La grande consultation des entrepreneurs de mars 2024 (CCI France avec OpinionWay ) Les points clefs : 👉Les chefs des entreprises comptant 1 à 2 salariés ressentent fortement les effets de l’inflation par rapport à février : 48% indiquent qu’elle pourrait les contraindre à baisser leur rémunération (+8 pts). 👉18% des dirigeants ont l’intention d’augmenter les effectifs de leur entreprise dans les 12 prochains mois, soit 3 points de plus en un mois. 👉22% des chefs d’entreprise ont confiance dans les perspectives de l’économie française pour les 12 prochains mois, soit 1 point de moins qu’en février. 👉L’image de l’Union européenne auprès des chefs d’entreprise est mitigée : positive pour 49%. 👉Pour 56% des dirigeants, l’Union européenne améliore la coopération économique entre la France entre les Etats membres. 👉A leurs yeux, la France arrive en tête des pays les plus propices pour entreprendre dans l’UE (34%), suivie de l’Allemagne (29%). Les autres Etats membres sont nettement moins cités (en 3 ème place, l’Espagne à 6%). Lien vers le document : https://lnkd.in/e3gMn-uk
Post de Frédéric Visnovsky
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La grande consultation des entrepreneurs de CCI France avec OpinionWay 👉 L’indicateur de l’optimisme des chefs d’entreprise s’établit à 82 points en juin, affichant une chute de 9 points qui efface complètement la progression du mois de mai. 👉19% des dirigeants se disent confiants dans les perspectives de l’économie française pour les 12 prochains mois, soit 7 points de moins qu’en mai. 👉Malgré le contexte, les intentions d’embauche ne sont pas impactées : 78% des chefs d’entreprise comptent maintenir leurs effectifs (+1 point) et 15% envisagent toujours de les augmenter (stable). 👉43% des chefs d’entreprise s’attendent à ce que le résultat des élections européennes ait un impact sur leur activité, qu’il soit positif (23%), négatif (7%) ou indéterminé à ce stade (13%). 👉Dans une optique plus large, 66% des dirigeants redoutent que la situation politique française actuelle ait des conséquences dans leur entreprise. 👉La réduction des charges et de la règlementation est l’attente prioritaire des chefs d’entreprise pour les prochains mois (72%). Lien vers le document https://lnkd.in/grjSQMMg
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Selon une étude récente de la Confédération des PME (CPME), 20% des dirigeants de TPE-PME gagnent moins que le SMIC, soit moins de 1 400 euros par mois. Oui, tu as bien lu ! Quelques chiffres clés : 20% des patrons de TPE-PME perçoivent moins de 1 400 euros par mois. 31% d'entre eux gagnent entre 1 400 et 2 600 euros mensuels. 25% des dirigeants ont une rémunération mensuelle entre 2 600 et 4 000 euros. Seulement 25% des patrons gagnent plus de 4 000 euros par mois. Une réalité souvent méconnue Contrairement à certaines idées reçues, les chefs d'entreprise ne "s'en mettent pas plein les poches". Ils sont aussi confrontés à des défis financiers et doivent jongler avec les contraintes réglementaires et les difficultés économiques. Mais ce n’est pas tout ! On estime en moyenne que les dirigeants travaillent plus de 47 heures par semaine. Chez Buddey nous t’accompagnons pour développer ton entreprise et faire de ton projet une activité pérenne ! Alors n’hésite pas, si tu as des questions, prends rendez-vous dès maintenant sur notre site !
