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Effectivement, le diagnostic moléculaire est un outil incontournable pour la préparation et la réponse aux pandémies, contribuant à la protection de la santé publique à travers une détection rapide, une surveillance efficace et une gestion proactive des risques sanitaires. Ce domaine doit être vraiment pris en compte dans le système de santé tchadienne avec des personnels qualifiés dans le domaine. #Biologie_moleculaire #Diagnostic #Pandemies

Le document de l'ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) met en lumière l'importance du dépistage et du diagnostic biologique dans la gestion de l'épidémie de mpox (variole du singe) en Afrique, particulièrement concernant le clade I du virus. Points clés sur le dépistage et le diagnostic : 1. Rôle essentiel du dépistage : - Le dépistage précoce et précis est crucial pour identifier les cas de mpox, surtout dans les régions où la maladie est en expansion rapide, comme en République Démocratique du Congo et les pays voisins (Burundi, Rwanda, Ouganda, Kenya). Un dépistage efficace permet de contenir la propagation du virus et d'initier rapidement les mesures de contrôle. 2. Importance du diagnostic biologique : - Le diagnostic biologique, via des tests de laboratoire spécifiques, est indispensable pour confirmer les cas de mpox. Le recours à des méthodes de diagnostic moléculaire, telles que la PCR (réaction en chaîne par polymérase), permet de détecter le matériel génétique du virus de la variole du singe, ce qui est essentiel pour un diagnostic rapide et fiable. 3. Accès direct aux services de diagnostic : - L'accès aux services de diagnostic dans les laboratoires de biologie médicale est crucial pour la détection rapide des infections. Les laboratoires doivent être équipés et prêts à effectuer des tests de dépistage, non seulement pour le virus de la variole du singe, mais aussi pour d'autres IST potentiellement présentes dans les populations à risque. 4. Surveillance continue : - Une surveillance active via des diagnostics réguliers permet de suivre l'évolution de l'épidémie et d'adapter les réponses sanitaires en conséquence. Le renforcement des capacités de diagnostic dans les laboratoires locaux est également encouragé pour assurer une détection et une réponse rapide aux nouvelles infections. En résumé, le dépistage et le diagnostic biologique jouent un rôle central dans la lutte contre l'épidémie de mpox, permettant non seulement de confirmer les cas et de limiter la propagation du virus, mais aussi de surveiller et de gérer efficacement la situation sanitaire. Les laboratoires de biologie médicale sont au cœur de cette stratégie, et leur capacité à effectuer des diagnostics rapides et précis est essentielle pour le contrôle de l'épidémie. https://lnkd.in/eyRnMvdp

Premier bilan prometteur de cette collaboration public-privé 🤝 C'est avec l’histoire de la Covid-19 que commence celle du réseau de surveillance RELAB (REseaux de LABoratoires privés). En 2020, le Centre National de référence des Virus des infections respiratoires (Hospices civils de Lyon et Institut Pasteur ) collabore avec les laboratoires de biologie médicale Cerballiance et BIOGROUP pour différents projets de recherche autour du SARS-CoV-2. Les équipes se rendent compte qu'il serait intéressant de pérenniser cette collaboration pour surveiller d'autres virus. « Nous avons donc mis en place une étude, en conformité MR-004, et avons reçu un avis favorable du Comité scientifique et éthique des Hospices Civils de Lyon en juin 2023». 🧑⚕️ Antonin Bal virologue au CNR 3 virus respiratoires hivernaux sont ciblés : - le virus de la Covid-19 (SARS-CoV-2), - le virus de la grippe - et le virus respiratoire syncytial ou VRS responsable de la bronchiolite chez le nourrisson et d’infections sévères chez le sujet âgé. Le réseau RELAB, qui a traité plus de 500 000 données patients, vient donc d’achever avec succès sa première saison hivernale 2023-2024. Associé aux réseaux RENAL et Sentinelles, le réseau RELAB offre ainsi une vision très complète de la dynamique épidémique quotidienne des virus respiratoires au sein de la population française. 📰 Communiqué de presse : https://lnkd.in/eK7iMgNz 📑 Archive de l'annonce de la phase pilote du réseau RELAB :https://lnkd.in/e7du7FAg #Santé #Collaboration #Innovation #SurveillanceSanitaire #RELAB #HôpitalPublic

