Post de gilles Brassat

Au menu de ce dimanche : l'audace à la française, sauce yankee ! 🇫🇷🇺🇸 Mes chers compatriotes désabusés, il est temps de secouer cette "sinistrose" qui nous colle à la peau comme un vieux camembert trop fait ! 🧀 Comme disait ce bon vieux Benjamin Franklin : "Well done is better than well said." (Bien faire vaut mieux que bien dire). Alors, arrêtons de ronchonner et passons à l'action ! Imaginez un instant... Et si on arrêtait de suivre le troupeau comme des moutons bien disciplinés ? 🐑 Et si on osait sortir des sentiers battus, des logiques préformatées qui nous étouffent ? Nos amis d'outre-Atlantique ont compris depuis longtemps que l'audace paie. Pendant qu'on hésite, ils foncent. Pendant qu'on doute, ils osent. Pendant qu'on se plaint, ils innovent. Mais attention, mes braves ! Les temps qui viennent seront rudes, les conflits vont s'intensifier comme un bon beef bourguignon sur le feu. 🍖 Dans cette marmite bouillonnante, seuls ceux qui auront une volonté claire et qui tiendront parole surnageront. Alors, mes chers grognons gaulois, êtes-vous prêts à troquer votre béret pour un stetson ? À transformer votre "oui, mais..." en "pourquoi pas !" ? À devenir les pionniers de votre propre destin ? Allez, un peu d'audace, que diable ! Montrons au monde que la France peut être aussi entreprenante qu'une start-up de la Silicon Valley, aussi pionnière que les premiers colons, et aussi travailleuse qu'une abeille dans un champ de lavande provençal ! 🐝 N'oubliez pas : la seule chose qui soit véritablement française, c'est notre capacité à réinventer les règles. Alors, réinventons-nous ! #inspiration #EspritPionnier #entrepreneur

Si le perchoir est la branche sur laquelle se posent les oiseaux, alors d'où vient l'usage du terme pour le siège de la présidence de l'Assemblée nationale ? Ce siège existe depuis 1798, mais il faut attendre quelques décennies de plus pour voir surgir la première utilisation du mot perchoir dans ce contexte politique. Sans surprise, c'est d'abord par moquerie. Il suffit d'assister à une séance à l'Assemblée nationale pour comprendre la facilité de la comparaison avec la volaille : ça caquette, ça glousse, ça fait l'autruche, ça se vole dans les plumes, ça se prend le bec, ça se brûle les ailes, ça baye aux corneilles... À vol d'oiseau, le lien entre la chambre basse du Parlement et la basse-cour n'est pas très loin. Chouette ! On peut aussi y voir une valeur descriptive, puisque la position du perchoir est surélevée face à l'hémicycle. Malgré la tentation de cette explication, notons que l'origine de l'appellation reste obscure. Le Littré, dictionnaire du 19e siècle, ne référence pas cette définition. C'est le livre satirique L'Assemblée nationale comique (1850) qui qualifie ainsi le député Louis Mortimer Ternaux : "beau à la tribune comme le cacatoès sur son perchoir". Il semblerait que le terme soit resté dans le langage courant et médiatique depuis, ayant perdu au passage sa connotation péjorative. Le mot est assumé, le perchoir est revendiqué et on ne pense sûrement plus aux volatiles quand on l'utilise. Ironiquement, le nom Braun-Pivet lui-même semble évoquer l'oiseau, si on y voit un diminutif du pivert ou une déformation de pivette (l'autre nom du pied-vert), un petit échassier – braun étant une couleur, brun / marron en allemand. Au Sénat, l'équivalent du siège du président porte lui aussi un nom en p, beaucoup plus neutre : le plateau. J'en profite pour placer un troisième mot en p, présent en droit français mais aussi en Belgique, pour désigner le ministère public : le parquet. Instinctivement, j'ai toujours cru que c'était une référence au plancher de la salle d’audience. En fait, pas du tout. Sous l'Ancien Régime, les procureurs du roi se tenaient dans un espace central entouré par des sièges sur ses quatre côtés, ce qui donne l'aspect d'un petit parc. Le suffixe -et est un diminutif : le parquet n'est donc bien, à l'origine, rien d'autre qu'un petit parc. — détail de Passereaux alignés sur une tige de bois, aquarelle de Hector Giacomelli, représentant 24 passereaux dont la pose et la couleur varient, serrés les uns contre les autres, regardant dans toutes les directions et alignés sur un même perchoir

