Post de France Festivals

Alors que la première phase du 🦋Printemps de la ruralité 🦋 est déjà bien avancée, il paraît très intéressant de connaître le Gip Cafés Cultures.   Ce Gip gère deux fonds d’aide à l’emploi artistique destinés : 🍴 aux cafés, hôtels et restaurants, 🧑🍳 🎭 aux autres employeurs occasionnels du spectacle vivant, tels que les comités des fêtes, les associations du champ social, les petits commerces, les fermes, les communes de moins de 3500 habitants, etc.   Le GIP Cafés Cultures a plusieurs avantages : ✅ il favorise le lien entre les politiques culturelles portées par les collectivités et le monde du commerce et des entreprises. ✅ il favorise en cela une cohésion et un croisement des publics et qu’il garantit une juste rétribution des artistes locaux. ✅il contribue à encourager et pérenniser l’emploi des artistes et techniciens du spectacle vivant dans ces espaces de vie essentiels à la dynamique culturelle de nos territoires. ✅ bref, il constitue une opportunité de ressources, tant pour les collectivités, les artistes locaux, que pour les commerces concernés ! 👏 De nombreuses villes de toutes les échelles sont déjà adhérentes au dispositif : Strasbourg, Pontivy, Nîmes, Rezé, Plouguiel, Barjols, Grenoble, département du Gard, la Martinique, Département du Puy-de-Dôme...    📝Vous pouvez consulter la liste ici : https://lnkd.in/e9d6Mswy   🖥️ Le webinaire est intitulé « Les cafés cultures : comment soutenir le spectacle vivant dans les lieux de proximité ? »   Invité.e.s :   🎙️Notre invitée est Julie Rosenkranz (Directrice du GIP)   🎙️Et Nicolas Cardou (Directeur général Culture et arts dans la ville / Directeur général adjoint Ville de Nantes chez Nantes Métropole, membre de l’association des DAC des Grandes Villes et Agglomérations, VP FNADAC en charge du lien avec le monde des entreprises) vient témoigner de l’intérêt du dispositif.   Animation : 🎤Christophe Bennet, DAC de la Ville de Cergy, Président de la FNADAC 🎤Axel Mattern, DAC de la Ville de Malzéville, une des chevilles ouvrières de l’ ADACGE Association des DAC du GRAND EST, membre du bureau de la FNADAC   📅 le mercredi 27 mars 2024, de 11h30 à 13h00,   ⚓ sur ZOOM   ✏️ Inscription en suivant ce lien : https://lnkd.in/eWyJE4fV 🚩 Plus d’infos ici : https://lnkd.in/dqRhY4Vw     Prochains 🖥️ Webinaires FNADAC 11h30-13h00 (https://lnkd.in/dqRhY4Vw) avec 🤝 CAE culture avec Stéphane Bossuet, directeur de CAE Artenréel à Strasbourg & Anne Laure Guidicelli Jubran, directrice de la CAE Azelar à Lyon – jeudi 18 avril 🎪 ARTCENA avec Louis Logodin, responsable du service Soutiens aux professionnels, et Zélie Micholet, chargée des soutiens aux arts de la rue et du cirque - jeudi 30 mai   #collterr #collectivitéslocales #territoires #servicepublic #inclusion  🎨 #EAC360 🎨#education #culture #patrimoine #Industries Culturelles et Créatives #musique #art #théâtre #musée #bibliothèque #médiathèque  #transitionécologique #transition #transformation #anthropocene  #DAC

