Nous, membres des coopératives GRENADE - Groupement d'entreprises alternatives en développement et GRAP - Groupement Régional Alimentaire de Proximité, nous réunissons aujourd’hui pour parler d’une seule et même voix : les 30 juin et 7 juillet, mobilisez-vous massivement dans les urnes pour le Nouveau Front Populaire ! Face aux discours de rejet de l’autre et du chacun pour soi, nous construisons depuis une décennie des lieux de travail collectif où le “faire ensemble” est source d’apprentissage politique et d'émancipation individuelle. Des lieux d’accueil, de convivialité et de liens, où les valeurs écologiques et sociales façonnent l’activité économique. Les entreprises que nous accompagnons au quotidien dans leur création et leur développement sont sources d’emplois et de relocalisation de nos systèmes alimentaires. Mais au-delà de donner un travail aux personnes, elles les placent collectivement en position de décideur·euses. C’est en gérant à plusieurs une activité économique, comme un bien commun, que nos salarié·es font société. C’est en opérant ensemble des choix sur les engagements écologiques et sociaux de l’entreprise qu’ils et elles reprennent la main sur les enjeux de notre temps. Nos projets politiques mettent l’alimentation durable et de qualité au centre et défendent la filière alimentaire biologique, l’agriculture paysanne et les circuits courts. Ainsi, nous entendons œuvrer pour une meilleure et plus juste répartition des richesses crées au sein de la filière. Par nos activités collectives autogérées, nous nous opposons farouchement à la vision rétrograde des rapports humains et au recul écologique et social que souhaite nous imposer l’extrême droite. Nous souhaitons répondre à l’appel de la CRESS Auvergne-Rhône-Alpes et à ESS France, pour rendre visibles nos initiatives : celles qui bâtissent une autre économie, respectueuse des hommes, des femmes et de l’environnement. Celles qui œuvrent pour une société dans laquelle nos différences nourrissent le collectif. Celles qui redonnent toute sa dimension politique à l’espace de travail. Il est clair que cette ambition politique, les structures qui la portent, les activités qui y contribuent et les emplois des personnes qui s’y consacrent sont directement menacés par le programme de l’extrême-droite néolibérale. Le danger d’une rétrogradation sans précédent aux niveaux écologique, social et démocratique est réel. Nous, membres des coopératives Grenade et Grap, nous réunissons aujourd’hui pour parler d’une seule et même voix : les 30 juin et 7 juillet, mobilisez-vous massivement dans les urnes pour le Nouveau Front Populaire ! Les co-directeur.ices et conseils d'administration du GRENADE et du GRAP, représentant 70 activités économiques et près de 350 emplois durable dans le secteur alimentaire en Rhône-Alpes
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Nous, membres des coopératives GRENADE - Groupement d'entreprises alternatives en développement et GRAP - Groupement Régional Alimentaire de Proximité, nous réunissons aujourd’hui pour parler d’une seule et même voix : les 30 juin et 7 juillet, mobilisez-vous massivement dans les urnes pour le Nouveau Front Populaire ! Face aux discours de rejet de l’autre et du chacun pour soi, nous construisons depuis une décennie des lieux de travail collectif où le “faire ensemble” est source d’apprentissage politique et d'émancipation individuelle. Des lieux d’accueil, de convivialité et de liens, où les valeurs écologiques et sociales façonnent l’activité économique. Les entreprises que nous accompagnons au quotidien dans leur création et leur développement sont sources d’emplois et de relocalisation de nos systèmes alimentaires. Mais au-delà de donner un travail aux personnes, elles les placent collectivement en position de décideur·euses. C’est en gérant à plusieurs une activité économique, comme un bien commun, que nos salarié·es font société. C’est en opérant ensemble des choix sur les engagements écologiques et sociaux de l’entreprise qu’ils et elles reprennent la main sur les enjeux de notre temps. Nos projets politiques mettent l’alimentation durable et de qualité au centre et défendent la filière alimentaire biologique, l’agriculture paysanne et les circuits courts. Ainsi, nous entendons œuvrer pour une meilleure et plus juste répartition des richesses crées au sein de la filière. Par nos activités collectives autogérées, nous nous opposons farouchement à la vision rétrograde des rapports humains et au recul écologique et social que souhaite nous imposer l’extrême droite. Nous souhaitons