Post de HAD Caux Maritime - LNA Santé

Comment peut-on fermer des unités de soins palliatifs alors que nous ne répondons même pas à 1 quart des besoins d'accompagnement sur la fin de vie. La maladie, la vieillesse et la mort nous concernent tous, c est notre condition d'être humain.#santé#soins palliatifs#art-thérapie#communication#société

Les militants de l'Ufal montent en compétence pour défendre les malades ! Une formation pour nos RU (représentants des usagers du système de santé) a eu lieu samedi 18 octobre. Rappelons que l'Ufal est agréée "santé" c'est-à-dire que nos militants ont des mandats officiels pour défendre les droits des patients dans les établissements de santé. Animée par deux experts de l’Ufal 54, cette rencontre a précisé les enjeux liés à la place des représentants des usagers dans la démarche de certification HAS dans les établissement de santé en rappelant, entre autres, que les objectifs consistent à améliorer la pratique, à accroître le niveau de qualité et de sécurité des soins. Pour les établissements comme les équipes soignantes, il s’agit principalement d'une meilleure prise en charge de la douleur, de la confidentialité, de l'intimité, de la dignité et de la bientraitance des malades. D’un statut auparavant passif, ceux-ci disposent à présent de droits qui leur donnent la possibilité d’être acteurs de leur propre santé. Étaient représentées les Ufal de Vichy, Haute-Vienne, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Toulon, Val-de-Marne (Joinville), Nord (Scarpe Escaut), Côte-d’Or et Nationale. Union des FAmilles Laïques du Nord - UFAL 59 UFAL Toulon Union des FAmilles Laiques UFAL 54 Union des FAmilles Laïques UFAL 57 UFAL - Union des FAmilles Laïques Ufal Bourgogne Franche Comté

Vous connaissez le 𝐃𝐀𝐂 𝐘𝐯𝐞𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐍𝐨𝐫𝐝 ? Une équipe pour coordonner et faciliter les parcours de santé complexes ! 👇 👇 Le dispositif d’appui à la coordination (DAC) est un dispositif soutenu par l'Agence Régionale de Santé (ARS) Île-de-France pour fluidifier les parcours de santé 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐥’𝐚̂𝐠𝐞 𝐨𝐮 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐭𝐡𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞. Le DAC Santé 78 Nord - DACYN est une structure dédiée à l’accompagnement des professionnels de santé 🏥 et des usagers du territoire des 𝐘𝐯𝐞𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐍𝐨𝐫𝐝. Son objectif principal est de faciliter la coordination des parcours de santé complexes 🛠️ pour les patients confrontés à des problématiques médicales, psychologiques ou sociales nécessitant un suivi spécifique 🤝. Au cœur de ses missions, le 𝐃𝐀𝐂 𝐘𝐯𝐞𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐍𝐨𝐫𝐝 propose un soutien logistique, technique et humain, en offrant des solutions concrètes 🧩 pour optimiser la prise en charge des personnes vulnérables. En travaillant en réseau 🌐 avec les structures sanitaires, sociales et médico-sociales 🏡, il favorise une approche intégrée et personnalisée des soins. 𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐞́𝐠𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 : ✅ D'une 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐬𝐩𝐞́𝐜𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐞 𝐞𝐧 𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐩𝐚𝐥𝐥𝐢𝐚𝐭𝐢𝐟𝐬 🕊️, dédiée à l'accompagnement des personnes en fin de vie et à l'amélioration de leur qualité de vie, en partenariat étroit avec les familles et les professionnels. ✅ D'un 𝐩𝐨̂𝐥𝐞 𝐜𝐥𝐢𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 🩺 qui intervient pour évaluer et coordonner les situations médicales complexes nécessitant une expertise renforcée. 𝐒𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐬 : ✅ 𝐄́𝐯𝐚𝐥𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 des personnes en situation complexe 📝 ✅ 𝐎𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐚𝐝𝐞́𝐪𝐮𝐚𝐭𝐬 et coordination des acteurs de soins 🔄 ✅ 𝐀𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐬 dans la gestion de cas complexes 👨⚕️👩⚕️ Avec une équipe pluridisciplinaire, le 𝐃𝐀𝐂 𝐘𝐯𝐞𝐥𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐍𝐨𝐫𝐝 est un acteur clé 🔑 pour garantir la continuité et la qualité des soins 🚑, tout en assurant une prise en charge humaine et adaptée aux besoins spécifiques de chaque patient. 𝐑𝐞𝐣𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞𝐳-𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐮𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐟𝐥𝐮𝐢𝐝𝐞 𝐞𝐭 𝐨𝐩𝐭𝐢𝐦𝐢𝐬𝐞́ ! 🌟 Association Monsieur Vincent - FACS Nationale - FACS IDF - Hôpital de Poissy-Saint-Germain-en-Laye - Hôpital de Mantes-la-Jolie - Hôpital de Meulan - Les Mureaux - Centre Hospitalier Théophile Roussel (Yvelines et Hauts-de-Seine) - CPTS NORD EST 78 - CPTS Boucle de Seine - Association CPTS Val de Seine - CPTS Yvelines Nord - Porte de Normandie - CPTS Seine et Forêts