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Grande consultation des entrepreneurs de mars : un bilan mitigé sur l’Europe La dernière grande consultation réalisée par CCI France auprès 1028 dirigeants d’entreprises comptant au moins 1 salarié intégrait des questions européennes. Les résultats montrent une image mitigée de l’UE pour les entreprises de 3 à 49 salariés (image positive à 54%). Pour 61% des dirigeants de cette catégorie, l’UE contribue toutefois à améliorer la coopération économique entre la France et les autres États membres. La perception de l’UE est en revanche en retrait pour les TPE (1 à 2 salariés), avec 49% d’opinions favorables, même si pour 56% de ces dirigeants, l’UE améliore la coopération économique. La France arrive en tête des pays les plus propices pour entreprendre, et l’Allemagne en deuxième position. La simplification arrive très largement en tête des préoccupations des entreprises en ce qui concerne l'UE. Quelques enseignements : - l'UE reste pour les entreprises le bon niveau pour faire face aux défis, - le couple franco-allemand est leader pour entreprendre, - l'UE doit être plus simple, plus visible sur le terrain, et plus concrète pour que tous les publics se sentent impliqués, - Et plus inclusive pour les TPE/PME dans la mise en œuvre des politiques économiques, notamment dans l'accompagnement aux transitions. En savoir plus : https://lnkd.in/eak54T8m
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💁 C’est la question que se pose régulièrement un chef d’#entreprise. Aujourd’hui avec la période incertaine et l’#inflation en cours, de plus en plus d’entreprises préfèrent se tourner vers la deuxième option et conserver leurs locaux actuels. 💶 Cette solution qui apparaît plus attractive d’un point de vue financier doit néanmoins être bien pensée pour être effectivement intéressante d’un point de vue économique et fonctionnel. ❓Alors quels critères faut-il prendre en compte pour faire les bons choix? https://lnkd.in/gGkRmp8S
Bureaux d’entreprise : Pourquoi toujours déménager alors que l’on peut réaménager ?
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🔎 Entre hausses d’impôts et création d’emplois, il faut choisir. L’interview de Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France, publiée hier dans Le Parisien, met en lumière des enjeux cruciaux pour notre économie. En tant que co-président de la commission MEDEF entrepreneuriat, je partage sa préoccupation face aux orientations budgétaires actuelles. La hausse du coût du travail, avec ses conséquences sur l’emploi, les salaires et la compétitivité de nos entreprises, est un risque que nous ne pouvons pas nous permettre. 📉 8 milliards d’euros d’alourdissement du coût du travail ? Cela mettrait en péril des centaines de milliers d’emplois et ralentirait nos efforts pour dynamiser l’économie. Comme le souligne Patrick Martin, il faut éviter cette trajectoire récessive. 👉 Quelles solutions ? - TVA sociale : Une alternative qui allègerait les charges sur les salaires, augmenterait le pouvoir d’achat des salariés et renforcerait notre compétitivité à l’international. - Arbitrage entre actifs et retraités : Pour garantir notre modèle social, nous devons avoir le courage d’affronter des choix difficiles, mais nécessaires, avec un équilibre juste et durable. 💡 L’appel à une réponse européenne est également essentiel. Les défis mondiaux exigent des actions coordonnées, ambitieuses et visionnaires. Le sommet trilatéral organisé par le Mouvement des Entreprises de France cette semaine est une opportunité majeure pour définir un cap commun avec nos homologues allemands et italiens, et pour porter un message fort sur la compétitivité européenne. 📢 Entrepreneurs, décideurs, citoyens : engageons-nous pour une économie plus robuste, compétitive et juste. Et vous, qu’en pensez-vous ? Quelles pistes privilégieriez-vous pour garantir un développement économique durable en France et en Europe ? #Économie #Emploi #Entrepreneuriat #Compétitivité #TVASociale #Europe https://lnkd.in/eSkPXvgq Patrick Martin Vincent Le Roux Garance Pineau Alexandre Farro Fabrice Le Saché Paola Fabiani David Butet Jean-Louis Albertini Frédéric Bedin Catherine Charrier-Leflaive Ghislain d'Alançon Emilie DE LOMBARES Romain de TELLIER Benjamin GRANGE Yann Orpin Tushendan Rasiah Dr HC Marie Christine OGHLY Amaury de Buchet Alexandre Allemand Charles Znaty
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🔴 Interview sur Europe 1 : Prévisions économiques alarmantes pour 2024 Notre secrétaire général Marc Sanchez était l’invité éco de Stéphanie De Muru sur Europe 1 Le sujet principal était porté sur les inquiétudes des dirigeants de petites entreprises concernant les législatives et le programme du Nouveau Front Populaire qui risque de provoquer un écroulement économique pour les TPE. Selon notre enquête, 81% des chefs d’entreprise sont insatisfaits des résultats actuels. La réaction est moins politique qu’entrepreneuriale. En effet, l’opinion dominante selon laquelle le NFP (Nouveau Front Populaire) serait en capacité d’appliquer son programme (hausse du SMIC, indexation des salaires sur l’inflation, hausse des impôts,…) est particulièrement effrayante pour ces chefs d’entreprise. Ces derniers expriment depuis plusieurs mois des difficultés dans l’exercice de leur activité, des problématiques de trésorerie voire de recrutement sans être considérés par les pouvoirs publics enclins à une vision macro plus flatteuse. Par ailleurs, rappelons une nouvelle fois que les responsables de TPE ne sont pas opposés par principe à augmenter la rémunération de leurs salariés ou proposer des niveaux de rémunération plus attractifs, sous réserve que les charges attachées n’augmentent pas. Découvrez l’interview intégrale sur : https://lnkd.in/edK2quWF Merci à Europe 1 pour cette opportunité de discuter de ces enjeux cruciaux.
