Post de Habit'âge

Anne Delvaux, 16 qu’il faut ! Envie de faire le meilleur choix pour les élections communales ? Au n°16 de la liste 3, je suis en ordre utile dans la dynamique équipe du bourgmestre LB1150, menée par Benoît Cerexhe et Alexia Bertrand. Forte de mon expérience de conseillère CPAS, communale et de police, je suis prête à assumer des responsabilités, comme je l’ai fait à la présidence de la Villa François Gay ou comme vice-présidente des Jumelages. Mon cœur est à Woluwe-Saint-Pierre depuis 1990, où nos enfants ont été nourris par les mouvements de jeunesse, les académies et autres clubs de sport. Comme romaniste (UCL), j’ai enseigné le Français et l’Espagnol. Passionnée par la politique, j’ai repris des études. Je suis actuellement en 3e Bac de Sciences Politiques et sociales (UCL). Ma participation, durant l’actuelle mandature, au Conseil de l’Environnement de Bruxelles-Capitale et à Brulocalis (association de conseil aux Communes et CPAS bruxellois) devient source d’inspiration pour une commune encore plus verte et inclusive. J’aurais plaisir à mettre mes compétences et mon sens de l’écoute au service des familles, des ainés et d’une transition écologique réussie. Compléter notre offre de places en crèche, familiariser les bambins avec le néerlandais dès la Maternelle, apprendre à tous nos enfants à circuler en ville à vélo, multiplier les rencontres intergénérationnelles, notamment par l’habitat, la culture et le bénévolat… ce sont des projets que nous portons en équipe, parmi 296 propositions. Les ainés forment 19% de la population wolusanpétrusienne. Nous voulons aussi préserver les activités culturelles et le sport adapté, ainsi que le Wolubus qui facilite leurs déplacements.   À titre personnel, je voudrais tendre la main à ceux que la vie n’épargne pas. Quelques exemples : -        renforcer les activités de bénévolat (telles que celles proposées par l’asbl PAJ (Prévention - Animations - Jeunesse) pour permettre à chacun de rester engagé dans la société ; -       mettre en place un mentorat pour les personnes en recherche d’emploi afin de les faire bénéficier d’expériences acquises ; -       placer des bancs en rue pour agrémenter les promenades ; -       créer un espace où les aidants proches pourront confier une personne de grande dépendance (adulte ou enfant) pour quelques heures ou une journée. Ensemble, préservons la qualité de vie de Woluwe-Saint-Pierre tout en répondant aux enjeux sociaux et environnementaux. Avec enthousiasme, Anne Delvaux, 16 qu’il faut ! Anne Delvaux de Fenffe                                                                                       16e sur la Liste du Bourgmestre (Les Engagés)

Les choix sont restreints et l'horizon semble n'être qu'un mirage insaisissable. L'avenir apparaît comme un doux euphémisme. Le regard perdu, coiffé de dégradés stylisés ou arborant des looks soignés, ces jeunes tentent tant bien que mal de maintenir une apparence propre et respectable. Le sourire qu'ils affichent n'est qu'une façade, car au plus profond de leur âme, le désespoir les ronge. Cependant, il est hors de question pour eux de montrer la moindre faiblesse. Avec le temps, ils se sont forgé une véritable armure. Ils le disent haut et fort : "Nous ne sommes pas chez nous." Comment les contredire, quand toutes les portes semblent fermées ? Comment contredire ces jeunes dont les rêves paraissent illusoires ? Il est difficile d'imaginer ce que c'est que d'être à leur place. Et pourtant, ils sont aussi les enfants de la République, appelés "les grands" par les plus jeunes. Ces mêmes "grands" qui, parfois, luttent sans relâche pour raviver l'espoir chez ces jeunes désorientés. Leur seul refuge pourrait-il être la délinquance ? L'histoire nous enseigne que lorsque les rêves ne sont qu'illusions et que le désespoir est quotidien, l'issue est souvent tragique. Le Havre a toujours été une terre d'engagement associatif. Saviez-vous que l'une des premières maisons dédiées au handicap a été bâtie au Havre lorsque l'ancien président Chirac a voulu des maisons départementales dans toute la France ? Comment comprendre que cette terre havraise, pionnière dans de nombreux secteurs associatifs, voit aujourd'hui ses associations mourir à ce point ? Comment l'expliquer ? L'association jeunesse BDB, par exemple, vient d'annoncer l'arrêt de ses activités. Que vont faire ces jeunes maintenant ? Quelles réponses leur offrir face à ce désœuvrement, cette perte de repère et d'espoir ? La réponse est politique. Les acteurs associatifs essaient tant bien que mal de pallier les carences à travers leurs actions, mais une réponse politique est indispensable. Elle est impérative, car ces jeunes sont également les enfants de la République. Ouvrons le débat : quelle est l'orientation politique de l'insertion socio-professionnelle des jeunes issus des quartiers prioritaires au Havre ? Je m'appelle Koulibaly, Passionné par la politique Abou M'bodji Abou Diallo Abou Sall Oumou Niang-Fouquet Ibrahima Diallo Stevens Bensadi Aly Soumare ZEP Elite