[RESSOURCE] 👀 Guide : "Explorer les chemins de la redirection socio-écologique et repenser nos modèles" Dans le cadre du projet [re]directions, Le Collectif des festivals publie un guide à destination des directeurs et directrices de structures culturelles, co-rédigé par Anne Burlot-thomas (Talents Multiples) et David Irle (Le bureau des acclimatations). Ce guide comprend : • Un état des lieux mettant en exergue des réalités et des attentes sur la transition sociale et écologique du secteur culturel • Une partie méthodes et outils pour définir une stratégie de redirection de son projet artistique et culturel • Des ressources pour produire concrètement un plan d’actions • Des récits fictifs et inspirants proposant différentes clés de redirections ⬇️ Téléchargez le guide : https://lnkd.in/emAaQ_vV [Re]directions est un projet de recherche-action participative de directrices et directeurs de structures culturelles bretonnes coordonné par le Collectif des festivals. En réponse aux défis climatiques, aux inégalités socio-économiques, à une moindre attractivité du secteur et aux conditions de travail souvent précaires, ce projet ambitionne de repenser les modèles culturels pour les rendre plus durables, justes, inclusifs et résilients. 💡 En savoir plus sur le projet : https://lnkd.in/e_h4iVsZ

La saison culturelle 2024 sur les chemins de Compostelle est lancée ! Le thème de cette saison : L’humain fait chemin ! Une belle occasion de valoriser le travail d’animation dans lequel les acteurs du chemin s’engagent ! Les enjeux : - Donner un impact plus fort aux évènementiels organisés par de nombreux acteurs et dispersés sur les territoires - Permettre au grand public de mieux identifier les chemins de Compostelle comme une destination à voir, à visiter, avec un enrichissement au contact de l’histoire et des patrimoines, avec des expériences à vivre et des émotions   -  S’appuyer sur une communication commune et facilement identifiable  - Augmenter la visibilité des manifestations - Mieux valoriser les nombreuses ressources artistiques et culturelles (expositions, conférences, visites guidées, offre de spectacles etc.) Saisissez votre programmation en ligne :  https://lnkd.in/ePQuHm4j (date limite 18 mars 2024) Cahier des charges : https://lnkd.in/e_Meax9h

Quelques années après avoir été qualifiés de non essentiels, les musées, théâtres, tiers-lieux, festivals et autres structures culturelles font face à une crise – tant économique que de sens – sans précédent. 👉 Quand tout s’écroule autour de nous, à quel point le spectacle vivant est important ?  👉 À quels renoncements faut-il se préparer pour rendre les institutions culturelles plus sounetables ? 👉 Que garder dans les musées ? Faut-il limiter les jauges ? Fermer une partie de l’année ? Emilie Robert, Delphine MARIELLE, Diego Landivar et David Irle en discutent à l'occasion d'une table ronde à la Friche la Belle de Mai à Marseille sur la redirection écologique. Un cadre théorique qui, appliqué à la culture, propose de transformer en profondeur les usages et la raison d’être des structures pour les adapter aux limites planétaires. Ville de Marseille Bonnie Caroff Juliette Roques Baptiste Thomasset

𝗗𝘂 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗰𝘁𝗲𝘀 : 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲̀𝗺𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗲𝗻𝗮𝗻𝘁·𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗿𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗹𝗼̂𝘁𝘂𝗿𝗲 : 𝗟𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻, 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗶𝗮𝗹𝗼𝗴𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 Les transitions sociales et écologiques nous invitent à redéfinir la place donnée dans nos projets professionnels au vivant, au débat, à la participation citoyenne, aux droits culturels et à nos imaginaires. Autant de mots et de concepts à déconstruire, reconstruire, réinventer pour leur donner une force et un sens partagés, et ainsi mieux définir également notre utilité sociale. “Transiter” sera tout autant un voyage qu’une transformation de nos modes de faire, de nos gestes professionnels et de nos organisations. Si comme le disait Lucie Sauvé, le développement durable est avant tout un développement de sociétés durables et responsables, espérons que ce voyage sera collectif et coopératif.   Avec : Grégory HUCHON, directeur de la CRESS Bretagne, Maryline Lair, directrice du Le Collectif des festivals, Solweig Barbier, déléguée générale d’ARVIVA - Arts vivants, Arts durables, Xavier Person, directeur de Livre et lecture en Bretagne BRUDED (intervenant·e à préciser), Modération par Arnaud Wassmer Les Actes Bretagne : des rencontres régionales proposées par le Collectif des festivals, avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles, de la Région Bretagne et en partenariat avec les réseaux culturels en Bretagne. Spectacle vivant en Bretagne SUPERMAB Bretagne musées - réseau des musées bretons art contemporain en Bretagne ANCRE réseau jeune public en Bretagne FEDERATION DES ARTS DE LA RUE EN BRETAGNE Culture Lab 29 l'agence culturelle du Finistère Bretagne Culture Diversité CORLAB Confédération Kenleur Bodadeg ar Sonerion Maxime Molé Lucas Berrezaie Alix Davasse Rudy Guilhem-Ducléon Laura Zarkovic Anne Boubila Violaine Dano

