L’art abstrait : une énigme …? Bien souvent, le visiteur d’un musée ou d’une exposition se retrouve devant un tableau abstrait comme devant une énigme. Et quand on sait qu'en moyenne les visiteurs d'un musée passent 17 secondes devant un tableau ....regarder sans doute mais voir ! En savoir plus sur les abstractions : https://lnkd.in/exZ2Hbu7
Post de GaleriePatrickBurtin Galerie d'Art, Œuvres d'art XXème
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#quote Dans notre société contemporaine, on a l’habitude de toujours voir des cartes du monde semblables. Que ce soit une projection Mercator ou une projection cylindrique équidistante, nous sommes accoutumés à cette vision. Pourtant, il ne faut pas oublier que la projection, les figurés, les couleurs mises sur une carte restent avant tous des conventions, subordonnées à un contexte. Comme le rappel de cet extrait, tous les éléments constitutifs d’une carte (les coloris, l’orientation, la légende, etc.) relèvent de choix, qui représente tout autant qu’il reproduit une « réalité » terrestre. Chacune de ces décisions, aussi infime soit-elle, présuppose une sélection, construite sur des jugements objectifs ou subjectifs de lea cartographe. Que ce soit pour des raisons pratiques, de designs, ou politiques, chaque carte ne reste qu’une vision du monde particulière, subordonnée à l’intention cartographique de son créateur. #cartography #map #geopolitics Source : BARJAVEL, René, (2013), La nuit des temps, Sant Andreu de la Barca, éditions Pocket, 416p.
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🎨 "Quand l'Art s'exprime dans le Métro - Édition 2" 🚇 Découvrez le deuxième groupe d'artistes composé des artistes suivants : Alice Hébert, Ève Debigaré, Lhasa Simard, Sara Jodoin, et Zhora Tricou Le Pennec, qui présente leur projet dans notre vitrine située au métro Berri-UQAM nommée Image.s, 2024 🖼️ Image.s, 2024 🎨 est bien plus qu'un simple projet artistique, c'est une exploration audacieuse de la matérialité de l'image. D’ailleurs le collectif – encadré par les professeurs Gwenaël Bélanger et Andrée-Anne Dupuis-Bourret - s’engage dans une recherche profonde afin de comprendre comment une même image peut s'insérer dans le réel de multiples façons ! le tout à travers leur cours AVM3500 - Problématique de l’estampe : le multiple, la série, l’édition 🔍 Dans cette quête, (et on les cite) : « nous fragmentons, altérons et dégradons l'image, la transposant sur une multitude de supports à l'aide de techniques d'impression variées. Vous verrez l'image se métamorphoser, se déconstruire, mais chaque altération participe à sa propre reconstruction, créant ainsi une nouvelle perspective, une nouvelle narration ». Rejoignez-nous dans cette aventure où l'art et la matérialité se rencontrent pour créer quelque chose d'extraordinaire. Restez à l'affût pour découvrir nos installations dans les stations de métro Berri-UQAM ! Techniques utilisées : Sérigraphie sur faïence, Plexiglas, tissus et papiers. Impression numérique sur papier. Photogravure sur cuivre. Transferts sur plâtre, bois et papiers. Dimensions variables. Crédit photo : Claude Jr Labonté-Lefebvre. @ecole_arts_visuels_uqam @artsuqam UQAM | Université du Québec à Montréal
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Billet 1 – 7 février 2024 A Sciences Po, il y avait une conférence organisée par l’Ecole Urbaine et la Maisons des Arts de Sciences Po sur le thème « Dessiner la ville : 4 rencontres sur les liens entre arts et territoires ». Les intervenants choisis et modérés par Jeanne Varaldi, artiste et intervenante à Sciences Po, proposaient différents éclairages de l’approche de l’espace public comme terrain de jeu de l'art : Florence Cocozza, fondatrice de Art City Agency, Pascal Le Brun-Cordier, Directeur artistique et responsable du Maser « Projets culturels dans l’espace public », Malte Martin, designer graphique et plasticien. Les prises de paroles étaient intéressantes et ouvertes. Assez vite, j’ai réalisé qu’une question restait finalement en suspend…De quel art parle-t-on dans l’espace public ? Des arts vivants, des arts plastiques ? Les arts plastiques héritent du passé de commande publique qui lui confère une position particulière. Depuis une trentaine d’année, les graffeurs ont investi la ville en inventant de nouvelles formes d’art. Dans un registre très différent, Daniel Buren, Michelangelo Pistoletto, Matta Clarck dès les années 70, pour ne nommer qu’eux, ont cherché à déplacer le regard des usagers, à bousculer les idées reçues de la commande publique, et à créer du lien. Aujourd’hui, l’artiste JR explore ces notions en mêlant arts plastiques, photographie et arts