#Douleur : vers un renforcement de la prise en charge des patients. Le mois dernier, le groupe Vivalto Santé a réuni pour la 1ère fois ses praticiens spécialistes de la douleur, pour une journée d’échange sur les pratiques médicales et les parcours de soins. Avec des délais d’attente longs et 12 millions de patients présentant une #douleurchronique ou une douleur persistant 😞 en voie de chronicisation, la douleur reste l'un des plus grands défis de santé publique de notre temps. Chez Vivalto Santé, dans le cadre du projet Vivalgo, nous avons décidé de briser les silos pour réinventer la prise en charge des patients douloureux chroniques à travers une organisation innovante. Médecins et équipe de la direction médicale : toutes les expertises ont été réunies pour apporter un regard transversal sur les prises en charge actuelles. Un atelier de cocréation inédit dans la logique de co-gouvernance Vivalto Santé : cette journée a été l'occasion de partager les expériences et de faire émerger des pistes de travail concrètes. Ensemble, médecins, experts, osons repenser la douleur pour mieux la combattre. #DirectionMédicale #algologie #entrepriseàmission 👉 Pourquoi nous rejoindre ? https://lnkd.in/e949ETpf

La STARAQS a le plaisir de vous proposer de participer au webinaire de lancement de la campagne choisir avec soins en partenariat avec la SFGG, le soutien de France Asso Santé Ile de France qui représente les usagers franciliens , l’OMEDIT IDF et l’ARS IDF. L’objectif de cette campagne est de permettre aux professionnels de santé de s’évaluer par rapport à certaines pratiques ciblées par la SFGG comme étant à risque de non pertinence. Les 5 recommandations ciblées portent sur : 1. Les antipsychotiques 2. Les benzodiazépines 3. Les inhibiteurs de la pompe à proton 4. les bandelettes urinaires 5. la décision partagée La campagne s’adresse aux structures accueillant des personnes âgées de plus de 75 ans en MCO, SMR, USLD et également en EHPAD. Pour découvrir les modalités de cette campagne, vous pouvez participer au webinaire de lancement du jeudi 26 septembre de 13H30 à 14h30. Inscription au webinaire : https://lnkd.in/e-sZT56G

C'est un peu lassant de devoir répéter toujours les mêmes choses. La problématique d'accès aux soins palliatifs ne se réduit pas aux seules unités de soins palliatifs du territoire, et ne se réduit pas non plus au problème de ressources humaines. C'est méconnaître tout un pan de l'organisation même de cette discipline et surtout gommer toutes les compétences qui existent déjà mais qui sont invisibilisées et non valorisées, je pense notamment aux acteurs libéraux mais aussi aux confrères et consoeurs qui travaillent dans des structures de soins et qui ont des compétences palliatives, mais qui ne sont pas rendus visibles et de fait, sont exclus parfois des filières palliatives qu'il nous faut construire pour améliorer l'accès à ces compétences, mieux anticiper les problématiques, fluidifier les parcours des patients, optimiser l'accompagnement des familles et le soutien des équipes. A la suite de l'article sur le Figaro, un petit commentaire, en attente de validation.. "Juste une précision : les soins palliatifs ne se font pas qu'en unité de soins palliatifs. C'est un dispositif parmi d'autres. Les compétences palliatives existent ailleurs, que ce soit à domicile (IDEL, médecins traitants, équipe mobile d'HAD, DAC) ou en établissement de santé (public ou privé, sous la forme d'équipe mobile, de lit identifié, ou de soignant formé, référent). Le manque de personnel ne touche pas que les unités de soins palliatifs. L'accès aux soins palliatifs ne passe pas uniquement par les USP et heureusement ! Outre le problème de ressources humaines, certains modèles s'épuisent, deviennent obsolètes. Et c'est un paramètre non négligeable de l'équation. On ne peut pas tout mettre sur le dos des USP ni tout faire porter par les HAD. C'est une réflexion collective qu'il faut porter, entre la ville, l'hôpital, les acteurs ultra spécialisés (dits experts en soins palliatifs) et les acteurs sensibilisés ou formés aux soins palliatifs "de base", pour identifier ces compétences, les valoriser, les déployer de façon pertinente et cohérente, pour que les patients et leurs proches puissent bénéficier d'un réel accès, là où ils sont (domicile ou structure de soins)."

