Les 4 choses les plus fausses que l'on nous ai dit sur nos lunettes ... - "vous n'arriverez jamais à valoriser ces plastiques là" (dixit les ingénieurs) - "vos lunettes elles seront tellement molles qu'elles vont s'envoler" (dixit un recycleur) - "vous n'avez pas les compétences internes pour vous attaquer à ce sujet" (dixit les accompagnateurs de projet) - "vous ne pourrez pas faire du déchet jusqu'à la commercialisation, il faut choisir" (dixit les coachs) 🤷♀️ Écoutez tout le monde, mais n'oubliez pas d'écouter et de prioriser votre petite voix intérieure même si elle est envers et contre tous. Ainsi naît l'innovation, lorsque toutes les portes sont fermées, mais que quelqu'un vient les pousser. Ps : nous vendons le stock restants de lunettes et la R&D. Faites vos offres avant la fin du mois !!
Post de Flora Joly 🌼
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Et maintenant quoi faire avec vos lunettes?!😎 «...Idéalement, on favorise le réemploi🙂 l’un des principes des 3 RV-E (réduction, réemploi, recyclage, valorisation et élimination), explique Grégory Pratte, expert en gestion des matières résiduelles. 🌗Comme les lunettes ne servent qu’à observer la couverture partielle du soleil, on peut donc les utiliser lors d’éclipses solaires partielles. Les prochaines auront lieu le 29 MARS 2025 et le 12 AOÛT 2026 au Québec. Pour les personnes qui souhaitent vraiment s’en débarrasser, une petite manipulation est nécessaire avant d’envoyer les lunettes au bac de récupération, indique Grégory Pratte. 🔄La monture comme telle est du carton imprimé, qu’on peut mettre au bac. Le problème réside dans les lentilles, qui sont faites de plastique laminé. Avant d'envoyer les lunettes de CARTON AU RECYCLAGE, il faut donc retirer les lentilles et les jeter à la poubelle. 🚮En JETANT VOUS-MÊME LES LENTILLES À LA POUBELLE, vous donnerez un coup de main aux centres de tri qui risquent d’être «inondés» de plastique non recyclable...»
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⏰ « 𝑳𝒆 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 : 𝒎𝒂𝒕𝒊𝒆̀𝒓𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆. »* En atténuer ses signes est l’une des missions que s’est donné le secteur de la cosmétique. Soins prônant l’efficacité ou formulations préservant une certaine naturalité, vous devinerez peut-être mon inclination. Et puis il y a cette troisième voie qui est en train de bouleverser l’industrie, les usages et la chaîne de valeur : la #beautytech. Non invasifs, les outils de beauté, à commencer par les masques LED, entendent jouer sur les signes de l’âge, l’uniformité du teint, la production de collagène. Tout un programme ! Les #beautytools, « c’est un marché de 𝟖𝟏 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐫𝐝𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐥𝐥𝐚𝐫𝐬 prévu d’ici 2027 et une croissance annuelle de 13% »** ➡ Comme bien souvent, l’enthousiasme de l’innovation et l’euphorie d’un nouveau filon font passer sous silence les problématiques de responsabilité sociétales. N’ayant pas trouvé d’étude sur le sujet, j’ai commencé à décortiquer. Si la lampe LED est la technologie d’éclairage la plus économe en énergie à l’usage, sa fabrication fait appel à des métaux rares (indium, gallium) et des composés chimiques (arsenic) dont l’extraction est particulièrement polluante. Pour tenter de minimiser cet impact, certain.es diront que les quantités utilisées sont très faibles. Oui mais… en prenant l’hypothèse d’un coût moyen unitaire au « doigt mouillé » de 250 dollars, cela signifie qu’il y aurait 𝟑𝟐𝟒 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐭𝐲 𝐭𝐨𝐨𝐥𝐬 en service en 2027 dans le monde. Au-delà de la technologie de luminothérapie, c’est l’usage du plastique qui peut interroger. Et sur ce point, le secteur est peu bavard : est-il recyclé, recyclable ? ➡ Une marque de cosmétique peut-elle faire valoir sa démarche RSE, si les nouveaux outils technologiques qu’elle met sur le marché ne respectent que peu ou pas les critères essentiels de durabilité ? Et pourtant, des solutions existent à réfléchir dès la conception : ACV, réparabilité, recyclabilité, affichages environnementaux, devoir de vigilance dans une chaîne de valeur particulièrement parcellisée, partage dans les usages (location, « multipropriété »), … Plus généralement, l’essor de la technologie dans le secteur de la cosmétique en modifie ses impacts matériels, et pose la question de la démarche de numérique responsable. ➡ C’est ce que j’ai présenté lors du webinaire animé grâce à la FEBEA, auprès de 30 marques adhérentes intéressées par le sujet. Un grand merci à LUMBERS Stéphanie et Elodie Fisicaro pour leur confiance. Et vous, qu’en pensez-vous : la beauty tech, faut-il y aller ? Si oui, comment ? *Stanislaw Jerzy Lec **Source : Vogue Magazine, Laurence Newman, co-fondateur de Current Body Mathilde Meyer Paloma Dwidar Pauline Richard Philippe Vachet Florian Faribault Aurelie TEISSIER-MICHET Morgane Baudin Théophile Cantelobre Diane BAUSSON Celine Bunel Aline TAVENEAU Audrey Markac Agence LUCIE Institut du Numérique Responsable