Publication du guide "Explorer les chemins de la redirection socio-écologique et repenser nos modèles" Dans le cadre du projet [re]directions, le Collectif des festivals publie un guide à destination des directeurs et directrices de structures culturelles, co-rédigé par Anne Burlot-thomas (Talents Multiples) et David Irle (Le bureau des acclimatations) Ce guide comprend : • Un état des lieux mettant en exergue des réalités et des attentes sur la transition sociale et écologique du secteur culturel. • Une partie méthodes et outils pour définir une stratégie de redirection de son projet artistique et culturel. • Des ressources pour produire concrètement un plan d’actions. • Des récits fictifs et inspirants proposant différentes clés de redirections. Téléchargez le guide : https://lnkd.in/emAaQ_vV [Re]directions est un projet de recherche-action participative de directrices et directeurs de structures culturelles bretonnes coordonné par le Collectif des festivals. En réponse aux défis climatiques, aux inégalités socio-économiques, à une moindre attractivité du secteur et aux conditions de travail souvent précaires, ce projet ambitionne de repenser les modèles culturels pour les rendre plus durables, justes, inclusifs et résilients. En savoir plus sur le projet : https://lnkd.in/e_h4iVsZ Maxime Molé Maryline Lair Paméla Devineau Cyril Delfosse Emilie Cherbonnel Rudy Guilhem-Ducléon Elsa Rouland Gabriel Delabouglise Lucas Berrezaie Alix Davasse

Les quartiers prioritaires : des déserts culturels ? Pas vraiment ! Contrairement aux idées reçues, les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) ne sont pas des "déserts culturels". Bien au contraire, le spectacle vivant y connaît une véritable vitalité ! ➡️ Une mission de l'Inspection générale des affaires culturelles (IGAC) révèle que 35 % des habitants des QPV assistent régulièrement à des concerts, 28 % participent à des festivals, et 23 % vont au théâtre. Ces chiffres démontrent que les pratiques culturelles dans ces quartiers sont aussi dynamiques que dans le reste du pays. Mais alors, pourquoi cette image de "désert culturel" persiste-t-elle ? 🤔 Le rapport souligne des freins encore trop présents : manque de temps, coût des billets, offre inadaptée, problèmes de mobilité… Autant de barrières que l'IGAC propose de surmonter par une politique culturelle plus audacieuse : concerts et festivals locaux, ateliers participatifs, résidences d'artistes. ⚡ Toutefois, une cartographie de l'offre culturelle montre que les QPV sont moins bien dotés en équipements culturels que le reste du territoire national : seulement 2,5 % des infrastructures y sont présentes, bien que ces quartiers accueillent 8,2 % de la population. Résultat ? 18 % des QPV n’ont aucune structure culturelle, créant des zones de grande privation. 👉 Pour changer la donne, l'IGAC recommande de : ☑ Doter prioritairement en équipements culturels les 18 % de QPV dépourvus de toute structure ☑ Soutenir activement les initiatives culturelles locales (concerts, ateliers, spectacles) ☑ Encourager des résidences d'artistes et des événements de proximité pour répondre aux attentes des habitants #CulturePourTous #SpectacleVivant #CohesionSociale #InnovationCulturelle #PolitiqueDeLaVille Consultez le rapport complet ici ! 📑

