"Faire participer les gens aux décisions qui les concerne, cʹest le principe de la démocratie. Mais certaines personnes ne votent pas, et parfois la politique parait très déconnectée des besoins locaux." ➡️ Comment la gouvernance participative peut-elle contribuer à intégrer de manière plus active les habitant·e·s dans les décisions ? ✅ Écoutez l'interview de Dario Spini, professeur à la SSP UNIL - Faculté des sciences sociales et politiques de l'Université de Lausanne et co-responsable du CAS Gouvernance participative et actions locales, dans l'émission Tribu de la RTS - Radio Télévision Suisse : https://lnkd.in/ereHWxCA #politique #politiquespubliques #gouvernanceparticipative #actionsparticipatives | Université de Lausanne | HETSL - Haute école de travail social et de la santé Lausanne | HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale | Valérie Hugentobler | Jean-Philippe Leresche | Dominique Malatesta | Alain Plattet | Marko Bandler | Olivier Cruchon | Katia Horber Papazian | Gabriella Muri Koller | Muriel Sanchez Solorzano | Filip Uffer | Michèle Guignard
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🔍 𝐋'𝐄𝐒𝐒 𝐞𝐬𝐭-𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 ? Le 18/09 Usha Matisson a participé à une table ronde captivante de l'Agora DODES - Dynamiques et Organisations de la Démocratie Économique et Sociale sur la démocratie dans nos organisations : ”𝑅𝑒𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑛𝑜𝑠 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠”. Un sujet passionnant pour Resiliences, au cœur de notre mission ! 🤔 Le constat qui dérange : ESS n'est pas synonyme de démocratie par défaut. Entre les organisations qui ont du mal à faire vivre la démocratie auprès de leurs adhérents, et d’autres qui y arrivent mieux mais… oublient leur salariés. En passant par des coopératives ou des CA où il y a un déficit de représentation ou de reconnaissance des personnes qui produisent... Surpris ? ❓ La question qui nous anime : Comment impliquer davantage les salariés et autres parties prenantes dans la gouvernance des mutuelles et organisations de l'ESS ? La démocratie c’est difficile, c’est fondamentalement un espace de conflictualité… d’où peut émerger du bon ! Et les organisations non démocratiques c’est encore plus difficile… En deux mots : 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐦𝐞𝐧𝐝𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐧𝐨𝐧 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐚𝐮𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐥𝐚𝐫𝐢𝐞́𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭) ? 💡 Pistes prometteuses : > Gouvernance inclusive : tous acteurs, tous décideurs. > Culture de coopération : des espaces où les gens qui font ont le temps de réfléchir à comment faire du bon boulot ensemble. > Innovation démocratique : et si on osait de nouvelles approches ? Chez Résiliences, nous sommes convaincus que renforcer la démocratie dans l'ESS est crucial pour affronter les défis de demain. C'est notre raison d'être : face craquèlements du monde, soutenir la coopération pour un avenir commun désirable. 🗣️ Un grand merci aux intervenants inspirants : Youssef Achour (Président d’Up Coop, CRESS Île-de-France) Isabelle Ferreras (Sociologue & Politologue) Oriane CO LAVIEC (Membre du CA de Coopérative Biocoop) Christian Oyarbide (Président de Mutlog) Corentin Gombert, PhD (coordinateur de l'Agora DODES) 🌱 Et vous, comment voyez-vous l'avenir de la démocratie dans vos organisations ? #ESS #DémocratieAuTravail #Coopération