🔬 Qu'est-ce qu'un virus ? 🤔 On entend souvent parler des virus, surtout avec les récentes crises sanitaires, mais qu'est-ce qu'un virus exactement ? Un virus n'est ni un être vivant, ni une simple "bactérie" (pas du tout une bactérie 😅). C’est un agent infectieux très particulier qui ne peut pas se reproduire seul. En fait il a besoin d'une cellule vivante pour se multiplier.C'est donc un parasite ! 👉Un virus est composé de deux parties principales : - L'ADN ou l'ARN : Le matériel génétique, qui contient l'information nécessaire pour reproduire de nouveaux virus. - La capside : Un "emballage" protéique qui protège ce matériel génétique et l'aide à pénétrer dans les cellules qu'il infecte. - Et parfois une enveloppe : C'est couche lipidique (graisseuse) qui recouvre certains virus, ajoutée autour de la capside. Comment ça fonctionne ? 🤔 Lorsqu'un virus entre dans notre corps, il cherche une cellule à infecter. Une fois qu'il a trouvé une cellule "hôte" (par exemple, une cellule de notre peau ou de nos voies respiratoires), il y déverse son matériel génétique. Il prend alors le contrôle de la cellule pour qu’elle produise de nouveaux virus. Ces nouveaux virus finissent par quitter la cellule, parfois en la détruisant, et infectent d'autres cellules. Est-ce dangereux ?🦠 Cela dépend du type de virus. Certains peuvent provoquer des maladies bénignes, comme le rhume, tandis que d'autres, comme le VIH ou le virus de la grippe, peuvent être beaucoup plus graves. Mais un virus en lui-même n’est pas "vivant", il n’a pas d’intention malveillante : il cherche simplement à se reproduire. 💭 La capacité d'un virus à se multiplier dans une cellule est un peu comme celle d’un pirate informatique qui détourne un ordinateur pour faire tourner son propre programme. Mais, contrairement aux pirates informatiques, les virus ne cherchent pas à "contrôler" un organisme de façon consciente, ils sont le résultat d’une interaction entre leur code génétique et les cellules qu’ils envahissent. la biologie est fascinante et complexe, n'est-ce pas ?!💡

#Fabshield, bouclier sanitaire antivirus, by Fabentech 👩🔬🔬💉🧫👍🤔💡 . 𝐍𝐁. 20M€ contre 34 pathogènes à haut potentiel pandémique.                                      ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ a͓̽r͓̽t͓̽i͓̽c͓̽l͓̽e͓̽ ͓̽c͓̽o͓̽m͓̽p͓̽l͓̽e͓̽t͓̽ ͓̽e͓̽n͓̽ ͓̽c͓̽o͓̽m͓̽m͓̽e͓̽n͓̽t͓̽a͓̽i͓̽r͓̽e͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ ͓̽ World Health Organization #Hera Laurent Muschel Fabentech Sébastien IVA Ministère des Armées DGA - Direction générale de l'armement Hervé Raoul ANRS Maladies infectieuses émergentes European Investment Bank (EIB) European Commission Bertrand LEPINE Sanofi INSTITUT MÉRIEUX #toxines #antivirus #anticorpspolyclonaux #sarbecovirus #nipah  #medical #pharma #pharmacie #santé #medtech #biotech #biotechnologies #biothérapies #pharmaceutique #lifesciences #biocluster #immunologie #anticorps #infectiologie #vaccins #laboratoires

