En cette journée mondiale du Coming Out, une question se pose : connaissez-vous des lesbiennes célèbres ? Si la réponse est non, il n’y a rien d’étonnant. En revanche, cela en dit long sur notre société. Partant de ce constat, Sarah Jean-Jacques et Sophie Pointurier ont décidé de creuser les raisons pour lesquelles les lesbiennes sont si peu visibles. Quelle image a-t-on d’elles ? Quels obstacles rencontrent-elles au quotidien ? Pour répondre à ces interrogations, les deux autrices sont parties à la rencontre de vingt personnalités out, parmi lesquelles Charlotte Bienaimé, Alice Coffin, Mélissa Laveaux, Aloïse Sauvage et bien d'autres et décryptent les mécanismes qui conduisent à l'effacement des lesbiennes et les violences qu'elles subissent.
Post de HarperCollins France
Plus de posts pertinents
-
Les femmes n’ont pas droit de cité partout sur cette terre. Aussi choquant que cela paraisse, c’est une réalité ! Voici 5 endroits au monde où vous serez interdite de séjour, si vous êtes une femme : 🌐 Au Japon : 1️⃣ le mont Omine sur l’ile d’Honshu depuis plus de 1 000 ans à cause de la « distraction » que vous représenteriez pour les pèlerins masculins, 2️⃣ la toute petite île d’Okinoshima, gardée par des prêtres shintoïstes 🌐 En Afghanistan : 3️⃣ le Band-e-Amir, dans la province de Bamiyan, bien qu’ayant employé les premières gardes forestières, en raison d’atteintes à la pudeur (?) 🌐 Mais plus étonnant, en Europe aussi : 4️⃣ le mont Athos en Grèce, depuis plus de 1000 ans en raison du trouble que vous pourriez causer aux moines ayant fait voeu de célibat. Des ossements féminins ont été retrouvés en 2019 et il est sérieusement envisagé qu’il s’agirait de ceux de femmes ayant tenté de braver l’interdit. 5️⃣ la Herbertstrasse, à Hambourg, rue à laquelle aucune femme ne peut accéder si elle n’est pas prostituée, aujourd’hui encore ! 😱 Je découvre avec stupéfaction que l’obscurantisme religieux ou raciste contre les femmes a donc encore pignon sur rue en Europe, en 2024 ! Et cela me donne la nausée parce que cela me rappelle une période sombre, aux relents de chasse aux sorcières … Je vous mets le lien vers l’article du National Geographic sur ce sujet dans le 1° commentaire. Et vous, ça vous fait quoi d’apprendre cela ? ---------------------- Je m’appelle Barbara. Je suis Coach d’équipe professionnelle. Je vous aide, vous, responsables d’équipes de l’industrie, à vous déployer dans votre posture de manager et dans vos actions à construire et développer votre équipe au service de votre performance globale. ❔ Vous ne savez pas par quel bout attraper le sujet ? contactez moi : https://lnkd.in/dS2n2ek6
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
[🏭 Vous connaissez la fenêtre d’Overton ?] De la #désindustrialisation à la #renaissanceindustrielle : voici l’évolution d’un petit morceau de la fenêtre d’Overton, que je rêve de lire dans les années à venir : 1️⃣ Impensable : Dans les années 1990, l’économie est pensée en termes de mondialisation et de financiarisation. La production est considérée comme « à faible marge » et renvoyée aux pays en voie de développement, les fameux « low-cost ». C’est l’affirmation du concept #fabless, l'éloge de la #désindustrialisation. 2️⃣ Radicale : Dans les années 2000, les acteurs #territoriaux expriment leur #désarroi face aux délocalisations, mais aussi leur mobilisation. Ainsi ce ne sont pas moins de 70 #pôles de compétitivité qui voient le jour au milieu des années 2000, alors qu’un nombre limité était initialement prévu. 3️⃣ Acceptable : Dans les années 2010, avec le #RapportGallois et la « marinière Montebourg », l'idée de la réindustrialisation s’installe. 4️⃣ Sensée : Dans les années 2020, des moyens publics massifs commencent à être fléchés vers l’industrie : #FranceRelance puis #France2030. 