Post de Forbes Luxembourg

🦸♀️ Aujourd'hui, Akoya Académie rejoint la lutte contre un ennemi invisible mais redoutable : les violences faites aux femmes. 🚨 Les chiffres sont alarmants, et l’urgence est réelle : 🌍 1 femme sur 3 dans le monde subit des violences physiques ou sexuelles au cours de sa vie. 🇫🇷 En France, une femme perd la vie tous les 3 jours sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint. 🏠 70% des violences se produisent là où les victimes devraient se sentir protégées : chez elles. 💥 Mais chaque héros a un rôle à jouer ! Que vous soyez un collègue, un ami, un parent ou un inconnu dans la rue, votre vigilance, votre soutien, et votre voix peuvent faire la différence. Chez Akoya Académie, nous choisissons de ne pas détourner le regard. Nous brandissons notre super-pouvoir collectif : la sensibilisation. Ensemble, nous pouvons briser le silence, éduquer, protéger et reconstruire. 💪 Cette bataille n'est pas une option, elle est une mission. Et ensemble, nous pouvons vaincre ! #StopViolences #HérosPourLesFemmes #ÉgalitéFemmesHommes #25Novembre #AkoyaSoutient

Aujourd’hui, le 11 novembre, nous nous unissons pour commémorer l'anniversaire de Dieynaba, une femme injustement emprisonnée pour avoir osé se défendre contre les violences inhumaines infligées par son mari, un médecin psychopathe nommé Alioune Badara Mbacke. Ce drame ne constitue pas seulement une injustice personnelle, mais une tragédie qui met en lumière les défaillances de notre société et de notre État. C’est une injustice sociétale, car cet homme a longtemps été entouré de complices, des proches qui ont couvert ses actes de violence envers ces filles, les laissant sans protection. C’est également une injustice étatique, car il a su exploiter ses connexions pour échapper à la justice, ignorant les conséquences de ses actes odieux. Les nombreuses femmes qui ont croisé son chemin ne peuvent toutes être qualifiées de menteuses ; leurs récits se rejoignent et témoignent d’un individu violent, manipulateur, narcissique et faussaire. Selon le Dr Niang, il aurait même falsifié une thèse de doctorat, un acte d’une gravité inacceptable. Pendant ce temps, où était l’Ordre des médecins du Sénégal ? Où était l’union des magistrats, dont l’un des membres, parent du faussaire, s'est déplacé pour tenter de dissimuler ses agissements ? Ces pratiques déplorables et ces complicités sont autant d’obstacles au développement de notre pays. Il est impératif que le nouveau régime prenne des mesures fermes pour que de telles situations ne se reproduisent jamais dans notre cher Sénégal. Il est temps que cela cesse. Nous devons exiger une justice véritablement au service de tous, y compris des victimes de violence. Il est inconcevable qu’au Sénégal, à notre époque, des clivages et une impunité aussi flagrante perdurent. L’affaire de Dieynaba doit devenir un cri de ralliement pour éradiquer toute forme de violence conjugale, qu’elle soit verbale ou physique. Unissons nos voix pour défendre les droits des victimes et veillons à ce que personne ne souffre plus comme elle a souffert. Ensemble, faisons de son histoire un puissant catalyseur pour un changement profond et indispensable dans notre société. Ne laissons pas son combat être vain ; faisons en sorte qu’il soit le début d'une révolution de la conscience collective contre la violence et l'injustice. La liberté de Dieynaba est une demande sociale urgente, et j’espère sincèrement que ce Mbacke, psychopathe et faussaire, croupira longtemps en prison, là où il mérite d'être. Ensemble, faisons entendre notre voix pour dire : assez, c’est assez ! Ousmane Sonko Ordre National des Médecins du Sénégal @Union des magistrats du Sénégal AFEMS - Association des Femmes Médecins du Sénégal (Officielle) Collectif Féministe Des Féministes du Sénégal Femmes du Monde et Réciproquement Femmes Du Monde UNICEF Femmes d'Afrique Femme d'Afrique Magazine Association du Bien-Etre de la Femme et de l'Enfant d'Afrique Femme et Leadership ● ONG Femme, Environnement, Santé et Education (FENSED) Femme Santé et Bien-être

