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Se loger dans les territoires pour exercer une activité saisonnière - CESE EN SAVOIR PLUS / https://lnkd.in/erFYUmqn Tourisme, hôtellerie-restauration, animation socioculturelle et sportive, agriculture… De nombreuses activités nécessitent une main d’œuvre importante sur certaines périodes de l’année pour une courte durée. Le recrutement de travailleurs est indispensable pour l’économie des territoires qui dépendent d’activités saisonnières. De fortes disparités traversent ces territoires, qui possèdent chacun leurs singularités. #promotiondelasanté #promotiondelasante #prévention #prevention #politiquedesante #medicosocial #essms #médicosocial #accesauxsoins #handicaps #personnesagées #jeunes #pratiquesensante #danieloberlé #danieloberle #pratiquesensanté #logement #saisonniers

Les Français sont attirés par le mer et l'océan. Ce phénomène n’est pas Français, il est mondial. L’été, lors des épisodes caniculaires, les territoires littoraux, même urbanisés, bénéficient de plusieurs degrés de moins que les terres de l’arrière-pays. Une étude autrichienne a démontré, au-delà de l’hédonisme, un lien entre santé mentale et fréquentation de l’océan alors que, selon le «  panorama de la santé » de 2022, élaborée par l’Organisation de coopération et de développement économique et la Commission européenne, "la proportion de jeunes présentant des symptômes de dépression a plus que doublé dans plusieurs pays de l’UE pendant la pandémie". Les chercheurs ont interrogé plus de 15 000 personnes vivant dans une quinzaine de pays (Australie, France, Allemagne, Belgique, Espagne, Portugal, Bulgarie, Grèce, Irlande, Italie, Norvège, Pays-Bas, Pologne, République Tchèque et Royaume-Uni) : 🌊 "L’air marin fait des merveilles sur la santé physique mais aussi mentale." 🌊 "Tout le monde semble bénéficier de la proximité avec la mer, et pas seulement les personnes aisées." 🌊 « Le fait de vivre près de la côte et surtout de s’y rendre peut avoir des effets substantiels sur la santé de la population" explique Sandra Geiger, chercheuse en psychologie environnementale à l’université de Vienne, qui a dirigé l’étude. La côte ouest française attire, accueille, non sans créer des tensions. En seulement 10 ans, sa population a augmenté de l'équivalent des habitants des villes de Bordeaux, La Rochelle et Nantes réunies... Au-delà du recul du trait de côte et du problème des locations de courte durée, elle mériterait une vraie réflexion d'ensemble, une réflexion d'aménagement du territoire que relie logement, écologie, emploi, réindustrialisation, lutte contre l'étalement urbain et réalisation du ZAN (zero artificialisation nette). Et cette réflexion commence très certainement par comprendre - en profondeur - pourquoi de nombreux Français font ce choix, de migrer vers l'ouest, avant de le juger. La chercheuse autrichienne Sandra Geiger incite les pouvoirs publics à rendre le littoral plus #accessible à leurs #citoyens. Et vous, qu’en pensez-vous ?

💡 La côte ouest française attire, mais non sans tensions... L'appel de l'océan a eu pour conséquence une augmentation significative du nombre d'habitants des régions atlantiques côtières, explique David Miet, urbaniste. Comment gérer au mieux ce flux migratoire? 📣 "En seulement 10 ans, sa population a augmenté de l'équivalent des habitants de Bordeaux, La Rochelle et Nantes réunies... Au-delà du recul du trait de côte et du problème des locations de courte durée, elle mériterait une vraie réflexion d'ensemble. Et cette réflexion commence très certainement par comprendre - en profondeur - pourquoi de nombreux Français font ce choix, de migrer vers l'ouest, avant de le juger." 🎙️ Qu'en pensez-vous? Rejoignez la conversation en commentant le post ci-dessous.