répondre à l’appel de la CRESS Auvergne-Rhône-Alpes et à ESS France, pour rendre visibles nos initiatives : celles qui bâtissent une autre économie, respectueuse des hommes, des femmes et de l’environnement. Celles qui œuvrent pour une société dans laquelle nos différences nourrissent le collectif. Celles qui redonnent toute sa dimension politique à l’espace de travail. Il est clair que cette ambition politique, les structures qui la portent, les activités qui y contribuent et les emplois des personnes qui s’y consacrent sont directement menacés par le programme de l’extrême-droite néolibérale. Le danger d’une rétrogradation sans précédent aux niveaux écologique, social et démocratique est réel. Nous, membres des coopératives Grenade et Grap, nous réunissons aujourd’hui pour parler d’une seule et même voix : les 30 juin et 7 juillet, mobilisez-vous massivement dans les urnes pour le Nouveau Front Populaire ! Les co-directeur.ices et conseils d'administration du GRENADE et du GRAP, représentant 70 activités économiques et près de 350 emplois durable dans le secteur alimentaire en Rhône-Alpes
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Soyons les partenaires essentiels des producteurs dans leur quête d'autonomie, de sécurité alimentaire et de prospérité: - En renforçant leurs compétences en matière agricole, en gestion des ressources et en techniques innovantes pour une agriculture plus durable et rentable qui prend en considération les fondations d'un avenir plus prometteur pour les générations futures. - En établissant des partenariats stratégiques et en fournissant un soutien logistique, financier et technique pour aider les producteurs à commercialiser leurs produits de manière plus efficace pour stimuler l'économie locale, mais renforcer également la résilience des communautés rurales face aux chocs externes. - En défendant les droits fonciers des petits exploitants et en luttant contre les inégalités de genre afin de contribuer à la création d'un monde plus équitable et durable pour tous. Ensemble, nous pouvons transformer les défis en opportunités, et bâtir un avenir meilleur pour tous.
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// Pour que leur flamme ne s’éteigne pas Alors que la Haute-Garonne se réjouit d’accueillir ce jour le parcours de la flamme olympique, Cocagne Haute Garonne est en danger. Ce groupement, qui œuvre depuis plus de 15 ans pour l’insertion des personnes en difficulté à travers le maraîchage biologique, a été privé de subventions européennes, essentielles à son équilibre. Alors que leurs actions répondent à des enjeux sociaux et écologiques majeurs, les coupes drastiques et rétroactives de leur financement par le fond social européen risquent d’aboutir dès cet été à la fermeture de ces organismes avec le licenciement de plus de 140 salariés et l’arrêt des livraisons hebdomadaires de légumes bio dans 40 communes du département (dont 30% distribués à tarif solidaire). En 20 ans, cette situation est inédite. Ces organismes à but non lucratif participent à la transition écologique et à la résilience alimentaire de notre département : maraîchage bio, espaces verts, accessibilité alimentaire, circuits-courts… A l’approche d’élections européennes à fort enjeu agricole, à l’heure où notre Parlement s’apprête à voter une loi sur la souveraineté alimentaire, et alors que le changement climatique accroît les menaces sur notre capacité à nous nourrir, peut-on fermer les yeux ? Pour permettre à Cocagne Haute Garonne de poursuivre leur action en faveur d’une transition écologique rapide et d’une justice sociale, il est encore temps d’agir. Des solutions ont été proposées depuis 4 mois aux pouvoirs publics mais sans réponse concrète à ce jour. Les jeux ne sont pas faits ! Vous pouvez les soutenir : - En signant la pétition : https://chng.it/hJZmMDkcH7 - En transférant cet appel à vos contacts et élus - En relayant sur les réseaux sociaux
