Post de HYNAERO SAS

La Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises a signé 2 lettres d'intention pour le renouvellement de sa flotte d'avions bombardiers d'eau.✈️ La France est actuellement dotée de: - 12 Canadairs, dont la production stoppée depuis 2015 a repris récemment mais dont les prochaines livraisons ne sont pas attendus avant 2030; - de 8 Dash8 Q400 dont la production n'est plus assurée aujourd'hui. La DGSCGC s'intéresse donc à 2 projets🇲🇫: Le KE72 de Kepplair Evolution. Il s'agit d'un ATR72 modifié qui pourra larguer 7 500L d'eau (en flux continu pour poser une barrière de retardant ou en instantané pour effectuer un largage de sécurité). Il pourra aussi assurer des missions de fret ou d'évacuations sanitaires grâce à son volume de 75m3. Les premiers prototypes pourraient être réalisés pour 2027 avec une éventuelle livraison des premiers appareils en 2029. Le Fregate F100 de HYNAERO SAS. Cet avion amphibie pouvant emporter jusqu'à 10T d'eau représente un digne successeur du Canadair. Les premiers prototypes sont attendus pour 2029 avec une entrée en service opérationnel à partir de 2031. La France fait le choix d'une solution souveraine 🇲🇫 pour assurer la protection des personnes, des biens et de l'environnement. 🔥💧✈️ https://lnkd.in/ecjFxBHW

🚒 🔥 🛩 Avec le réchauffement climatique, notre capacité à lutter contre les incendies prend encore plus d'importance. 🚒 🔥 🛩 La France choisit une solution souveraine avec deux nouveaux avions avions bombardiers d'eau. Le KE72 de Kepplair Evolution est dérivé d'un ATR72. Il opère depuis les aéroports avec une rotation en 15'. Le Fregate-F100 développé par la start-up bordelaise HYNAERO dans le cadre d'un programme européen. Bombardier d’eau amphibie de nouvelle génération, il est capable d’opérer sur le réseau des plans d’eau utilisés actuellement. #hydravion #protectionenvironnement #souveraineté https://urlz.fr/sNW1

✈️ Comment l’IA peut venir au secours du contrôle aérien et plus largement améliorer la sécurité des vols ? C'était l'objet de la table-ronde animée ce jour par Emmanuel Duteil pour L'Usine Nouvelle en présence de David Sadek de Thales, Romain Kervarc de l'ONERA - The French Aerospace Lab et le Lieutenant-colonel Sébastien de la Brigade Aérienne du Contrôle de l’Espace Aérien. 🛫 Alors que le volume du trafic #aérien mondial a dépassé celui de l'avant Covid, quelle place pour une #IA de confiance cybersécurisée et certifiée dans l'optimisation des vols, la réduction de l'empreinte carbone et celle des trainées humides, dans le séquencement des #avions à l'approche de l'#aéroport, ou encore dans la gestion des secteurs pour les contrôleurs aériens? Passage en revue des multiples applications de l'IA pour soulager la charge cognitive des opérateurs et rendre notre ciel vivable et sûr. 🌥️ 👉 A revoir en replay (table-ronde en lecture à : 2:05:00) https://lnkd.in/eZgAP6m6

aviation ✈️ lutte anti-incendie 🔥 La France se voit proposer trois solutions de renouvellement de sa flotte de boobardiers d’eau: 1- solution sécurisée des #Canadaires de De Havilland Aircraft of Canada Limited - le futur DHC-515 attendu à l'horizon 2031 2- solution souveraine simple par transformation des #ATR72 en bombardier d’eau #multirôle non-amphibie KE-72 par Kepplair Evolution : 7000 litres largués par rotation. Intégration poussée de compléments de vision augmentée et un coût d’exploitation plus faible que ses concurrents. Son aspect multirole est également à considérer. 3- solution souveraine complexe avec le projet de bombardier amphibie Frégate F100 de @Hyanero: 10°000 litres largués par rotation et recharge sur plan d'eau. innovation intéressante, un jumeau virtuel permet d’avoir l'état de l’avion é temps réel pour anticiper les besoins de maintenance. Le choix entre simplicité et investissement. Et dans l'investissement le choix entre une solution amphibie et une solution longue portée. La solution amphibie de Hyanero me semble plus porteuse, pouvant être facilement exportée sur d’autres zones de feu en Europe. Mais la solution multirole de Kepplair à le mérite d’utiliser une cellule aero éprouvée, générant moins d’aléas de développement. Dans un contexte de crise financière la nécessité du choix va écraser l’un des deux concurrents. Le bon choix serait pourtant de garder les deux fers au feu. https://lnkd.in/eAfaZCNA