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🌟 La seule dictature que vous devez accepter est celle de la démocratie... 🌟 📊Une donnée intéressante émerge des récents travaux de recherche : seulement 35 % des associations ont un processus formel de prise de décision démocratique. Cette statistique révèle une lacune significative dans la gouvernance de nombreuses organisations. En tant que membres et dirigeants d'associations, il est essentiel de prendre conscience de cette réalité et de travailler à son amélioration. 🛑Bien que souvent associée aux gouvernements nationaux, la démocratie revêt également une importance capitale dans le tissu associatif. 🤌En tant qu'experts en management au sein des associations, nous nous engageons à former et à sensibiliser sur la thématique de la démocratie et de la prise de décision au sein des organisations. Nous croyons fermement que la démocratie au sein de votre association ne devrait pas être perçue comme un simple idéal, mais plutôt comme un impératif pour garantir une gouvernance transparente et légitime. 📢Il est primordial de créer des mécanismes qui favorisent l'inclusion de toutes les voix et la considération équitable des opinions divergentes lors des prises de décision. En travaillant ensemble pour renforcer les pratiques démocratiques au sein de votre structure, vous contribuez non seulement à sa légitimité, mais également à son efficacité et à sa durabilité à long terme. N’hésitez pas à contacter Quentin Michelet , Lucile Guez, Robleh WIHIP DJAMA pour répondre à vos questions et vous accompagner dans ce super périple ! 🤔 Partagez vos réflexions, expériences et idées dans les commentaires ! Ensemble, continuons à promouvoir une démocratie véritable au sein de nos organisations. 👇 #Démocratie #PriseDeDécision #Association #GestionAssociative
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🔍 𝐋'𝐄𝐒𝐒 𝐞𝐬𝐭-𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 ? Originaire de Normandie, je répond sans hésiter "ça dépend". Et "ça dépend" surtout de ce qu'être démocratique (ou du moins à quelle dynamique collective s'apparente la démocratie). Il n'y a que 𝒅𝙚𝒔 dynamiques démocratiques, sans doute autant voire plus que de collectifs les empruntant. D'ailleurs, à venir, un ouvrage de l'Agora DODES - Dynamiques et Organisations de la Démocratie Économique et Sociale pour exposer cette diversité d'incarnation des démocraties dans les organisations : https://lnkd.in/e2vf97Ec
🔍 𝐋'𝐄𝐒𝐒 𝐞𝐬𝐭-𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 ? Le 18/09 Usha Matisson a participé à une table ronde captivante de l'Agora DODES - Dynamiques et Organisations de la Démocratie Économique et Sociale sur la démocratie dans nos organisations : ”𝑅𝑒𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑛𝑜𝑠 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠”. Un sujet passionnant pour Resiliences, au cœur de notre mission ! 🤔 Le constat qui dérange : ESS n'est pas synonyme de démocratie par défaut. Entre les organisations qui ont du mal à faire vivre la démocratie auprès de leurs adhérents, et d’autres qui y arrivent mieux mais… oublient leur salariés. En passant par des coopératives ou des CA où il y a un déficit de représentation ou de reconnaissance des personnes qui produisent... Surpris ? ❓ La question qui nous anime : Comment impliquer davantage les salariés et autres parties prenantes dans la gouvernance des mutuelles et organisations de l'ESS ? La démocratie c’est difficile, c’est fondamentalement un espace de conflictualité… d’où peut émerger du bon ! Et les organisations non démocratiques c’est encore plus difficile… En deux mots : 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐦𝐞𝐧𝐝𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐧𝐨𝐧 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐚𝐮𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐥𝐚𝐫𝐢𝐞́𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭) ? 💡 Pistes prometteuses : > Gouvernance inclusive : tous acteurs, tous décideurs. > Culture de coopération : des espaces où les gens qui font ont le temps de réfléchir à comment faire du bon boulot ensemble. > Innovation démocratique : et si on osait de nouvelles approches ? Chez Résiliences, nous sommes convaincus que renforcer la démocratie dans l'ESS est crucial pour affronter les défis de demain. C'est notre raison d'être : face craquèlements du monde, soutenir la coopération pour un avenir commun désirable. 🗣️ Un grand merci aux intervenants inspirants : Youssef Achour (Président d’Up Coop, CRESS Île-de-France) Isabelle Ferreras (Sociologue & Politologue) Oriane CO LAVIEC (Membre du CA de Coopérative Biocoop) Christian Oyarbide (Président de Mutlog) Corentin Gombert, PhD (coordinateur de l'Agora DODES) 🌱 Et vous, comment voyez-vous l'avenir de la démocratie dans vos organisations ? #ESS #DémocratieAuTravail #Coopération