Le Média TTSO- un regard sur la ville. Il ne s’agit pas d’être contre. Loin de là. Juste de peser le poids des mots à l’aulne de ce que tous politiciens et/ou politiques et CEO nomment le graal ou un mirage : l’autorité et son incarnation. Ou un autre mot : être crédible comme «chef», homme ou femme! Le poids des mots et le choc de ces effets. Un poids en «peau de chagrin » et un hubris qui pousse à confondre échecs et poker. Même si les deux nécessites un sacré sang - froid et d’être loin de la provocation… un peu « casse-coup ». Pour ceux qui ont eu la chance d’être parents et qui ont testé et testent ce que revêt l’exigence de l’autorité, le poids des mots parentaux, l’exigence de dire non, d’être un peu raccord entre actes et mots,…. savent dans leur chaire la réalité de cette expérience exigeante apprenante….ou pas. Le Breton zig et zag pour remonter face aux vents. Nous l’apprenons tôt. Il vaut mieux! Le Breton,lors de sorties en équipage, apprend tôt l’importance de protéger l’équipage tout en l’engageant dans l’effort qui ne doit pas le conduire au trépas! Le Breton sait la rigueur, la rudesse,de la mer, des éléments et de la navigation… et de l’Autorité confrontante et bienveillante. Il sait aussi l’importance du cadre et que du cadre. Sans lui c’est la «chienlit », « le révolté du Bounty ». Là, nous assistons à une course à l’échalote d’impuissants dépassés par leurs ombres et leur quête de grandeur. «Ils retournent leur veste » et/ou les masques tombent. Le crédit epuisé,voire détruit à néant. Le cap pour un Marin est primordial et l’honneur de la mer, des valeurs, du respect et de l’humilité face aux éléments. Se mettre à la Cape, il sait quand les éléments l’invitent à la sagesse de renoncer à son Hubris de mal. Évidemment, tous les bretons, connaissent M. François - Régis Hutin- PQR- Ouest France. À zut hors du cercle rive et gauche de Paris.😉 Un peu à l’Ouest et avec un Cap, en même temps. La classe et Précurseur de Monsieur. Sa hauteur nous manque. Sa sagesse et clairvoyance aussi. Toutes les régions sont formidables. Évidemment. L’atavisme de la Bretagne se ne cache pas.😉 #élections #legislatives Ouest-France TimeToSignOff TTSO

Le 1906/2024 Des bêtises à front de taureau ,agitons le chiffon rouge ! Plan vert, augmentations des prix de l’énergie y compris la bonbonne à gaz, des prix de mouton jamais atteint pour « célébrer «  dans la tristesse l’Aid El Kebir,…etc .. Les ménages sont asphyxiés de dettes . Chut ! Akhennouch en a décidé ainsi . Akhennouch est le cow-boy dans la réserve d’Indiens . Même les membres de son parti , qui se rangent sous sa bannière, sont ses valets de pied . Quand l’Etat ne joue plus son rôle -comme dans les États faillis- la liberté des individus s’en voit entravée : plus d’arbitraire, d’oppression , de brutalité, de loi de la jungle où la force l’emporte sur la justice . Il est urgent de rendre la fierté aux patriotes et le pouvoir d’achat aux consommateurs . Et le parlement ? Un simulacre de démocratie . qui fait prendre le chou. On est tous dans les choux , dans l’embarras et les derniers dans la course au développement . Se croire parés de toutes les vertus et ne pas voir les aspects moins reluisants de notre politique et de notre économie , tout en se posant en donneurs de leçons, nous rend inaudibles et inefficaces par manque de réalisme . Nous devons exercer une politique d’influence,et non pas de répression, une politique de soft power et non de hard power . Le gouvernement doit cesser sa politique de gribouille qui la fait jeter dans les ennuis qu’il voulait éviter . Des valeurs ont bien été foulées par ceux qui les proclamaient . Ceux qui ont été acteurs du malheur de ce peuple seront un jour les spectateurs malheureux de son bonheur. Le temps est un excellent juge . «  La vie est un état de guerre « , affirme Sénèque , pour que personne ne va à Canossa . Cette rivalité entre l’Etat et le peuple, va constituer l’axe majeur des questions pour les années à venir Beaucoup de bêtises ont été commises avec l’obligation d’exécuter. Obéir à la bêtise à front de taureau serait une soumission aveugle et obstinée à des idées ou des comportements irrationnels. Des bêtises à front de taureau mettent en lumière l’importance de la réflexion critique et du discernement face à des situations ou directives qui peuvent paraître insensées . Nous sommes des acteurs sérieux sur la scène et pas des moutons bêlant et passifs . C’est le moment d’avoir le courage de dire non à l’insupportable. C’est ce genre de comportement qui fait la popularité et le prestige du Maroc . Si nous baissons la tête, on dira qu’on a «  rendu sa grandeur à l’autocratie et à l’arbitraire «  . Nos étudiants doctorants planchent sur des thèses pour faire du Droit un levier de justice et de performance et dénoncer des pratiques aussi amorales qu’illégales, au bénéfice du plus grand nombre . À suivre Ahmed Lakhdar Professeur universitaire

