Avec les vacances, les cours de Master Science Politique ne sont plus mes priorités. C'est l'ère de la nouvelle économie estudiantine.
Post de HAMIDOU BA
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C'est avec plaisir que nous vous présentons l'un de nos nouveaux titulaires : Thibaud DEGUILHEM. 1. D'où viens-tu ? Périgourdin d'origine, j'ai réalisé mon doctorat à Bordeaux au sein du Groupe de Recherche en Economie Théorique et Appliquée, thèse soutenue en 2018. Après un post-doc à l'Institut de Recherche pour le Développement sur un projet international Franco-Malgache PROTECT, j'ai été recruté en 2019 comme de maître de conférences en économie à l'université Paris Cité pour y rejoindre le Laboratoire Dynamiques Sociales et Recomposition des Espaces. En région parisienne depuis 5 ans, j'ai décidé de revenir dans le Sud-Ouest. 2. Que vas-tu enseigner en BUT GEA TARBES ? J'enseignerai l'économie dans sa grande pluralité, qu'il s'agisse de champs plus macro-économiques tels que la comptabilité nationale ou l'économie internationale comme des champs beaucoup plus micro-économiques comme le fonction des marchés et les comportements des agents. Il s'agira aussi de faire quelques incursions en histoire des faits économiques et en histoire de la pensée économique afin de faciliter la compréhension globale des débats autour des politiques économiques sur des thématiques essentielles comme le changement climatique mais plus largement celle du dépassement des limites planétaires et des contradictions des modèles de production. 3. Qu'est-ce qui t’intéresse dans cette matière ? Je situe l'économie au sein des sciences sociales et de fait en dialogue nécessaire avec les autres champs tels que la sociologie, les sciences politiques et la gestion en particulier. De cette manière l'économie est de mon point de vue un excellent vecteur pour forger un esprit de réflexion à la fois rigoureux et ouvert chez les étudiants. La pluralité et la diversité des approches en économie me passionnent et motivent mes enseignements, c'est ce que j'essaie de transmettre. 4. Pourquoi le BUT GEA ? Le cœur de mes recherches porte actuellement sur l'analyse des processus de décision et de délibération autour de la fabrication de l'action publique dans différents espaces et à différents niveaux. Ces processus sont complexes et mettent en jeu des acteurs de différentes natures où interviennent administrations publiques et entreprises notamment. Ainsi, la filière GEA est pour moi une réelle occasion d'aligner recherche et enseignement en alliant la compréhension scientifique de ces processus à la pratique du fonctionnement organisationnel de ces structures où évoluent nos étudiants. 5. Pourquoi TARBES ? Ma famille étant désormais installée en vallée d'Aure, je souhaitais me rapprocher des Pyrénées. 6. Quelle est ta chanson préférée ? Difficile d'en sortir une en particulier. Je vais dire Loca de Chico Trujillo. 7. Quel est ton plat préféré ? L'Ajiaco colombien avec un jus de feijoa en leche 8. Quel est ton film préféré ? No de Pablo Larrain 9. Quelles sont tes passions ? La montagne, la course à pied, le vélo, la musique, la cuisine, les polars. Bienvenue Thibaud !
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| #PRÉSIDENCE | 🗳️ Virginie Dupont a été réélue à la présidence de l'Université Bretagne Sud à l'occasion du conseil d'administration du 2 juillet. Elle démarre un nouveau mandat de 4 ans à la tête de l'établissement. 🗨️« Merci pour cette confiance renouvelée. C’est un élan, qui confirme que le travail mené depuis 4 ans répond aux attentes de la communauté universitaire. Mon ambition, pour ce nouveau mandat, est de gravir une marche supplémentaire et de faire de l'UBS une tête de pont des #transitions environnementales et sociétales sur le Morbihan. Je retiens trois grands enjeux. 👉 Renforcer notre positionnement d'université responsable et actrice de la société et de son territoire. Nous voulons développer notre trajectoire de différenciation et de spécialisation #recherche et doper la R&D des entreprises grâce à notre filiale de valorisation UBSIDE. 👉 Être une #université « hors les murs ». Nous avons l'ambition de poursuivre le dialogue entre les sciences et la société, de peser à l'international et de renforcer notre positionnement d'université au cœur de l'Europe. 👉 Continuer de porter notre projet vers les réussiteS inclusives. Nous voulons faire de nos campus des espaces accueillants, #inclusifs, au service du bien-être, sur lesquels nos étudiants vont continuer de s'épanouir et réussir dans tous les aspects de leur vie ». __ Golfe du Morbihan-Vannes-Agglomération Lorient Agglomération Pontivy communauté France Universités Département du Morbihan