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🎙 Comment innover en matière de politique #alimentaire à l’échelle d’une ville de 300 000 habitants pour que l’alimentation de qualité soit accessible à tous et partout sans que cela soit au détriment de la rémunération des agriculteurs locaux ? 👉 Un défi relevé par la ville de Montpellier, Ville, Métropole et CCAS, considérée comme précurseur en matière de politique alimentaire. 🎤 CITYZAN vox est allé à la rencontre de Marie Massart, adjointe au Maire, Présidente du MIN de Montpellier (Marché-Gare) et porteuse d’une politique ambitieuse et innovante en matière d’alimentation qu’elle considère comme une clé d’entrée qui permet de travailler en même temps sur les dimensions sociales, environnementales et économiques. 🥗 La feuille de route de la ville repose sur un objectif de solidarité alimentaire et développe une approche globale, qui active tous les leviers, depuis le consommateur jusqu’au producteur : faire baisser les prix, constituer un maillage d’une #alimentation #locale de qualité à l’échelle de la ville, élargir la diversité des produits locaux, soutenir la structuration de filière, privilégier l’approvisionnement de proximité, multiplier les projets d’#agriculture urbaine pour reconnecter les citoyens à l’alimentation, parier sur la #pédagogie des bénéfices d’une alimentation de qualité… ça se traduit par exemple par une action très pro-active en direction des #cantines scolaires avec une diminution des tarifs pour 67% des familles montpelliéraines mais aussi par des dispositifs très innovants en matière de solidarité alimentaire comme la création d’une maison d’alimentation solidaire ou le soutien à la création d’une #caisse alimentaire commune, conçu sur le modèle de la sécurité sociale. 🥝 Un épisode à la fois très inspirant et très instructif pour comprendre les leviers de l’action publique qui relèvent pour beaucoup d’un rôle de coordination, d’incitation et de conviction de l’élu local auprès de l’ensemble des acteurs.
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Alors qu'aujourd'hui tout le monde s'approprie le mot "#territoire" au risque d'en faire un mot valise, remettons l'église au milieu du village : Parce qu'elles sont nées des hommes et des femmes d'un territoire, les coopératives agricoles sont des entreprises enracinées au service du présent et de l'avenir de la production en France. Parce qu'elles sont ancrées statutairement dans leur territoire mais surtout parce que le destin des associés coopérateurs, celui des agriculteurs, est lié aux aux évolutions de leur territoire. Parce que 3 agriculteurs sur 4 adhèrent à au moins une coopérative et parce que 74% des sièges sociaux sont localisés en zones rurales, les coopératives, leurs agriculteurs et leurs salariés sont les premiers artisans de l'entretien de nos paysages et font vivre économiquement nos régions. Parce que la propriété du capital n'est pas détachée de la logique de production et de transformation. Parce qu'elles sont les entreprises qui structurent les filières pour garantir une une adéquation entre la demande des différents marchés et l'offre de production. Parce qu'elles se sont construites sur des fondamentaux qu’elles partagent avec les différents échelons de la démocratie locale et qu'elles œuvrent ainsi au consensus au service d'un bassin de vie. Pour toutes ces raisons, les coopératives agricoles sont présentes au Salon des Maires et des Collectivités qui ouvre ses portes demain ! Rendez-vous lors des trois prochains jours sur notre stand (A15, pavillon 2.3). Nous y présenterons notre plateforme "Préférence coop", véritable catalogue de produits durables et de qualité à portée de clic pour les acheteurs publics. #EGAlim Et si vous voulez vous inspirer d'une coopération gagnant-gagnant au service de la #décarbonation d'un territoire, venez assister à notre conférence animée par Laurent BLEUZE, l'expert bio-économie de La Coopération Agricole : L'agglomération de Chalons-en-Champagne ainsi que le SYVALOM, syndicat de valorisation des ordures ménagères y reviendront sur leur expérience de mutualisation de leur réseau de chaleur avec la coopérative LUZEAL Avec les témoignages de : - Jérôme Mât, premier vice-président à Châlons et son Agglo - Julien Valentin, président du Syndicat de Valorisation des Ordures Ménagères de la Marne - Eric Masset, président de La Coopération Agricole - LUZERNE DE FRANCE - Marc Braidy, notre élu référent #décarbonation 🍃 Dominique Charge Florence PRADIER Matthieu PASQUIO Virginie His Eugénie Debavelaere Rebecca Thomassian Magali Bocquet Sarah Slous Vanessa Vulvin Association des Maires Ruraux de France - AMRF Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité Assemblée des Départements de France Régions de France ANCTerritoires Annie Genevard Catherine Vautrin Françoise Gatel Marc Ferracci
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[La preuve par Cocagne] Oui l'agriculture bio est une activité revitalisante pour les personnes qui ont besoin de retrouver la maîtrise de leur avenir professionnel & Oui les personnes en recherche d'emploi peuvent aider à impulser la transition agricole et alimentaire sur un territoire ! Bravo pour ce très bel article !