🛑 𝐑𝐞𝐛𝐞𝐜𝐜𝐚 𝐂𝐡𝐞𝐩𝐭𝐞𝐠𝐞𝐢 : 𝐒𝐨𝐧 𝐝𝐫𝐚𝐦𝐞, 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞 🕊️ Le décès tragique de la marathonienne ougandaise Rebecca Cheptegei, 33 ans, victime de violences conjugales, est un signal d'alarme qui nous interpelle. Ce drame ravive la dure réalité des féminicides au sein de notre société et souligne que la violence à l'égard des femmes demeure une réalité insoutenable que nous ne pouvons plus banalisé ni passer sous silence. Au Kenya, plus de 11 millions de femmes sont victimes de violences chaque année, et des centaines de féminicides sont signalés. Derrière ces chiffres glaçants, il y a des vies, des familles et des rêves brisés. En 2023, 152 féminicides ont été recensés, un chiffre qui ne représente qu’une fraction de l'ampleur réelle de ce fléau. Nous ne pouvons plus rester passifs face à cette tragédie quotidienne. Si vous êtes témoins de violence, vous pouvez agir. Ne détournons plus le regard. Aujourd'hui, c'est Rebecca. Demain, cela pourrait être votre fille, votre sœur, ou une amie, etc. Interrogeons-nous sur notre rôle à jouer. En tant que professionnels, citoyens, familles et amis, que pouvons-nous faire pour sensibiliser et intervenir ? Chaque voix et geste compte : parlez-en autour de vous, soutenez les organisations qui luttent contre la violence, et engagez-vous à promouvoir l'égalité et la sécurité pour toutes les femmes. Nous avons le pouvoir de transformer les mentalités, de briser le cycle de la violence et de bâtir un environnement où chaque femme peut vivre sans crainte. Faisons de la lutte contre la violence conjugale une cause commune et une priorité collective. 📷 Crédit photo : Le Monde Afrique #droitsdesfemmes #feminicide #violenceconjugale #rebeccacheptegei

💔 Violences faites aux femmes et aux enfants : une réalité qui ne peut plus être ignorée 💔 Aujourd’hui, nous rappelons une vérité douloureuse mais essentielle : chaque jour, des femmes subissent des violences, et leurs enfants en sont souvent les victimes collatérales, témoins silencieux d’un drame qui marque à jamais leurs vies. Ces violences détruisent bien plus que des corps, elles brisent des espoirs, des familles, et des avenirs. La justice doit s’appliquer avec force pour protéger ces femmes et ces enfants, et pour punir ceux qui détruisent des vies entières. 👉 Nous avons tous un rôle à jouer : • Écouter et soutenir les victimes. • Sensibiliser pour briser le silence. • Orienter vers les aides disponibles. 📞 Un numéro à retenir : 3919 – gratuit, anonyme et confidentiel. Chaque appel peut sauver une vie. Ensemble, nous pouvons créer un monde où aucune femme ni aucun enfant ne devra vivre dans la peur. Agissons dès aujourd’hui. #StopViolences #Solidarité #Justice #Sensibilisation #ViolencesConjugales #Soutien #