“Printemps de la ruralité” Le Ministère de la culture lance une grande concertation nationale sur la vie culturelle en milieu rural jusqu’au 31 mars 2024. https://lnkd.in/giPaiTCE Ma proposition en accord des professionnels concernés : Favoriser la convivialité et l’agréabilité des espaces d’accueil pour les petites structures (Bars restaurants, associations…) qui ne sont plus en capacité d’accueillir des musiciens (Amateurs ou professionnels) au vu de la complexité des démarches administratives et des coûts induits. Constat : Peu ou plus de musiciens sur les terrasses des restaurants, des bars ou autres établissements de petite envergure contrairement à ce que l’on a connu dans les années 70/80. Au moment, jouer de la musique en tous lieux était facile et sans contrainte pour se produire de manière spontanée, une certaine liberté apportant de l’agréabilité, détente et douceur de vie quotidienne aux passants. Aujourd’hui les petites structures préfèrent le plus souvent « jeter l’éponge » ! Les contraintes, déclarations préalables des droits d’auteurs et coûts induits, sont disproportionnés par rapport à leur capacité d’accueil ce qui entraine l’inactivité et par voie de conséquences le désert des artistes musiciens dans nombre de lieux de proximité. Pourtant, ces artistes ne contribuent-il pas à agrémenter le quotidien de tout un chacun et de notoriété à adoucir les mœurs en collectivité ? Réflexion : Les organisateurs de petites structures sont tenus autant que les exploitants de spectacle à la déclaration préalable et au paiement de la redevance Sacem. Simplifier les démarches pour ces derniers et alléger les coûts sont nécessaires. De plus, le mode du calcul de la redevance pour financer les auteurs compositeurs est-il aujourd’hui équitable ? La Sacem affiche un record de collectes +34% par rapport à 2021 (source Les Échos) et ce en vertu principalement de l’imposition des plateformes existantes sur internet. Ces plateformes permettent de mieux mesurer le flux et d’identifier précisément les œuvres écoutées afin de rémunérer plus équitablement les auteurs compositeurs. Ne pourrait-on pas procéder à un rééquilibrage vis-à-vis des petites structures ? 1 - Simplifier drastiquement les démarches. 2 – Forfaitiser voire exonérer lesdites structures de la redevance SACEM au regard de leur faible budget afin de libérer les freins à l’emploi des artistes musiciens. Ces derniers ne sont-ils pas des relais actifs pour transcender l’œuvre des auteurs compositeurs ? 3 - Réduire les charges patronales des entités à faible budget pour la rémunération des musiciens. Ainsi, Redonner du sens, créer des opportunités et des moyens équitables au profit d’une vie culturelle en milieu rural enrichie. .

📌 Nouveau virus de la recherche📌 [Les festivals à l'épreuve de la transition] 🔗 bit.ly/4bpB8KM ✒ D'Emmanuel Négrier de l'Université de Montpellier. ➡Comment les responsables de festival se projettent-ils à moyen terme à la tête de leur organisation et au regard des défis économiques et écologiques ? La prospective des festivals, c’est d’abord la vision d’avenir que leurs organisateurs portent en tant que personnes, puis les incertitudes majeures auxquelles le festival estime devoir faire face, notamment en matière environnementale. Le futur possible varie selon l’âge du festival, sa localisation, son budget et son orientation artistique. #société #science #environnement #impact #évolution #défi #étude #édition #social #économie #professionnel #relation #partage #engagement #auteur #Festival #avenir #environnement #écologie #Localisation #budget #art #organisation Montpellier Management Faculté d'Economie - Université de Montpellier Management Magazine

Festivals en milieu rural : une étude démontre comment ils pèsent (lourd) dans le paysage culturel français