ESCLAVAGE & MUSIQUE - Une nouvelle série de la FME présentée par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE boursière de thèse FME-Musée du Quai Branly. Aujourd’hui, le 19/11/1988, Kassav’ Victoire de la Musique du meilleur groupe français Il y a tout juste 36 ans, au Zénith de Paris, se déroulait la 4e édition des Victoires de la Musique. C’est sous la présidence d’honneur d’Alain Souchon et de Julien Clerc que Kassav’ (la cassave est une galette à base de farine de manioc) remporte la victoire de la musique du groupe de l’année 1988 devant Animo et les Gipsy Kings. Créé à la fin des années 1970 par Pierre-Edouard Décimus et Jacob Desvarieux, Kassav’ est un laboratoire musical au sein duquel sont synthétisées et réinterprétées les musiques de Guadeloupe et de Martinique mais aussi celles de la Caraïbe. En créant le zouk (en créole martiniquais nom donné une soirée très populaire dans un lieu non prévu à cet effet dans les années 1960-1970), c’est une façon pour eux de se réapproprier les pratiques musicales des esclavisé.e.s héritées de la période coloniale et esclavagiste dans les deux anciennes colonies, et de célébrer la créativité de ces populations. En 1985, à la surprise générale le groupe fait salle comble (8000 places) au Zénith de Paris qui a ouvert un an plus tôt. Le 19 novembre 1988, les membres du groupe ne peuvent être présents à la cérémonie des Victoires. C’est donc en duplex depuis Miami où ils ont un concert qu’ils reçoivent leur prix. Le trophée est remis à leur manager présent à Paris qui le gardera dans son bureau. Plus tard, il sera détruit lors d’un incendie... Cette Victoire de la Musique du meilleur groupe français reçue en 1988 sera la seule remportée par le groupe. Pourtant ils sont aujourd’hui l’un des plus grands groupes français au monde, et les premiers à remplir en 2009!le Stade de France sur leur nom (65 000 spectateurs à l’époque), pour leurs 30 ans de carrière… Un spectacle qui a duré 4 heures !
Post de La fondation pour la mémoire de l’esclavage
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Comment trouver une synergie entre enseignement musical et pratiques amateurs? Avec quel impact sur nos territoires ? Une journée de réflexion et de débat très bientôt à Dole.
Directeur adjoint chez conservatoire du Grand Belfort - Président de la Fédération Musicale de Franche-Comté
📣 Réservez votre journée du lundi 30 septembre à Dôle (39). J'aurai le plaisir d'accueillir des intervenants désireux d'échanger avec vous sur le sujet "Lien entre pratique et enseignement musical, quelle démarche partagée pour demain" Co-organisation UFFEM/CMF Bourgogne Franche-Comté/ Batteries fanfare Bourgogne Franche Comté et Fédération Musicale de Franche-Comté. Alexandre JUNG sylvain marchal éric Villevière Cedric Hardy raphaël besson Jérémy Chevreuil Région Bourgogne-Franche-Comté Conseil Départemental du Jura Jean-Philippe LEFEVRE
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D.A Spot24 // Commissaire d’exposition Hip-Hop 360 Philharmonie de Paris // Fondateur Urban Films Festival // Fondateur RStyle
Colloque "Musiques urbaines numéro un à l'export : les oubliées de la fierté nationale ?" au Palais du Luxembourg, sous le haut patronage du sénateur Ahmed Laouedj, membre de la commission Culture du Sénat. Le rap français, c'est plus qu'une musique, c'est un phénomène culturel qui fait rayonner la France à l'international. Ce colloque est l'occasion unique d'explorer les raisons de ce succès fulgurant et de discuter de l'impact de ces musiques sur notre société. Au programme : • Unificateur culturel : Comment le rap fédère-t-il les jeunes et contribue-t-il à l'identité nationale ? • Ambassadeur de la langue française : Quel rôle jouent les musiques urbaines dans la promotion de notre langue à l'étranger ? • Reconnaissance et soutien :Comment valoriser et soutenir les artistes urbains et leurs créations ? En assistant à ce colloque, vous aurez l'occasion de : • Échanger avec des experts, des artistes et des acteurs clés du secteur musical. • Débattre de l'avenir des musiques urbaines en France. • Contribuer à une meilleure reconnaissance de ce patrimoine culturel.