Dans une tribune du Monde en date du 22 novembre 2024, prise de position d’élus de métropoles européennes sur le logement. Ne passent-ils pas à côté de l’essentiel ? Des élus écrivant dans Le Monde à propos du logement, grand est notre étonnement quand nous constatons combien en général ils peuvent être sourds à nos demandes de rendez-vous, nous, acteurs de terrain ! Les villes inclusives n’ont pas grand chose à espérer des seules mesures financières, de prêts et de subventions étatiques et européennes alors que ces élus ignorent les rentes foncières et immobilières, passent sous silence ce qui est ciblé par la ségrégation et les discriminations à savoir les populations migrantes (voir à ce propos la remarquable compilation par Philippe Bernard de 80 ans d’articles du Monde va sur cette thématique) et comptent pour moins que rien celles et ceux qui sur ces territoires sont capables d’apporter cet ingrédient essentiel de leur fertilisation à savoir l’humanité, humus du vivant sous toutes ses formes. À l’heure des multiples cataclysmes annoncés, de toutes natures, dont la dématérialisation déshumanisante imposée par tout le système politico-administratif public et privé, par ce que nous appelons les bureaucraties d’occupation, ne conviendrait-il pas, enfin, que ces élus abandonnent les stratégies de com’ pour intervenir auprès des acteurs que nous sommes, à hauteur de ces femmes et de ces hommes qui sont lassés de tant de silences assourdissants. Pourquoi continuer à ignorer que plus personne ne veut faire cette œuvre commune, mal payée,en première ligne dans de nombreux domaines au sein des territoires, travaux de plus en plus confiés à des populations migrantes que nous ne savons même pas loger. Selon le livre blanc du travail social ce seraient 30 000 postes qui seraient vacants. Combien dans la santé et combien dans l’enseignement, etc. Alors à propos de ce logement inclusif mythique tant vanté, qui est prêt à assurer sa gestion au quotidien dans les quartiers, ces fameux Quartiers Prioritaires de la Ville, délaissés, proies des dealers et abandonnés des autorités ? Nous y avons cru au tournant de 1989 en Europe avec des initiatives comme Quartiers en crise, Urban, Urbact. Nous avions alors le feu sacré (déclaration de Barcelone 1992), un feu vite éteint par les procédures ignorantes et bêtes concoctées par les administrations. Il y a un prix à payer aujourd’hui pour rallumer ce feu. C’est possible, nous y croyons à condition de confier aux acteurs locaux, c’est-à-dire nous qui œuvrons au quotidien sur le terrain, ce que continuent de dilapider tous ceux qui n’ont jamais su « faire avec » la complexité du vivant. Il sont de plus en plus nombreux dans les rouages bureaucratiques. Tout cela nécessiterait de l’humus, de l’humanité et de l’humilité. Qui en est capable ? En la matière nous n’attendons pas du génie mais du courage, beaucoup de courage. Libérons les énergies paralysées !

Festival des Solidarités Internationales de Lyon « La Corrèze avant le Zambèze » : une vision désormais irréaliste de la marche du monde. Les budgets alloués par la France à l’Aide Publique au Développement (APD), comme ceux attribués aux interventions humanitaires, font l’objet de perspectives de réductions drastiques, amenant à la mobilisation récente de 180 ONG à Paris pour dire leur désapprobation des décisions annoncées. La solidarité internationale se trouve ainsi érigée en l’une des variables d’ajustement d’un budget qui cherche partout des sources d’économies. Nouvelle déclinaison des tensions entre « la Corrèze et le Zambèze » selon la formule du député Jean Montalat en 1964, restée célèbre. Pourtant, comment oublier que le développement des nations les plus pauvres est aujourd’hui indispensable à une prospérité durable et apaisée de la planète entière ? Nous vivons dans un « monde globalisé » dans lequel il ne fait plus de doute que les dégradations environnementales, l’émergence de nouvelles maladies infectieuses - qui en représentent l’une des conséquences -, comme les catastrophes naturelles, ne connaissent pas de frontières. Dans cette nouvelle réalité, « tout ce qui est bon pour l’Autre est bon pour moi ». Sans la prise en compte d'une solidarité internationale désormais incontournable, des millions de personnes supplémentaires vont se mettre en mouvement. Ces déplacements forcés sont déjà à l’origine, dans les pays les plus pauvres, d’une urbanisation accélérée et anarchique ; ils provoquent des conflits entre groupes sociaux au sein des régions les plus exposées aux effets du changement climatique. Puis, quand la misère, la violence, la mutilation des biotopes atteignent des niveaux insupportables, dans un sauve-qui-peut qui relève de l’instinct de survie, survient la solution du franchissement des frontières comme ultime promesse de jours meilleurs. Et ce quels que soient les dangers sur le chemin. Ces questions, et d’autres, seront débattues entre les intervenant(e)s et avec le public durant la table-ronde que j’aurai le plaisir d’animer.

Être payé pour habiter ? Ceci n'a rien d'une blague, un certain nombre de Pays / régions se battent pour maintenir ou augmenter leur population ! Pourquoi ? Maintenir une école, rajeunir la population, créer de l'activité économique, peur du "déclin" d'un lieu de vie ... Nombreuses sont les raisons. Aussi, je vous propose de faire un petit tour de ces lieux qui vous payent déjà pour venir y habiter, et vu l'évolution démographique ... Il y a fort à parier que cet enjeu gagnera en importance à l'avenir. (je liste ici un certain nombre d'initiatives, il en existe toutefois d'autres, dont certaines vous proposent des maisons à 1€ ou des programmes spécifiques). Quel regard avez-vous sur ce sujet ? Les villes, régions et pays devront-elles se battre demain pour avoir des habitants ? ______________________ ⚡ Je partage ici des articles et des réflexions autour du travail (et de son futur), de la technologie, et de l'écologie. #travail #emploi #demographie #habitat #europe #monde