" ....... L'île forme énormément de médecins : 8,4 pour 1 000 habitants, deux fois plus que les pays de l'OCDE. Mais faute de moyens, le système de santé manque de matériel comme de médicaments.Pour le financer, Cuba exporte ses médecins, et confisque 75 à 80 % de leur salaire. Une organisation qui a rapporté 6,398 milliards de dollars en 2018. Dans un rapport de 2020, l'ONU évoque « une forme de travail forcé qui s'apparente à de l'esclavage moderne ». Deux ONG, les Défenseurs des prisonniers cubains et l'Union patriotique de Cuba (Unpacu), ont porté plainte devant la Cour pénale internationale. Elles sont rejointes par plusieurs centaines de médecins dissidents. Raul Castro, le président Miguel Diaz-Canel et plusieurs ministres sont accusés de « crimes contre l'humanité pour faits d'esclavagisme » et de « menacer, terroriser, forcer et détruire » ceux qui tentent de s'y soustraire. 93,48 % des médecins cubains affirment qu'ils s'échapperaient s'ils le pouvaient. Mais ils sont les jouets de la dictature, qui confisque leurs passeports et utilise leur famille comme moyen de pression. S'enfuir, c'est renoncer pour toujours à tout contact avec elle. Chaque année, à l'instar de la Corée du Nord, entre 50 000 et 100 000 travailleurs civils sont envoyés à l'étranger pour financer les dépenses du régime. D'une manière générale, « faire venir des médecins de pays pauvres, c'est déjà un moyen de résoudre nos problèmes qui exporte notre pénurie chez eux. On peut se demander si ce n'est pas une forme de néocolonialisme », s'interrogent les docteurs Arnaud Chiche et Jérôme Barrière.  Vincent Le Meaux, président de Guingamp Paimpol agglomération, voit surtout qu'ils répondent à « un besoin en santé sur nos territoires » et estime que « si Cuba peut nous aider, ce sera très bien ». Peut-être devrait-il se pencher sur leur condition d'« esclaves ». Car à la lumière de cette réalité, on se demande comment les instances locales peuvent envisager de se rendre complices d'un tel dérapage......"

2e journée nationale de la FF CSNP Quelle place pour les CSNP dans la gradation des soins urgents? comment garantir des soins urgents de qualité? comment perenniser ces structures pour recentrer les services d'urgence sur leur domaine d'expertise? quel cadre pour ces CSNP? Professionnels de santé, patients, citoyens: venez en discuter avec nous!

[#CovidLong] Quelques années après, la vie quotidienne de certains patients reste toujours très marquée par les symptômes persistants d'un Covid long. Pour l'orientation et la prise en charge de ces patients, l'#Occitanie a pris une longueur d'avance il y a déjà quelques années. L'Agence Régionale de Santé Occitanie (ARS) a pris appui sur les travaux du Dr Jérôme Larché, (Doctor above all...) pour soutenir et développer à l'échelle des 13 départements de la région, un dispositif innovant au service de ces patients. Ce parcours de soins associe de nombreux acteurs de santé, en lien avec les #DAC #CPTS #HAD #SSR et les associations qui représentent ces patients. Le modèle expérimental déployé partout en #Occitanie inspire actuellement les travaux en cours au plan national pour définir partout en France le parcours de soins dédié aux personnes qui font face tous les jours aux symptômes persistants d'un Covid long. 🔎 En pratique, le réseau de prise en charge du #CovidLong en Occitanie : https://lnkd.in/dt7iBwB Ministère de la Santé Frédéric Valletoux Catherine Vautrin Didier Jaffre Assurance Maladie Haute Autorité de Santé https://urlz.fr/pUni

[Résultat de l'enquête flash - implication des Représentants des Usagers (RU) en Revue de Morbidité et de Mortalité (RMM)] 🏥 📢 A l’occasion de la semaine de la sécurité des patient∙es qui se tiendra du 16 au 20 septembre, la délégation Ile-de-France de France Assos Santé a participé, aux côtés de la STARAQS (structure d’Appui Régionale à la Qualité des soins et à la sécurité des patients d’Ile-de-France), à une interview le 11 septembre pour échanger quant à l’implication et la participation des Représentant∙es des Usagers (RU) dans l’analyse des événements indésirables associés aux soins (EIAS) au sein de Revue de Morbidité et de Mortalité (RMM). Pour préparer cette interview, nous avons interrogé le réseau de 600 représentant.es des usagers (RU), 10% des RU ont répondu à une enquête flash. Découvrez à travers notre article, ce que pensent les RU de leur participation aux RMM 👇 👇 https://lnkd.in/enzdui3n