Post de Fanny-P. Galarneau

Merci à mon collègue Florentin F. pour cet article très intéressant, et qui fait bifurquer notre regard sur les enjeux de la planification territoriale, tant sur le fond que dans ses méthodes.

Michel Barnier serait soit-disant un Premier Ministre écolo ? Sa première action : détruire le peu de planification écologique engagée par Borne ! On a appris hier qu’Antoine Pellion, le Secrétaire Général à la Planification Écologique (SGPE) ne sera plus conseiller et chef du pôle environnement à Matignon. Un changement obscur au journal officiel mais qui est lourd de sens puisque son homologue Secrétaire Général aux Affaire Européennes reste quant à lui conseiller Europe ! Le message est très clair : la planification écologique est revue à la baisse. Pour rappel, le Secrétariat Général à la Planification Ecologique (SGPE) est un organisme interministériel créé sous le gouvernement Borne et placé sous l'autorité directe du Premier ministre. Ses principales missions étaient de coordonner l'élaboration et la mise en œuvre des stratégies nationales en matière de climat, énergie, biodiversité et économie circulaire. Mais deux ans plus tard, les documents cadres pour l’écologie, que sont la PPE et la SNBC, ne sont toujours pas publiés. Doit-on y voir un échec du SGPE ? Sans doute mais c’est surtout un échec politique du gouvernement Attal qui aura mis l’écologie tout en bas des priorités et dont le seul exploit est d’être parvenu à nous faire regretter Borne. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé, le SGPE a produit en deux ans une mine d’or d’informations croisant écologie et action de l’état. On espère que cela aura permis à de nombreux échelons de pouvoir d’engager des actions malgré la molesse (lâcheté ?) du gouvernement sur le sujet. En effet, avec les COP Régionales, le SGPE avait engagé la planification écologique dans les territoires, en faisant travailler collectivités et services de l'Etat en région de concert. Le but : rassembler progressivement et dans un même cadre les politiques publiques portées par les différents ministères et leurs opérateurs (ANCT, ADEME, Cerema, OFB, Agences de l’eau, établissements publics fonciers) pour simplifier l'action publique écologique. Que restera t-il de ce travail ? Ce qui est certain, c’est que le #SGPE ne peut être à la hauteur des enjeux que si celui-ci dispose d’un pouvoir d’arbitrage important à Matignon, ce que #Michel #Barnier vient précisément de détruire. Pourtant, le même Barnier avait déclaré en 2023 que le bon niveau de la #planification #écologique était celui du premier ministre. Doit-on comprendre que la bonne planification est celle qui n’existe pas ?

#Research4Policies | Quelle est la contribution de la nature à l'économie ? Comment évaluer les risques et les opportunités des transitions pro-nature ? Une thématique essentielle discutée lors de la conférence « De la recherche à l’action », dont voici les points clés à retenir : ➡ La dégradation de la nature a des effets sur le système financier et sur l’économie, qui doivent être évalués ➡ Une méthodologie testée en Afrique du Sud permet d’éclairer la prise de décision publique en identifier les secteurs économiques les plus exposés à une perte de biodiversité, ou pouvant bénéficier d’une amélioration de l’état de la nature ➡ Cette démarche contribue à réintégrer la nature dans les décisions des acteurs économiques et financiers. Raphaëlle Sardier | Delphine Constant (Perier)

Faut-il penser l'aménagement du territoire sous le prisme des droits de la nature ? Comment repenser notre rapport au monde en étant moins anthropocentré ? "L’approche du territoire par les Droits de la Nature est en réalité une manière de repenser notre modèle de société sous le prisme d’une humilité aujourd’hui disparue et d’une véritable transversalité indissociable d’une politique territoriale vertueuse, durable, sobre, résiliente et surtout soucieuse de ne pas galvauder ces termes." 🌟 Les concepts des Droits de la Nature, peut constituer une alternative crédible forte de nombreuses mises en pratique à travers le monde pour (re)penser les territoires. Merci Florentin F. de nous proposer ce billet qui doit nous faire progresser dans la manière de réaliser les documents de planification. SCET | Services Conseil Expertises et Territoires Citadia Groupe Caisse des Dépôts

Alors que des initiatives comme le Cadre mondial Kunming-Montréal et la TNFD visent à intégrer la nature dans les décisions économiques, le secteur financier montre un intérêt croissant pour la préservation de la biodiversité. Cependant, le financement de la protection de la biodiversité reste un défi de taille. Cet article de notre collaboratrice Emilie Le Beuze, M. Env. explore les outils financiers, leurs limites, et les perspectives mondiales en ce qui concerne le financement de la biodiversité: https://lnkd.in/esmUuBKP #PourLaBiodiversité

Un précieux outil national pour la gestion et la valorisation d'un patrimoine national inestimable, un levier pour les transitions écologiques. Désossé progressivement dans le cadre de politiques sans vision. Mais ces coupes sont indolores à court terme pour le plus grand nombre. https://lnkd.in/eUA2EWky