" « Il s’agit de fournir des bouées acoustiques et/ou passives, aérolargables, de type Otan. Ces bouées sont mises en œuvre par les avions de patrouilles maritimes ATL2 et les hélicoptères de lutte anti-sous-marine », lit-on dans cet appel d’offres. « Sans engagement de la part de l’État, la quantité annuelle de bouées à approvisionner est, à titre indicatif, de l’ordre de 1000 bouées actives [de type Otan AN/SSQ62E par exemple] et de 2000 à 3000 bouées passives [de type Otan AN/SSQ 53D ou AN/SSQ 53G par exemple] », y est-il précisé. En clair, il est question d’acquérir un maximum de 20’000 bouées sur la période considérée. Le montant de cet accord-cadre est significatif car il pourrait atteindre les 200 millions d’euros. En outre, comme le souligne le document, « cette procédure « n’est pas ouverte aux opérateurs économiques des pays tiers à l’Union européenne ou à l’Espace économique européen ». Ce qui exclut, de facto, les entreprises américaines. " . Parce qu'il n'y a pas que les élections dans la vie, il y a aussi les sous-marins étrangers, ennemis ou même amis, et que nos eaux nationales doivent être protégées... https://lnkd.in/dzBPMKwm

Dimanche soir, Air France a annoncé suspendre, par précaution, le survol de la mer Rouge. La raison ? Un équipage a signalé un “objet lumineux” à haute altitude au-dessus du Soudan. Une décision rare, qui montre à quel point la sécurité des passagers est un impératif absolu pour la compagnie. Certains vols, comme ceux reliant Paris à Maurice et La Réunion, ont pu être maintenus avec des itinéraires modifiés, allongeant légèrement le temps de trajet. Mais d’autres, comme les vols vers Antananarivo et Nairobi, ont dû faire demi-tour pour garantir une sécurité maximale et partiront à nouveau dès que possible. Il est intéressant de noter qu’Air France a pris cette mesure en solitaire, l’espace aérien n’étant pas officiellement fermé au-dessus de cette région. Les tensions géopolitiques dans la zone de la mer Rouge, notamment avec les récentes attaques de missiles et drones, font de ce choix une décision à la fois préventive et audacieuse. Cette situation me pousse à m’interroger : Comment évaluer la “bonne” dose de prudence dans un contexte géopolitique aussi tendu ? Jusqu’où faut-il aller pour assurer la sécurité sans pour autant compromettre les opérations ? Quel est votre avis sur ce type de décision ?

En nous concentrant sur la sécurité, en tirant parti des technologies de pointe et en travaillant en étroite collaboration avec tous les partenaires du système aéronautique, nous visons à maintenir les aéronefs en mouvement de manière efficace et à réduire les perturbations. Qu’il s’agisse de faire face aux conditions météorologiques, de gérer des projets de construction ou de préparer l’avenir avec de nouvelles professionnelles et de nouveaux professionnels des services de navigation aérienne, nous nous engageons à être au service d’un monde en mouvement. Explorez les mesures exhaustives que nous prenons pour gérer l’espace aérien du Canada afin d’assurer la fluidité du débit de la circulation aérienne malgré les nombreux défis qui peuvent survenir.