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⚠️ Le Cold veut renforcer les bases d’une filière optique durable⚠️ Le C.O.L.D a réuni le 4 novembre environ 170 participants à Dourdan (91), contre 140 en 2023. Comme l’année dernière, derrière cette initiative, Carole Riehl, une opticienne engagée (Optic for Good, RecyclOptics ). Au programme, 11 conférences tandis qu’une vingtaine d’exposants (NAONED Eyewear, Brevno, Comeback Opticien, Lunettes de Zac, Ophtalmic Compagnie, verre2vue - lunettes de sécurité, Greenfib, Arkema, MB PRODUCTION...) étaient présents en marge des débats. 🔥 Parmi les temps forts de ce Cold 2024🔥 👉 L’association RecyclOptics a souligné l’importance d’un tri fin des verres et des pièces de montures pour que les processus de recyclage soient efficients (notamment sur le plan industriel). 👉 Baptiste Verneuil (The Shift Project Project, présidé par Jean-Marc Jancovici) a montré comment la santé pourrait mieux décarboner ses pratiques. Début 2025 sera publié un rapport - soutenu par la Sécurité sociale - sur les émissions de CO2 de la filière optique. 👉 Emily Spiesser (ADEME) a souligné l’importance pour les entreprises d’auditer leur communication afin de ne pas flirter avec le greenwashing... Des sanctions échelonnées, allant de l'avertissement jusqu’au pénal, sont ainsi prévues par la loi. 👉 Robin Lemaître (Ecopaths ) et Yan BALBACH (NAONED Eyewear, PLAN (Production Lunetière À Nantes)) ont évoqué le sujet de la relocalisation et de ses prérequis (recrutement, fabrication, savoir-faire) 👉 Tandis que Sandra TIMON (Minima_Eyewear), Amélie NOËL (Arkema) et Cyr Dioré (Greenfib) ont échangé autour de l'écoconception en lunetterie. Tous soulignaient l'importance de s’organiser collectivement afin que les processus gagnent en cohérence et en efficacité. 🗓️ Le Cold 2025 aura lieu le 3 novembre 2025. 🗓️
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Être pionnier, c’est passionnant et c’est pas simple aussi… « Plus tôt » que des produits phare, créons des objets éclairants 🤩 Ci dessous un message éloquent reçu récemment : Bonjour mon ami Cyr J espere que tu vas bien J’etais ce jour avec les 2 dirigeants de… Je leur ai posé la question pour les stylos BIC GRAPHIC en Greenfib afin de savoir où ils en etaient. Leur réponse:"ton ami est trop en avance...un jour ce sera OK mais là c’est trop tôt! La législation nous demande 40% recyclé avec ton client on est déjà dans le #biosourcérecyclable. » Trop tôt… par rapport aux contraintes réglementaires 🤪🤪🤪 Quand chaque jour, les infos sur l’impact du plastique pétro posent la question du « trop tard » 😢😢😢 Chez Greenfib trop tôt, trop tard, c’est pas le sujet, en fait, on travaille en respectant chacun et titillant tout le monde dans le présent de notre action pour - transformer les objets du quotidien par notre #matière, - et développer les #écocomportement par notre #manière Cest une occasion pour moi -de remercier tout ceux qui nous soutiennent😉 -d’inviter tous les autres à oser expérimenter avec nous… Nous avons chacun notre manière de Ensemble, nous avons matière à…
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🌱📱 RHINOSHIELD : Pionnier du Développement Durable de coques de téléphones avec le Mono-Matériau 📱🌱 🌱De la conception à la fin de vie de leurs produits, ils repensent continuellement leur approche pour maximiser leur impact positif sur la planète. C'est pourquoi weeztR vous présente leur initiative Mono-Matériau, une étape majeure vers la durabilité dans l'industrie des accessoires mobiles.📱 🔄 Mono-Matériau = Plus Durable ? 