🫵 Oui, du 25 novembre au 10 décembre 2024, en France 🇫🇷, toutes et tous se mobilisent en faveur de la lutte contre les violences faites aux femmes, aux filles ! 👍 💡À ce propos, un plan interministériel de renforcement et d’intensification des actions de lutte a été présenté par Monsieur le Premier Ministre 🇫🇷 en date du 25 novembre 2024. 💡De plus, force est de constater, que « le ruban blanc » est devenu LE symbole international de cette lutte ! Né au Canada 🇨🇦 en 1991, l’initiative de le porter fait suite au massacre de 14 jeunes femmes, le 6 décembre 1989, à l'Ecole Polytechnique de Montréal. ⚠️Cependant, je me permets d’interpeller tous les détenteurs de l’autorité publique de France 🇫🇷 de l’Union Européenne 🇪🇺 et du monde 🌍, par ce présent post. ➡️ Quels dispositifs ont été mis en place afin de faciliter les brigades de Police en charge des des femmes et des familles, dans leur travail quotidien, quand l’auteur des violences conjugales, par exemple, s’enfuît dans un autre pays où il CACHE LA VÉRITÉ à son entourage : sa vie familiale, sa personnalité, ses troubles du comportement, ses violences, ses délits, etc, mène une vie de pacha, comme si de rien n’était…⁉️🤔 ➡️ Je prends le cas d’un auteur de violences conjugales qui a en outre commis plusieurs délits, qui est attendu par la Police française 🇫🇷 pour être auditionné mais qui s’est envolé pour l’île Maurice 🇲🇺, grâce à la complicité de quelques personnes malhonnêtes… 🫵 Il s’agit d’une histoire vraie et d’une affaire récente…‼️ ➡️ Quels sont les accords bilatéraux et internationaux qui existent afin que les victimes se sentent considérées dans leur souffrance et non pas abandonnées ? Et afin que la Justice soit faite et vienne à bout de ce type de fléaux ? Solidairement, 💖 Sandhya SEETARAM - SUNGKUR Une Maman, une épouse, une fille, une bénévole, une solo-entrepreneuse, une élue locale = une femme contemporaine…

🚨 RAPPORT ALARMANT DE L'ONU SUR LES FÉMINICIDES 🚨 Une femme tuée par un proche toutes les 10 minutes dans le monde… 😔💔 En 2023, environ 85.000 femmes et jeunes filles ont perdu la vie à cause de violences intentionnelles, selon un rapport alarmant de l'UNODC et d'UN Women. Une réalité tragique qui met en lumière la violence endémique et systémique dont sont victimes les femmes dans toutes les régions du monde. 👉 Des faits frappants : 60% des victimes ont été tuées par leur conjoint ou un membre de la famille. La maison est souvent décrite comme l'endroit le plus dangereux pour les femmes. Ces crimes sont souvent prévisibles, car de nombreuses victimes avaient signalé des violences physiques, sexuelles ou psychologiques avant leur mort. 🆘 Que pouvons-nous faire face à une telle tragédie ? Ces crimes ne sont pas une fatalité. Ils peuvent être évités grâce à des mesures préventives, des lois renforcées et une meilleure protection des victimes. Les outils juridiques comme les injonctions judiciaires ou les mécanismes de protection existent, mais leur efficacité reste limitée dans beaucoup de régions. Les normes sociales et les pratiques discriminatoires profondément ancrées dans certaines sociétés doivent être remises en question. 🌍💪 🗣️ Appel à l'action : Sima Bahous, directrice d'ONU Femmes, souligne l'urgence de la situation et appelle à une action mondiale collective pour mettre fin à cette tragédie évitable. Cela nécessite des politiques ciblées, une meilleure collecte des données et des lois plus strictes pour protéger toutes les femmes et les filles dans le monde entier. Et vous, que pensez-vous ? Comment pouvons-nous, individuellement et collectivement, contribuer à mettre fin à ce fléau ? 💬 Partagez vos réflexions et engageons la conversation pour que cette cause obtienne l'attention et les actions qu’elle mérite. #Féminicide #ViolenceFaitesAuxFemmes #DroitsHumains #Justice #ProtectionDesFemmes #ONU #Solidarité #UrgenceMondiale #LutteContreLesViolences