Episode 2 : La formation des pompiers sur les avions électriques Depuis sa conversion en 2019, Fly Provence forme les pompiers de l'aérodrome aux spécificités des avions électriques. Leur synergie dans l’utilisation des infrastructures renforce la sécurité sur la plateforme, adaptée aux nouvelles technologies de l'aviation. 💬 Thierry, Pompier à l'aérodrome d'Aix-les-Milles depuis 6 ans : "Nous sommes polyvalents : aussi bien avitailleurs, marshalling, que pour l’entretien de toute la plateforme. Avec l'arrivée des avions électriques, notre approche a dû évoluer. Par exemple, lors des interventions, il est crucial de couper l’électricité avant d'envoyer l’eau pour éteindre les potentiels incendies, car les principaux risques sont liés aux batteries. Grâce à la formation avec #FlyProvence, nous sommes mieux préparés à gérer ces situations spécifiques." #SécuritéAérienne #FormationPompiers #AvionsÉlectriques #FlyProvence #Edeis

les conditions météorologiques n’étaient pas surprenantes, ni pour les agences de sécurité concernées qui sont censées appliquer des protocoles pour protéger le P. et les dirigeants de haut niveau, ni pour le pilote lui-même, qui avait un grade militaire élevé dans l’armée iranienne. En outre, les experts estiment que le brouillard, les nuages et le terrain ne devraient pas affecter de manière significative la trajectoire de l’hélicoptère de Raisi, étant donné qu’il est équipé pour atterrir même si les deux moteurs tombent en panne - un événement peu probable. En effet, si les deux moteurs tombent en panne, l’appareil fonctionne en mode auto-rotation et peut atterrir en toute sécurité. Selon les experts, le seul scénario possible est que l’hélicoptère perde ses deux pales, ce qui le ferait plonger à grande vitesse et ne laisserait aucune chance de survie aux passagers, ce qui est à peu près ce qui s’est passé. La perte des deux pales a ses raisons techniques, qui soulèvent à leur tour des questions sur les causes et ce qui a pu se passer avant le décollage de l’hélicoptère, ainsi que sur son état technique à ce moment-là. Il y a de nombreuses questions qui manquent de réponses, et je pense qu’elles resteront sans réponse. Cependant, il est évident que le régime iranien a tenu à éviter de soulever des doutes sur l’incident dès le début. Cela peut être dû à la crainte d’être exploité pour créer un chaos interne, ou peut-être à la connaissance préalable de ce qui allait se passer. L’accent a été mis sur l’absorption des effets de la crise, la préparation progressive de l’opinion publique aux nouvelles, l’accent mis sur la causalité des conditions météorologiques, et peut-être plus tard sur la recherche des causes de l’incident et le traitement de celui-ci d’une manière que le régime juge appropriée après avoir organisé la scène interne. Ce qui alimente le plus la théorie du complot autour du crash de l’hélicoptère du président iranien, c’est que les institutions du pays sont très vulnérables en termes de sécurité. Des événements antérieurs ont reflété cette vulnérabilité et son niveau profond, notamment l’assassinat d’un scientifique nucléaire par un «  robot tueur  » près de Téhéran. Dès lors, l’hypothèse d’une infiltration des services de sécurité iraniens, y compris ceux chargés de la protection du président lui-même, devient une possibilité qui ne peut être totalement écartée. Cependant, le «  calme  » de la réaction iranienne cette fois-ci laisse soupçonner un complot interne orchestré par des factions du régime. ... Dr. Salem ALKETBI

Aujourd’hui, nous avons publié notre rapport d’enquête (A23O0046) sur la sortie en bout de piste d’un avion De Havilland Canada DHC-8-402, survenue en 2023 à Sault Ste. Marie (ON). L’enquête a permis de déterminer qu’une fois que l’aéronef s’est trouvé en position au-dessus de la piste, l’équipage de conduite a brièvement porté son attention sur d’autres tâches. Compte tenu des indices visuels limités disponibles pendant l’atterrissage de nuit, l’équipage de conduite ne s’est pas rendu compte que l’aéronef s’était posé plus loin sur la piste que ce à quoi il s’attendait. En conséquence, le freinage à fond a été retardé jusqu’à ce que l’aéronef se trouve à 850 pieds du bout de la piste, moment où le commandant de bord a reconnu les feux d’extrémité de piste. Pour en savoir plus : https://ow.ly/ZuEj50Uar1j #SécuritéAérienne #SécuritéAéroportuaire #BSTAir #ListeDeSurveillanceBST