Anne Delvaux, 16 qu’il faut ! Envie de faire le meilleur choix pour les élections communales ? Au n°16 de la liste 3, je suis en ordre utile dans la dynamique équipe du bourgmestre LB1150, menée par Benoît Cerexhe et Alexia Bertrand. Forte de mon expérience de conseillère CPAS, communale et de police, je suis prête à assumer des responsabilités, comme je l’ai fait à la présidence de la Villa François Gay ou comme vice-présidente des Jumelages. Mon cœur est à Woluwe-Saint-Pierre depuis 1990, où nos enfants ont été nourris par les mouvements de jeunesse, les académies et autres clubs de sport. Comme romaniste (UCL), j’ai enseigné le Français et l’Espagnol. Passionnée par la politique, j’ai repris des études. Je suis actuellement en 3e Bac de Sciences Politiques et sociales (UCL). Ma participation, durant l’actuelle mandature, au Conseil de l’Environnement de Bruxelles-Capitale et à Brulocalis (association de conseil aux Communes et CPAS bruxellois) devient source d’inspiration pour une commune encore plus verte et inclusive. J’aurais plaisir à mettre mes compétences et mon sens de l’écoute au service des familles, des ainés et d’une transition écologique réussie. Compléter notre offre de places en crèche, familiariser les bambins avec le néerlandais dès la Maternelle, apprendre à tous nos enfants à circuler en ville à vélo, multiplier les rencontres intergénérationnelles, notamment par l’habitat, la culture et le bénévolat… ce sont des projets que nous portons en équipe, parmi 296 propositions. Les ainés forment 19% de la population wolusanpétrusienne. Nous voulons aussi préserver les activités culturelles et le sport adapté, ainsi que le Wolubus qui facilite leurs déplacements.   À titre personnel, je voudrais tendre la main à ceux que la vie n’épargne pas. Quelques exemples : -        renforcer les activités de bénévolat (telles que celles proposées par l’asbl PAJ (Prévention - Animations - Jeunesse) pour permettre à chacun de rester engagé dans la société ; -       mettre en place un mentorat pour les personnes en recherche d’emploi afin de les faire bénéficier d’expériences acquises ; -       placer des bancs en rue pour agrémenter les promenades ; -       créer un espace où les aidants proches pourront confier une personne de grande dépendance (adulte ou enfant) pour quelques heures ou une journée. Ensemble, préservons la qualité de vie de Woluwe-Saint-Pierre tout en répondant aux enjeux sociaux et environnementaux. Avec enthousiasme, Anne Delvaux, 16 qu’il faut ! Anne Delvaux de Fenffe                                                                                       16e sur la Liste du Bourgmestre (Les Engagés), Liste 3

💡 « Ce n’est pas pour moi. » Cette phrase résume l’autocensure qui freine trop de jeunes, notamment dans les quartiers populaires et zones rurales. L’orientation subie et la peur de l’échec les enferment dans des parcours limités, souvent loin de leur potentiel. 📊 En France, un enfant défavorisé a 4 fois moins de chances de réussir ; 31 % des élèves des établissements défavorisés risquent le décrochage, contre 18 % ailleurs. Chez Ecolhuma, nous agissons pour que chaque élève puisse rêver grand et bâtir un avenir à la hauteur de ses capacités : 🎯 Former 15 000 enseignants d’ici 2026 pour : Lutter contre l’autocensure et les stéréotypes. Accompagner des choix d’orientation éclairés. Aider les jeunes à construire des projets ambitieux et réalistes. ✨ Avec des outils concrets et un accompagnement ciblé, nous travaillons pour que l’ambition devienne la norme, et non l’exception. Pour trouver des exemples de ressources #EtrePROF, RDV en commentaire 👇 Donnons des ailes à la jeunesse de ce pays ! L’intelligence n’est pas conditionnée socialement ! #Éducation #Orientation #ÉgalitéDesChances #Ecolhuma