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ELECTIONS UNIVERSITE Jean Moulin Lyon 3 (3-5 déc. 2024) Qu’est-ce que « l’ambition juste » ? 🔵 Le nom de la liste que j’ai l’honneur de conduire, « L’ambition juste : pour une université qui nous rassemble », qui présente des candidats dans tous les conseils (CA, CR, CFVU) 🔵 Un site internet : https://lambitionjuste.fr/ où vous retrouvez tous les membres de la liste, notre profession de foi et notre programme 🔵 Un projet d’avenir pour l’Université Jean Moulin Lyon 3, capable de concilier : ✔️ la prise en compte du quotidien des personnels comme des étudiants, afin d’améliorer les conditions de travail, d’étude et de réussite de toutes et de tous et ✔️ la culture de l’excellence de nos formations et de notre recherche, gages de l’attractivité et du rayonnement de notre université
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Je ne parle que très rarement de politique sur les réseaux mais les enjeux de ce 2e tour des législatives sont trop importants pour rester muet et je tiens à soutenir pleinement La Tribune des présidents d’université. Je veux pouvoir me réveiller lundi 8 juillet 2024 sans gueule de bois. Je ne veux pas avoir devoir à expliquer à ma fille de 5 ans que son avenir s’est soudainement fortement assombri sans avoir pris mes responsabilités. Mon message est simple, le Rassemblement National ne doit pas obtenir de majorité à l’Assemblée . Une majorité RN serait synonyme de repli de la France sur elle-même, privée de sa liberté, des ses étudiants, de ses scientifiques, de ses entrepreneurs et de ses grands esprits français et étrangers. Nos entreprises et nos universités seraient alors en grand danger avec une science et une économie à deux vitesses. Une France que je n’accepte pas. J’aspire à une France forte, rayonnante et fière de ses valeurs d’égalité et de liberté. Une France qui innove et qui entreprend avec et pour l’Europe et plus largement le monde. Une France qui n’a pas peur de l’autre. Une France consciente que la différence est une richesse. Une France ouverte sur le monde. La richesse de la France s’appuie sur sa diversité culturelle. L’innovation n’a pas d’origine. L’entrepreneuriat n’a pas de frontières. La France puise son dynamisme économique en partie grâce à sa richesse culturelle. La France a besoin de talents étrangers pour innover et pour entreprendre. La France innovante et entrepreneuriale, c’est avant tout des femmes et des hommes de toutes origines qui pensent out of the box, qui se dépassent et qui forment un collectif complémentaire dans le but de créer de la valeur et qui contribue indéniablement au développement économique de nos territoires. Alors je vous en prie, demain : 1) Allez voter 2) Ne voter pas RN Les universités et les entreprises sont les poumons de la France, ne les sacrifions pas. Nous avons besoin de la science pour continuer à innover, entreprendre et progresser dans les domaines de la santé, de l’énergie durable, du transport responsable, de l’éducation, de la sécurité et du quotidien. Laissons à nos enfants une France moderne, durable, libre, égalitaire, puissante et rayonnante. Soyons fiers d’être français. #liberté #égalité #innovation #entrepreneuriat
TRIBUNE. Les présidents et directeurs des universités et grandes écoles de Nouvelle-Aquitaine disent non au projet politique du RN
sudouest.fr
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Après des mois de recherches voici mon mémoire de première année de Master Nouvelle Economie Sociale à UT2. Très content d'avoir pu mêler l'alimentation, la sociologie, la géographie, l'histoire et la politique pour arriver à ce premier essai dans une optique de développement d'une entreprise dans le Volvestre.
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Bravo Claire! Une belle manière de mettre en avant l’évaluation des politiques publiques.
Ravie d’être intervenue devant les étudiants du Master économie de l’environnement de l’IAE Nantes Université à l’invitation de lionel LEMIALE , leur professeur. J’ai présenté ma pratique de l’évaluation des politiques publiques pour Saint-Nazaire Ville et Agglomération. Un grand merci à eux pour ces fructueux échanges et tous mes vœux de réussite professionnelle.