Merci à RFI - Radio France Internationale d'avoir mentionné les violences sexuelles liées au conflit en cours dans les régions anglophones du Cameroun depuis 2017 ( l'une des crises les plus oubliées dans le monde ces cinq dernières années), dès sa première question : ‹‹Le viol est désormais utilisé comme arme de guerre dans la plupart des conflits modernes, en République démocratique du Congo, au Soudan ou encore dans les régions anglophones du Cameroun. Pourquoi est-il si souvent présent dans ces zones de guerre aujourd'hui ?››. C'est déjà une contribution importante à la visibilisation de ce fléau omniprésent dans ce conflit mais invisibilisé.

https://lnkd.in/eZVnHwqv Titre : Mobilisation pour les 16 jours d'activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles Le Refuge des Femmes d’Haïti (Ref-Haïti) s’inscrit dans la campagne mondiale des 16 jours d’activisme, du 25 novembre au 10 décembre, en mettant un accent particulier sur deux problématiques critiques : -Les violences domestiques, affectant profondément les femmes au sein de leur foyer. -La violence des gangs, exposant femmes et filles à des viols, kidnappings et autres abus graves. Ces violences entraînent des impacts psychologiques (dépression, anxiété), physiques (blessures, décès), économiques (appauvrissement) et sociétaux (désintégration du tissu social). Ref-Haïti recommande de: Renforcer les lois et politiques contre les violences basées sur le genre. Assurer un meilleur soutien médical, juridique et psychosocial aux survivantes. Lutter contre l’impunité des gangs à travers une justice renforcée. Sensibiliser les communautés pour briser le silence et encourager la dénonciation. Ref-Haïti invite toutes les parties prenantes à unir leurs efforts pour mettre fin à ces violences, en priorisant la sécurité, la dignité et l’égalité des droits des femmes et des filles en Haïti. Fondation des Femmes Emmanuelle Bomba

𝐌𝐞𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 à 𝐥’𝐨𝐜𝐜𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧é𝐞 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’é𝐥𝐢𝐦𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐟𝐚𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 Aujourd’hui, en cette journée mondiale dédiée à l’élimination des violences faites aux femmes, nos pensées se tournent vers les femmes haïtiennes, particulièrement celles qui subissent, dans un silence imposé, les atrocités résultant de l’insécurité et de l’instabilité qui rongent notre pays. Les violences sexuelles, les enlèvements, les actes de brutalité perpétrés par des gangs armés ne sont pas de simples faits divers : ce sont des crimes qui brisent des vies, détruisent des familles, et affaiblissent les fondations mêmes de notre société. Chaque femme agressée, violée ou assassinée est une lumière éteinte dans un pays qui a besoin de ses femmes pour survivre, résister et prospérer. Face à cette réalité insoutenable, il est impératif de rappeler que l’inaction n'est plus possible! Nous appelons aujourd’hui les 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭é𝐬 𝐡𝐚ï𝐭𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬, les 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞𝐬, mais aussi ce qui reste des forces vives de notre pays à : 1. 𝐀𝐠𝐢𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐬é𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭é 𝐢𝐦𝐦é𝐝𝐢𝐚𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 : Les zones contrôlées par les gangs doivent redevenir des lieux où chaque Haïtienne peut marcher librement, en toute dignité. 2. 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐬𝐮𝐢𝐯𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 : L’impunité est une arme qui alimente ces atrocités. Il est temps de renforcer les institutions judiciaires pour que justice soit rendue. 3. 𝐒𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 : Nous devons garantir un accès à des services médicaux, psychologiques et juridiques pour les victimes de violences sexuelles et basées sur le genre. Certaines initiatives existent déjà mais elles ont besoin de plus de support et ne sont pas assez connues. 4.𝐏𝐫𝐨𝐦𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐫é𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 :  L’éducation, l’autonomisation économique des femmes et la sensibilisation des hommes, élément non négligeable, doivent être au cœur de toute stratégie durable. Les femmes haïtiennes ne peuvent plus vivre dans la peur. Nous ne pouvons pas rester silencieux. Nous ne devons pas détourner le regard. Il est temps d’agir.

Un outil aux multiples utilisations possibles qui permet de libérer la parole sur le sujet des violences conjugales !