[Jeunesse] Les élus de France urbaine se sont réunis le 24 avril dernier pour discuter de leurs ambitions sur la #jeunesse, dans un contexte de #pauvreté et de #précarité qui touche particulièrement cette tranche d'âge. ➡ Plusieurs dispositifs nationaux et territoriaux ont été lancés depuis 2021, comme le Contrat d'engagement des jeunes, les Conventions territoriales globales #CTG, le Fonds social européen ou l'expérimentation Territoires zéro non recours. Ces dispositifs visent à favoriser l'accès à l'#emploi, à la #formation, au #logement et aux droits des #jeunes. 🛑 Les élus ont pointé plusieurs limites des dispositifs actuels, comme la complexité de la gouvernance, la faiblesse des financements ou l'insuffisance de la prise en charge de la #santé mentale. 💡 Certaines métropoles et communautés urbaines ont développé des actions spécifiques pour répondre aux besoins des jeunes, comme des projets métropolitains de la jeunesse, des équipes pluridisciplinaires et mobiles, des allocations individuelles complémentaires, ou des partenariats avec le #CROUS, l'#Éducationnationale ou les #départements. ↪ Les élus de #Franceurbaine ont exprimé leur volonté de renforcer leur action collective et de porter un message politique transpartisan pour appeler à un renouvellement de l'articulation entre l'État et les territoires sur la question de la jeunesse. 🔗 ➕ d'informations : https://lc.cx/MnTubA Montpellier, Ville, Métropole et CCAS I Ville et Eurométropole de Strasbourg I Clermont Auvergne Métropole I Grenoble-Alpes Métropole I Toulouse Métropole I Dijon métropole I Rennes Ville et Métropole I Nantes Métropole I Métropole Nice Côte d'Azur I Ville d'Orléans I Ville de Nice I Brest Métropole I Métropole du Grand Nancy I Mathieu Klein I Michaël Delafosse I Mattéo Ville-Béjean I dreysse marie-dominique I Aline Faye I céline deslattes I Tristan Lahais

📲 « Si j’avais le 07 de Michel Barnier » : l’appel au Premier ministre de et pour les jeunes ruraux 📨 « Les inégalités qui s’imposent à nous ne manquent pas. » Dans une lettre ouverte que Ouest-France publie, l’association Rura (ex Chemins d'avenirs), créée par Salomé Berlioux et qui depuis 2016 a accompagné 13 000 jeunes, en appelle à Michel Barnier pour qu’il ne les oublie pas. Ce texte s’accompagne de 30 témoignages. ✒️ EXTRAITS DE LA TRIBUNE ➡️ Les inégalités qui s’imposent à nous ne manquent pas. Alors que nous sommes situés plus loin des opportunités, rien n’est fait pour mieux nous connecter au reste de la France. Nos journées d’école commencent plus tôt, car nos établissements scolaires sont plus loin. Ce temps passé dans les transports grignote notre sommeil, notre capacité à accéder à la culture, à faire du sport, à voir nos amis ou notre famille. ➡️ Comprenez-le : nous ne demandons pas à grandir ailleurs. Mais le lieu dans lequel on est élevé ne devrait pas à ce point conditionner l’accès aux droits et aux opportunités. Jusqu’à preuve du contraire, grandir au grand air n’a jamais remplacé un service public. ➡️ Si nous avions votre 07, Monsieur le Premier ministre, on vous dirait de venir nous voir. Et même de nous inviter. Pour qu’on vous raconte. Pour débattre avec nous de propositions concrètes. Sans concurrence victimaire et bien conscients de la situation budgétaire du pays. Mais parce que les territoires, ce n’est pas juste un mot, c’est nos vies. Et nos avenirs, aussi. 🎤 EXTRAITS DES TEMOIGNAGES ➡️ Je me réveillais à 5 h 30 tous les matins. Depuis mes 11 ans jusqu’à mes 18 ans. Quand je suis arrivée à Paris pour mes études, j’ai compris que c’était pas comme ça pour tous les enfants de France. Ça n’a l’air de rien, mais ça m’a révoltée. ➡️ Pour parler de la campagne, y’a que l’amour est dans le pré. Tout le monde pense qu’on est des agriculteurs. ➡️ J’ai des amis à Bordeaux, ils parlent de la Creuse comme si c’était le plus bel endroit du monde. Mais je crois qu’ils ne sont jamais venus dans la Creuse en hiver ou sous la pluie. ➡️ Quand je suis arrivé à Lyon pour mes études, j’ai tout caché. Mon accent, ma famille, mon village, mes origines modestes. Et même comme ça, j’étais vu comme un plouc. Par mes amis, mais aussi par les professeurs. ➡️ Stage de 3e : au snack de mon village. Stage de 2nde, j’ai voulu faire autre chose. Un truc qui me plairait plus. Autour de chez moi, y avait pas une seule entreprise qui pouvait me prendre. Du coup, j’ai refait des frites. ➡️ J’adore l’idée du Pass Culture, mais c’est surtout pour les jeunes qui habitent dans les grandes villes. Aucun événement se passe dans une petite ville. Nous on peut acheter du matériel et des livres et c’est déjà bien. Mais je suis pas sûre que c’est la philosophie de ce dispositif, si ?