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Les Echos "Dans un entretien aux « Echos », Michel Deneken, président de l'université de Strasbourg et à la tête de l'association des dix plus grosses universités françaises de recherche (Udice), regrette que ces établissements soient perçus comme un poste de dépenses et non d'investissements." Le constat est accablant et d'une clarté criante : nos concitoyens et nos dirigeants politiques font preuve d'aveuglement quant au rôle important des universités dans la génération de connaissances et la création de valeur économique. Cette vérité amère m'est malheureusement familière au jour le jour. Mon engagement sur divers sujets sans relation avec celui-ci est régulièrement accueilli par des critiques cinglantes de la part de nombreux détracteurs. Dans leur volonté de tout amalgamer et sans rien connaitre de mes activités, ils me dépeignent comme un profiteur des deniers publics ("gavé d'argent public") en raison de mon métier d'enseignant-chercheur. Ce petit compliment revient régulièrement, assorti d'un mépris flagrant de tout ce qui relève de la fonction publique. Les plus extrémistes, souvent sympathisants de l'extrême droite, adoptent une position radicale envers les universitaires, les dénigrant comme des parasites vivant aux dépens de la société et les qualifiant de "wokistes". Leur souhait ultime semble être que nous travaillions gratuitement et que nous renoncions à toute liberté de pensée. Ce discours à la fois alarmant et navrant dans sa stupidité témoigne d'une ignorance profonde de la diversité de la pensée et de l'engagement social des universités. Malgré des discours des représentants politiques généralement modérés, voire encourageants (sauf aux extrêmes), cela ne se traduit pas par un soutien concret aux universités. Les investissements restent bien en deçà des défis de compétitivité et des transitions inéluctables à venir, qu'elles soient environnementales, énergétiques (décarbonation) ou agroécologiques. Pourtant, une étude de l'Udice met en lumière le fait que financer les universités engagées dans la recherche n'est pas une dépense, mais un investissement. Chaque euro investi rapporte 4 euros de valeur ajoutée pour le pays. https://lnkd.in/eRZ5YEMT Cet effet de levier devrait susciter une profonde réflexion et, sans aucun doute, mériter une reconnaissance accrue. Il est évident que je ne devrais pas avoir à souligner le rôle essentiel des universités et des écoles d'ingénieurs, dont certaines sont intégrées aux universités, dans la formation des cadres dont notre économie a grand besoin. Dans le monde où nous vivons, un pays qui néglige ses institutions d'enseignement supérieur se condamne à des lendemains qui déchantent. Et le présent n'est déjà pas très reluisant... Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
« La France ne connaît pas ses universités »
lesechos.fr
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Quelle valeur ont les universités pour le Québec et le Canada? Se poser la question, c’est y répondre! Les panélistes présents à l’événement d’hier ont souligné quelques-unes des nombreuses contributions que font nos universités : - Un enseignement de classe mondiale dans un environnement bilingue. - Un endroit où les conversations difficiles sont non seulement acceptées, mais encouragées, permettant un véritable progrès sur les grands enjeux de société. - Une éducation au-delà du cursus académique provenant des rencontres, des interactions et des apprentissages découlant de la diversité de nos corps étudiants et professoraux. - Un tremplin pour des ambassadeurs issus de nos universités qui œuvrent partout dans le monde avec un bagage acquis chez nous. - L’impact économique de nos universités, c'est aussi 29 milliards de dollars de contributions au PIB de la ville de Montréal! Nos universités font partie de notre identité. Elles sont la fenêtre à travers laquelle nous voyons le reste du monde et à travers laquelle le reste du monde nous voit. Un atout précieux que nous ne pouvons pas nous permettre de prendre pour acquis. Merci aux panélistes pour cette conversation stimulante. H. Deep Saini, Graham Carr, Sebastien Lebel-Grenier, Martine St-Victor et Valerie Walker.
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À titre de fier diplômé de l’Université du Québec à Rimouski et premier de ma famille à obtenir un diplôme universitaire, je ressens un profond sentiment de reconnaissance pour mon alma mater. Près de 60 % des étudiants de l’UQAR sont aussi les premiers de leur famille à accéder aux études universitaires, un chiffre qui témoigne de l'impact de notre université et de son rôle dans l'égalité des chances. De plus, le taux de diplômés postsecondaires au Bas-Saint-Laurent est passé de 46 % en 1999 à 76 % en 2023. Cette croissance, fruit d’un engagement collectif, témoigne de la vitalité de l’Est-du-Québec, capable de former et de retenir des talents dans des secteurs clés. Nul doute que la création du réseau de l'Université du Québec porte fruit avec ces résultats impressionnants. Grâce aux efforts concertés des étudiants, professeurs, diplômés et partenaires régionaux, notre région devient un modèle d'innovation et de résilience, offrant des perspectives d’avenir comparables aux grands centres tout en honorant ses racines. Ensemble, nous bâtissons un avenir prospère et durable pour l’Est-du-Québec, en misant sur nos talents, nos valeurs et nos ambitions! #Rimouski #BasSaintLaurent #EnseignementSupérieur #Éducation #Université
La diplomation postsecondaire a la cote à Rimouski
ici.radio-canada.ca
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