Post de Franck Fouqueray

La simplification finale. Quand on truque le débat en racontant pendant des années des mensonges aux français, qu’on fait des approximations volontaires en confondant mourir de soif et être déshydraté en fin de vie, qu’on a ses entrées dans tous les appareils de l’état CCNE compris, qu’on oblige les participants de la pseudo convention citoyenne supervisée par le lobby de l’euthanasie à signer des questions orientées en disant « pour le détail on verra plus tard », on arrive invariablement à la justification de M. Cohen. Regardez c’est légitime ! Concernant le religieux je ne comprends pas qu’on continue de demander son avis à tous les représentants du catholicisme et pas des autres religions. Pourquoi pas la religion juive ou musulmane ? Ou mieux ! Qu’on arrête de leur poser des questions. On est dans un pays laïque. La simplification encore quand Claire Fourcade et la SFAP sont prises à parti et réduites à des militantes bornées en réduisant toutes les tentatives pour donner de l’information scientifique sourcée ces 3 dernières années, à un aveuglement corporatiste. Simplification encore face aux critères restrictifs de la loi qui se profile, alors même que tous les partisans de l’euthanasie savent qu’ils ont volé en éclat dans tous les pays qui l’ont légalisée et se disent déjà prêts à faire sauter les digues. On en revient toujours au même point, ce que le consommateur veut il doit l’avoir. La mort n’est plus qu’un produit de consommation poussé sur le marché par l’avidité des cliniques euthanasiques qui sont sur les starting-block pour démarrer les juteux profits qu’ils vont en tirer. La mort remboursée par la sécurité sociale avec la chambre 4 étoiles en supplément. Rien sur la banalisation du geste de tuer, en bons Ponce Pilates du siècle nouveau, rien sur ce que ça provoque d’injecter une solution létale. Autant pour moi c’est vrai, personne n’en n’a rien à faire des soignants qui vont devoir le faire. Clause de conscience vous avez dit ? Obligation d’orienter vers un médecin euthanasieur. Ça tombe bien y’aura forcément la clinique connue pour la pratiquer juste à côté ! La peine de mort avec ses réductions, son happy hour, ses publicités dans le métro. Par contre pour le service après-vente si on prend l’exemple belge il n’existera pas. Ni repris ni échangé. Tout ça ce sera sans moi.

🔥 "𝘓'𝘦𝘳𝘳𝘦𝘶𝘳 𝘦𝘯 𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘥'𝘰𝘶̀ 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘷𝘪𝘦𝘯𝘵, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘢𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘰𝘶̀ 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘷𝘢." - Aurélien Barrau Je m'apprêtais à écrire un post sur le thème de l'éco-anxiété, et puis je suis tombée sur la vidéo de la conversation publique "Heureuses erreurs" d'Aurélien Barrau et Camille Boitel - ce qui m'a fait construire un pont (de singe...) entre les deux sujets. Depuis que j'ai tout plaqué il y a 5 ans pour cause d'éco-anxiété, je me suis souvent questionnée sur ce thème de l'erreur: "Ai-je bien fait de quitter mon travail au CNRS ? Ai-je bien fait de quitter mon apart parisien ? Ai-je bien fait de partir vivre à 500km de ma fille sous prétexte de lui préparer un meilleur avenir ? Qu'ai-je finalement accompli depuis ? Se peut-il que j'ai fait fausse route depuis le début ?"... 🛣️ 𝘜𝘯𝘦 𝘳𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘰𝘶̀ ? 🚧 Je pourrais raconter mon histoire pour qu'elle ressemble à une success story (=histoire sans erreurs), mais la vérité c'est que je me sens cabossée et que je regrette clairement certains choix (=histoire avec erreurs). 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗳𝗮𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀 - disent Aurélien et Camille -, et la seule souffrance qu'elles peuvent générer vient du regard binaire que nous portons sur elles (= "c'est bien" ou "c'est mal"). Alors serait-il possible de 𝘀'𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗿𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗻𝗼𝘀 "𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀" 𝗲𝘁 𝗱'𝘆 𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗹'𝗮𝗰𝗰𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗮𝘂 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 ? Mais en reconnectant ce thème de l'erreur à celui de l'éco-anxiété, je me demande: serait-il aussi possible de 𝘀'𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗿𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 "𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀" 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗲̀𝗰𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗻𝗲̀𝘁𝗲, et d'y voir la même exploration du champ des possibles ? Ce qui, encore une fois, n'excuse en rien les atrocités du monde, qu'elles soient individuelles ou collectives et n'enlève rien à la confrontation du champ des possibles aux limites planétaires - mais nous amène simplement à 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗿𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗻𝗶𝘁𝗲́. En ce qui me concerne, cette pensée - assez subversive - est finalement la seule qui parvient à véritablement apaiser mon éco-anxiété. Merci en tous les cas à Aurélien et Camille pour leur étonnant binôme. Je retiendrai surtout qu'il est barbant de tout réussir, et que ce que nous aimons par dessus tout chez les autres, ce sont leurs fragilités... #successstory #erreurs #arts PS: une autre ressource que je recommande sur le thème des erreurs: "les vertus de l'échec" de Charles Pépin.

