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#Chroniques #Chroniques Les “jeunes de banlieue”, ou la légende urbaine du croquemitaine: En 2015 paraissait Les Jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? de Thomas Guénolé – analyse sociologique et politique qui vise à déconstruire les stéréotypes… @ActuaLitte

#Chroniques #Chroniques Les “jeunes de banlieue”, ou la légende urbaine du croquemitaine: En 2015 paraissait Les Jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? de Thomas Guénolé – analyse sociologique et politique qui vise à déconstruire les stéréotypes… @ActuaLitte

🚨NOUS AVONS VOLONTAIREMENT COUPÉ LE SON DE C’EST VIDÉOS, POUR PROTÉGER LES AUTEURS FACE AUX NOMBREUSES INTIMIDATIONS SUBIES ! 🚨 Nos mamans, nos papas, nos grands-mères, nos grands-pères sont fouillés de la tête aux pieds, interdits de rentrer chez eux, obligés de faire de longs détours dans le quartier, même lorsqu'ils sont âgés ou en situation de handicap. Je pourrais écrire des pages entières pour exprimer ma rage intérieure, mais à quoi cela servirait-il ? À quoi bon ? Dans ce projet inhumain, où chaque tentative de lancer une alerte se termine par une criminalisation sur CNews ou autre, à quoi bon ? Quand Monsieur le Maire, dans un article récent, assume sans scrupule de couper le chauffage aux habitants cet hiver pour aller détruire des murs, alors même qu'il le niait il y a à peine deux semaines (ci-joint en commentaire). À quoi bon, alors que nous démontrons chaque jour les mensonges d'un maire qui a totalement perdu le sens des réalités, mais personne ne nous écoute… À leurs yeux, nous ne sommes que des animaux ayant grandi dans ces quartiers, privés du droit à la parole, quelles que soient nos compétences, notre capacité à proposer, notre légitimité, ainsi que notre maîtrise d’usage des lieux. À quoi bon, de toute façon, la folie se déroule sous vos yeux, vous en êtes témoins, et pourtant personne ne bouge… Gouvernement Pierre Gilardeau Bertrand GAUME Virginie Lasserre Valérie Létard Pays des droits de l'Homme, pays de la liberté de circulation ? ANRU - Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine Maxance Barré Anne-Claire Mialot Camille Maire Melvin Stecker Benoit Zeller, Damien Castelain Antoine MONTLUCON Métropole Européenne de Lille (MEL) , Lille Métropole Habitat Maxime Bitter Marion MESTDAG RENONCOURT Êtes-vous ces monstres dépourvus de toute humanité ? RÉAGISSEZ !!! NOUS VOULONS LE DIALOGUE !

[ JOURNÉE MONDIALE DES ENFANTS DES RUES ] Pour célébrer le 20ème anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant (signée en 1989), l’UNESCO a organisé en 2009, la journée des enfants des rues. La date est restée dans le calendrier 🤍 À Antananarivo, on estime à environ 23 000 le nombre d’enfants en situation de rue, toutes catégories confondues (seuls dans la rue, ou en famille dans la rue, pendant la journée ou la nuit). Ces enfants, particulièrement vulnérables, n’ont pas accès à leurs droits fondamentaux. (Dernière étude, à date de la Plateforme de la Société Civile pour l’Enfance (PFSCE) et de l‘Institut Supérieur de Travail Social (ISTS), Octobre 2014 - Janvier 2015). Vivant sur les étalages des marchés, le long de la voie de chemin de fer, seuls, en bande ou en famille, dormant là où le soleil se couche, ces enfants des rues, dont le nombre ne cesse d’augmenter, sont en réalité le fruit de l’exode rural. Aujourd’hui, et ce depuis les années 90, nombreuses sont les familles qui quittent leurs villages et leurs terres, espérant trouver à Antananarivo une existence de vie meilleure. Malheureusement, leur arrivée dans la capitale s’apparente souvent à une descente aux enfers. C’est sur la base de ces constats flagrants que TAMANA a décidé d’aborder la problématique à sa source et d’orienter son prochain programme d’intervention sur l’objectif général suivant : Contribuer à la réduction de l’exode rural vers Antananarivo 📉 N’hésitez pas à suivre TAMANA sur l’ensemble de ses réseaux sociaux pour découvrir son prochain programme d’intervention à Madagascar 🧡

