Entretien dans le cadre de la rubrique “vie de parents” pour Le Monde où j’aborde les défis de ma parentalité notamment en lien avec le numérique https://t.co/WQ48ayXcV4
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Entretien dans le cadre de la rubrique “vie de parents” pour Le Monde où j’aborde les défis de ma parentalité notamment en lien avec le numérique https://t.co/WQ48ayXcV4
Formatrice en Réseaux Sociaux et Communication. Professeur de français et d´espagnol
5 moisExcellent article
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[Carte Blanche ✍️] Natacha Duroisin, professeure et cheffe du service d’Éducation et des Sciences de l’Apprentissage à l’UMONS. Ce 12 août est la Journée internationale de la jeunesse, un moment privilégié pour réfléchir aux défis majeurs auxquels les jeunes font face dans notre société. Parmi ces défis, l’augmentation des dépendances et des addictions, l’omniprésence et l’influence croissante des écrans ainsi que les difficultés et les incertitudes relatives à l’orientation scolaire occupent une place centrale. Ces trois thématiques, bien qu’apparemment distinctes, sont étroitement liées par les pressions sociales et culturelles qui pèsent sur la jeunesse d’aujourd’hui.
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C'est la Journée internationale de la jeunesse! Pour cette occasion, voici une carte blanche rédigée par Natacha Duroisin! Voici le résumé... Ce 12 août est la Journée internationale de la #jeunesse, un moment privilégié pour réfléchir aux défis majeurs auxquels les #jeunes font face dans notre #société. Parmi ces défis, l’augmentation des #dépendances et des #addictions, l’omniprésence et l’influence croissante des écrans ainsi que les difficultés et les incertitudes relatives à l’orientation #scolaire occupent une place centrale. Ces trois thématiques, bien qu’apparemment distinctes, sont étroitement liées par les #pressions #sociales et #culturelles qui pèsent sur la jeunesse d’aujourd’hui. 🔗 L'article complet est accessible via le lien ci-dessous... #dailyscience #média #vulgarisation #journalisme #web #actualité #science #recherche #innovation #belgium #belgique #belgie #etude #decouverte #scientifique #opinion UMONS UMONS Recherche, Innovation & Entrepreneuriat
[Carte Blanche ✍️] Natacha Duroisin, professeure et cheffe du service d’Éducation et des Sciences de l’Apprentissage à l’UMONS. Ce 12 août est la Journée internationale de la jeunesse, un moment privilégié pour réfléchir aux défis majeurs auxquels les jeunes font face dans notre société. Parmi ces défis, l’augmentation des dépendances et des addictions, l’omniprésence et l’influence croissante des écrans ainsi que les difficultés et les incertitudes relatives à l’orientation scolaire occupent une place centrale. Ces trois thématiques, bien qu’apparemment distinctes, sont étroitement liées par les pressions sociales et culturelles qui pèsent sur la jeunesse d’aujourd’hui.
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Merci à ces deux journalistes Ariane Lacoursiere & Gabrielle Duchaine d’avoir soulevé le sujet sur le manque important d’autonomie des enfants de nos jours ! Bravo👌🏼 Merci d’avoir pensé à intégrer Noémi Cantin, ergothérapeute pour votre entrevue dans La Presse. L’ergothérapeute est vraiment le professionnel à recruter pour discuter de l’autonomie fonctionnelle dans les médias. J’entends actuellement des entrevues dans les médias avec d’autres professionnels qui soulèvent l’aspect émotionnel ou comportemental mais l’autonomie est plus complexe que cela… il faut analyser l’interaction entre : La personne (physique, cognitif, affectif) Ses environnements (scolaire, familial…) Ses occupations Voilà comment on peut définir d’où provient le manque d’autonomie ! Article de La Presse : Des enfants de moins en moins autonomes https://lnkd.in/ergMWNj5
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Le fait d’avoir une télévision ou un ordinateur dans la chambre à coucher au début de l’adolescence aurait des conséquences sur la réussite scolaire et les liens sociaux des jeunes 🔍 Selon une nouvelle étude menée par Benoit Gauthier, doctorant dirigé par Linda Pagani, professeure à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche Azrieli du CHU Sainte-Justine, la présence d’écran dans la chambre à coucher dès l’âge de 12 ans prédirait des notes globales plus basses, un risque de décrochage plus élevé et une probabilité plus faible d’avoir vécu une relation amoureuse à l’âge de 17 ans. En ayant accès aux écrans de façon recluse, illimitée et non supervisée, l’exposition aux écrans pour les jeunes est plus grande et les contenus moins adéquats. Cette consommation d’écran vient alors remplacer des activités plus constructives, comme les études ou les interactions