Mépris et arrogance, des fléaux aux lourdes conséquences… pour les entreprises et les personnes ! Et pourtant, on observe bien trop souvent ce type de comportements ! Avec StoryRH on revient sur la bombe à retardement que ces attitudes peuvent constituer. 👇

SORTIR DE L’ESCLAVAGE INTÉRIEUR : UN CHEMIN DE FORCE ET DE COURAGE Pour les Âmes en Évolution et en Élévation, il est essentiel de reconnaître et de transcender les chaînes qui nous emprisonnent intérieurement. .  https://lnkd.in/eUxeAHyS

Un recueil très intéressant pour prendre du recul sur cette période dont on n'aime plus dire le nom. 👍 Si vous aimez les portraits, la sociologie, et observer le monde, ce livre est fait pour vous. 📖 #littérature #culture #pandémie

Le poids des images… qui aurait pu penser au moment du tournage de ce film fait par une bande de jeunes déjantés que toute une profession serait tant mise à l’honneur avec la valorisation aussi splendide pour ESF Ecole du Ski Français. Leur hommage à Michel Blanc est beau, blanc immaculé. Les bronzés font du ski est probablement l’une des rares suites qui aura encore plus marqué son public que le premier opus « les bronzés ». Au cirque, le clown qui pleure , le mélancolique est l’Auguste, souffre douleur de son partenaire le clown blanc. Au cinéma, l’Auguste qui nous a tant créé d’émotions était le clown Blanc. Je l’ai eu comme client dans un de mes commerces… il n’était pas drôle du tout dans mes souvenirs. Les différents hommages m’ont rappelé que même si on fait de ses faiblesses une force, au fond de nous, on reste des personnes blessées. On croise tous des vilains petits canards trop ou pas assez quelque chose…. Gros, maigre, moustachu, Blanc, Noir…. Les vilains petits canards apprennent à donner le change et à vivre avec leurs différences. Mais n’oubliez pas de les respecter et de les aimer aussi parce qu’au fond, il restent ces mélancoliques Augustes victimes de leurs congenaires. Merci Michel Blanc s’avoir été noir contrairement à Michel Noir (pour ceux qui ont la ref) Au delà de la puissance comique je garde de ce jeu d’acteur la capacité à rappeler que même avec obstination, lorsqu’on est un peu différent, même avec beaucoup de talent, ce n’est pas facile de conclure.. L’un de ses plus beaux rôles lui a été offert par une autre personne un peu différente: Isabelle Mergault dans « Je vous trouve très beau ». Comme une boucle qui se refermait. Parce que dans ce rôle, Michel Blanc cherche toujours à conclure… mais avec une certaine lucidité. Michel Blanc est inspirant dans nos relations à l’autre, inspirant pour appréhender la différence lorqu’on est emmené à faire des ressources humaines. Le talent est souvent un peu différent.

La relation : "Là où l'espace Tiers se ressent, se pense et s'édifie comme un lieu vivant". Humilité dans la relation = 1+1 = 3 (Aristote) Nouvel extrait de l'Avant-propos de "L'enfant de la Terre" : "En psychologie des systèmes, le comporte-  ment troublant d’un membre de famille consti-  tue un signe, voire un symptôme de relations  intrafamiliales douloureuses, parfois toxiques.  Et un symptôme raconte toujours une histoire  que tout thérapeute se doit d’écouter et d’ac-  compagner.  Quelquefois,  la  partie  blessée  de la famille ne peut rien seule. C’est la res-  ponsabilité de l’ensemble de la famille qui est  engagée afin de ne pas laisser la souffrance  et  l’autodestruction  de  la  famille  s’installer  davantage. Le processus de guérison familial  peut passer par la mise en lumière des souf-  frances et fonctionnements parfois invisibles  ou indicibles portés par chaque membre sou-  haitant toujours faire famille ensemble. Mais  également, le soin passe par une remise en  question de tous les membres de la famille et  permet d’activer une volonté et une habileté  à transformer, changer les règles familiales  et  les  relations  internes.  D’autres  valeurs,  maximes  et  directions  peuvent  être  alors  co-construites.  En  définitive,  une  édification  collective qui s’émancipe de la souffrance du  passé et qui donne un sens nouveau à la vie  et au vivre ensemble. Que la société calédo-  nienne puisse trouver la voie d’un tel proces-  sus de guérison dans lequel les soignants de  tous les mondes sont attendus. (...) Prendre  une  direction  commune,  favorable à notre épanouissement, passe par  un préalable incontournable, celui de ne faire  qu’un seul peuple. Le peuple souverain, c’est  la nation. Et la nation existe uniquement si le  peuple a envie de vivre ensemble. Alors nous  pourrions souhaiter et prier la nouvelle nais-  sance du Sacré Cœur. A la santé de Momaawé (paix et tranquillité, la vie à jamais), des kanaké et de tous les calédoniens reliés par la langue française et  les langues des kaponé (autochtone, "qui est issu de la terre")! Merci-Olé  Grégory Simon Texte complet disponible ici : https://lnkd.in/eVbSPyDD

https://lnkd.in/eNbNHfMv Des Oncles et Tantes d'Amérique à (re)découvrir  différemment...

Un nouvel article sur mon site : nous sommes tous composés de plusieurs parties, mais nous avons aussi tous un moi profond ou Self qui peut reprendre le pouvoir et nous permettre de vivre vraiment ce que nous voulons vivre.

Vénus Sagittaire, sur une grille de lecture socio-culturelle, tend vers des amours lointains, et plus précisément celui des idoles...