5️⃣ Populaire : Avec la succession des #crises, Gilets Jaunes, Covid, Ukraine, le soutien public croît grâce à de premières campagnes de sensibilisation (Avec l’industrie), des témoignages personnels (eg les #néoindustriels) . Plus de 80% des Français sont en faveur de notre #réindustrialisation 6️⃣ Politique courante (fiction?) : A partir de 2025, notre réindustrialisation prend véritablement son essor. Elle s’émancipe des seuls principes de « montée en gamme » et d’« innovation de rupture ». Elle embrasse les objectifs de #cohésion territoriale, de #souveraineté et de réduction de notre #empreinte environnementale. Elle prend le nom de #renaissanceindustrielle 😉 Vous l'avez compris : la « fenêtre d'Overton » décrit le champ des idées jugées #acceptables dans le discours public à un moment donné, dénomination qui proviendrait de son concepteur Joseph P. Overton, l'ancien vice-président du Mackinac Center for Public Policy. L’évolution de la fenêtre d'Overton (ie des idées jugées acceptables) dans le temps permet d'illustrer la manière dont une idée peut passer d'une situation d’ #impensable à une politique #courante. L'exemple souvent repris est celui du mariage de personnes du même sexe : cette idée est passée au cours des années de Impensable à Courante avec des étapes intermédiaires : Radicale, Acceptable, Sensée, Populaire... A nous de jouer ? Pour mettre notre #renaissanceindustrielle au cœur de nos politiques courantes, interministérielles ? Merci Aude de Castet pour le partage de l'idée !
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📻 A l’aube de la parution du dernier épisode, je vous partage le podcast inspiré et inspirant de Kévin Magne (avec qui j’ai par ailleurs le plaisir de travailler sur 1000 cafés !). Pour continuer à ouvrir le champ des possibles 🔥, pour casser les carcans inutiles, pour créer des ponts et fédérer vraiment, le sujet est d’absolue nécessité. Très honorée d’avoir pu participer à cette première saison & surtout ravie d’entendre résonner d’autres parcours (Lumir Lapray, Nadim Bellallahom 🕊️, Benjamin Bienert,Salomé Berlioux) autant de combats et de perspectives ! 👇🏽 Ce qu’en dit l’auteur : « A l’aube de passer le cap symbolique de la trentaine, j’ai eu envie de rendre hommage au combat qui, sur ces dernières années, m’a le plus animé : Celui pour l’égalité des chances et des territoires, contre les déterminismes et les voies toute tracées. C’est donc avec une certaine fierté, un peu de pudeur et pas mal d’émotion que je vous présente « Transclasse.s", podcast qui lutte contre les inégalités des chances. Ils sont militants, artistes, chefs d’entreprise et présidents d’association et ont tous le même point commun : avoir connu une mobilité sociale et/ou géographique forte. Trop souvent présentés à tord comme des portes drapeau de la méritocratie, ils ont accepté de témoigner sur les difficultés qu'on rencontre, aujourd’hui peut-être plus que jamais, quand on grandit dans un milieu populaire, en campagne, zone péri-urbaine et banlieue et qu'on se retrouve projetés dans des cercles d'influence ou de pouvoir. Avoir le cul entre deux chaises, ne pas avoir les codes, ressentir un conflit de loyauté : autant de sujets qui seront abordés dans cette première saison. Les histoires des interviewé.e.s sont plurielles mais tous portent la même conviction : leur trajectoire n’est qu’une anomalie. Ils sont l’arbre qui cache la forêt ! Pas de fatalité pour autant, Eux ont décidé de faire des inégalités un combat de chaque instant. Les transclasses sont une clé, un trait d’union pour rassembler ! » ⚡️ Pour l’écouter :
Transclasse.s - La bande annonce
smartlink.ausha.co
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le 15 mai, on célèbre la #Journéeinternationaledesfamilles, soit l’occasion de reconnaître le rôle essentiel que jouent les familles non seulement dans nos vies, mais également envers le bien-être et le bon fonctionnement de la société. Alors que l’année 2024 marque le 30e anniversaire de l’Année internationale de la famille des Nations Unies, il est important de comprendre ce qui caractérise les familles d’aujourd’hui au Canada et ce qui a changé dans la vie familiale au cours des trois dernières décennies. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’Institut Vanier a publié un rapport explorant de telles tendances. La structure des familles constitue le premier volet de #Lafamillecompte2024, une série en quatre parties brossant un portrait des familles d’aujourd’hui au pays et de leur évolution depuis l’inauguration de l’Année internationale de la famille en 1994. Les prochaines publications porteront sur le travail, l’identité et le bien-être des familles. https://lnkd.in/e4qKyFv3
