Post de Ideal Tiny

Elle vous attend ! Notre Tiny posée à Ambleteuse est fin prête. Elle a pris son temps la coquette. Votre séjour écologique et solidaire à 1h30 de Lille et 3 min de la mer, c'est maintenant ! 👉 https://lnkd.in/eAJHsyEA Nos chtites maisons ont vocation à être utilisée en longue durée. Autant elles sont rapides à construire autant les démarches d'installation sur les terrains sont très très looooongues ! Rien n'est jamais vraiment synchrone. Alors on prend nos contrariété pour en faire des opportunités. Pour être réactif, on prend de l'avance et on parque nos tinyhouses chez des citoyens généreux qui ont en surconfort des terrains. Cela nous permet de les proposer à des touristes en courte durée en attendant la longue. Dans cette attente nos chtites maisons financent donc grâce à vous et vos moments de repos, notre combat contre le mal logement. Et oui, vous commencez à le savoir, chez nous le combat contre le mal logement, se fait les doigts de pieds en éventail, un cocktail à la main. Alors ? vous reservez quand votre moment de repos solidaire dans ce lieu magique qu'est Ambleteuse? PS : si vous aussi vous avez un spot de rêve qui attend un projet future, nous avons une autre chtite maison à parquer dès demain (littéralement) et on a hâte d'en construire d'autres. Notre prochain lieu pourrait en accueillir une dizaine. #partage #solidarite #rencontre #mer #repos #teletravailauvert

💡Hameaux légers : un nouveau concept Le concept de "hameau léger" est intéressant, car il n'y a actuellement pas assez de logements disponibles en France. 🙏🏼Cela permet de rationaliser du terrain et le mettre à disposition du plus grand nombre en mettant en commun certains services. 🏡Tiny house, bungalows.. peuplent le hameau dans une perspective économique et écologique. Cela répond en partie à la pénurie de logements qui va s'accentuer. ✅Dans cette période si sombre pour le logement en France, il est indispensable d'ouvrir une flexibilité sur certains possibles aménagements. https://lnkd.in/ePFMNCVA

Vie alternative et marché du logement atypique en France..........Les deux faces d'une même médaille? 🍀 A l’heure de la crise sanitaire et écologique, certains aspirent à tout plaquer pour se tourner vers des lieux de vie plus minimalistes, économiques et respectueux de l’environnement La tiny house, L’habitat participatif , La maison autonome, L’éco-village, les cittaslows. Ces nouvelles formes d'habitat défendent l'environnement, le minimalisme, les produits locaux, les énergies renouvelables, les modes d'habitat collaboratif...........https://lnkd.in/gNY9SkFA ♣ 🍀 Dans le même temps..........En France, le marché de l’hébergement insolite représente 260 M€ en 2019. En France métropolitaine, 930 domaines proposent une ou plusieurs offres insolites. Concernant les hébergements proposés, 42% des modules sont des cabanes et plus précisément : 24% sont dans les arbres, 12% sont sur pilotis. ♣ L’étude nous montre que les voyageurs sont principalement à la recherche de ces 5 éléments lorsqu’ils louent un hébergement insolite : romantismes, spa privatif, familial, animaux bienvenus et retour à la nature. 👉 Ils souhaitent également un certain confort, en effet les principales recherches sont un hébergement insolite avec un spa privatif, des toilettes à l’intérieur, une salle de bain également à l’intérieur, un accès à l’eau et à l’électricité et enfin du chauffage. L’équipement spa privatif est un élément décisif dans le prix pour une nuitée. En effet selon l’étude cela implique une augmentation de 40% du prix en moyenne et permet 25% de remplissage en plus. En 2019, une nuitée pour une cabane sur pilotis équipée d’un spa était louée en moyenne 375€. Comptez en moyenne 800 litres d'eau (0,80 m3) pour un spa 3 places et 1500 litres (1,50 m3) pour un spa 6 places. #alternatif #atypie #marché #rupture #marketing #folklore