Ma petite réflexion sur la mendicité des enfants : un défi sociétal qui appelle à des solutions collectives et novatrices La mendicité des enfants au Sahel est un phénomène poignant qui interroge nos valeurs collectives et la responsabilité des décideurs, des communautés et des citoyens. Ces enfants, souvent livrés à eux-mêmes ou instrumentalisés, incarnent les failles d’un système socio-économique fragilisé par des inégalités profondes, l’insuffisance de structures éducatives accessibles, et une perception culturelle qui normalise parfois cette pratique. Mais, derrière chaque enfant mendiant, il y a un rêve brisé, un potentiel inexploité. En tant que spécialiste du changement social et comportemental, je crois fermement que transformer ce paradigme nécessite des approches systémiques et innovantes, à la croisée de la sensibilisation communautaire, du renforcement des politiques publiques et de l’autonomisation des familles vulnérables. Quelles solutions pour un avenir meilleur ? 1. Une refonte des systèmes éducatifs alternatifs : Développer des écoles-passerelles intégrant l’éducation formelle et les réalités culturelles locales pour permettre aux enfants en situation de mendicité d’avoir une chance de réintégrer la société. 2. Des campagnes de sensibilisation communautaire : Collaborer avec des leaders religieux, éducatifs et sociaux pour déconstruire les croyances qui justifient ou banalisent la mendicité. 3. Programmes de mentorat et formation professionnelle : Identifier des mentors et créer des espaces où ces enfants peuvent apprendre un métier, développer des compétences et reconstruire leur estime de soi. 4. Une approche participative pour impliquer les familles : Proposer des mécanismes de microcrédit ou des projets générateurs de revenus pour permettre aux familles de subvenir à leurs besoins sans recourir à l’exploitation de leurs enfants. 5. L’utilisation des technologies digitales : Concevoir une plateforme digitale dédiée, reliant les organisations de la société civile, les bailleurs et les citoyens, pour recenser les enfants en situation de rue, leur offrir des services d’urgence, et suivre leur réhabilitation. La mendicité des enfants n’est pas seulement un problème de pauvreté, c’est une atteinte à la dignité humaine et une alerte sur notre avenir collectif. S’attaquer à cette problématique, c’est investir dans le potentiel humain, renforcer le tissu social et réaffirmer notre devoir de solidarité. J’invite les acteurs du changement à unir leurs forces pour concevoir des solutions pérennes, car un enfant sauvé de la rue aujourd’hui est un citoyen engagé et épanoui de demain.