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Construire la robustesse N°25 Alors que nos sociétés se polarisent, voire s'enferment dans des dérives sectaires, il est temps de réhabiliter le rôle des incohérences pour créer du sens commun (au lieu de chercher le consensus à tout prix). Patrick Viveret propose une expression et une méthode: "les désaccord féconds". Le post de Julie Chabaud 💚 ci-dessous l'évoque en peu de mots, mais avec suffisamment d'ingrédients opérationnels pour tester la méthode. A vos dialogues! Une référence: https://lnkd.in/ec9jXsYY
Psychosociologue, tiers-veilleuse et exploratrice en climat de soin #Labofurtif - Co-autrice avec Patrick Viveret de "La traversée. Du temps des chenilles à celui des métamorphoses" aux éditions Les Liens qui Libèrent.
Équipement des terrestres : la construction des désaccords féconds. Cette méthode a été conçue par Patrick Viveret dans le cadre du Pacte civique et des Dialogues en humanités. Elle a été testée sur différents sujets controversés (nucléaire civil, collapsologie, mariage pour tous, vaccination...). Le 7 octobre dernier, les membres du groupe politique du Cercle Métamorphoses mobilisé depuis un an sur la mise en chantiers de notre ouvrage "La traversée. Du temps des chenilles à celui des métamorphoses." https://lnkd.in/e3v7Jp82 ont eu la chance d'échanger autour des retours d'expériences de Patrick et Céline PORET co-animatrice des constructions de désaccords féconds. Ce n'est pas une baguette magique mais un des outils utiles pour "transformer la violence en conflit" ; à panacher avec la CNV, la thérapie sociale, les cartographies de controverses, la médiation sociale, etc... "Souvent, ce qu'il y a de toxique dans un groupe c'est moins les désaccords que les malentendus, les soupçons et les procès d'intention. Se mettre d'accord sur ce qui fait débat est un processus. La fécondité est le résultat de ce processus". Il y a 3 grandes étapes qui nécessitent une facilitation rodée : 1) réduire l’opacité des termes du sujet (débat mouvant en quatre coins) : lever les malentendus, s’entendre sur le sens des mots, laisser les personnes exprimer leurs ressentis, lever les incompréhensions. 2) construire les désaccords : "dégager la pépite du désaccord de la gangue du malentendu et du procès d’intention », 3 colonnes pour faire le tri entre les points d’accord, les points de désaccord et les points qui posent question (doutes) 3) traiter les désaccords et viser un dépassement dynamique en identifiant «Qu’est-ce qui vous paraît important à prendre en compte dans le point de vue que vous ne partagez pas ?». Cette méthode a été plusieurs fois décrite. Vous retrouverez les détails et les liens utiles dans la fiche ressource dédiée sur le wiki du labo furtif : https://lnkd.in/eXuYQE8a Apprendre à s'écouter et se mettre d'accord sur ce sur quoi on est d'accord et sur ce sur quoi on n'est pas d'accord comme sur ce qu'il reste à éclaircir est une des conditions d'une démocratie apaisée et créatrice où l'on sait "s'opposer sans se massacrer". C'est aussi une condition de la robustesse (voir l'excellente interview de Olivier Hamant via Thinkerview https://lnkd.in/enWgMjM4 ), des mises en récit des métamorphoses (voir le non moins excellent opus de La Fabrique des Transitions https://lnkd.in/evVGh3XF ) et du "parler courbe" de l'expérimentation "où atterrir ?" Collectif Rivage "On ne bâtit pas une utopie avec des rêves, on la construit avec [celles et] ceux qui savent regarder le monde en face, dans les yeux" Le monde selon Wen (Résolution, Li-Cam, La Volte, 2019)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Et si nous apprenions à rendre nos désaccords féconds? Au lieu de laisser la polarisation croissante, l'opposition frontale et les débats stériles gagner du terrain... Tout autant que l'absence de communication et d'expression des différences et des nuances enrichissantes... Et l'absence, non saine, de clarification des malentendus, par évitement "des sujets qui fâchent" et peur des conflits... Il existe, pour cela, un outil bénéfique, hélas méconnu et peu enseigné, qui porte le nom de "métacommunication". Il s'agit d'apprendre à et d'oser communiquer ensemble sur comment nous communiquons entre nous... Pour mieux distinguer, et se mettre respectueusement d'accord sur : - nos points d'accord - et nos points de désaccord, en essayant de dissiper les malentendus... Très utile et bénéfique, dans tous les domaines des relations humaines, et pour tous les sujets de discussion, a fortiori "sensibles" ou clivants...