Ce n’est pas le fait qu’ils proposent une expérience « au vert » qui rend les hébergements insolites durables, c’est bien leur cycle de vie ! Ils sont écologiques de leur création à leur destruction, en passant par leur exploitation : - par leurs matières  - par leur faible impact sur le sol : pas de fondation mais également pour leurs petites surfaces - par le fait que leurs exploitants ont majoritairement pour motivation le fait de proposer une offre verte  – ils vont donc avoir une démarche dans leur exploitation plus durable : produits ménagers non polluants, mise en avant importante des acteurs locaux, toilettes sèches, incitation à faire attention, … - la faible surface entraîne une faible consommation d’énergie – de plus en plus d’hébergements sont autonomes - ce sont des petits sites (3.2 hébergements en moyenne) - il s’agit du seul type d'hébergement qui peut attirer une clientèle locale, qui ne va pas faire des centaines de kilomètres pour se déplacer - la destruction de l’hébergement lui-même est déjà organisée (bois, plastique des bulles, …) - ils sont une solution pour mettre en avant des territoires méconnus - ils sont un complément d’activité pour de nombreux indépendants en territoire rural (agriculteurs, artisans) - ils permettent d’augmenter la capacité d’accueil d’un territoire sur la haute-saison sans construire de nouveaux bâtiments (et ce point est largement sous exploité !) - ils peuvent être parfaitement intégré dans leur environnement Leurs défauts : - il est nécessaire d’avoir une voiture pour s’y rendre (mais c’est cela qui permet de disperser l’offre, c’est un gros problème des trains et des avions) - en cas de création de réseaux, il est nécessaire de creuser donc l’impact au sol augmente - certains hébergements insolites proposent des spas privatifs (27%) et l’attente des clients semble aller dans ce sens - certains hébergements ne sont pas isolés 4 saisons : il est compliqué de faire la part des choses entre les hébergements ouverts sur 6 mois qu’on oblige à être isolés pour obtenir des labels environnementaux non adaptés, et certains hébergeurs qui exploitent à l’année des cabanes conçues pour une utilisation saisonnière Leur enjeu : l’autonomie bien sûr ! Leurs défauts vont diminuer par la création de nombreux produits qui vont permettre d’augmenter l’autonomie des hébergements (à venir !) Conclusion : si on compare le plus écologique des hébergements « en dur » avec le moins écologiques des hébergements insolites, le résultat sera toujours le même = l’hébergement insolite EST écologique ! Si vous ne me connaissez pas, je suis Adeline, formatrice dans le domaine largement susnommé, et je travaille depuis 8 ans à faire reconnaître ces hébergements ! 

🛠️ La rénovation de logement en mode DIY (Do It Yourself) gagne en popularité en France, un phénomène amplifié par l'influence grandissante des réseaux sociaux. Ces plateformes se transforment en véritables sources d'inspiration et de savoir-faire pour ceux qui aspirent à personnaliser leur espace de vie, tout en maîtrisant leur budget. L'histoire de Pauline et Antoine, qui ont partagé l'évolution de leur rénovation d'un vieux corps de ferme sur Instagram, illustre parfaitement cette tendance. Leur expérience, ainsi que celle de Magalie et Stéphane en Gironde, révèle comment les réseaux sociaux sont devenus essentiels dans la réalisation de projets de rénovation. Ces plateformes offrent non seulement un accès facilité à des informations techniques, mais elles permettent également de partager des astuces et de s'encourager mutuellement. En partageant leur parcours, ces passionnés contribuent à créer une communauté d'entraide et d'inspiration pour d'autres personnes se lançant dans des projets similaires. 🏡 Les réseaux sociaux ont ainsi transformé la manière dont les particuliers abordent la rénovation de leur logement. En facilitant l'accès à l'information et en créant des communautés d'entraide, ils encouragent la réalisation de projets ambitieux, tout en permettant de réaliser d'importantes économies. Que pensez-vous de cette tendance ? Partagez votre opinion en commentaire. 👇 #RénovationDIY #RéseauxSociaux