💡L'innovation ne s'arrête pas à la protection. En optant pour des produits fabriqués à partir d'un seul matériau, ils simplifient le processus de recyclage à l'extrême. Les coques multi-matériaux, bien qu'étiquetées comme recyclables, sont souvent un défi pour les centres de recyclage en raison de la complexité de leur démontage. Avec le Mono-Matériau RHINOSHIELD, ils simplifient ce processus, rendant le recyclage plus efficace que jamais.♻️💪🌿 🔄 Programme de Recyclage RHINO LOOP♻️ 😱Leur engagement envers la durabilité ne s'arrête pas à la conception de produits. Avec leur programme de recyclage RHINO LOOP désormais étendu à l'échelle mondiale, vous pouvez participer à leur écosystème circulaire. Que vous choisissiez de renvoyer votre ancienne coque ou de la déposer dans l'un de nos nombreux points de collecte, chaque geste compte. Ainsi, vous contribuez à réduire les déchets et à donner une seconde vie à votre accessoire RHINOSHIELD.♻️💪 🔄 Bilan du recyclage💡 Grâce aux actions des clients, ils ont déjà recyclé plus de 15 000 pièces, un chiffre qui ne cesse de croître. Chaque coque recyclée représente un pas de plus vers leur objectif de "zéro déchet".👏 😯Ensemble, faisons du Mono-Matériau RHINOSHIELD le nouveau standard de durabilité dans l'industrie des accessoires mobiles. Bravo à RHINOSHIELD pour son engagement pour un avenir plus vert et plus responsable. 🌍💚 #RHINOSHIELD #MonoMatériau #DéveloppementDurable #RHINOLOOP #Recyclage #ZéroDéchet Noa Becker Anne-Sophie LAM Pierre Cerchiaro Derrick Tsai Manon Renaudo CATHERINE METILLE 📸 RHINOSHIELD
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Dans un monde de plus en plus conscient de son impact environnemental, le choix des matériaux pour les lunettes devient une question cruciale. Alors que l'industrie de la lunetterie s'oriente vers des alternatives plus durables, comment ces innovations influencent-elles notre environnement et nos décisions d'achat ? L'acétate de cellulose, issu de sources végétales renouvelables, représente une révolution dans le domaine, offrant une alternative écologique aux plastiques traditionnels. Avec une grande variété de couleurs et de designs, ce matériau allie esthétique et responsabilité environnementale. Les lunettes en bois et en bambou, certifiées FSC, vont encore plus loin en garantissant une gestion durable des forêts, tout en offrant une option biodégradable. De plus, l'adoption de plastiques recyclés et de bioplastiques, tels que ceux fabriqués à partir de café ou de soja, illustre l'engagement de l'industrie vers une réduction de son empreinte écologique. Cependant, les matériaux traditionnels tels que le titane, l'acier inoxydable, et l'aluminium restent populaires pour leur durabilité et leur style. Bien que moins écologiques, ces matériaux offrent des avantages spécifiques, comme la résistance à la corrosion et l'hypoallergénicité pour le titane. Le choix entre durabilité et fonctionnalité devient donc un dilemme pour les consommateurs. Il est essentiel de considérer le cycle de vie complet des produits, y compris leur impact environnemental depuis la production jusqu'à la fin de vie. Votre choix de matériaux pour lunettes reflète-t-il une préoccupation pour la durabilité et l'impact environnemental ? Partagez vos expériences et vos réflexions sur l'équilibre entre style, confort et responsabilité écologique. #Optique #Opticien
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#MadebyRenovelar - Chez Renovelar, on a fait de l’innovation un pilier de notre démarche. La preuve avec notre technologie unique de gaufrage du papier 👇 💡Notre idée ? Retravailler le gaufrage de nos essuie-mains papier pour en améliorer l’efficacité, tant d’un point de vue technique qu’écologique. 👀 Pour quels résultats ? ☁️ Une douceur incomparable, et un toucher délicat qui respecte la peau. 👌Une densité améliorée, permettant une meilleure absorption et un séchage plus rapide. 🌱 Un grammage réduit de 1g/cm² pour -13% de matière utilisée, et un impact environnemental moindre. 💰Un vrai gain financier, avec une économie de 29% sur vos coûts globaux. Alors, l’innovation, ça a du bon, n’est-ce pas ? #CSR #developpementdurable #revolution