Depuis plusieurs années, face au constat d'un taux de pauvreté frappant particulièrement les plus jeunes, les dispositifs se sont étoffés en vue de soutenir ces publics, ciblant notamment les plus éloignés des institutions et des systèmes de formation : contrat d'engagement des jeunes (CEJ), puis CEJ Jeunes en rupture, obligation de formation des 16-18 ans, contrats jeunes majeurs... Des cibles plus larges en matière d'action publique mais une segmentation persistante, des gouvernances fragmentées et des financements mobilisant largement l'appel à projet. De tels constats soulèvent la question d'approches globales permettant de conjuguer insertion, accompagnement, lutte contre la pauvreté, accès à certains biens et services essentiels comme la santé, le logement, l'alimentation, la mobilité. Mobilisant le FSL, le FAJ, la prévention spécialisée, la politique de la ville, les pactes locaux des solidarités, les territoires métropolitains, s'y essaient en construisant de nouveaux partenariats face à des publics en mutation. Retour succinct sur les métropoles de Toulouse, Strasbourg, Rennes, Nantes, Orléans, Brest, Nice Côte d'Azur, Grenoble, Dijon, Montpellier, Clermont Auvergne métropole confirmant les conclusions mises en avant par la dernière fabrique prospective déployée en partenariat avec l'ANCT... Romain Carrier Benjamin Raynal Karine Boree Juliette Hurstel Morgane LEGRAND Maud Chauffin Fabrice Heitzmann Antoine Dulin Gabriel André Sophie FERKATADJI Anne Valtin Paul MONDINO Marion Durand Chloé Camus Marie Morvan Romain Briot Sara Mouette Coralie Bonaventure Mathon Institut National de la Jeunesse et de l'Education Populaire - INJEP Luc Lambert Florence CHARLIER David Blin Hadrien Coisne

👥 Générations : Construire des ponts pour mieux vivre ensemble ! Au sein de Fondation DomusVi pour la Solidarité entre les Générations , nous sommes convaincus que le lien #intergénérationnel est une force essentielle pour une société plus solidaire et humaine. L’article récent paru dans Ouest-France dans le cahier « Regards » met en lumière une question centrale : comment favoriser une meilleure coexistence entre jeunes et moins jeunes ? Cette réflexion rejoint notre engagement quotidien pour rapprocher les générations à travers des initiatives qui valorisent la transmission, le dialogue et le partage. Dans nos résidences et à travers nos actions, nous constatons chaque jour que jeunes et aînés peuvent s’enrichir mutuellement. Les ateliers intergénérationnels, les rencontres culturelles ou les projets collaboratifs permettent d’effacer les clichés et de créer un pont entre l’énergie des plus jeunes et la sagesse des aînés. ✨ Ces échanges sont essentiels pour construire une société plus inclusive et humaine. 👉 Découvrez nos initiatives et notre mission : www.fondation-domusvi.com 👉 Vous avez des idées pour renforcer le lien entre les générations ? Partagez-les avec nous en commentaire ! #GénérationSolidaires #FondationDomusVi #VivreEnsemble Sylvain Rabuel Eric Eygasier Ludovic BOURSIN Domusvi

🌍 Journée mondiale de l’enfance : Construire un avenir meilleur en investissant dans nos enfants En cette Journée mondiale de l’enfance, célébrons les enfants de Mauritanie et réaffirmons notre engagement à leur offrir un avenir prometteur. Nous saluons les efforts du gouvernement mauritanien, qui met en œuvre des initiatives importantes pour garantir une éducation de qualité, inclusive et équitable, en particulier pour les enfants les plus vulnérables. Grâce à une collaboration étroite entre le gouvernement, les partenaires nationaux et internationaux, et les organisations de la société civile, des progrès significatifs ont été réalisés. Ces efforts visent à renforcer l’accès à l’éducation, promouvoir l’inclusion scolaire et protéger les droits fondamentaux de chaque enfant, notamment ceux en situation de handicap ou vivant dans des régions défavorisées. Cependant, quelques défis restent à relever, tels que, entre autres la surcharge en classes et l’absence de ressources suffisantes. Il est crucial de pallier ces difficultés tout en poursuivant cette dynamique collective pour bâtir une société mauritanienne où chaque enfant peut s’épanouir, se sentir valorisé et participer activement à l’avenir du pays. Investir dans nos enfants, c’est investir dans le développement et la prospérité de la Mauritanie. Ensemble, continuons à œuvrer pour concrétiser ce rêve. #JournéeDeLEnfance #InclusionScolaire #EngagementGouvernemental #PartenariatPourLEnfance #Mauritanie #DroitsDeLEnfant #InvestirDansLAvenir