🛠️ La rénovation de logement en mode DIY (Do It Yourself) gagne en popularité en France, un phénomène amplifié par l'influence grandissante des réseaux sociaux. Ces plateformes se transforment en véritables sources d'inspiration et de savoir-faire pour ceux qui aspirent à personnaliser leur espace de vie, tout en maîtrisant leur budget. L'histoire de Pauline et Antoine, qui ont partagé l'évolution de leur rénovation d'un vieux corps de ferme sur Instagram, illustre parfaitement cette tendance. Leur expérience, ainsi que celle de Magalie et Stéphane en Gironde, révèle comment les réseaux sociaux sont devenus essentiels dans la réalisation de projets de rénovation. Ces plateformes offrent non seulement un accès facilité à des informations techniques, mais elles permettent également de partager des astuces et de s'encourager mutuellement. En partageant leur parcours, ces passionnés contribuent à créer une communauté d'entraide et d'inspiration pour d'autres personnes se lançant dans des projets similaires. 🏡 Les réseaux sociaux ont ainsi transformé la manière dont les particuliers abordent la rénovation de leur logement. En facilitant l'accès à l'information et en créant des communautés d'entraide, ils encouragent la réalisation de projets ambitieux, tout en permettant de réaliser d'importantes économies. Que pensez-vous de cette tendance ? Partagez votre opinion en commentaire. 👇 #RénovationDIY #RéseauxSociaux #Lattes #ChasseurImobilier #SybilleLeonard

246 ! C'est le nombre de bien proposés* en #BRS sur le département ! 👉 En reprenant l’activité de Vendée Foncier Solidaire, Vendée Habitat donne un nouvel élan à sa mission en matière d’accession abordable à la propriété. L’office s’appuie pour cela sur son ancrage territorial, sa proximité avec les élus locaux et l’histoire nouée avec les collectivités depuis 1929 ainsi que le partenariat engagé avec les promoteurs. Jusqu'alors, 45 maisons/appartements ont été livrés depuis 2019, Vendée Habitat intensifie son rythme de production. 🚀 💡 Une solution pour répondre aux besoins sur les secteurs tendus... Les besoins en logements sont particulièrement importants sur le Département de la Vendée ! Le dynamisme économique du nord-est vendéen et l’attrait touristique du littoral, couplée à une volonté historiquement importante des vendéens à devenir propriétaire de leur logement, créent une tension forte sur le département. 🤩 Le BRS apparaît donc comme une solution idéale pour créer une nouvelle offre en logements abordables. Après Les Sables d'Olonne, La Roche-sur-Yon, Challans, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Jean-de-Monts et L’Epine, c’est au tour des communes de Montaigu-Vendée, l’Ile d’Yeu, Givrand, Aizenay, Saint-Christophe-du-Ligneron et des Herbiers d’opter pour le #BailRéelSolidaire avec Vendée Foncier Solidaire. *biens en projet, en cours de commercialisation ou commercialisés Les Sables d'Olonne Agglomération - La Roche-sur-Yon, Ville & Agglomération - Challans Gois Communauté - Pays de Saint Gilles Croix de Vie Agglomération - COMMUNAUTE DE COMMUNES OCEAN MARAIS DE MONTS - Communauté de Communes île de Noirmoutier - Terres de Montaigu - Communauté de communes du Pays des Herbiers - Communauté de communes Vie et Boulogne Foncier Solidaire France Fédération des Offices Publics de l'Habitat - L'Union sociale pour l'habitat - USH des Pays de la Loire

