📢 Le #guide du don des invendus de produits d'hygiène et d'entretien : FHER s'associe à Dons Solidaires et à l'Agence du Don en Nature. 630 millions d'euros de produits, toutes catégories confondues, sont détruits chaque année. Près de la moitié sont des produits non-alimentaires. Face à ce chiffre alarmant, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (dite #loiAGEC), promulguée en 2020, rend obligatoire le #réemploi, notamment par le don, ou le recyclage des invendus de produits non-alimentaires. ♻ Les plateformes telles que Dons Solidaires et l'Agence du Don en Nature collectent les invendus de produits d'hygiène et d'entretien pour les redistribuer aux associations bénéficiaires venant en aide aux personnes en situation de précarité. 🤝 Les produits d'hygiène et d'entretien destinés à la grande consommation sont généralement acceptés sans difficulté ✅. En revanche, seuls certains produits d'hygiène et d'entretien professionnels sont acceptés ⚠, notamment en raison des précautions d'usage associées à l'utilisation de ces produits. Afin de guider les entreprises du secteur de l'hygiène et de l'entretien dans la gestion de leurs produits invendus, FHER, l'Agence du Don en Nature et Dons Solidaires se sont associés pour élaborer un guide à destination des professionnels du secteur. Consulter le guide ➡ https://lnkd.in/e3GqkPvG DIRECTION GENERALE PREVENTION DES RISQUES
Un immense merci à la FHER pour son soutien et son engagement ! Nous sommes fiers d'avoir pu créer ensemble un guide qui permet aux entreprises d'avoir toutes les clés pour s'engager efficacement et donner une seconde vie solidaire à leurs produits d'hygiène ! 🙏
Directrice projets RSE et Développement Durable
1 ansUn guide très pratique pour aider les entreprises du secteur de l'hygiène et de l'entretien qui se demandent 🤔 quels produits peuvent faire l'objet de dons 🙏 à Annaïk Payen, Jérémy Fretin, Emeric FROIDEFOND, Bethan Aumonier (Cooper), Raphaelle DU FAYET, Romain Canler pour votre implication dans cette fructueuse et conviviale collaboration et à Laure Dallem de la DIRECTION GENERALE PREVENTION DES RISQUES pour sa relecture.