sociales non virtuelles, alors que les jeunes sont généralement en train de perfectionner leurs compétences cognitives et interpersonnelles. « Le temps solitaire et sédentaire passé dans les espaces privés devant des écrans pendant l’adolescence entre donc en interférence avec les possibilités de nouer des liens, d’interagir avec les autres et d’acquérir des compétences sociales. Jamais nous n’avons vu autant de jeunes aux prises avec des troubles émotionnels et comportementaux. Et ces jeunes sont les adultes et les parents de demain. Les répercussions se feront sentir sur le marché du travail et on peut imaginer une transmission intergénérationnelle de l’inadaptation. » Pour les chercheurs, tenir les écrans à l’écart des zones privées est un enjeu de santé publique. La Fondation de la recherche pédiatrique est présente à chaque étape de la vie des enfants et des adolescents, pour s’assurer de leur santé et de leur bien-être. 💡 Pour permettre à certains jeunes de favoriser le développement de leur habilités sociales, la Fondation soutien le projet « Horizon », un projet loin des écrans, pour mieux répondre aux besoins de jeunes à risque qui ne répondent pas bien à la thérapie traditionnelle. ▶️ Découvrez notre campagne annuelle sur la santé mentale des enfants et des adolescents : https://lnkd.in/em7S9yqu #santémentale #recherchepédiatrique
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A l'Institut de France, colloque "sans enfant par choix" Le courant de pensée Childfree (sans enfant par choix) est déjà vieux de plusieurs décennies, mais il revêt aujourd’hui une importance capitale quand un tiers des Françaises sans enfants et en âge de procréer ne veulent pas d’enfants (sondage IFOP 2022). Un courant marginal et original devient une opinion largement partagée, d’autant qu’il concerne l’ensemble des pays occidentaux et même des pays développés. A partir du moment où, avec la contraception, la conception de l’enfant cessait d’être un destin, il était bien naturel que nous commencions à poser la question de sa légitimité. Le moment contemporain est-il particulièrement privé de sens, ou désespéré, pour que le désir d’enfant soit à ce point remis en cause ? Faut-il penser que le développement économique contredit le désir d’enfant ? Faut-il croire que la situation de nos sociétés est réellement pire que celle de nos anciens, au point de mettre en cause l’avenir humain ? Quelle nouvelle vision du temps cela traduit-il, quand l’histoire personnelle réclame de se clore avec l’individu ? Quel rôle jouent les ruptures idéologiques et religieuses présentes dans cette nouvelle manière de considérer l’existence ?
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𝗥𝗲𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮 𝗹’𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗟𝗮 𝗣𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲 : “𝗗𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗲𝗻 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗼𝗻𝗼𝗺𝗲𝘀” L’article publié lundi dans La Presse, intitulé “Des enfants de moins en moins autonomes”, a suscité de nombreuses réactions. On y rapporte une “hausse marquée” de la perte d’autonomie chez les élèves du primaire, un constat préoccupant. Toutefois, ce constat, bien qu’alarmant, néglige un facteur crucial : l’impact des conditions de vie des familles, qui se détériorent au Québec. Les données de l’EQDEM nous permettent d’observer une tendance en augmentation des vulnérabilités développementales, qui malgré tout, demeure légère. Toutefois, il est important de souligner que certains sous-groupes sont surreprésentés parmi les enfants vulnérables. À Montréal, par exemple, les caractéristiques associées à une proportion accrue d’enfants vulnérables incluent, d'être né à l’extérieur du Canada, d'avoir une langue maternelle autre que le français et de vivre dans un milieu défavorisé. 𝗟𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗰𝗿𝗮𝗻𝘀 L’exposition croissante aux écrans est effectivement préoccupante (liée à des difficultés de communication, de régulation des émotions, de socialisation, et un risque de dépendance). Cependant, NOUS, les acteurs entourant les enfants, partageons cette responsabilité! Mme Andréane Melançon de l'INSPQ souligne la difficulté à « statuer scientifiquement sur un lien de cause à effet très clair ». 𝗟𝗲 𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘁𝗲𝗿𝗺𝗶𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗮 𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗻𝗲𝗴𝗹𝗶𝗴𝗲𝗿 Les déterminants sociaux, tels que le statut socio-économique, doivent impérativement être pris en compte dans cette analyse. Des indicateurs socio-économiques sont en augmentation chez les familles (insécurité alimentaire, augmentation des familles à faible revenu, familles vivant dans des logements inadéquats). 