Soutenons la mission ‘Un pacte européen pour les sols’ (#MissionSoil) et son objectif de créer 100 laboratoires vivants et démonstrateurs d'ici 2030 pour promouvoir la protection et la restauration des sols en Europe. Nous saluons également les activités menées dans le cadre de la mission pour atteindre ses objectifs spécifiques : réduire la désertification, préserver les stocks de carbone organique des sols, mettre fin à l'imperméabilisation des sols et accroître la valorisation et la renaturation des sols urbains, réduire la pollution des sols et renforcer leur restauration, limiter l'érosion, améliorer la structure des sols pour soutenir la biodiversité, réduire l'empreinte globale de l'UE sur les sols et améliorer la connaissance des sols au sein de la société. Rendez-vous sur : https://lnkd.in/eQMyWJJe #SoilManofesto #EuropeanUnion #AFES

Et si on changeait de perspective ? Plutôt que de rester focalisés sur les problèmes, pourquoi ne pas concentrer nos efforts sur les solutions ? Plutôt que de redouter des objectifs ambitieux, si nous nous attachions au chemin, étape par étape, pour avancer durablement ? Plutôt que de chercher une perfection théorique, si nous mettions en avant un pragmatisme constructif ? Merci à Groupe AEF info, Claire Avignon, Anaëlle Penche,  de m’avoir offert l’opportunité de partager ma vision sur le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) et la biodiversité. Je crois fermement qu’au-delà des concepts, nous avons les moyens concrets de recréer de la biodiversité. Le ZAN peut devenir un levier puissant pour renforcer la résilience de nos territoires et préserver la vie, à condition de : • Intégrer les intérêts des parties prenantes, • Favoriser la convergence des objectifs, • Et s’appuyer sur des outils créateurs de valeur, comme les SNCRR. Ces dispositifs permettent de mobiliser des financements privés pour atteindre les objectifs de restauration de la nature et du ZAN. Ensemble, nous avons les moyens d’agir pour des territoires durables. #ZAN #SNCRR #Biodiversité #Renaturation #CréditsBiodiversité https://lnkd.in/esvesyPv

https://lnkd.in/djPuBFU2 NOTRE ACTION : Les Verts au gouvernement Du pays, des grandes villes de France, un point stable au centre, une priorité de Protection de notre Terre à transmettre à nos enfants et générations futures. Diverses expériences en Allemagne ont bien marché et en Europe des pays et des grandes villes font confiance aux Ecologistes. L'Ecologie n'a pas à être Punitive, elle est par nature Protectrice. Elle n'a pas à gérer de manière déficitaire chaque année comme la France l'a été depuis 1974. Elle ne dit pas non à l'Industrie quand celle-ci n'est pas polluante et elle propose des infrastructures énergétiques, de transports, de répartition urbaine réduisant les déplacements, une pratique de l'agriculture qui soit productrice de qualité, de vie acceptable pour nos agriculteurs et pour tous nos consommateurs. L'Ecologie véritable ne consiste pas à dépenser sans compter et accroître la Dette des Français (aujourd'hui 3 250 milliards d'euros), elle sait que 94 milliards d'€ d'intérêts annuels empêchent d'avoir plus de vrais Projets de vie moderne et économe. Et que l'Industrie fournit la richesse de PIB nécessaire à la vie. Le Programme des Années Futures doit être réalisé par des Comités d'Experts véritables travaillant sur les bases de données fiables disponibles à tous les citoyens invités à voter au niveau de l'Europe, de la France, des Régions, des Communautés de grandes villes. La solidité d'un Pays est au Centre de l'éventail politique, non aux partis financés par des opérations illégales, démagogues sans programme réel sur 5 ans, sans ambitions retenues véritables - R&D, brevets, industrialisation - pour l'Industrie propre et efficace de demain, avec des voies de progression claires et nettes en coopération totale Européenne, seule dimension réaliste. Les Ecologistes doivent être ce Centre raisonnable. NON à des Verts-Insoumis, le nom Mélenchon est un repoussoir dans une retraite minoritaire et tapageuse, il n'avait qu'à être un Ministre d'action durable quand il était au gouvernement. Nous avons peu vu des Compte rendus d'EELV d'actions et réussites dans la vie politique nationale et européenne, nous apprécions les évolutions dans les grandes villes Ecologistes. Ce parti Ecologistes ne peut pas continuer à remplacer par des paroles le vrai Pacte Quinquennal Ecologiste nécessaire à la gestion de la France dans tous les domaines. En étant PIVOT ouvert aux bonnes volontés de centre gauche et droit recherchant la meilleure Justice sociale les Verts seront la structure la plus apaisée pour faire face à la situation internationale difficile. Les troubles politiques répétés depuis deux ans ont arrêté l'expression d'une Vue européenne pour notre région. Fin des discours et au travail local et national pour une Vie dans un Milieu Propre en perspective et appliquée au quotidien. Possible en Allemagne, un pays économiquement pas si mauvais depuis 1945, deux Verts sur 4 dirigeants