“La culture ne se décrète pas : on ne fait pas pousser les fleurs avec des pancartes” Dire qu’une organisation doit developper une “culture qualité”, c’est comme planter une pancarte dans un champ en friche avec écrit “Jardin fleuri”. Ce n’est pas la pancarte qui fait pousser les fleurs. On ne décrète pas une culture. Une culture, c’est ce qui se construit dans le temps, par les pratiques, les interactions et les compromis des membres d’une organisation. Ce n’est pas un slogan qu’on plaque sur un mur. Quand on impose une “culture qualité”, on ne fait que masquer des incohérences plus profondes. Et les gens le voient. Si les conditions de travail ne permettent pas de faire du travail de qualité, aucun slogan, aucune déclaration de principe ne changera rien. Pire, ces injonctions divisent : elles opposent ceux qui adhèrent – ou qui prétendent y croire – à ceux qui rejettent ces discours parce qu’ils n’y voient aucune utilité dans leur quotidien. Cette multiplication d’injonctions, c’est souvent le symptôme d’une peur : peur des spécialistes de perdre leur rôle, peur des organisations face à un monde plus complexe. Alors on impose des normes, des slogans, des règles, pour garder le contrôle. Mais ces systèmes coercitifs, loin d’aider, empêchent les gens de bien faire leur travail, quand l’activité est empêchée. L’activité empêchée, c’est le salarié qui, à la fin de la journée, se dit « aujourd’hui encore, j’ai fait un travail ni fait, ni à faire ». C’est la mauvaise fatigue qui provient de tout ce que l’on n’arrive pas à faire En effet, la majeure partie des gens veulent bien faire leur travail. Le vrai problème, c’est qu’on ne les écoute pas. Plutôt que de décréter des slogans, il faudrait investir dans la compréhension des problèmes réels, des logiques locales, et reconstruire sur des bases solides. C’est exigeant, mais c’est la seule voie possible. Les fleurs ne poussent pas avec des pancartes : elles poussent avec de l’attention, du soin, et un sol fertile ainsi qu’une compréhension de leurs environnement. #culturequalité #iso9001 #QSYNQ #travailréel Francois Dupuy Cecile Roaux Sandra Fagbohoun
Post de Gregory Charpentier
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✨ Sachez différencier entreprise avec véritables culture et imposteurs ✨ 🧐 Savez-vous différencier une vraie bonne culture d'entreprise des pièges grossiers ? 🚫 Méfiez-vous des contrefaçons ! Certaines boîtes font tout un cinéma 🎭 pour faire croire qu'elles ont une super culture : 👤 "Meilleur employé du mois" 🤼♂️ Fausses activités team building 🍽️ Diners entreprise obligatoires 🥳 Célébrations d'anniversaires forcées 🏓 Tables de ping-pong ⚽ Babyfoots 🛋️ Coins détente avec stickers "culture d'entreprise" Mais au final, c'est du vent ! 💨 De simples artifices pour masquer la vérité : 😬 Mauvais management ⛔ Manque de reconnaissance 🤺 Ambiance de compétition toxique 🤫 Déni des vrais problèmes La vraie bonne culture, ça ne se résume pas à du mobilier ! Une culture d'entreprise saine se construit sur : 👂 Écoute ⚖️ Équité 👍 Reconnaissance 😌 Bien-être au travail 👀 Ouvrez l'œil et ne vous laissez pas avoir par ces mascarades ! Une culture toxique finit par être démasquée. Mieux vaut éviter ces imposteurs 🚷 et choisir un environnement réellement épanouissant ! 💯 Avez-vous vous aussi été bernés par des entreprises cachant leur culture délétère derrière babyfoots et salles de jeux ? Partagez vos expériences !