vivants de façon spectaculaire et actuelle. Que ce soit un art pérenne, un art éphémère ou vivant, le sujet de l’art, quand il exerce un rôle social et politique, est délicat. Il est de plus en plus question de convivialité, de mode de vie avec les habitants, de vivre ensemble. Qu’est-ce que l’art a à voir avec ces questions de politique publique ? Nicolas Bourriaud a écrit ceci dans « L’esthétique relationnelle » : « Le problème de l’art n’est plus d’élargir les limites de l’art mais d’éprouver les capacités de résistance de l’art à l’intérieur du champ social global. ». Quelle que soit la façon de comprendre cette phrase, elle indique que des lignes bougent... En écoutant les intervenants de cette conférence, j’ai réalisé que ma façon d’aborder l’art avait quelque chose de vraiment spécifique. En tant qu’artiste et au sein de l’association Œuvre Participative, nous invitons un large public à une expression spontanée et à contribuer à une œuvre collective dans la ville et dans des lieux accessibles à tous. Nous ouvrons la possibilité d’un temps de pause créative, une invitation à être acteur et non spectateur. Permettre la possibilité à chacun d’agir sur un espace contraint comme celui de l’espace public est-il un acte politique ? Ce sera le prochain sujet de ce billet de réflexion. A bientôt ! Véronique Le Mouël
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Suite à ma rencontre le week-end dernier avec Jean Faucheur, à l'occasion du MUR, j'ai décidé de vous retranscrire l'interview de Quentin Gassiat! Vous pouvez retrouver l'intégralité sur son site : https://qgdesartistes.fr/ 🎨 Jean Faucheur : Exploration Profonde de l'Art Urbain Depuis les rues pavées de Versailles jusqu'aux quartiers animés de Paris, l'artiste urbain Jean Faucheur a tracé son chemin avec audace et créativité. Dans cette interview fascinante, il partage son parcours, ses réflexions et sa vision unique de l'art. Premiers Pas Urbains : Jean Faucheur nous transporte dans ses débuts modestes où l'art urbain était encore en gestation. À une époque où les possibilités de diffusion étaient limitées, il a choisi la rue comme toile, recherchant le contact direct avec le public. Ses premières affiches, comme "Louez Granada !", sont devenues des symboles de son approche innovante, subversive et confrontante. Une Création en Mutation Perpétuelle : Plongez dans l'univers artistique de Jean Faucheur, où la seule constante est le changement. Il refuse de se laisser enfermer dans une forme ou un style, préférant explorer de nouvelles techniques, de nouveaux médiums et de nouveaux territoires. Son atelier est son laboratoire, où il expérimente sans relâche pour repousser les limites de son expression artistique. Réflexion sur l'Œuvre et la Démarche Artistique : Avec une profondeur philosophique, Jean Faucheur nous invite à réfléchir sur la nature éphémère de l'art urbain. Pour lui, l'œuvre ne se limite pas à sa matérialité ; elle est imprégnée d'une énergie mystérieuse qui persiste même après sa destruction. Cette perspective unique remet en question notre conception traditionnelle de l'art et souligne l'importance de l'expérience et de l'éphémère dans la création artistique. 🌟 Citation Inspirante : "Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage." - Jean Faucheur
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Nouvelle publication // Julie Bawin. 𝑨𝒓𝒕 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒐𝒗𝒆𝒓𝒔𝒆𝒔 𝑿𝑰𝑿𝒆-𝑿𝑿𝑰𝒆 𝒔𝒊è𝒄𝒍𝒆. Paris : CNRS Éditions. // 20.03.2024 À une époque où les mots « censure » et « déboulonnage » sont régulièrement prononcés et alors que se multiplient les débats autour de la cancel culture, du wokisme et de l’appropriation culturelle, la question de l’atteinte portée aux œuvres d’art dans l’espace public apparaît comme centrale. Cette actualité, aussi brûlante soit-elle, s’inscrit en réalité dans une histoire longue et complexe que l’on peut faire débuter à l’ère des expériences iconoclastes de la Révolution française. Une histoire qui se poursuit au cours des deux siècles suivants avec des querelles d’ordre esthétique, moral et politique, l’art public cristallisant autour de lui des affrontements venus d’en haut comme d’en bas. Ce livre est le premier à proposer une vue d’ensemble des controverses nées autour d’œuvres prenant place non pas dans les lieux sacrés et confinés de l’art, mais dans un espace censé être accessible à tout un chacun. Art public et controverses constitue ainsi un complément essentiel à l’étude de l’art public et une contribution originale aux interrogations très actuelles sur la censure. Pour tous les détails, nous vous invitons à cliquer sur le lien ci-bas.