Ce matin j'ai découvert une vidéo honteuse réalisée grâce à l'#IA postée par une personne qui est vraisemblablement en colère contre la #municipalité de Ville de Clermont-Ferrand. Cette vidéo montre les visages du Maire Olivier Bianchi et de trois de mes collègues élus de la majorité municipale se faire écrabouiller / découper de manière grotesque. Je n'en reviens pas de tant de violence et de tant de méchanceté, tout cela sous couvert de "c'est quand même bien drôle de se moquer et de s'attaquer à ces élus qui se gavent sur le dos des contribuables et qui n'y connaissent rien à la vie". Etre élu-e local-e, c'est se préoccuper des autres au service d'un projet commun. Certes nous n'avons pas tous la même vision de comment préparer notre ville aux enjeux du 21ème siècle, qu'il s'agisse des questions sociales, démocratiques ou environnementales. Mais je reconnais à tous mes collègues élus, qu'ils soient de l'opposition ou de la majorité, le fait de s'être engagé par conviction. Etre élu-e local-e, c'est mettre de côté sa vie de famille, sa carrière professionnelle, son temps libre pour être au contact de ses concitoyen-nes et travailler à la transformation de la ville. C'est bien souvent se faire sonner les cloches en réunion publique ou lors des "cafés chantier", mais lorsque cela se produit on peut dialoguer avec les personnes. On ne peut pas convaincre tout le monde du bien-fondé de notre action municipale, mais sur le terrain on peut échanger et écouter. Etre élu-e local-e, c'est aussi vivre sa ville au quotidien, parfois avec des enfants en bas âge, des parents ou des proches qui nous soutiennent et qui subissent les dommages collatéraux de l'exercice de nos mandats. Les personnes qui postent sur les réseaux sociaux des vidéos dégradantes ou d'incitation à la haine n'ont peut-être pas conscience des dégâts que cela peut entraîner, mais en 2024 on ne peut pas faire comme si les cabales lancées sur les réseaux sociaux n'avaient jamais eu de conséquences dramatiques. Les personnes qui likent ou repartagent ces vidéos sont tout aussi responsables : jeter en pâture des hommes et des femmes à la vindicte populaire n'a jamais permis d'améliorer les choses, l'Histoire est là pour nous le rappeler. Si l'intelligence peut être artificielle, la stupidité et la méchanceté elles sont bien humaines.

L’engagement de COLISEE dans la lutte contre l’isolement.   📈Comme chaque année, le baromètre des Petits Frères des Pauvres nous donne les informations essentielles sur la solitude en France.   ➡️ Entre 2017 et 2021, le nombre d’aînés isolés des cercles familiaux et amicaux a plus que doublé, passant de 900 000 à 2 millions quatre an plus tard ➡️ 530 000 personnes âgées en situation de « mort sociale » en 2021, c’est-à-dire sans contacts avec les différents cercles de sociabilité (familial, amical, voisinage, réseaux associatifs…)   COLISEE est fier de soutenir Stop à l’isolement et ses activités, un collectif qui fête cette année ses quatre ans. Partie d’une page Facebook lors de la crise sanitaire, l’initiative a pris depuis de l’ampleur : Fin 2023, plus de 80 personnalités de tous horizons avaient participé à Stop à l’isolement. Le blog a quant à lui dépassé les 10 millions de vues et la page Facebook a atteint les 9500 abonnés. L’association propose ainsi aujourd’hui de nombreux contenus, activités et événements marquants !   💪 La solitude n’est pas une fatalité et nous consacrons, au sein de nos Communautés, toute notre énergie à donner un cadre de vie et des opportunités de créer et d’entretenir des liens sociaux vitaux pour bien vieillir. #bienvieillir #Stopalisolement #Solitude #ColiseeSoutient Delphine Dupré-Lévêque   🗞️Pou lire l’article et l’ensemble de la newsletter : https://urlr.me/jQL4K   🔎Pour en savoir plus sur Stop à l’Isolement : Facebook : https://lnkd.in/gTeZXPYP Site internet : https://lnkd.in/gdyzqvGk

[Observer] Dans un contexte pétri d’incertitudes, la question plus particulièrement posée est : comment anticiper l’évolution des besoins des #familles avec #enfants en #logements et en #équipements sur le territoire de l’aire grenobloise ? Le lundi 7 octobre, l'Agence propose une séance dédiée, pour échanger autour : ▶ du contexte marqué par l’infléchissement de la croissance démographique et le vieillissement de la population, sur l’aire grenobloise ▶des résultats de l’approche quantitative mettant en évidence les liens entre le cadre de vie et l’évolution des effectifs d’enfants. ▶des premiers retours d’une enquête qualitative sur les préférences résidentielles des familles. 📅 lundi 7 octobre de 10h à 11h45 📍 à l'Agence Penser à vous inscrire 👇

A 2 semaines du #FestivalReleve dédié à la #SanteMentale Oui, j’ai #PEUR 🥺 - Du #Simplisme (idée, doctrine très ou trop simple, qui ignore volontairement les complications et la complexité) ❌ - Du #Charlatanisme (manière frauduleuse de disposer de compétences médicales) ❌ - Du #Confusionnisme (fait d'entretenir la confusion dans les esprits) ❌ - Du #Validisme (système faisant des personnes valides la norme sociale et par extension discrimination envers les personnes en situation de handicap) ❌ - Du #Neoliberalisme (programme de destruction des structures collectives capables de faire obstacle à la logique du marché pur) ❌ - (..) Nul besoin de finir l’inventaire 🙈 J’ai peur que des sombres viennent au festival marseillais pour chercher des proies faciles, des personnes vulnérables 🥺 J’ai constaté qu’en cette période #PostCovid , il soit toujours aussi aisé de pratiquer l’#AbusDeFaiblesse , de formater les esprits, de tromper les éprouvés en recherche de sens pour toujours plus de #Business 🙈 #Dystopie #RuminationsMentales #Malavida #Humeur