🛑🚧A#69: #Exactions_et_cruauté: non à la vivisection des 🐿️🐿️🐿️🐿️🐿️ Après une semaine entière de harcèlement par les FDO à coup de gaz lacrymo, de grenade désencerclante et assourdissante (considérée comme arme de guerre, utilisée à Sainte Soline notamment), de LBD, de matraquages et d'humiliation, ils ont décidé de passer un nouveau cap hier en renforçant ce qu'ils avaient commencé : un siège de la ZAD et une politique de la terre brûlée. "La politique de la terre brûlée est une tactique consistant à pratiquer les destructions les plus importantes possibles, et en cas de conflit militaire, à détruire ou à endommager gravement ressources, moyens de production, infrastructures, bâtiments ou nature environnante, de manière à les rendre inutilisables par l'adversaire. [...] [...] Au sens figuré, cette expression désigne aussi l'attitude d'une personne qui, risquant de perdre face à un adversaire, saccage la place que celui-ci s'apprête à prendre afin de minimiser ses gains et de gêner toute progression ultérieure. " Les FDO ont volé les affaires des occupant•es de la ZAD ; brûlé de nombreuses affaires; mis le feu à une cabane ; versé des bidons d'essence au pied des arbres occupés par les écureuils ; tabassé et torturé des habitant•es ; gazé et hurlé la nuit dans le bois pour empêcher les gens de dormir... Ces méthodes employées, sont celles de la guerre. L'Etat, toujours plus répressif et autoritaire, voyant la résistance contre l'A69 s'amplifier, compte faire passer son projet d'autoroute par tout les moyens, quitte à semer la mort et humilier les personnes. Il y a de fortes chances que ce siège dure plusieurs jours. Alors, ensemble, ripostons et défendons la Crem'Arbre : L'A69 ne passera pas, la Crem' vivra !

La mort ne doit pas être un #spectacle ! La #corrida est enfin interdite en #Colombie. ☀️ La loi sera appliquée dés 2027, un délai permettant aux professionnels de la tauromachie de se reconvertir. 😡 La corrida n'est pas "un #combat" comme on l'entend souvent maladroitement dans la bouche des défenseurs de la tradition. C'est une mise à mort brutale, lente, sanguinolente, donnée à voir pour un quelconque plaisir dont, malgré mes lectures sur le sujet, j'ai toujours du mal à expliquer les motivations. Le #taureau n'a simplement aucune chance. Les #toreros et autres #picadors ne sont que des bouchers. 🙏 Cette loi témoigne d'un moment historique : celui, selon le sociologue Ricardo Forero, d'une bascule dans les valeurs des sociétés contemporaines, notamment en ce qui concerne la place accordée aux #traditions et à l’#art face au bien-être #animal. Je retiens des débats qui ont eu lieu en Colombie la pensée suivante : les images de maltraitance, de torture animale et de sang des corridas, maintiennent le pays dans une atmosphère de #violence dont le gouvernent souhaite sortir, face à la guérilla des Farc et la #guerre contre les narcotrafiquants. 🐾 Au fond, le soin apporté aux animaux et au passage de la mort, témoigne aussi du soin que nous pouvons apporter aux humains. L'un et l'autre sont les deux faces d'une même médaille : soin de l'humain et du non humain, #paix et #écologie. 📖 Cette idée renoue avec une longue tradition #philosophique et #géogrpahique que l'on retrouve déjà dans les écrits de Spinoza, Voltaire, Elisée Reclus... et plus récemment chez des autrices comme Corine Pelluchon ou Cynthia Fleury. Quelle belle nouvelle de la voir, petit à petit, se matérialiser en #politique ! Avec l’adoption de cette loi, la Colombie se joint à un nombre croissant de #pays qui remettent en question la tauromachie. 🌍 Actuellement, seuls le #Pérou, le #Mexique, l’#Equateur, le #Venezuela, le #Portugal, l’#Espagne maintiennent encore cette tradition toujours plus contestée. Tout comme la #France... Inutile de dire que c'est une honte pour le pays qui est censé être l'héritier des lumières. Pour en savoir plus sur cette loi et les débats qui ont lieu 👉 https://lnkd.in/ef7SRZvw