𝗟𝗮 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗹𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗲𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 Le service de garde éducatif à l’enfance joue un rôle crucial dans le développement des enfants. Cependant, certaines familles, notamment celles à faible revenu ou nées à l’étranger, ont moins accès à ces milieux essentiels. Il y a plus de CPE dans les quartiers mieux nantis que dans les quartiers défavorisés! De plus, une baisse préoccupante dans la qualité des milieux de garde éducatif et une diminution de la proportion d'intervenants "qualifiés" dans ces milieux a été mis en lumière récemment. 𝗖𝗲 𝗾𝘂'𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁 𝗿𝗲𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 Si ceux qui côtoient nos enfants expriment des préoccupations, écoutons-les attentivement et collaborons pour identifier précisément les enjeux. Toutefois, soyons prudents et évitons de tirer des conclusions hâtives sur les causes. Le développement des enfants est complexe et doit impérativement prendre en compte leurs conditions de vie (environnement familial, éducatif, scolaire), qui se sont détériorées ces dernières années. Investissons dans nos enfants! (𝘚𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦)
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⚠ Que dire de cette étude qui nous révèle ce que nous constatons au quotidien : les jeunes passent beaucoup trop devant les écrans que devant des livres. Les vidéos sur écrans ont envahi la vie de nos enfants et adolescents au point où ils ne lisent plus. 💡 Rappelons que lire permet de s'informer, de se cultiver, d'être libre d'avoir ses propres jugements, de découvrir le monde qui nous entoure, etc. ➡ Pour éviter que nos enfants deviennent addicts aux écrans, limiter le temps d’écrans et trouver des alternatives devient indispensable : - Pas d’écrans avant 5 ans - Pas plus d’1h / jour avant 10 ans - Pas de smartphone avant 15 ans - Pas d’écran dans la chambre, le matin, pendant le repas et avant de dormir.
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Cet article explique comment les applications #scolaires, en remplaçant les carnets de liaison classiques, transforment la #communication entre l'école et les familles, tout en soulevant des enjeux de charge mentale pour les parents et de maintien des inégalités sociales.👇🏼
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🤗Quelle joie de vous présenter la couverture du magazine Innovation en Éducation n°20 ! (sortie fin mai). 🎊 Pour fêter les 3 ans du magazine, nous offrons le replay du dernier congrès Innovation en Éducation d’une valeur de 99€ pour tout abonnement pris avant le 27 avril 🎥🍿 https://lnkd.in/e9pFVwM Que reproche-t-on à l’éducation positive ? Les attentes et préoccupations des parents divisent la société en différentes méthodes éducatives. Ne mettant pas suffisamment l’accent sur la discipline et les limites, l’éducation positive serait trop permissive, laxiste, à l’origine d’enfants tyranniques d’une part et d’une génération faible face aux défis de la vie réelle d’autre part. Les parents ont-ils oublié qu’ils sont forts et grands comme des girafes, tandis que leurs enfants sont insignifiants comme des fourmis ? C’est une théorie qui aide certaines familles à retrouver leur équilibre éducatif face aux comportements difficiles. Mais comment reprocher à un parent qui n’a connu que la peur, la soumission, le chantage et les privations dans sa propre enfance, de préférer des méthodes éducatives différentes avec ses propres enfants ? Les choix de postures parentales sont souvent en résonance avec leur passé ! Comment en finir avec la dictature des émotions immatures ? Loin de trancher sur “qui a tord” et “qui a raison”, nous avons étudié dans le récent magazine Innovation en Éducation les conséquences neuropsychologiques et sociétales qui mettent en lumière ce qui mérite d’être gardé et ce qu’il faut définitivement abandonner de l’éducation positive. Quelles différences entre l’autorité et l’autoritarisme ? Quelles sont les erreurs éducatives les plus courantes et comment les rattraper ? Parents et professeurs peuvent-ils (encore) coéduquer en 2024 ? Crise d’autorité des parents VS crise d’identité des enfants : qui doit montrer l’exemple et comment ? Règles et limites : et si les frustrations étaient un service rendu ? Discipline et fermeté : ces principes peuvent-ils être non violents ? Parent solo : faut-il lâcher prise ou redoubler d’efforts éducatifs ? Face aux dérives de l’éducation bienveillante, faut-il revenir pour autant à une éducation à la dure ? Toutes ces réflexions font la richesse de ce numéro 20 !