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I 𝗘𝗗𝗜𝗧𝗢 I La démocratie est-elle encore notre utopie ? Donner le pouvoir de décision au peuple. Tel est le principe de la démocratie, système qui a pourtant historiquement banni les femmes, les esclaves et exclut encore certaines catégories de population telles que les enfants et les étranger.e.s, qui se traduit par des taux d'abstention très élevés et une faible représentativité. Démocratie qui a permis ce dimanche à l’extrême-droite de triompher dans les urnes… Un système qui, au sein de nos structures de l'économie sociale et solidaire, se traduit par des modes de gouvernance collectives voire partagées et se fixe des objectifs de "participation des bénéficiaires". En cette période d'assemblées générales, peut-on se satisfaire de notre démocratie interne ? Le philosophe Patrick Viveret rappelle que la démocratie est « l'art de transformer l'ennemi en adversaire et la guerre en conflit » tandis que pour l’anthropologue Marcel Mauss, elle permet de « s'opposer sans se massacrer ». Pourtant, le débat public a rarement été aussi polarisé et violent… A l’autre bout du spectre, dans nos organisations (associations, coopératives, entreprises sociales, mutuelles et collectifs divers et variés), on a parfois du mal avec le conflit comme source féconde d'échanges et de débats de fond, sous couvert de "bienveillance" ou de "communication non violente". De ce point de vue, donc, la démocratie est encore une utopie, parce qu'elle n'est toujours pas réalisée ! Quelle place lui donner demain dans nos chemins utopiques ? Quel crédit donner aujourd’hui aux concepts de démocratie participative ou vivante ? Par quel biais (re)donner le pouvoir au peuple et renouer avec lui sans le craindre ? Faut-il encore croire à ce mode de gouvernance ou a-t-on basculé dans un temps de luttes et de résistances ? Autant de questions que nous pourrons aborder ce mois-ci dans le cadre de notre programmation d'évènements signée Concrétisons l’utopie, dédiée à la culture démocratique ! Organisez-vous! I IRDSU I Ville de Marseille I Cité des transitions
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a développer au pays ?
Le titre reste volontairement provocateur, mais l’article du Monde sur les propos de Manon Loisel & Nicolas Rio évoquent bien des solutions pour renforcer la démocratie participative et en faire un outil au service de la démocratie : prendre en compte les éloignés, celles et ceux qu’on écoute presque jamais et travailler le plus en amont possible avec les citoyen.ne.s à la construction des projets et des politiques publiques. #démocratie #democratieparticipative
« Pour en finir avec la démocratie participative » : écouter en priorité les « inaudibles »
lemonde.fr
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Dans le Nouvel Économiste de la semaine dernière, un excellent article sur les besoins de démocratie LOCALE. À méditer ... et à traiter au plus vite.
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Un article de Alternatives Économiques : Manon Loisel : « Il faut en finir avec la démocratie participative, qui accentue la crise qu’elle prétend résoudre » Quelles sont les principaux défauts de la démocratie participative ? "M. L. : Le premier, c’est leur côté anti-redistributif. Alors qu’ils sont supposés être une réponse à la montée de l’abstention, ces outils sont surtout investis par ceux que qui sont parfois surnommés les « TLM » (Toujours les mêmes). Anciens élus, citoyens engagés, leaders associatifs… ces profils très marqués socialement s’emparent seuls de ces dispositifs. Je défie n’importe qui de trouver un abstentionniste dans une réunion publique. On n’en voit jamais, et ce n’est pas étonnant : pour s’impliquer dans ces dispositifs, il faut avoir beaucoup de temps à consacrer à la chose publique. Ce qui est rarement le cas pour les actifs ou les familles monoparentales. Sans parler du fait qu’il n’est pas donné à tout le monde d’être assez à l’aise en public pour prendre le micro devant plusieurs personnes".