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Le marketing et la com’ doivent-il sans cesse jouer sur nos failles et nos insécurités ? Que je sois du côté cliente ou prestataire, j’accorde une extrême importance à ce qui pourrait paraître obsolète : ✔️ 𝐋’𝐞́𝐥𝐞́𝐠𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞 : politesse et ponctualité en ligne de mire ✔️ 𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐝𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐩𝐫𝐨𝐪𝐮𝐞 du temps, de l’énergie et de l’argent investis ✔️ 𝐋𝐚 𝐝𝐞́𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐞𝐬𝐬𝐞 : laisser l’espace à l’autre pour sentir et choisir ✔️ 𝐋𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 ! : à la base de toute relation humaine saine ✔️ 𝐋𝐚 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞𝐭𝐞́ : tenir un cadre, faire respecter ses principes et ses limites ✔️ 𝐋𝐚 𝐠𝐫𝐚𝐭𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞 : même et surtout quand on n’a pas obtenu ce qu’on « espérait » Dans cette société qui devient tellement violente sur tellement de sujets, préserver ce territoire m’est plus que vital. Faire de mon agence et de mes relations un endroit où le respect de la parole, des actes et de la valeur a encore un sens. Je suis étonnée du nombre de personnes qui me contactent sans avoir pris le temps de lire 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 ce que je fais et propose désormais... qui cherchent à comparer… à consommer. Mon modèle économique, ma vision de l’art, mon approche du monde de l’entreprise et du monde tout court, ne rentrent dans aucune case existante. J’aurais aimé… mais il m’est demandé autre chose dans cette (dernière) vie : créer ce qui n’existe pas encore. Et ne plus le faire seule. Alors, je prends le temps d’écrire, structurer et communiquer, sans relâche, DANS les lignes et ENTRE les lignes. Une agence d’artistes du vivant… Quoi ? Pourquoi ? Comment ? TOUT est dit ici : celineboura.com 〰️ Comme nombre d’entre nous, j’avance sur un chemin d’équilibriste, qui crée avec ce qu’elle ressent du futur… tout en essayant de transmuter le poids colossal des normes imposées. ET je remercie toutes les personnes x organisations qui m’accordent leur confiance 𝐭𝐨𝐭𝐚𝐥𝐞, pour défricher ensemble des territoires rarement accueillants au premier abord… et qui s’avèrent toujours gratifiants, plus tard dans le temps. Car chacun y amène sa matière, ses lumières, son honnêteté et son humanité. Alors, ensemble, on co-créé des champs des possibles infiniment beaux… et joyeux. Et cela a un prix, dans tous les sens du terme. Le marketing, les médias et le business en général ont, me semble-t-il, un autre rôle à jouer que celui de nous « faire flipper ». Nous écrivons ces nouveaux paradigmes avec mes partenaires de je et de jeux. « Ceux qui pensent que c’est impossible sont priés de ne pas déranger ceux qui essaient. » M E R C I. { Ce post m’a réveillée en pleine nuit, il s’est écrit à travers moi et je le dépose ici }
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LE POIDS DE RIEN Hello 🖐 🌻 la #TeamExtra Il était une fois, Une mésange et une colombe 🔵 Sais-tu ce combien pèse un flocon de neige ? dit la mésange ✳ Rien d’autre que rien… répond la colombe. Alors, la mésange raconte un souvenir : 🔵 Un jour, j’étais perchée sur la branche d’un sapin lorsque la neige s’est mise à tomber, à tomber. Ce n’était pas une tempête, oh non, mais une chute progressive, lente et majestueuse. Les flocons se posaient sur ma branche. On aurait dit un rêve blanc. Je me suis amusée à les compter ! Il en est tombé 3 751 952. Au moment où le 3 751 953ème s’est posé, rien d’autre que rien, comme tu dis, la branche a cassé… Sur ce, la mésange s’envole. Restée seule, la colombe, bien perplexe, se met à réfléchir. Depuis la nuit des temps, elle ne pense qu’à la paix, la paix dont elle est devenue le symbole… Hochant la tête, elle se dit alors : ✳ Il ne manque peut-être qu’une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix… Une histoire de Jean Vernette ⚠ Dans nos lieux de travail, souvent on attend des autres d'agir pour améliorer les conditions, l'ambiance, les performance, oubliant que ce sont les efforts collectifs et partagés qui donnent les résultats les plus durables. Et si cette semaine, je m'engageais à faire en sorte que cette personne qui ne manquera plus dans notre volonté de faire de nos entreprise, de véritables lieux de service et de vie? Ensemble, construisons des Univers de Travail Epanouissants et Performants Lumineuse et Fructueuse semaine Souris, Tu Es Extraordinaire 😇 #Managerperformantetdétendu #Bienêtreautravail #Leadershipmindset -- Je suis Marie-Claire Et je t'aide à construire : 1️⃣ une vie pro épanouissante à ton service et non l'inverse 2️⃣ ta Dream Team collaborative, dynamique, épanouie et performante 3️⃣ un Univers de Travail Epanouissant et Performant de manière pérenne. Parlons-en ici 👉 https://lnkd.in/evvWpvPz