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🌟 Découvrez la scène latine de Montréal qui brille au Festival MAD avec IKAYKA 🎶💃 Plongez dans l'univers vibrant de la musique latine et découvrez comment IKAYKA a fait sensation lors du Festival de MAD COLLECTIF. 🔗 Lisez l'article complet ici ! 👇
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On vous présente Nathan Aulin (à gauche) 👀 notre chargé d'accompagnement qui aiguille les artistes et groupes de la scène locale ! Sulka (à droite) est un ancien lauréat Suprême LTM, notre dispositif d’aide à la création et à la professionnalisation. Dans cet article du TMV, vous en saurez plus sur les missions d'accompagnement du Temps Machine ↓↓↓
Musique. Pour les groupes en voie de professionnalisation, rien de tel que les dispositifs d'accompagnement
tmvtours.fr
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Nouvelle France - Musique populaire, Nos 25 nouveaux classiques La Presse, Le premier quart du XXIe siècle tire à sa fin. Si on en profitait pour célébrer les œuvres qui ont laissé leur marque sur notre culture et notre imaginaire collectif ? Dans ce deuxième de quatre numéros spéciaux à paraître cet automne, La Presse a établi à l’aide d’experts une liste de 25 disques québécois publiés depuis l’an 2000 qui peuvent être considérés comme de nouveaux classiques. Pour marquer la fin du premier quart de siècle, La Presse s’est lancée dans l’entreprise d’identifier certaines œuvres québécoises parues depuis 2000 qui ont résisté au passage du temps pour s’imposer comme de « nouveaux » classiques. Si de nombreux palmarès des meilleurs disques de tous les temps ont été faits au fil des décennies (avec quelques figures imposées trônant invariablement au sommet – peut-on sérieusement remettre en question l’impact qu’a eu Jaune, de Jean-Pierre Ferland, sur la chanson d’ici ?), nous nous sommes rarement permis de concentrer notre regard sur l’époque plus contemporaine. L’objectif ultime de cette démarche ? Célébrer la culture québécoise dans ce qu’elle a de plus fédérateur. Mettre en lumière la chanson d’ici que tout le monde a encore envie de chanter « en même temps », malgré les algorithmes qui tendent à l’effacer de nos listes d’écoute et donc de nos vies. Et montrer comment notre « culture commune » est en constante évolution, grâce à des musiciens de talent qui l’amènent dans des directions insoupçonnées. https://lnkd.in/dcnXETem https://lnkd.in/dNYBiCpt
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C’est un vrai combat qui s’annonce pour le futur de la création et de la diffusion dans ce merveilleux monde de la musique ! Et de fait pour tous ces artistes en marges du marché en capacité de s’auto-réguler. Il existe un second marché de la musique, un marché indépendant , riche de milliers d’artistes qui inventent, fabriquent, construisent, s’impliquent , s’organisent, coopèrent, jouent en salles ou en festivals ou ailleurs. Du moins quand ils le pouvaient encore ! Les marges artistiques des acteurs de ce second marché sont exsangues. Un exemple pour les scènes de musiques actuelles ( ces scènes soi-disant gavées d’argent public) où un micro sparadra de 3,7 millions d’euros vient vaguement combler les hausses inflationnistes de ces 2 dernières années. Ô joie… la moyenne de financement d’une scène de musiques actuelles (qui est un label du spectacle vivant au même titre qu’une scène nationale , qu’un CDN , ou qu’un CCN ) est désormais de 170 k€/an quand nos homologues des autres labels oscillent entre 600k€ et 1700 k€ !! Comment voulez vous soutenir tout ce foisonnement musical avec si peu de moyens ? Comment rendre nos territoires vivants , nos lieux attractifs et singuliers en dehors des sentiers battus ?Financer les lieux et festivals indépendants c’est subventionner une filière indispensable à la diversité et à la vitalité artistique et culturelle de notre pays ! Les petits oiseaux dans les champs ont disparu … bientôt ce sera le tour de ces précieux artistes et musiciens !