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Dans un monde de plus en plus conscient de son impact environnemental, le choix des matériaux pour les lunettes devient une question cruciale. Alors que l'industrie de la lunetterie s'oriente vers des alternatives plus durables, comment ces innovations influencent-elles notre environnement et nos décisions d'achat ? L'acétate de cellulose, issu de sources végétales renouvelables, représente une révolution dans le domaine, offrant une alternative écologique aux plastiques traditionnels. Avec une grande variété de couleurs et de designs, ce matériau allie esthétique et responsabilité environnementale. Les lunettes en bois et en bambou, certifiées FSC, vont encore plus loin en garantissant une gestion durable des forêts, tout en offrant une option biodégradable. De plus, l'adoption de plastiques recyclés et de bioplastiques, tels que ceux fabriqués à partir de café ou de soja, illustre l'engagement de l'industrie vers une réduction de son empreinte écologique. Cependant, les matériaux traditionnels tels que le titane, l'acier inoxydable, et l'aluminium restent populaires pour leur durabilité et leur style. Bien que moins écologiques, ces matériaux offrent des avantages spécifiques, comme la résistance à la corrosion et l'hypoallergénicité pour le titane. Le choix entre durabilité et fonctionnalité devient donc un dilemme pour les consommateurs. Il est essentiel de considérer le cycle de vie complet des produits, y compris leur impact environnemental depuis la production jusqu'à la fin de vie. Votre choix de matériaux pour lunettes reflète-t-il une préoccupation pour la durabilité et l'impact environnemental ? Partagez vos expériences et vos réflexions sur l'équilibre entre style, confort et responsabilité écologique. #Optique #Opticien
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Dans un monde de plus en plus conscient de son impact environnemental, le choix des matériaux pour les lunettes devient une question cruciale. Alors que l'industrie de la lunetterie s'oriente vers des alternatives plus durables, comment ces innovations influencent-elles notre environnement et nos décisions d'achat ? L'acétate de cellulose, issu de sources végétales renouvelables, représente une révolution dans le domaine, offrant une alternative écologique aux plastiques traditionnels. Avec une grande variété de couleurs et de designs, ce matériau allie esthétique et responsabilité environnementale. Les lunettes en bois et en bambou, certifiées FSC, vont encore plus loin en garantissant une gestion durable des forêts, tout en offrant une option biodégradable. De plus, l'adoption de plastiques recyclés et de bioplastiques, tels que ceux fabriqués à partir de café ou de soja, illustre l'engagement de l'industrie vers une réduction de son empreinte écologique. Cependant, les matériaux traditionnels tels que le titane, l'acier inoxydable, et l'aluminium restent populaires pour leur durabilité et leur style. Bien que moins écologiques, ces matériaux offrent des avantages spécifiques, comme la résistance à la corrosion et l'hypoallergénicité pour le titane. Le choix entre durabilité et fonctionnalité devient donc un dilemme pour les consommateurs. Il est essentiel de considérer le cycle de vie complet des produits, y compris leur impact environnemental depuis la production jusqu'à la fin de vie. Votre choix de matériaux pour lunettes reflète-t-il une préoccupation pour la durabilité et l'impact environnemental ? Partagez vos expériences et vos réflexions sur l'équilibre entre style, confort et responsabilité écologique. #Optique #Opticien
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l'épisode de la capsule narrative du podcast Les immodérés, réalisée par les étudiants de MODART International est dans l'air du temps : recycler les vieux nanards de nos armoires ! Avec eux, je vous invite à plonger dans l'univers du recyclage des vêtements et leurs idées sur la façon de leur donner une nouvelle vie. D'autant que le recyclage des vêtements ne se limite pas seulement à donner une seconde vie à nos anciennes tenues, mais aussi à réduire notre consommation et à opter pour des choix plus durables à l'avenir. En prolongeant la durée de vie des articles existants, ces pratiques contribuent également à réduire l'empreinte carbone associée à leur fabrication et à leur transport. De plus, acheter des articles de seconde main permet souvent de réaliser des économies financières, tandis que vendre des objets inutilisés peut générer un revenu supplémentaire. En favorisant l'économie circulaire, qui encourage la réutilisation, la réparation et le recyclage des produits, ces pratiques contribuent à créer une société plus durable et résiliente. Belle écoute https://lnkd.in/emWY-wsV #podcast #mode #podcastmode #podcastetudiant #podcastécole
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