Un bel éclairage sur Seconde Pousse par La Provence à la suite de la remise du Prix de l'Inspiration 2024 du Crédit Coopératif à La Roque d'Anthéron, qui reprend les axes sur lesquels nous avons souhaité construire notre jardin du Réseau Cocagne: - Accompagner des personnes en précarité vers l'emploi durable en travaillant sur des activités utiles et valorisantes pour le territoire, - Participer concrètement à la transition écologique et agricole, par notre production directe en bio mais également en appui aux exploitations locales et par nos actions de sensibilisation, - Etre un acteur innovant et de proximité pour l'accessibilité et la sécurité alimentaire, Après bientôt trois ans d'activité, nous remercions l'ensemble des acteurs, actrices, partenaires institutionnels et financiers de ce beau projet, qui a plus que jamais besoin de moyens stables pour continuer de développer durablement le territoire dans une perspective de cohésion sociale et de transition écologique. https://lnkd.in/euzi3wSi
Avec le dispositif "Seconde pousse", l'insertion au service d'une agriculture durable à La Roque-d'Anthéron
laprovence.com
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Que nous sommes petits joueurs ! Lors de la crise agricole de mars dernier, à l'occasion d'une tribune que j'avais écrite avec Christian du Tertre, je pensais ne pas manquer d'audace - surtout par les temps qui courent - en demandant que 2 Milliards soient consacrés à la poursuite du déploiement d'écopôles alimentaires (pour structurer les filières bio locales et solidaires) et à la poursuite de l'expérimentation de places à vivreS (tiers lieux nourriciers à vocation sociale) et de Caisses locales de l'alimentation... Il se trouve qu'une étude remarquable de BASIC sur les coûts sociétaux de notre système alimentaire est parue il y a peu. Tenez-vous bien : près de 40 milliards d’euros vont aux acteurs agro alimentaires participant aux chaînes de valeur indifférenciées qui sont structurées par la maximisation des volumes, la faible valorisation des matières premières et la différenciation par le marketing et la publicité. Autrement dit, à ceux qui génèrent des dommages sociétaux et qui pressurisent la profession agricole... IL FAUT D'URGENCE REDIRIGER CES 40 MILLIARDS en partie payés par les collectivités territoriales : Allez ! Mettons qu'on fasse 10 Milliards d'économies publiques directes pour participer au sport du moment* il en resterait 30. On dit 15 pour la réorganisation concrète du système dans nos territoires (PTCE alimentaires, places à vivres, caisses de l'alimentation pour impliquer les mangeurs) et 15 au soutien des acteurs de production différenciés que sont les agriculteurs bio ? Démocratie Sociétale Réseau Cocagne Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) Collectif pour une Sécurité sociale de l'alimentation. * A propos des économies publiques, si c'est comme cela dans tous les secteurs d'activité, en faut-il ? On peut en effet s'interroger sur l'équité des économies recherchées sur les acteurs réellement solidaires des populations. Peut-être suffirait-il de ne pas financer ce qui n'est pas d'intérêt public ?