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Avez-vous remarqué comme "patience", "tolérance", et "bienveillance » semblent avoir perdu leur place dans nos conversations et, plus largement, dans nos comportements quotidiens ? Ces valeurs perdent du terrain dans notre société rapide et numérisée, mais elles sont plus pertinentes que jamais dans notre métier. ☑️ Patience en marketing : Dans l'ère de l'instantané, développer une stratégie de marque solide nécessite de la patience. C'est un processus graduel de compréhension du marché et de création de liens durables avec les clients. ☑️ Tolérance dans la communication : Face à une diversité croissante, la tolérance devient un pilier essentiel pour des campagnes inclusives et respectueuses. Comprendre et respecter les différentes perspectives enrichit notre travail et nos messages. ☑️ Bienveillance en affaires : En ces temps compétitifs, la bienveillance nous rappelle l'importance de l'éthique, de l'empathie et de l'écoute active envers nos clients et leur public. Ces valeurs renforcent non seulement notre humanité, mais aussi la qualité et l'intégrité de notre travail chez Un café et une chaise. Et vous, comment intégrez-vous ces valeurs dans votre quotidien professionnel et personnel ? Ces mots, et les valeurs qu'ils représentent, sont essentiels pour une société harmonieuse et empathique. En tant qu'individus, il est important de réfléchir à la manière dont nous pouvons les réintégrer dans nos vies. #communicationethique #marketingbienveillant #valeurs #bienveillance #tolerance #patience
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J'avais récemment rejoint une organisation et le directeur de notre département voulait organiser un pot de départ pour une collègue qui avait passé 2 ou 3 ans dans la boîte. Il avait désigné l'un d'entre nous pour faire le tour du département et collecter des "contributions" pour la fête. À ma grande surprise, la plupart des collègues ne voulaient non seulement pas cotiser pour le pot, mais aussi y assister parce que la collègue qui partait ne leur avait pas laissé une bonne impression. Pourquoi ? Elle ne disait même pas “Bonjour”! Cela peut sembler intriguant pour certains, mais c'est plus profond que cela. Dans certaines cultures, ne pas dire "Bonjour" est un manque de respect et peut grandement ternir vos futures relations avec vos collègues. Ironiquement, même dans le monde de l'humanitaire et du développement, il est très courant de rencontrer des personnes - généralement étrangères- qui ne le font pas. De plus, elles n’essaient pas non plus de s'adapter à l'environnement social dans lequel elles évoluent. Ces personnes sont même souvent très désagréables et manquent de courtoisie dans leurs interactions quotidiennes avec leurs collègues locaux. La plupart du temps, ces derniers ne se plaignent pas parce qu'ils ne se sentent pas légitimes pour le faire ou parce qu'ils ne vivent tout simplement pas dans un contexte où la "culture de la plainte" est très répandue, comme dans certaines régions d'Afrique de l'Ouest. Malheureusement, cela peut créer un environnement très toxique pour eux et affecter grandement leur bien-être ainsi que leurs performances sur le lieu de travail. Pourquoi dis-Je tout ça ? Parce que ce type d’attitude est de plus en plus répandue et crée un environnement de travail désagréable pour beaucoup qui ne pensent pas que c’est assez grave pour être dénoncé ! D'un autre côté, c'est aussi un appel aux responsables du recrutement et aux organisations qui recherchent des talents ailleurs pour travailler dans un contexte où la fibre sociale est forte, de les sensibiliser davantage sur ce type de comportements négatifs. La course aux indicateurs est telle que très souvent, les organisations mettent plus l’accent sur les compétences techniques qu’interpersonnelles de leurs staffs ce qui peut rendre l’environnement de travail pénible. Certes, ces agissements ne sont pas toujours intentionnels mais dans un monde professionnel où un environnement sain est l'un des premiers facteurs de rétention du personnel, chacun devrait questionner ses réactions face à son entourage professionnel afin de ne pas être la cause du mal être d’autrui. Comme me le disait très souvent mon défunt père, "La véritable intelligence est de savoir s'adapter à son environnement".