Le virus HMPV (virus humain métapneumovirus) est un agent pathogène respiratoire appartenant à la famille des Paramyxoviridae, du même groupe que le virus respiratoire syncytial (VRS). Voici un aperçu détaillé de ce virus : Caractéristiques générales Découverte : Le HMPV a été identifié pour la première fois en 2001 aux Pays-Bas, mais des études montrent qu'il circulait déjà depuis des décennies. Structure : C'est un virus à ARN simple brin enveloppé, de polarité négative. Transmission : Principalement par les gouttelettes respiratoires, le contact direct ou indirect avec des surfaces contaminées. Épidémiologie Groupes touchés : *Enfants (surtout les moins de 5 ans). *Personnes âgées. *Immunodéprimés (comme les patients atteints de maladies chroniques ou sous chimiothérapie). Saisonnalité : Le HMPV est plus fréquent durant les saisons froides, comme l'hiver et le début du printemps, similaire au VRS ou à la grippe. #HMPV #Virus #biologie_moléculaire_et_cellulaire #biologiste

Bonsoir, Une bactérie hypervirulente et multirésistante préoccupe l'OMS ❓L'Organisation mondiale de la santé a appelé les Etats à lutter contre la propagation d'un clone particulièrement préoccupant de la bactérie -Klebsiella pneumoniae-. La 🇨🇭figure parmi les pays dans lesquels cette -super-bactérie- circule ❗Après la pandémie provoquée par le SARS-CoV-2 (🇪🇺 guerre en dentelle 💶 ), les microbes en circulation n'ont jamais été autant surveillés. Cette fois-ci, ce n'est pas un virus qui inquiète l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais une bactérie appelé -hvKp ST23-. Ce nom de code désigne une forme hypervirulente (hv) de la bactérie Klebsiella pneumoniae (Kp), de type de séquence (ST) 23. Cette souche est connue depuis plus de trente ans. Elle n'a depuis cessé de se répandre, pour toucher aujourd'hui tous les continents, et plus récemment a acquis des capacités de résistance aux antibiotiques de dernier recours. Des propriétés préoccupantes qui ont amené l'OMS à recenser les pays concernés. Cet été l'organisation a publié un avis rappelant aux Etats l'importance de surveiller activement cette bactérie, ainsi que de prendre des mesures pour limiter sa propagation, la vérité c'est que personne ne sait rien comme pour le SARS-CoV-2 ❓🦠 🌍

L'OMS approuve un nouveau test de diagnostic pour la variole simienne : un outil clé pour renforcer la riposte face à l'épidémie actuelle L'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de marquer une étape majeure dans la lutte contre l'épidémie de variole simienne en approuvant le premier test de diagnostic in vitro (DIV) dans le cadre de l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUL). Ce nouveau test, Alinity m MPXV, développé par Abbott Molecular Inc., permet la détection rapide et précise de l'ADN du virus à partir d'écouvillons de lésions cutanées. En 2024, plus de 30 000 cas suspects de variole simienne ont été signalés en Afrique, les plus touchés étant la République démocratique du Congo, le Burundi et le Nigéria. Cependant, les capacités de dépistage limitées, notamment en RDC où seuls 37 % des cas suspects ont été testés, continuent d'entraver une réponse efficace à l'épidémie. Ce nouveau test revêt une importance capitale à plusieurs égards : Accélérer le diagnostic : Le test Alinity m MPXV, en détectant directement l'ADN viral, permettra de diagnostiquer plus rapidement et avec plus de précision les cas suspects de variole simienne. Renforcer la riposte sanitaire : Cette nouvelle capacité de dépistage va améliorer la gestion de l'épidémie dans les pays les plus touchés, où l'absence de diagnostics rapides a favorisé la propagation du virus. Un outil vital pour les zones mal desservies : Grâce à l'autorisation d'urgence de l'OMS, ce test sera déployé rapidement, comblant ainsi un vide dans les infrastructures de santé et renforçant les efforts pour contenir l'épidémie. Cette avancée constitue un pas essentiel pour améliorer la réponse mondiale à la variole simienne et renforcer la surveillance épidémiologique dans les régions à haut risque. Pour plus d’informations, suivre ce lien vers l’article de l’OMS : https://lnkd.in/eCn3D8-U