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🌟Accompagner la transformation organisationnelle🌟 J'aide mes clients à co-construire les changements métier avec l'intelligence collective et l'agilité #managementdeprojet #conduiteduchangement
🎵CHANGEMENT A L’ŒUVRE 🎶 🎻Les applaudissements lors d’un concert de musique classique sont codifiés. Au 17ème siècle, Mozart s’attendait à ce que le public applaudisse pendant que son œuvre était jouée. Ce sont les romantiques qui ont mis en place l’usage de ne pas applaudir entre les mouvements d’un concerto ou d’une symphonie. Le public attend la fin de l’œuvre et que le chef d’orchestre se tourne vers lui pour laisser éclater son enthousiasme. Cependant, depuis plusieurs années, il est de plus en plus fréquent d’observer des personnes qui applaudissent entre les mouvements, sans attendre la fin de l’oeuvre. Supposons que ces personnes agissent par ignorance de l’usage plutôt que par volonté d’innovation disruptive. 🎹 Ici, pas de changement planifié, dans une approche descendante, mais un changement à l’œuvre, venant d’une partie des « utilisateurs ». Ces personnes n’ont d’ailleurs probablement pas la volonté de mettre en place un nouvel usage, elles souhaitent juste agir spontanément, dans l’immédiateté de leur émotion. 🥁Comment les résistances au changement s’organisent-elles ? Regard réprobateur ou « chhhuuuuttt » des spectateurs (les pairs)…semble peu efficace pour maintenir l’usage actuel. Intervention du chef d’orchestre (le représentant de l’autorité). En 2010, le chef Claudio Abbado, à la fin de la 9ème symphonie de Mahler avait levé la main, dos au public, pour faire comprendre qu’il ne souhaitait pas que les applaudissements se déclenchent. Le silence dura 2 minutes. Cela serait-il encore possible en 2024 ? Dans certains pays, les programmes (les media) mentionnent désormais de ne pas applaudir entre les mouvements. Certaines salles pourraient faire une annonce sonore (les media) avant le début du concert. Les résistances au changement sont souvent perçues comme négatives dans le monde du travail. Dans cet exemple sur les concerts classiques, on voit que ceux qui résistent pour le maintien de l’usage actuel n’ont pas forcément tort. 🎼Quel usage va l’emporter ? Les personnes respectueuses de l’usage actuel vont-elles se mettre à applaudir entre les mouvements et rallier ainsi la minorité à l’origine du changement ? Le renouvellement du public va-t-il faire progressivement son œuvre, au fil des ans ? Si dans 30 ans, l’usage est d’applaudir entre les mouvements, une minorité souhaitera-t-elle revenir au silence ? Quels moyens d’agir pourra-t-elle alors utiliser ? Tous les changements ne disposent pas des mêmes leviers d’action. A suivre… 🎺Le compositeur romantique Robert Schumann déclarait en 1835 : « Pendant des années j’ai rêvé d’organiser des concerts pour les sourds-muets, comme ça nous pourrions apprendre d’eux à bien se comporter pendant les concerts, surtout quand la musique est très belle ». Cet exemple dans l’univers de la musique classique vous a-t-il fait penser à des changements observés dans le monde du travail ? #conduiteduchangement Image générée par IA
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Une Fête de la Musique qui swingue avec @AFTRAL et @ISTELI ! Quand la Logistique Rencontre les musiciens ! 🚚 Le 21 juin, la Fête de la Musique est l'occasion parfaite pour célébrer deux mondes que l'on pourrait penser éloignés. Dans le Groupe AFTRAL, nous savons que la musique et le Transport au sens large, partagent un point commun essentiel : le rythme. Cette année, nous vous invitons à découvrir comment notre secteur fait partie intégrante de cet événement musical ! L'Importance du Transport et de la Logistique dans la Fête de la Musique pour : 🚛 le Transport des Artistes et les Équipements : Pour que chaque concert soit une réussite, il faut une organisation logistique impeccable. Transporter les artistes, leurs instruments et le matériel de scène qui chaque est un défi. 🎶 la livraison et l’installations des scènes : Le montage des scènes, l'installation des systèmes de sonorisation et d'éclairage nécessitent une coordination précise pour assurer que tout est en place afin d’offrir des spectacles mémorables. Ce qui impliquent de solides formations an amont… avec des Professionnels qui connaissent les besoins des Professionnels du monde du spectacle… pour que la Musique, les Spectacles… VIVENT ! AFTRAL ISTELI, Accélérateur(s) de Futur ! #aftral #isteli #formations #transport #logistique #supplychain #fetedelamusique #leader #citoyen #acteurmajeur