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L'économie sous tension : investissements en berne, commandes annulées, embauches gelées… Les signaux d’un essoufflement économique s’accumulent, laissant planer le risque d’un cercle vicieux. Face à cette situation, les dirigeants français s’accordent sur un point : mieux vaut un budget imparfait que l’absence totale de budget, afin de ne pas compromettre la reprise économique tant attendue.
Face au désordre politique, les chefs d’entreprise en colère
lefigaro.fr
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💁 C’est la question que se pose régulièrement un chef d’#entreprise. Aujourd’hui avec la période incertaine et l’#inflation en cours, de plus en plus d’entreprises préfèrent se tourner vers la deuxième option et conserver leurs locaux actuels. 💶 Cette solution qui apparaît plus attractive d’un point de vue financier doit néanmoins être bien pensée pour être effectivement intéressante d’un point de vue économique et fonctionnel. ❓Alors quels critères faut-il prendre en compte pour faire les bons choix? https://lnkd.in/e67pWNDt
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📢 Entrepreneurs : allons-nous encore payer l’addition? Entrepreneurs de PME et d’ETI, présents partout en France, nous alertons nos responsables politiques sur les risques d’une hausse inconsidérée de la fiscalité et des charges sociales et des conséquences sociales, économiques et géopolitiques irréversibles pour notre pays et nos entreprises. 1️⃣ 👉 Sur l’#emploi : Alors que la France détient déjà le triste record de plus forte fiscalité de l’Union Européenne, une nouvelle hausse de la taxation du travail pénalisera directement l’emploi : ralentissement des embauches, remontée du chômage pour nos entreprises à bout de souffle entre la dégradation de leurs marges liée à l’inflation, la hausse des matières premières, de l’énergie et des taux d’intérêt et leurs besoins d’investissement accrus par la transition énergétique ; 2️⃣ 👉 Sur la #pérennité de nos entreprises : « Ne jamais sacrifier l’avenir au présent ». C’est en rappelant ces mots de Pierre Mendès France que Michel Barnier a commencé sa déclaration de politique générale. Cela correspond à ce que je plaide dans les Ministères et à l’Assemblée depuis maintenant deux ans : la préférence pour le futur comme horizon partagé de l’action politique et économique. Les entreprises ont besoin de stabilité fiscale pour innover, recruter, se développer et s’inscrire dans la préférence pour le futur. 3️⃣ 👉 Sur notre #attractivité : Nos entreprises ont besoin de capital pour se développer. Tout l’enjeu est de le guider intelligemment pour qu’il favorise la création d’activité, de richesses et d’emplois. En 2024, ne rejouons pas la guerre du capital contre le travail. Les deux vont de pair et doivent fonctionner ensemble pour développer notre économie. Ne nous y trompons pas : pour sortir de cette crise, nous devons dépenser moins et prendre le chemin d’un état plus frugal et agile. CroissancePlus Edith LETOURNEL Laurent Vronski Alexandre Pébereau Patrick Abadie Céline GARRISSON Thibault Baranger
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