Psychosociologue, tiers-veilleuse et exploratrice en climat de soin #Labofurtif - Co-autrice avec Patrick Viveret de "La traversée. Du temps des chenilles à celui des métamorphoses" aux éditions Les Liens qui Libèrent.
Équipement des terrestres : la construction des désaccords féconds. Cette méthode a été conçue par Patrick Viveret dans le cadre du Pacte civique et des Dialogues en humanités. Elle a été testée sur différents sujets controversés (nucléaire civil, collapsologie, mariage pour tous, vaccination...). Le 7 octobre dernier, les membres du groupe politique du Cercle Métamorphoses mobilisé depuis un an sur la mise en chantiers de notre ouvrage "La traversée. Du temps des chenilles à celui des métamorphoses." https://lnkd.in/e3v7Jp82 ont eu la chance d'échanger autour des retours d'expériences de Patrick et Céline PORET co-animatrice des constructions de désaccords féconds. Ce n'est pas une baguette magique mais un des outils utiles pour "transformer la violence en conflit" ; à panacher avec la CNV, la thérapie sociale, les cartographies de controverses, la médiation sociale, etc... "Souvent, ce qu'il y a de toxique dans un groupe c'est moins les désaccords que les malentendus, les soupçons et les procès d'intention. Se mettre d'accord sur ce qui fait débat est un processus. La fécondité est le résultat de ce processus". Il y a 3 grandes étapes qui nécessitent une facilitation rodée : 1) réduire l’opacité des termes du sujet (débat mouvant en quatre coins) : lever les malentendus, s’entendre sur le sens des mots, laisser les personnes exprimer leurs ressentis, lever les incompréhensions. 2) construire les désaccords : "dégager la pépite du désaccord de la gangue du malentendu et du procès d’intention », 3 colonnes pour faire le tri entre les points d’accord, les points de désaccord et les points qui posent question (doutes) 3) traiter les désaccords et viser un dépassement dynamique en identifiant «Qu’est-ce qui vous paraît important à prendre en compte dans le point de vue que vous ne partagez pas ?». Cette méthode a été plusieurs fois décrite. Vous retrouverez les détails et les liens utiles dans la fiche ressource dédiée sur le wiki du labo furtif : https://lnkd.in/eXuYQE8a Apprendre à s'écouter et se mettre d'accord sur ce sur quoi on est d'accord et sur ce sur quoi on n'est pas d'accord comme sur ce qu'il reste à éclaircir est une des conditions d'une démocratie apaisée et créatrice où l'on sait "s'opposer sans se massacrer". C'est aussi une condition de la robustesse (voir l'excellente interview de Olivier Hamant via Thinkerview https://lnkd.in/enWgMjM4 ), des mises en récit des métamorphoses (voir le non moins excellent opus de La Fabrique des Transitions https://lnkd.in/evVGh3XF ) et du "parler courbe" de l'expérimentation "où atterrir ?" Collectif Rivage "On ne bâtit pas une utopie avec des rêves, on la construit avec [celles et] ceux qui savent regarder le monde en face, dans les yeux" Le monde selon Wen (Résolution, Li-Cam, La Volte, 2019)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les secrets du succès fou de Crazy Sally. Aujourd’hui, Crazy Sally est une influenceuse qui réunit près de 2 millions d’abonnés et est reconnue pour ses grands engagements envers la justice sociale, son lifestyle, mais aussi sa série MotherLand qui a pour but de revaloriser les pays d’Afrique. Elle connaît un tel succès parce qu’en plus d’avoir été l’une des premières femmes noires à se créer une communauté autour des cheveux Afros sur Ytb, elle partage des valeurs profondes, sensibilise et 𝐧’𝐡𝐞́𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐚̀ 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧. Que ce soit pour emmerd** le Rassemblement national, Éduquer de façon simple sur ce qu’il se passe au Congo, en 🍉 et partout dans le monde, Sensibiliser sur les violences policières, Ou encore crier haut et fort que l’Afrique n’est pas juste misère, contrairement à ce que les médias veulent nous faire penser. On pourrait se dire qu’elle se limiterais à partager du contenu militant. Sauf que non, Sally n’aime pas rentrer dans des cases 😼. Avec elle, tu peux découvrir une de ses tenues à la plage le lundi matin, puis le mercredi, une vidéo sur un fait de société profond. Le vendredi, on la voit sur un tapis rouge, habillé de façon luxueuse, aux côtés de célébrités. Puis dimanche, elle te partage une vidéo éducative sur la montée de l’extrême droite. Enfin bref, on peut dire qu’elle joue sur plusieurs terrains. Et c’est justement ça qui est incroyable chez elle : avoir une influenceuse qui vulgarise et rend accessible de tels sujets. Une influenceuse qui propose du contenu de qualité et de profondeur ( pas de culture du vide avec elle 👀.) Une influenceuse qui prend le micro pour les minorités souvent oubliées. Mais qui nous montre aussi que ce n’est pas parce qu’elle est instruite et partage de belles valeurs qu’elle ne peut pas être coquette, porter du luxe, voyager et avoir le quotidien d’une jeune femme de son âge. Si tu devais en tirer une conclusion pour ta marque : - Ne sois pas trop rigide. - Partage-nous les valeurs et combats qui te prennent au tripes. - N’aie pas peur d’emmerder les fach*s en public. - Humanise ta marque. - Reste authentique. Bref, aie de l’audace, de la profondeur et de la crédibilité. ——————— Enchantée, Namou 🧡. J’ai créé le premier collectif de freelances dédié au développement des marques de cosmétiques ethniques et Afrobrand. Community managers, photographes, consultants marketing, ou encore webmasters freelances aux valeurs partagées se sont réunis pour le plus grand bien de ta marque ! Envie d’en savoir plus ou de me parler de ton projet ? On se donne rendez-vous en DMs :)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Sortons de nos bulles ! Ginger lance l’identité graphique de #fautquonparle Ou l’idée géniale de faire se rencontrer, en tête-à-tête, des personnes aux opinions opposées. Bravo La Croix et Brut. de lancer le mouvement en France 👏👏👏 Partagez, partagez https://lnkd.in/ewuPuhgZ Merci de votre confiance Florence Guemy Celine Hyon-Naudin Pascal Ruffenach Laurence Szabason Gilles Anne Ponce Clara Delétraz Sandrine Verdelhan Tarik Ghezali Adrien Torres Maxime Darquier Ginger Envie de sortir de votre bulle pour de vrai et de combattre la fracturation de la société à votre échelle? 🗝️ Une expérience initiée par Brut. et La Croix pour que la France se parle à nouveau. Ça s’appelle Faut qu’on parle. 💬 En quoi ça consiste ? L’idée est simple : faire se rencontrer, en tête-à-tête, des personnes aux opinions opposées. Sans chercher à convaincre, juste pour s’écouter et apprendre à se connaitre, le temps d’une conversation de 2h ❓Pour quoi ce projet ? À l’heure où 77% des Français pensent que la société est divisée et où 54% déclarent que les différences entre eux sont trop importantes pour que continuer à avancer ensemble (données Destin Commun août 2024), il est urgent qu’on se parle ! 🗣️ Pour qui ? Toutes les personnes de plus de 18 ans qui sont prêtes à sortir de leur bulle et sont curieuses de rencontrer pour de vrai quelqu’un qu’ils n’auraient jamais rencontré autrement ⚙️ Comment ça marche ? 