "de Loire", que par les néo-vignerons "bretons" de la région administrative. Il ne faut pas oublier non plus que les vignobles bretons du Pays de Redon (Ille-et-Vilaine, où l'on cultivait le Muscadet), de la Presqu'île de Rhuys (Morbihan, où l'on cultivait le Gros-plant) et du Pays de Guérande (Loire-Atlantique, où l'on cultivait du Chenin) ne sont que de petits prolongements du grand vignoble historique de la Bretagne : le Vignoble nantais.

De Saint Pierre et Miquelon au large de la Vendée