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La santé des entrepreneurs et des salariés, un véritable enjeu d’évolution des sociétés. 🌳 La société coopérative toulousaine Terreauciel en a fait sa priorité : semaine de quatre jours, sorties sportives, achats responsables ou encore sept semaines de congés payés… Toutes ces avancées ont permis à la Scop spécialisée dans l’agriculture urbaine de remporter le Prix Santé Entrepreneurs d’Harmonie Mutuelle en septembre dernier. Un article à lire sur le site de La Gazette du Midi
Connaissez-vous le Prix Santé Entrepreneurs d'Harmonie Mutuelle ? 𝗜𝗹 𝘃𝗮𝗹𝗼𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻 𝗳𝗮𝘃𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲. Cette année, c'est Terreauciel spécialisée en 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲 𝘂𝗿𝗯𝗮𝗶𝗻𝗲, qui a été récompensée pour son groupe de travail « 𝗦𝗼𝗿𝘁𝗶𝗿 𝗱𝘂 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 ». Terreauciel a su mettre en place des initiatives pour la 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 et pour l'𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁. 🌍 Son 𝗺𝗼𝗱𝗲̀𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗳 permet à tous les coopérateurs de participer aux décisions. Et pour l'avenir, Terreauciel 𝘀𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹'𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲, 𝗲𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝗮𝗴𝗲𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹𝗲. 🍏 Comme l'adénosine qui doit être recapturée avant de prendre un café, 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗿𝗲𝗰𝗮𝗽𝘁𝘂𝗿𝗲𝗿 𝗹'𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗮𝗹𝗲. Alors, êtes-vous prêt à suivre leur exemple ? Retrouvez l’article complet en commentaire 👇🏻 #SCOP #RSE #DéveloppementDurable #Environnement #Écologie #Agriculture #QVCT Harmonie Mutuelle Terreauciel La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée Toulouse – Mairie et Métropole Claire Speyer Victor Belloc florian champoux Etienne Botheron Laurent Rougerie Noémie Monnier
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🌍 Aujourd'hui, il est crucial de choisir entre une société qui crée du malheur et une société qui cultive le bonheur. En tant qu'êtres humains, notre capacité à transformer notre quotidien subi en actions proactives est essentielle. Face aux menaces qui pèsent sur nos fondamentaux, comme notre capacité à nous nourrir, nous devons agir pour minimiser les conséquences futures. 🌱 Le projet Blob offre une réponse concrète. Il garantit que chacun peut contribuer activement à la sécurité alimentaire locale. Engageons-nous collectivement pour un avenir où chaque action, même modeste, compte pour la préservation de notre planète et le soutien à nos communautés locales. 🛒 En privilégiant l'achat local et en réduisant les intermédiaires, le projet Blob soutient les producteurs locaux et renforce l'économie de proximité. C'est une manière directe d'adopter une consommation responsable, bénéfique pour notre environnement et notre communauté. 🌿 En conclusion, le projet Blob ne fait pas tout, mais il représente un pas vers un mode de vie plus durable. En soutenant cette initiative, nous contribuons à façonner un avenir où la sécurité alimentaire et le bien-être communautaire sont prioritaires. Engageons-nous ensemble pour un monde meilleur !
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🥕 Saint-Camille cultive l'autonomie et la sécurité alimentaires Un bel exemple d'entrepreneuriat collectif qui démontre comment une communauté peut se mobiliser pour répondre à ses besoins! Cette initiative illustre très bien comment l'économie sociale peut contribuer à la vitalité et à l'autonomie alimentaire d'une communauté. 👉 Découvrez l'article complet ici : https://lnkd.in/eMsA_sbv Un article publié dans le cahier spécial Économie sociale du Devoir, dans le cadre du Mois de l'économie sociale.
Saint-Camille cultive l’autonomie et la sécurité alimentaires
ledevoir.com
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Directeur Opérationel Adjoint ETAMINE
6 moisLa preuve par l'exemple qu'un autre monde du travail, de la coopération et de la démocratie à petite échelle est possible... Pour la vivre a grande échelle. C'est aussi ça, l'entrepreneuriat ! Merci !