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La question (brûlante) de savoir si l’habit fait le moine alimente sans conteste des discussions animées. Une chose est sûre, les études révèlent une corrélation entre le succès et notre manière de nous présenter. Alors que nous plongions dans ce sujet pour vous offrir des conseils éclairés pour vos prochaines entrevues, un article très intéressant publié par La Presse sous le titre « La cravate cède le pas au mou chic » a retenu notre attention (https://lnkd.in/eDZxGcNs) Pour Annie Bissonnette, co-présidente et associée principale à La tête chercheuse : « Le code vestimentaire est un aspect important de la culture d’entreprise ! À La tête chercheuse, nous avons adopté le « style business casual » ou tenue professionnelle décontractée. » Réflexions et ressources ici dans ce nouvel article sur notre site 👇 .
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L'expérience des singes et l'échelle : Une réflexion sur le #changement et les normes sociales. Une expérience intrigante a exploré la résistance au changement à travers le comportement social des singes. Dans cette étude, un groupe de singes était placé dans une pièce où un régime de bananes, leur seule source de nourriture, était suspendu au plafond, accessible uniquement via une échelle. Initialement, chaque fois qu'un singe tentait de grimper à l'échelle pour atteindre les bananes, une douche d'eau froide était déclenchée, arrosant l'ensemble des singes dans la pièce. Cette expérience désagréable a rapidement enseigné au groupe à éviter l'échelle à tout prix. Au fur et à mesure que l'expérience se poursuivait, la faim des singes s'intensifiait, mais malgré leur besoin pressant de se nourrir, ils continuaient à empêcher fermement leurs pairs de tenter d'atteindre les bananes. Même les nouveaux venus, qui n'avaient jamais été arrosés et ne connaissaient pas la raison initiale de cette règle, étaient rapidement dissuadés par les autres. Cette norme de non-intervention persistait, ancrée dans le comportement du groupe sans aucune justification actuelle. Discussion : Cet exemple illustre de manière frappante comment des pratiques dépassées, une fois intégrées dans la culture d'une entreprise, peuvent devenir dangereuses, menaçant la survie même de l'organisation en empêchant l'adaptation à de nouvelles réalités du marché. Avez-vous observé dans votre environnement professionnel des normes similaires qui non seulement ne servent plus, mais menacent également la viabilité de votre entreprise ? Comment pouvez-vous, en tant que leader, initier un changement pour démanteler ces normes dangereuses et encourager une réflexion innovante ? Je vous invite à partager vos expériences et vos réflexions sur la manière de remettre en question et de réévaluer les normes obsolètes, pour ne pas seulement innover, mais aussi pour garantir la survie et le succès continu de votre organisation. #ChangeManagement #InnovationCulture #BusinessTransformation
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Développer des accroches sensibles à l’environnement peut répondre à la question que se pose le monde contemporain : comment favoriser l’envie chez l’individu d’adapter son comportement face aux enjeux environnementaux. En sus du syndrome du manque de nature, nous rajoutons une dimension de perte de sens que le réenchantement du réel, le caractère ludique mais aussi le volume symbolique de nos réponses au monde peut pallier et qui permet d’interroger les paradigmes de nos rapports à l’environnement au sens large.