🦠 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐫𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭-𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐞 𝐝'𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 ? 𝐈. 𝐋𝐞𝐬 𝐛𝐚𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐫𝐮𝐬 𝑸𝒖'𝒆𝒔𝒕-𝒄𝒆 𝒒𝒖'𝒖𝒏 𝒗𝒊𝒓𝒖𝒔 ? Un virus est une particule infectieuse qui a besoin d'une cellule hôte pour se reproduire. Contrairement aux bactéries, un virus ne peut pas vivre de manière autonome. 𝑺𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒐𝒔𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 Les virus ont du matériel génétique (ADN ou ARN) entouré d'une coque de protéines appelée capside. Certains ont une enveloppe lipidique. Chaque virus a une structure unique qui détermine comment il infecte les cellules et provoque des maladies. 𝑪𝒚𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝒗𝒊𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒗𝒊𝒓𝒖𝒔 Les virus s'attachent à une cellule, pénètrent leur matériel génétique, se répliquent et libèrent de nouveaux virus. 𝐈𝐈. 𝐅𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫𝐨𝐬𝐢𝐭é 𝐝'𝐮𝐧 𝐯𝐢𝐫𝐮𝐬 𝑨. 𝑻𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝑴𝒐𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 Les virus se propagent par contact direct, gouttelettes respiratoires, ou vecteurs comme les moustiques. La manière dont un virus se transmet influence grandement sa capacité à se propager rapidement dans une population. 𝑭𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒊𝒏𝒇𝒍𝒖𝒆𝒏ç𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒂 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 La densité de population, les comportements sociaux et les conditions environnementales influencent la propagation. 𝐁. 𝐕𝐢𝐫𝐮𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 La virulence est la capacité d'un virus à causer des dommages. Plus un virus est virulent, plus il est dangereux. Les virus causent des dommages par des toxines, la destruction des cellules ou l'évasion du système immunitaire. 𝐂. 𝐌𝐮𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐯𝐚𝐫𝐢𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭é 𝐠é𝐧é𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 Les virus mutent souvent, leur permettant de s'adapter et de survivre. Certaines mutations peuvent augmenter la transmissibilité d'un virus ou sa capacité à échapper au système immunitaire. 𝐈𝐈𝐈. 𝐄𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐫𝐮𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫𝐞𝐮𝐱 𝑨. 𝑽𝒊𝒓𝒖𝒔 𝑬𝒃𝒐𝒍𝒂 Se transmet par les fluides corporels, avec un taux de mortalité pouvant atteindre 90%. 𝑩. 𝑽𝒊𝒓𝒖𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒈𝒓𝒊𝒑𝒑𝒆 𝑯𝟏𝑵𝟏 Le virus H1N1 a provoqué une pandémie en 2009, touchant des millions de personnes dans le monde. Il se propage par les gouttelettes respiratoires. 𝑪. 𝑽𝒊𝒓𝒖𝒔 𝑺𝑨𝑹𝑺-𝑪𝒐𝑽-𝟐 (𝑪𝑶𝑽𝑰𝑫-𝟏𝟗) Le SARS-CoV-2 a émergé en Chine fin 2019 et s'est rapidement propagé à travers le monde, provoquant une pandémie. Ce virus se propage facilement par les gouttelettes respiratoires et a montré une capacité à muter, produisant des variantes plus transmissibles et parfois plus virulentes. ======= En résumé, la dangerosité des virus dépend de plusieurs facteurs, notamment leur taux de transmission, leur virulence, et leur capacité à muter. Comprendre ces aspects est essentiel pour se protéger et contribuer à la lutte contre les épidémies virales. #VirusDangerous #SantéPublique #PréventionVirus