Julie Bawin. Art public et controverses XIX e -XXI e siècle . Paris : CNRS Éditions.
cieco.co
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https://lnkd.in/gRJfUZXT Recycler un processus de création Dans l' article 'Les commissaires d'exposition prennent tout', je décris la marginalisation du processus créatif que l'artiste subit pour "hypostasier" son œuvre d'art. Le résultat (l'oeuvre matérialisé) provoque l'expérience esthétique exclusif du visiteur d'une exposition d'art. Cela peut rapporter beaucoup d'argent. C'est pourquoi les 'résultats' sont sécurisés et commercialisés. Pas par l'artiste, d'ailleurs. Entre-temps, nous avons été aspirés dans l'ère de l'intelligence artificielle, ce qui signifie que nous avons des œuvres d'art créées par une machine à l'aide de mots. Des œuvres d'art que nous ne pourrions jamais concevoir nous-mêmes, à l'exception des intellos créatifs. Le processus de création dure 10 secondes. Le résultat est unique. Mais la question demeure: en tant qu'artistes, pourquoi ne valorisons-nous plus le processus de création ? Sommes-nous devenus des entrepreneurs néolibéraux ? Les œuvres d'art seront toujours des marchandises, mais l'attitude de l'artiste peut changer la vision de l'art. Par example, Il est possible d'entraîner Google Gemini à participer à des processus créatifs "multi-sensoriels". Ces processus font référence à la pratique des conceptualistes occidentaux des années 1960 et 1970 qui ont passé beaucoup de temps à trouver un concept ou une idée qui n'avait pas besoin d'être exécuté en tant qu'œuvre d'art pour revendiquer le prédicat "art". Voici un example d'interaction avec une intelligence artificielle. Google GEMINI: Vision : L'asphalte blanchi par le rayonnement scintillant Son : La pulsation rythmique d'un marteau-piqueur devient un rythme techno, Goût : Le goût métallique des gaz d'échappement se mêle au doux parfum des fleurs qui fleurissent le long des rues. Sens tactile : Les murs de briques brutes murmurent l'histoire d'innombrables mains, Émotion : Les foules animées vibrent d'ambition et d’anonymat. Formaliser l'inspiration artistique en travaillant avec un modèle de langage présente l'avantage que le processus ultérieur de réalisation de l'œuvre d'art peut également être incorporé dans le "chat" de l'IA. Ce "chat" peut ensuite être parfaitement recyclé en texte de catalogue, texte de site web, texte de blog, etc. Cette méthode de travail démocratise le processus de création et renforce le rôle autonome de l'artiste en tant que personne capable d'analyser et d'expliquer ses propres œuvres. #ai #gemini #google #promptengineering #gamification #commodity
Les commissaires d’exposition prennent tout
https://www.revuedeparis.fr
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L'Espace : interdits, inquiétudes, désirs ? 🤍 Appel à projets de création sur la mélancolie de l’Espace CNES / L'Observatoire de l’Espace lance un appel aux artistes pour concevoir une œuvre qui donne une réalité plastique au sentiment contemporain de mélancolie de l’Espace. Tant que l’Espace se confondait avec le ciel comme objet de contemplation mais aussi de projection d’interdits, d’inquiétude et de désirs, il demeurait un lieu hors de portée des humains. Aujourd’hui, les outils technologiques et scientifiques l’ont rapproché de l’humanité et de ses préoccupations familières, suscitant le sentiment d’une perte irrémédiable. Les artistes sont invités à prendre pour thème de leur création cette mélancolie de l’Espace qui dépasse largement la nostalgie d’un temps révolu. Cet appel s’inscrit dans le programme de création Avant-Poste qui invite les artistes à prendre l’Espace comme motif de création. Il s’adresse aux artistes ou collectifs d’artistes dont la pratique relève du champ des arts visuels et plastiques. L’originalité du projet, le parti pris esthétique, la pertinence du projet en rapport avec la thématique proposée ainsi que la capacité de mise en œuvre de la proposition formulée seront les critères principaux considérés par la commission artistique. Le projet retenu sera annoncé début février 2025. Suite à son exposition en 2025, l’œuvre entrera dans la collection d’art contemporain de l’Observatoire de l’Espace et sera déposée aux les Abattoirs, Musée - Frac Occitanie Toulouse. Les projets sont à a soumettre avant le 16 décembre à 16:00. Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Art #Culture #Sciences #Société #Planète