Manon Loisel : « Il faut en finir avec la démocratie participative, qui accentue la crise qu’elle prétend résoudre »
alternatives-economiques.fr
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PARUTION « Pour en finir avec la démocratie participative », Manon Loisel et Nicolas Rio, #Démocratie #participation #Citoyens #Débat La démocratie représentative est en crise dans l'ensemble des pays occidentaux. Contrairement au Royaume-Uni, à l'Allemagne ou à l'Italie, il existe en France une défiance qui se caractérise par une désaffection profonde vis-à-vis des institutions de la démocratie représentative, jugées dysfonctionnelles. Crise de confiance En novembre 2023 un sondage opinionway révèle qu'un Français sur deux a le sentiment de ne plus vivre dans un pays démocratique Idée reçue numéro 1 : pour donner confiance aux citoyens, il faut d'abord les écouter Idée reçue numéro 2 : l'indicateur de performance de la démocratie participative, c'est le nombre de participants Idée reçue numéro 3 : les dispositifs obligatoires ne sont pas toujours efficaces Idée reçue numéro 4 : l'innovation démocratique ne garantit pas le succès Idée reçue numéro 5 : en démocratie participative, chaque démarche repart toujours de zéro Idée reçue numéro 6 : la démocratie participative présente des résultats insuffisants à l'échelle locale comme nationale Idée reçue numéro 7 : tout dispositif doit être représentatif pour pouvoir être crédible Idée reçue numéro 8 : ce sont toujours les mêmes qui participent Idée reçue numéro 9 : la participation est en réalité une manière pour les institutions de garder le contrôle Idée reçue numéro 10 : l'enjeu est moins de faire participer les citoyens que d'aider les institutions à écouter et rendre compte https://lnkd.in/eDaSdiPU
Il faut déjouer les pièges et les idées reçues sur la démocratie participative
latribune.fr
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Le titre reste volontairement provocateur, mais l’article du Monde sur les propos de Manon Loisel & Nicolas Rio évoquent bien des solutions pour renforcer la démocratie participative et en faire un outil au service de la démocratie : prendre en compte les éloignés, celles et ceux qu’on écoute presque jamais et travailler le plus en amont possible avec les citoyen.ne.s à la construction des projets et des politiques publiques. #démocratie #democratieparticipative
« Pour en finir avec la démocratie participative » : écouter en priorité les « inaudibles »
lemonde.fr
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I 𝗘𝗗𝗜𝗧𝗢 I La démocratie est-elle encore notre utopie ? Donner le pouvoir de décision au peuple. Tel est le principe de la démocratie, système qui a pourtant historiquement banni les femmes, les esclaves et exclut encore certaines catégories de population telles que les enfants et les étranger.e.s, qui se traduit par des taux d'abstention très élevés et une faible représentativité. Démocratie qui a permis ce dimanche à l’extrême-droite de triompher dans les urnes… Un système qui, au sein de nos structures de l'économie sociale et solidaire, se traduit par des modes de gouvernance collectives voire partagées et se fixe des objectifs de "participation des bénéficiaires". En cette période d'assemblées générales, peut-on se satisfaire de notre démocratie interne ? Le philosophe Patrick Viveret rappelle que la démocratie est « l'art de transformer l'ennemi en adversaire et la guerre en conflit » tandis que pour l’anthropologue Marcel Mauss, elle permet de « s'opposer sans se massacrer ». Pourtant, le débat public a rarement été aussi polarisé et violent… A l’autre bout du spectre, dans nos organisations (associations, coopératives, entreprises sociales, mutuelles et collectifs divers et variés), on a parfois du mal avec le conflit comme source féconde d'échanges et de débats de fond, sous couvert de "bienveillance" ou de "communication non violente". De ce point de vue, donc, la démocratie est encore une utopie, parce qu'elle n'est toujours pas réalisée ! Quelle place lui donner demain dans nos chemins utopiques ? Quel crédit donner aujourd’hui aux concepts de démocratie participative ou vivante ? Par quel biais (re)donner le pouvoir au peuple et renouer avec lui sans le craindre ? Faut-il encore croire à ce mode de gouvernance ou a-t-on basculé dans un temps de luttes et de résistances ? Autant de questions que nous pourrons aborder ce mois-ci dans le cadre de notre programmation d'évènements signée Concrétisons l’utopie, dédiée à la culture démocratique ! Toutes les infos 👉 https://lnkd.in/ea8ZEHZW Organisez-vous! I IRDSU I Ville de Marseille I Cité des transitions
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