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Découvrez l'interview de notre CEO Grégor Chapelle dans Le Soir 🎼
Bon matin, bon midi ou bonsoir :-). Extraits de mon interview dans Le Soir de ce Mardi 1er octobre. « Notre mission à la Chapelle, c’est d’accueillir des jeunes artistes exceptionnels et de leur permettre de devenir la meilleure version d’eux-mêmes. Pour moi, c’est une sorte de métaphore de ce qu’on attend de l’humanité. Il y a une forte composante collective dans la musique où les artistes travaillent ensemble pour obtenir la meilleure interprétation possible d’une œuvre. Il y a aussi une question de persévérance. Et enfin de joie. Plus j’avance en âge, plus j’ai la conviction que ce que nous devons à celles et ceux que nous aimons, c’est de leur offrir de la joie. J’ai la conviction que cette excellence musicale doit être au service de la transformation du monde, de la beauté dans toutes ses facettes et pas uniquement musicale. La beauté de l’humanité, l’engagement pour la paix, en termes d’entraide et de résilience, par rapport à la préservation de la planète. Je pense que la musique a vraiment un rôle à jouer pour nous aider à nous connecter à nos émotions et à prendre les bonnes décisions. Je voudrais un monde plus sensible et que l’humanité s’ouvre à plus de sensibilité. Dans la classe de chant, on a un chanteur russe et une chanteuse ukrainienne. Je les voyais rire ensemble. Et quand je vois ça, je ne peux pas m’empêcher de penser à la capacité qu’à la musique de relier les êtres humains entre eux et de nous relier à ce qui nous dépasse. Sans être caricatural, on a d’un côté la guerre qui est la pire version de l’humanité et de l’autre, on a la paix qui nous permet de cultiver le beau et de partager la musique, qui est la meilleure version que l’humanité puisse offrir d’elle-même. » « On a fixé un maximum de 400 abonnés par saison et on y est presque. Ce sont des abonnements très démocratiques, parce que ça fait partie des missions que l’on a reçues par la province qui nous soutient beaucoup : 12 concerts (hors série Prestige) pour 120 € par an pour une personne ou 200€ pour 2 personnes. Je voudrais qu’il y ait beaucoup plus de gens qui viennent à la Chapelle, qu’ils ressentent de l’émotion dans notre salle de concert, qui possède une énorme baie vitrée qui donne sur le Domaine d’Argenteuil et où on est très proches des artistes. C’est un bain musical, vous ressentez la musique dans toutes les fibres de votre corps. » #OnContinue
Grégor Chapelle, CEO de la Chapelle musicale Reine Elisabeth : « L’excellence musicale doit être au service de la transformation du monde »
lesoir.be
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Une Fête de la Musique qui swingue avec @AFTRAL et @ISTELI ! Quand la Logistique Rencontre les musiciens ! 🚚 Le 21 juin, la Fête de la Musique est l'occasion parfaite pour célébrer deux mondes que l'on pourrait penser éloignés. Dans le Groupe AFTRAL, nous savons que la musique et le Transport au sens large, partagent un point commun essentiel : le rythme. Cette année, nous vous invitons à découvrir comment notre secteur fait partie intégrante de cet événement musical ! L'Importance du Transport et de la Logistique dans la Fête de la Musique pour : 🚛 le Transport des Artistes et les Équipements : Pour que chaque concert soit une réussite, il faut une organisation logistique impeccable. Transporter les artistes, leurs instruments et le matériel de scène qui chaque est un défi. 🎶 la livraison et l’installations des scènes : Le montage des scènes, l'installation des systèmes de sonorisation et d'éclairage nécessitent une coordination précise pour assurer que tout est en place afin d’offrir des spectacles mémorables. Ce qui impliquent de solides formations an amont… avec des Professionnels qui connaissent les besoins des Professionnels du monde du spectacle… pour que la Musique, les Spectacles… VIVENT ! AFTRAL ISTELI, Accélérateur(s) de Futur ! #aftral #isteli #formations #transport #logistique #supplychain #fetedelamusique #leader #citoyen #acteurmajeur
Responsable d'exploitation hébergement à Cité internationale universitaire de Paris | Gestion hôtelière
1 sem.Je n'ai même pas vu passer les 4h ...