1. Vous prenez 3 min pour répondre à 9 questions sur des sujets qui nous concernent tous·tes 2. Un algorithme vous met en relation avec une personne qui habite près de chez vous et avec qui vous êtes en désaccord. 3. Le 23 novembre 2024 (ou un autre jour de votre choix), vous vous rencontrez pour discuter en personne ou en visio. 📅 Alors qui est prêt·e à relever le défi et à sortir de sa bulle ? Participez, partagez, et faites passer le mot autour de vous : à vos voisins, parents, grands-parents, cousins, collègues, amis… et surtout, à ceux avec qui vous n’êtes pas d’accord. 🔗 Retrouvez les questions et le formulaire ici : https://lnkd.in/eiYfMZrb #FautQuOnParle
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Découvrez un zapping saisissant qui met en lumière les épisodes de tension et de violence ayant marqué cette campagne. De vifs échanges aux altercations en coulisses, cette compilation dévoile les moments où les débats se sont enflammés, rappelant les enjeux et les passions qui animent le paysage politique actuel. #LeSoleil_Digital #legislativesanticipees2024
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Je quitte Avignon après 5 journées bien remplies : 16 heures consacrées à 6 réunions syndicales, 16 heures consacrées à 8 spectacles du In et du Off. Je repense aux échanges entre pairs lors des journées professionnelles du Syndeac. Il y fut évidemment question du contexte politique immédiat et de ce qu’un gouvernement illibéral et xénophobe risque de remettre profondément en question pour notre secteur parmi d’autres. Plus largement, il fut question de tous les services publics dont celui de l’art et de la culture (avec l’intervention importante d’Arnaud Bontemps du collectif NosServicesPublics), des discriminations raciales (avec l’intervention précieuse de Binkady-Emmanuel Hié et Pierre Affagard), des relations entre équipes artistiques et lieux, du Pass culture, des COREPS et même du forfait jours. Du très politique au très technique puisque c’est souvent le grand écart de notre quotidien professionnel. Je repense à la découverte des spectacles : ‘Hécube, pas Hécube’, où Tiago Rodrigues saisit par son acuité à décrire l’époque à travers des questions universelles comme la violence et l’utilité du théâtre dans notre société ; ‘Larzac !’, où Philippe Durand incarne les témoignages enrichissants des paysans qui se sont battus en inventant un modèle alternatif de gestion des terres agricoles sur les causses ; ‘A4 (comme la feuille)’, où Philippe Lafeuille tourne en tendre dérision, comme à son habitude, le milieu chorégraphique avec la belle technicité des quatre jeunes interprètes ; ‘Lacrima’, où Caroline Guiela Nguyen donne à voir les petites mains de la haute couture et les violences plus ou moins souterraines, qu’elles soient sociales ou conjugales ; ‘Dämon’, où Angelica Lidell offre des images marquantes sur la déchéance et fait une intéressante critique de la critique des artistes, mais assomme par sa logorrhée égotique ; ‘Comment avouer son amour quand on ne sait pas le mot pour le dire’, où Nicolas Petisoff et Denis Malard rappellent la diversité des amours qui méritent la même acceptation ; ‘L’art de ne pas dire’, où Clément Viktorovitch passe par la (presque) fiction pour partager ses analyses rhétoriques sur la communication politique et l’état de notre démocratie ; ‘Qui som ?’, où le Baro d’evel bâtit une saisissante puissance évocatrice de notre monde, rappelle la force de l’humanité élémentaire et tout ce qui nous relie dans l’adversité…
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
4 011 abonnés