Quand est-ce que nos enfants seront en sécurité en ville ? Toute attitude nostalgique vis-à-vis du fait que les enfants devraient ressortir jouer dans nos rues est infondée. L'insécurité augmente pour nos bambins et les conditions de vie urbaine changent. Nous avons perdu le sens du voisinage pour beaucoup, la solidarité et les relations sociales se complexifient, notamment à causes des distances entre logement qui augmentent. De ce fait, nous privilégions, en tant qu'adulte, des déplacements urbains d'un point A vers B, très fonctionnalistes, sans oisiveté. Or, sortir de chez soi, c'est apprendre à se repérer, rencontrer des gens et se dépenser.  C'est un vrai cadeau pour le développement d'un enfant. Une nécessité. Comment faire ? Comment utiliser la ville pour aider son enfant à se développer ? "Les enfants vivent leurs déplacements comme une succession de moments présents", chacun digne d'une pause, d'un émerveillement ou le temps s'allonge. Parti de ce constat, Francesco Tonucci, dans son livre "La ville des enfants, pour une [r]évolution urbaine", dresse une solution complète de reconquête. Voici 3 aspects de sa réflexion: -Prendre l'enfant comme indicateur de contrôle de la sécurité urbaine pour tous: Si des enfants jouent dans les rues, se promènent seuls, alors la ville est saine. - Intégrer une logique de sécurisation de traversée de route pour l'enfant (meme idée que le corridor écologique sur les autoroutes). La barrière physique de la route est aussi psychologique et doit etre accompagnée dans son franchissement. - Trouver des alliés pour les enfants: En Corse, il est courant de penser que les enfants sont ceux de tout le monde, et que chacun garde un oeil dessus. En tant que papa x2, c'est très agréable ! C'est une logique encore présente en petit village, mais plus du tout en ville, où la solidarité sociale se perd un peu plus. Pourquoi ne pas désigner les agents de police comme les "amis des enfants" ? Des phares d'entraides qui permettraient aux enfants de prendre des risques, apprendre, en sécurité. Pourquoi ne pas considérer les commerçants, les artisans ou les boutiquiers comme des référents disponibles pour les enfants ? Ces individus "habitent" la rue et représentent une sécurité permanente. "Si il arrive quelque chose à mon petit, à qui va-t'il s'adresser ?" Toutes ces personnes pourraient etre disponibles La question de la confiance envers l'autre reste un enjeu notoire de toutes ces questions. En quoi le statut de policier ou d'artisan permettrait de conférer un role particulier vis-à-vis de l'enfant ? Ces réflexions accompagnent naturellement les processus de rétrécissement de nos espaces de vie, car ceux-ci nous poussent à sortir plus souvent.  Les qualités de vie urbaines privées et publique sont donc encore plus intrinsèquement liées. Qu'en pensez-vous ?

#monderural #personnesagees #vieillissement #vieux #droitshumains #humanite #precarite #prevention #soins #isolement #inegalites #ruralite #solitude #social #sante #dignite A VOIR : 📺 🎞 En replay sur Public Sénat, le documentaire "Le dernier visiteur" de Camille PONSIN, qui suit un jeune médecin de campagne installé dans les Monts du Forez. 🔎 Toute personne qui a grandi ou connaît les campagnes françaises confrontées au vieillissement des populations, à la désertification, au départ des jeunes et des "actifs", et a pu voir des personnes âgées dont l'isolement ne fait que se renforcer, sera émue et touché par la justesse de ce documentaire. 🔎 Au-delà de l'émotion et de l'empathie que génèrent ces situations, elle met nos sociétés devant une réalité dérangeante qui est bien cachée : le sort réservé aux anciens, aux "vieux", ici dans les campagnes. Dans les campagnes, et dans la ruralité, le silence est de mise: on ne se plaint pas, on subit. Les regards des différentes personnes "visitées" par le médecin de campagne nous transpercent et se passent de mots. 🔎 Après "Hold-up sur les vieux" qui témoignait de l'approche de "gestion" et de "rentabilité" des personnes âgées et/ou dépendantes dans plusieurs pays européens, cet autre documentaire donne à voir une autre réalité tout aussi révoltante. ➡ Agir pour la prévention en #sante #environnement est l'une des dimensions pour réduire le nombre de pathologies liées aux multiples pollutions environnementales souvent générées par l'Homme, mais ne peut dispenser pas de se préoccuper de la condition humaine, notamment en matière de dignité et de lien social, indispensables corolaires de sociétés plus équilibrées qui n'excluent pas les plus vulnérables, que ce soit en raison de l'âge, de la condition physique, d'un handicap, d'une couleur de peau, ou de tout autre critère. ➡ Le monde rural est peu mentionné en matière d' "inégalités", alors que sa souffrance, silencieuse, mériterait pourtant des mesures de toute urgence, à court, moyen et long terme : davantage de présence humaine et des rémunérations dignes pour aidants, soignants, métiers médico-sociaux, commerçants et artisans s'installant dans des zones désertifiées par des décennies de politique concentrant les populations dans des centres urbains.