#Adapter la #ville au #vieillissement... La France doit faire face à la "révolution de la #longévité". Le Havre ne fait pas exception : en 2030, les #seniors représenteront plus de 20 % de la population. Loin d’être une fatalité, cela doit être un #atout, à condition de l’#anticiper. C’est pourquoi, Le Havre met en place une politique ambitieuse pour bien accompagner les #personnesâgées dans leur #vieillissement, et pour que Le Havre reste une ville où il fait bon #vivre et #bienvieillir. Lien : https://lnkd.in/eQxWnS6D #PRS #seniors #aînés #logement #habitat #immobilier #domicile #solidaire #solidarité #inclusif #participatif #vieillissement #rss #marpa #béguinage #autonomie #inclusion #inclusif #grandage #Dependance #Liensocial #humain #care #transitions #proximité #territoires #Santé #Partagé #aidants #colocation #soins #gériatre Pierre-Olivier Lefebvre

Mayotte Après des jours. Personne ne parle des personnes disparues, cela montre que l'on nous cache la réalité. Le statut de Mayotte n'est pas encore réglé à ce jour, Les Comoriens occupent le terrain par stratégie. La France occupe une partie du territoire des archipels Comores. Cela empêche le développement même si on ne veut pas le dire. Ce qui a sauvé de nombreuses personnes, c'est leur capacité de vivre dans des difficultés permanentes, je pense que de nombreuses personnes savent comment réagir dans de telle situation. Pourquoi la France ne développe pas cette île. La réponse est dans l'histoire récente ou l'occupant avant de partir détruit tous ce qui a été construit. Les Français aujourd'hui ne connaissent pas leur histoire. Avant de quitter Madagascar des personnes faisaient un sale boulot, celui de détruire les outils de travail et autres biens. Dans d'autres pays d'Afrique on tuait vache, cheval, animaux d'élevage, les outils agricoles écrasés par les blindés .... Je pense que si on ne change pas de mentalité, Mayotte ne se développera pas car le Gouvernement Comorien n'a pas renoncé à sa terre. Le gouvernement français ne voudrait pas investir dans ce territoire car si un jour elle doit le rendre, elle voudrait qu'il y ait le moins de bien possible (infrastructure et autres). Soit on développe ce territoire pour le bien de la population sans se soucier du reste soit on s'en va. On ne peut pas laisser une population dans cette situation à cause d'un conflit territorial.

📢 L'Observatoire Régional 2023 est là ! 📢 Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication de notre Observatoire du Réemploi Solidaire en Centre-Val de Loire, une ressource à partager largement pour sensibiliser et mobiliser autour de cette thématique. 🔍 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗰𝗲𝘁 𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘀𝘁-𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 ? Constater et comprendre les impacts : En rendant ces données accessibles, nous vous offrons un état des lieux du réemploi solidaire en région Centre-Val de Loire, et la possibilité de mieux comprendre l'importance de ces structures et de leurs impacts positifs. L'Observatoire est conçu pour vous informer, vous inspirer, vous offrir de la visibilité sur les opportunités d'actions. 🌱 Professionnels ou curieux des sujets de réemploi, cet outil riche en ressource est là pour vous, consultez le juste ici 👉 https://lnkd.in/eyjxZTE7 #observatoirerégional #centrevaldeloire #reemploisolidaire #ressourceries #recycleries #economiecirculaire

🔴 L’eau courante, une conquête pas si vieille que ça La belle photo que vous avez sous les yeux a été prise en 1934 dans le gros bourg de Narni, en Ombrie, une région située au centre de l’Italie, entre la Toscane au nord et le Latium au sud. On y voit une scène banale pour l’époque, en Italie comme ailleurs en Europe du reste : des femmes discutent à la fontaine où elles sont allées chercher de l’eau. Deux précisions à ce sujet. D’une part, le fait que la majorité de la population d’un pays vive en ville est récent. En France, par exemple, il faut attendre le début des années trente du siècle dernier pour que le nombre d’urbains dépasse celui des ruraux. Très longtemps, le village est donc resté le cadre de vie d’une majorité de la population. D’autre part, si les femmes que vous voyez-là sont allées chercher de l’eau à l’une des nombreuses fontaines de Narni, c’est que l’eau courante, à la maison, n’est arrivée que très tardivement chez la plupart des gens dans cette Europe qui s’urbanisait alors rapidement. En France par exemple, en 1930, moins d’un quart des 36 000 communes que compte le pays ne dispose d’un réseau d’adduction assurant la distribution d’eau potable à domicile. Moins d’un quart, dans un pays urbanisé à cinquante pour cent : cela signifie que l’eau courante n’arrive alors ni dans les villages, ni dans les petites villes. Et si vous vous demandez à quelle date l’ensemble des Français a pu bénéficier de l’eau potable à domicile, la réponse est… à la fin des années 80 (du siècle dernier toujours). Peu avant la chute du Mur (1989) mais après la sortie de la Guerre des Etoiles au cinéma (1977).#Europe #France #Italie #Sociabilité #Discussion #Échange #HistoireDépasse #HistoireDeLEau #Urbanisation #ProgrèsTechnologique #InégalitésSociales #ConditionsDeVie #Modernisation #Infrastructures #ÉvolutionSociétale #QualitéDeVie #AccèsÀLEau #ChangementsSociaux