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EXPOSITION FLORENCE ARNOLD (Lille, FRANCE) : Abcynth Galerie Brouiller les cartes « Au fil de mon travail à travers les cartes, j’ai voulu proposer au public une cartographie fondée sur de nouveaux repères. Car la transcription géographique, sur la carte, ne va pas de soi, contrairement à ce qu’une longue tradition de représentations ethnocentriques du monde pourrait nous faire croire. Ces questions initiées par les cartographes, j’ai voulu les transcrire avec mes moyens propres, le dessin et le trait. La carte alors chatoie d’autant de nuances que les paysages livrés par le regard et la main des peintres du passé. On a longtemps peint la nature pour dire le monde. Je peux aujourd’hui peindre des cartes pour le dire ou le réinventer, le transformer peut-être. Car c’est aussi de transformation qu’il s’agit. Et donc de politique. A l’ordre établi d’une cartographie du passé, j’entends substituer mes cartes comme autant de propositions pour extirper le monde de l’univocité, comme autant de suggestions pour pluraliser, renverser, nuancer, discuter nos certitudes sur la planète. J’essaie donc, de jouer à brouiller les cartes. Toujours dans l’espoir de refaire le monde. » Extrait Sabine Réthoré Cartographe Lien VOSARTISTES.COM : https://lnkd.in/emBnqYGx Lien EVENEMENT : https://lnkd.in/eAi8bBJz https://lnkd.in/eGh8fCeZ Localisation MAPS : https://lnkd.in/eV74b496
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Ce jeudi 16 mai de 17h à 19h, j’aurai le plaisir d’intervenir au séminaire "Dada Data : comment documenter la production surréaliste" organisé par l'association Atelier André Breton et le laboratoire Thalim : Constance Krebs, Antoine Poisson et Richard Walter « Au nom de tout ce qui nous est commun » : Collecte et utilisation de ressources issues des collections d’André Breton et de Benjamin Péret pour la conception d’une exposition numérique Si les tensions, les conflits et les ruptures ont rythmé l’histoire du surréalisme, il y a des amitiés qui ont durablement structuré le mouvement de l’intérieur, comme celle nouée entre André Breton et Benjamin Péret pendant presque quarante ans. Nombreux sont les manuscrits, correspondances, publications, photographies, envois, archives sonores et œuvres visuelles qui témoignent des liens tissés entre ces deux surréalistes de première heure. Comment documenter cette relation de « Toute une vie » ? Contrairement aux archives d’André Breton ayant fait l’objet d’un travail de numérisation, les archives de Benjamin Péret, conservées principalement à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet et à la Bibliothèque municipale de Nantes, sont dispersées et fragmentaires, ce qui pose une première difficulté dans la collecte de ressources. Néanmoins, à l’aide de plusieurs publications récentes, notamment de la Correspondance entre André Breton et Benjamin Péret (2017), des ressources disponibles sur le site André Breton et les nombreuses ressources documentaires, textuelles, iconographiques et sonores du site de l’Association des amis de Benjamin Péret, il est désormais possible de retracer le dialogue entre les deux poètes. Porté par l’Association des amis de Benjamin Péret, le projet en cours d’une exposition numérique propose de documenter le déroulement dans le temps et dans l’espace de leurs interactions. Les réflexions porteront sur la collecte et la sélection des ressources, ainsi que sur leur articulation dans un parcours mettant en évidence la complicité, les convergences et les nuances de leur œuvres respectives. Rdv à la Maison de la recherche de la Sorbonne nouvelle, 4 rue des Irlandais, 75005 Paris, salle Claude Simon https://lnkd.in/dGixmZdg
Dada Data : Comment documenter la production surréaliste ? (Séminaire commun Thalim & Association Atelier André Breton, Paris)
fabula.org
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EXPOSITION FLORENCE ARNOLD (Lille, FRANCE) : Abcynth Galerie Brouiller les cartes « Au fil de mon travail à travers les cartes, j’ai voulu proposer au public une cartographie fondée sur de nouveaux repères. Car la transcription géographique, sur la carte, ne va pas de soi, contrairement à ce qu’une longue tradition de représentations ethnocentriques du monde pourrait nous faire croire. Ces questions initiées par les cartographes, j’ai voulu les transcrire avec mes moyens propres, le dessin et le trait. La carte alors chatoie d’autant de nuances que les paysages livrés par le regard et la main des peintres du passé. On a longtemps peint la nature pour dire le monde. Je peux aujourd’hui peindre des cartes pour le dire ou le réinventer, le transformer peut-être. Car c’est aussi de transformation qu’il s’agit. Et donc de politique. A l’ordre établi d’une cartographie du passé, j’entends substituer mes cartes comme autant de propositions pour extirper le monde de l’univocité, comme autant de suggestions pour pluraliser, renverser, nuancer, discuter nos certitudes sur la planète. J’essaie donc, de jouer à brouiller les cartes. Toujours dans l’espoir de refaire le monde. » Extrait Sabine Réthoré Cartographe Lien VOSARTISTES.COM : https://lnkd.in/ebDwWim7 Lien EVENEMENT : https://lnkd.in/ekmgpi_G https://lnkd.in/ewnUJS9v Localisation MAPS : https://lnkd.in/eTyJNAEe
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