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A LIRE ABSOLUMENT pour avoir de vraies conversations politiques, surtout avec les personnes qui ne partagent pas votre sensiblité et vos opinions. Merci Clara Delétraz pour ce super boulot ! ENSEMBLE(S), mission presque impossible ? - ENSEMBLE(S) : apprendre à se parler vraiment, en dehors de nos bulles d'opinions politiques
ENSEMBLE(S) : apprendre à se parler vraiment, en dehors de nos bulles d'opinions politiques
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J’ai une vraie question à te poser. Mais avant… je repose le contexte de ma question… Il y a eu les inondations dans le Pas de Calais, il y a les épisodes de pluie dans le sud, évidemment, il y a eu les inondations à Valence. Choc, indignation, effarement. Colère, tristesse, dépit. Mais soyons honnêtes, peu d’entre nous (moi comprise) ont changé quelque chose depuis ces événements. Il ne s’agit pas de culpabiliser. On est tous passés maîtres dans l’art de manier les "il faut" (moi comprise). Neanmoins (ouais là le neanplus est inopportun), à force de ne rien faire, on (toi, moi, nous) court droit dans le mur… et le mur, lui, est déjà sous l’eau. Alors, et voilà donc ma question : pourquoi ne bougeons pas d’un iota ? Qu’est ce qui fait qu’à un moment, ni individuellement ni collectivement, l’inaction remporte la victoire ? 💡Oui il y a des réponses individuelles… >> Troquer l’avion contre le train… Combien d’entre nous ont renoncé à l’avion ? Qu’est ce qui fait qu’on ne bascule pas ? Confort ? Envie ? Profitisme (ouais nouveau concept : nom masculin qui qualifie les comportements de celles et ceux qui bossent comme des dingues et qui merde peuvent bien profiter un peu) >> Vegetaliser son assiette… Combien d’entre nous ont réduit la viande ? Qu’est ce qui fait qu’on continue à viandardiser nos soirées entre amis ? Declassement ? Déconvivialité ? Ignorance ? Menfoutisme ? >> Achetez moins (de vêtements, d’objets, de meubles…) … Combien d’entre nous se sont posés la question du réel besoin avant d’acheter ? Intolérance à la frustration ? Inconscience ? Méconnaissance ? Rienafoutrisme ? 💡Oui, il y a des réponses en entreprise : >> Repenser les déplacements professionnels : Combien d’entreprises proposent le train plutôt que l’avion, le vélo plutôt que la voiture, la visio plutôt que le présentiel ? Pas envie de contraindre ? Culture du présentialisme ? >> Interroger la chaîne de valeur : Combien d’entreprises se posent des questions sur l’impact de leurs fournisseurs, partenaires et clients ? Sur leurs choix de matières premières, de transport, ou de production ? Inconfort ? Méconnaissance ? Menfoutisme ? >> Questionner sa création de valeurs dans ce monde en transition. Combien se sont posés la question de quels produits ou services pour un monde en transition ? Pas envie ? Pas le temps ? Pas la méthode ? >> Initier un mouvement collectif : Combien d’organisations se disent : “Et si on s’engageait à notre échelle ? Si on embarquait nos collaborateurs, nos clients, nos partenaires dans une démarche systémique ?” Pourquoi si peu de leaders osent franchir ce cap ? Manque de courage ? De vision ? Manque d’outils ? Alors, vient ma question… pourquoi ? 💥 Qu’est ce qui fait que toi là qui lit tu ne bouges pas, tu ne changes pas ? Qu’est qui fait que là dans ton entreprise ça ne bouge pas ? Même que tu peux répondre avec beaucoup d’amour ! ⭐️ Paillettes et joyeusetés à ton p’tit cœur ⭐️
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2 Doctorats Anthropologie et Management | Consultante et Accompagnatrice de transformation| Conférencière| Formatrice
5 j.Je te rejoins une fois encore Gregory Charpentier : non seulement la culture ne se décrète pas, mais c’est une donnée incompressible, ce sont les composants de la terre du champ qu’on veut investir de projets stratégiques. Le taux d’acidité, les mélanges entre matière organique et minérale… bref, tous ces éléments qui sont sources de richesses et de singularité et qui exigent de l’attention au préalable. Mettre en œuvre une transformation en entreprise suppose une phase d’écoute et de diagnostic pour nourrir les équipes et donner du sens, mais aussi un suivi pour continuer à alimenter cette terre et maintenir l’envie de contribuer à la transformation.