CHRONIQUE DE VANF Interpellation des survivants C’était un jeudi pourtant ordinaire de début octobre. Tôt le matin, je croisai de petits groupes d’écoliers, cheminant de concert par affinités, avec à la main des branches feuillues. Sans doute pour une «leçon de choses» à leur école d’Ambanitsena. L’exposition «Ravorona» ferme ce jeudi 17 octobre. Dommage qu’elle ne puisse faire le déplacement vers ces écoles primaires publiques de la campagne. J’y ai croisé des enfants de l’école américaine et d’autres du système AEFE. Où étaient les ressortissants des écoles confessionnelles, longtemps refuge d’une certaine éducation au-delà de l’instruction ? Sous la bannière «Antson’ny Tontolo Miaina» et la houlette de Ihoby Rabarijohn et de Cécile Bourne-Farrell, plusieurs artistes conjuguent avec talent le thème «plus rien ne se perd, tout doit se transformer». L’art plastique, le design, la photographie, la poésie, au service de la protection de l’environnement, et pour magnifier la Nature. «Ra-Vorona», l’oiseau, les oiseaux sont nos meilleurs agents reforestiers. Hélas, l’humain déboise plus vite que les arbres ne repoussent. Cette équation interpelle particulièrement en cette saison sèche mais nous n’avons toujours pas établi la relation entre la destruction de l’habitat sylvestre et l’absence d’humidité. Les longues queues de bidons jaunes, qui vont rester une signature visuelle de cette époque, ne suffisent pas à nous faire entendre raison écologique. Urbains, grands et petits, oubliez de couper ou élaguer exagérément les arbres de vos jardins. Ils ne sont pas juste ornementaux mais les soldats de première ligne dans la défense contre la sécheresse et la future désertification. Dans nos villes tellement minérales, de béton, de pavés granite, de gris asphalte, le feuillage des derniers arbres abrite les chants des fodilahimena revêtus de leur jaky lohataona. C’est comme pour la culture : les meilleures défenses sont à planter dans les mentalités. Mais, le comportement des adultes ayant pris un pli malencontreux, on doit procéder à une éducation à l’envers : sensibiliser les enfants afin qu’ils conscientisent les parents. Dans mon cher et vieux Collège Saint-Michel, en ce «Grand Amphi DEGS» de ma jeunesse, et partout ailleurs pour une expo itinérante, que n’avons-nous de hauteur sous plafond pour offrir un semblant de ciel au vol de «Ra-Vorona». https://lnkd.in/dJeP28NY