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Un questionnement plus qu'intéressant, vital même pour nos jeunes générations. Bien que très axée sur pour spiritualité et le bien-être, je fais partie des gens qui trouvent que la bienveillance tarte à la crême et bisounours, ça va 2 mn. Professeure en lycée, j'ai vu des mômes peu cadrés se retourner contre leurs parents à l'adolescence. Et également des adultes ayant subi une éducation psychorigide s'éterniser chez le psy ou de depression en depression pour certains ou se lâcher d'un seul coup, la crise des kidadultes de la trentaine. Bref. Il me semble que la voie du milieu reste finalement la meilleure, mais l'équilibre est dur à trouver parfois, car nos enfants, tels des musiciens créent leur propre parcours. Lorsque soudain ils se mettent en colère et à hurler et vociférer sans retenue, ils créent leur propre environnement et climat d'insécurité, car forcément le parent ne peut tolérer cela et se doit de le stopper net- à moins d'être une larve. Je dirais donc qu'une éducation juste est plus percutante qu'une éducation positive, car elle permet à l'enfant de mieux de situer, ce qui lui apprend aussi à mieux se placer en société, et se retenir quand nécessaire. Un enfant doit savoir trouver le moyen de se calmer seul, d'éviter d'arriver à la crise, et pour cela, les arts sont un merveilleux canaliseur. Arts martiaux, arts graphiques, musique, danse, théâtre etc... Dans l'inclusion au groupe, la maîtrise d'une discipline et la concentration que demande l'attention d'apprendre ces matières, l'enfant s'épanouit fortement. 1 seule heure a 2 heures hebdomadaires suffisent parfois à canaliser toute la semaine. La rêverie engendrée autour est constructive et porteuse et le berceau de toutes les rêveries de futur et de grandeur qui fomentent leurs espoirs. Car, n'oublions pas que si nous, nous sommes arrivés, eux sont des graines en devenir qui doivent renforcer leurs racines avant que de pousser vite et fort !
Conférencier TEDx, réalisateur et producteur du film L'école de la vie, une génération pour tout changer, créateur de la marque Innovation en Éducation
🤗Quelle joie de vous présenter la couverture du magazine Innovation en Éducation n°20 ! (sortie fin mai). 🎊 Pour fêter les 3 ans du magazine, nous offrons le replay du dernier congrès Innovation en Éducation d’une valeur de 99€ pour tout abonnement pris avant le 27 avril 🎥🍿 https://lnkd.in/dUJQjtF Que reproche-t-on à l’éducation positive ? Les attentes et préoccupations des parents divisent la société en différentes méthodes éducatives. Ne mettant pas suffisamment l’accent sur la discipline et les limites, l’éducation positive serait trop permissive, laxiste, à l’origine d’enfants tyranniques d’une part et d’une génération faible face aux défis de la vie réelle d’autre part. Les parents ont-ils oublié qu’ils sont forts et grands comme des girafes, tandis que leurs enfants sont insignifiants comme des fourmis ? C’est une théorie qui aide certaines familles à retrouver leur équilibre éducatif face aux comportements difficiles. Mais comment reprocher à un parent qui n’a connu que la peur, la soumission, le chantage et les privations dans sa propre enfance, de préférer des méthodes éducatives différentes avec ses propres enfants ? Les choix de postures parentales sont souvent en résonance avec leur passé ! Comment en finir avec la dictature des émotions immatures ? Loin de trancher sur “qui a tord” et “qui a raison”, nous avons étudié dans le récent magazine Innovation en Éducation les conséquences neuropsychologiques et sociétales qui mettent en lumière ce qui mérite d’être gardé et ce qu’il faut définitivement abandonner de l’éducation positive. Quelles différences entre l’autorité et l’autoritarisme ? Quelles sont les erreurs éducatives les plus courantes et comment les rattraper ? Parents et professeurs peuvent-ils (encore) coéduquer en 2024 ? Crise d’autorité des parents VS crise d’identité des enfants : qui doit montrer l’exemple et comment ? Règles et limites : et si les frustrations étaient un service rendu ? Discipline et fermeté : ces principes peuvent-ils être non violents ? Parent solo : faut-il lâcher prise ou redoubler d’efforts éducatifs ? Face aux dérives de l’éducation bienveillante, faut-il revenir pour autant à une éducation à la dure ? Toutes ces réflexions font la richesse de ce numéro 20 !
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CEO SOFT KIDS | Ex-DRH | Top 50 Worldwide créateurs EDTECH | 40 femmes Forbes | 20 ans de pratique des soft skills/CPS à l’international 🌎 | Conférencière 🎤 | Auteure📚 | Board member & BA 👼🏻 | SISTA Fellow🙋🏻♀️
6 moisLu hier 👌🏻 Merci de remettre un peu de pragmatisme dans les débats 🙏🏻