XIII) Entre projet et pandémie Me voilà arrivé pour visiter une maison landaise, et je découvre sur place un ancien bâtiment d'élevage. Le propriétaire de la maison est aussi celui de cette structure, et l'espoir renaît en moi : j'ai tout de suite les yeux rivés sur ce bâtiment d'élevage de palmipèdes. La maison est en piteuse état, mais elle a du potentiel. J'ai déjà rénové des habitations bien plus abîmées, alors je m'y projette aisément. Je termine rapidement la visite pour me concentrer sur l'architecture du bâtiment d'élevage. Avec ses 450 m², j'imagine déjà les salles et les aménagements nécessaires pour optimiser l'espace. Quelques négociations plus tard, nous devenons propriétaires d'une vieille landaise et de notre futur outil de travail. Le projet est prêt depuis plus d’un an, le plan comptable est établi, et je profite des deux mois entre le compromis et l'acte final pour peaufiner les détails de la rénovation. Ma banquière est prête à débloquer les fonds dès mon signal. Le 12 février 2020, nous signons enfin l’acte notarié, sans se douter de ce qui allait suivre. Le 17 mars 2020, le monde s’arrête. Nous découvrons le mot "COVID-19", et le confinement débute. Cela ressemble à un film catastrophe. L’eau de Javel, le gel hydroalcoolique et les masques deviennent nos meilleurs amis. Les semaines passent, et je prends des nouvelles de mes anciens collègues qui me rapportent l'ampleur de la crise commerciale qui s'installe. La France est à l'arrêt. Les lots de lapereaux prévus par les éleveurs n'ont plus de débouchés, et les mises bas s'enchaînent pour rien... Après un 1 et 25 jours, le confinement est levé. Beaucoup d'entre nous sortons de cette période abasourdis. Je m'interroge sur le lancement de mon projet. Je décide de laisser passer l’été et d'y réfléchir pour la rentrée. Mais la rentrée n'est guère rassurante : les signes d'un 2eme confinement apparaissent et il a lieu fin octobre, pour se terminer juste avant Noël 2020. Ce n'est vraiment pas le moment de lancer une activité. Je ne suis pas éleveur pour voir ma production avoir une fin bien triste. Produire des conserves est une chose, mais être éleveur, faire naître des animaux sans aucun débouché, ne correspond pas à ma conception. Je jette l’éponge et abandonne ce projet que j'avais si bien peaufiné, mêlant élevage raisonné, bien-être animal, et valorisation des éleveurs partenaires pour un élevage à taille humaine. Il y a des choix difficiles, surtout quand on croit à 200 % en son projet, mais la raison doit peser le pour et le contre. Mais que vais-je faire maintenant ? Cela me rappelle une réplique de Louis de Funès dans La Folie des Grandeurs : « Mais qu'est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire ! » Pour ma part, je pourrais dire que j’ai passé ma vie dans le monde de l’animalerie et j'ai du mal à me voir ailleurs. Pour savoir comment j’ai rebondi, je vous invite à suivre la suite de l’histoire dans le prochain épisode.

🌟 𝗟𝘂𝗺𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗕𝗿𝗲𝘁𝗮𝗴𝗻𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗛𝗮𝗺𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗹𝗲́𝗴𝗲𝗿𝘀 ! 🏡 En Bretagne, des communes innovent pour répondre aux enjeux écologiques et de logement avec des projets d'habitat léger. À Commana, par exemple, des habitants vont s'installer en yourtes, cabanes, tiny houses et caravanes sur un ancien camping. Ces habitats légers, soutenus par l'association Hameaux Légers, permettent de minimiser l'impact sur les sols puisqu'ils n'ont pas de fondations permanentes. 🏘️ 𝗢𝗽𝘁𝗶𝗺𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 : ce modèle 𝗶𝗻𝗰𝗹𝘂𝘁 𝗹𝗮 𝗺𝘂𝘁𝘂𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲𝘀, optimisant ainsi l'utilisation de l'espace disponible. Les habitants possèdent leurs habitats mais louent le terrain communal à long terme. 🌿 𝗘𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗿𝘃𝗲́ : l'objectif de "zéro artificialisation nette" (ZAN) fixé pour 2050 devient un véritable moteur d'innovation. En limitant la consommation de nouveaux terrains pour la construction, 𝗰𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝗺𝗲𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗿𝘃𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲𝘀 𝗻𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗲𝗻 𝗼𝗳𝗳𝗿𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗰𝗰𝗲𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀. En misant sur des solutions écologiques et collectives, ces initiatives montrent une voie innovante et durable pour l'habitat du futur en Bretagne. Elles offrent un modèle adaptable à d'autres régions, prouvant qu'𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗼𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗶𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗿𝗯𝗮𝗶𝗻 𝗲𝘁 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁.

À Nice, la règle des 3-30-300 nous permet d’être la première grande ville verte de France. Une règle précieuse qui consiste à dire que pour vivre mieux, chaque habitant doit :  - Voir au moins 3 arbres depuis son domicile,  - Avoir 30% de verdure,  - Vivre à moins de 300 mètres d’un jardin public 🌳 Grâce à elle, nous avons atteint 33% de couverture végétale et nous comptons poursuivre nos efforts en visant l'objectif d'un arbre pour un habitant d'ici 2026. Nous publierons d’ailleurs d’ici la rentrée une cartographie de la ville pour montrer précisément là où cette règle des "3-30-300" est déjà appliquée, et là où nous allons veiller à ce qu’elle le soit au plus vite.