Chronique d’une formidable mobilisation – épisode 11 “Ils ne savaient que c’était impossible, alors ils l’ont fait” Mark Twain Depuis quelques jours, nous recevons plusieurs messages de remerciements et de félicitations pour le travail réalisé, et surtout son aboutissement. Cela fait plaisir évidemment. Et sans modestie mal placée, cela est vraiment à partager avec toutes celles et ceux qui se sont activés partout sur le terrain. (je signale cependant ici que nous continuons le travail jusqu’au vote final. Ce n'est pas fini) On nous dit parfois aussi que cela tient du miracle. Plusieurs de nos soutiens parlementaires nous ont même dit qu’ils ne croyaient pas possible, dans le contexte budgétaire, d’obtenir quoi que ce soit ; qu’ils espéraient au mieux que la coupe serait réduite de moitié. Alors, comment avons-nous fait ? A vrai dire, (et vraiment !) nous ne nous sommes pas posés la question ! La réduction évoquée était si brutale, si inattendue, si incohérente, si injustifiée et, en plus, si silencieuse qu’il nous fallait (ré)agir immédiatement. Je reprendrai les mots d’une de mes interlocutrices récentes lors d’un échange où nous commentions ce qui est arrivé : « ces 10 millions, c’est une paille pour eux (le Gouvernement) et c’est une poutre pour vous (les radios associatives) ». C’est tout à fait cela ! Le fossé (un vrai gouffre) était tellement immense entre la petitesse de l’économie et les conséquences désastreuses pour tout le secteur de la radio que l’urgence d’expliquer ce simple constat s’est imposé. Et de là à découler tout le reste. Nous avons certes partagé entre nous que ce serait difficile, mais à aucun moment, le mot « impossible » n’est apparu. C’est assez intéressant de réaliser cela avec le recul… NB : il y a une petite devinette qui porte le même message que la citation d’introduction de Mark Twain. Je vous la partage : "Comment fait-on rentrer 10 Basques dans une 2 chevaux ? … En leur disant que ce n’est pas possible. Et comment fait-on rentrer 10 Béarnais dans une 2 chevaux ? ….. En leur disant que les Basques l’ont fait !" NB2 : cela marche aussi avec les Landais. Mais il faut alors leur dire que 20 Basques l’ont fait…

Régalien … moi italienne immigrée dans cette superbe Nation il y a presque 27 ans, moi heureuse que le prénom de notre Reine ait été donné à la pizza la plus fameuse au monde, à la route qui longe le lac où je suis née, au proverbe qui réunit toute classe sociale autour de cuisses de poulet, au refuge parmi les plus majestueux et époustouflants et exigeants des Alpes … moi italienne je reste toujours bouche bée, entre étonnement, confirmation, dégoût et colère face à cette veine profonde toute … régalienne de cette grande Nation qui se sert dans les poches et à la table de ses forces vives de travail, sans honte, sans considération pour les gens ni pour l’effort, sans respect. Régalien … de taxer les revenus (pas de souci avec ça pourvu que les recettes soient employées avec autant de conscience pour leur valeur et leur attendu R.O.I. que celle pour le travail qui a produit leur … assiette), les patrimoines développés grâce aux revenus déjà imposés, les patrimoines donnés, légués, transmis par succession et donation. Et aujourd’hui les recettes aussi (une TVA de plus, déjà les États se servent sur une chaîne de valeur qu’ils ne produisent pas, que souvent ils entravent …). Et puis quoi encore? Et qu’est-ce qu’ils coupent? Les sources de développement de la Population, sans laquelle il n’y a pas de Nation. Éducation et Santé en tête. Tout en continuant à plier le genou devant l’industrie agroalimentaire et pharmaceutique parfaitement alliées. WOW! Prenons de la hauteur. Nous sommes de plus en plus proches du précipice et nous continuons à regarder du mauvais côté.

Les gens du Nord ... En 1906, mais avant eux il y a eu la révolte des verriers à Jumet (Belgique) https://lnkd.in/gefnRV7d "Les émeutes de 1886 furent marquées par des événements tragiques, mais elles auront un impact important. Plusieurs textes de loi sont publiés au cours des années qui suivent les événements, tentant d'améliorer la condition ouvrière. Ces textes portent sur le travail des femmes et des enfants; sur les salaires, et sur leur incessibilité et insaisissabilité; sur la sécurité et la santé des ouvriers; sur la création des conventions collectives,... Les premières lois sociales découlent directement de ces émeutes. En 1907, un monument est érigé dans le cimetière de Roux en mémoire des victimes. A cette occasion, Jules Destrée prononce : « La classe ouvrière doit à ces gens de 1886 une reconnaissance profonde. Il a fallu la secousse de ces jours pour faire sortir nos gouvernements de leur béate torpeur, pour leur faire confesser et reconnaître le bien fondé des doléances populaires. Mais les martyrs de 1886 ont rendu à la classe ouvrière un service plus précieux encore. Ils l'ont secouée, elle aussi, réveillée de sa passivité et de son inertie. Ils l'ont fait réfléchir à sa détresse et à sa puissance ». Source : charleroi-decouverte.be | Les émeutes ouvrières de mars 1886 / F. Dierick https://lnkd.in/gFvJ8KVS