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De la culture de l'esprit entrepreneurial à la motivation en cas d'erreurs, découvrez des stratégies concrètes qui donneront aux étudiants les moyens de préparer l'avenir.

De la culture de l'esprit entrepreneurial à la motivation en cas d'erreurs, découvrez des stratégies concrètes qui donneront aux étudiants les moyens de préparer l'avenir.

68 % des moins de 30 ans disent vouloir entreprendre (selon L’Adie) Benoit Prud'homme  C’est énorme Mais alors comment les institutions académiques peuvent-elles répondre à cette dynamique majoritaire chez leurs étudiants ?  ➡️ Parce qu’on va se le dire : laissez des étudiants entreprendre par eux-mêmes sans accompagnement et vous les retrouverez dans 5 ans fauchés comme les blés et découragés jusqu’aux os    Tout l’écosystème académique a son rôle à jouer dans cet enjeu majeur  Au pépite, on accompagne vos étudiants à n’importe quel stade : de l’idée, au premier client, au premier recrutement, ...  On offre le meilleur environnement possible pour s’épanouir en entrepreneuriat 🌱 D’ailleurs, c’est bientôt la fin des candidatures pour l’obtention du Statut d’Etudiant-Entrepreneur  --> le seul statut qui permet aux étudiants de combiner leur projet d’entreprise et leurs études (plus d'info dans le premier commentaire)

Je sors d’une masterclass auprès d’étudiants. J’aime beaucoup ces échanges. On m’a posé comme question quels conseils donnerais-je à de jeunes entrepreneurs dans le domaine de la mode ? 🤔 Après 17 ans dans l'industrie de la mode, si je devais donner un conseil, ce serait de ne jamais perdre de vue votre vision. Au début, tout le monde vous dira non, et c'est normal. Le succès ne vient pas du jour au lendemain ; il se construit avec de la passion, de la persévérance et une capacité à s'adapter au marché. À mon avis, la seule façon de résister est de rester authentique et de ne jamais sous-estimer l'importance de l'innovation dans un secteur aussi dynamique et concurrentiel. Mais surtout garder intact sa vision initiale qui va nourrir sa passion (ou inversement) !

𝗟'𝗲́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗹'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝘁 : 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗶𝗮𝗴𝗲 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗼𝗯𝗮𝗯𝗹𝗲 ! Le système éducatif français est-il vraiment adapté aux besoins des entrepreneurs de demain ? C'est la question que je me suis posée récemment, alors qu'on me sollicitait pour intervenir dans un collège sur le thème de l'entrepreneuriat. Mon parcours personnel m'a permis de constater un décalage certain entre les compétences acquises à l'école 🏫 et celles requises pour réussir dans le monde des affaires 💼 L'éducation nationale valorise trop souvent la pensée unique et les parcours linéaires, au détriment des profils atypiques et des esprits créatifs 💡 On nous apprend à être des exécutants dociles plutôt que des acteurs autonomes et responsables 💪 Faut-il pour autant jeter la pierre à l'éducation nationale ? Non, bien sûr. Le système éducatif a un rôle essentiel à jouer dans la préparation des générations futures à un monde du travail en pleine mutation 🌍 Mais il est urgent de le faire évoluer pour mieux prendre en compte les aspirations et les besoins des entrepreneurs de demain. Voici quelques pistes de réflexion : ● Développer l'esprit d'entreprendre dès le plus jeune âge en proposant des ateliers, des jeux et des simulations qui permettent aux élèves de découvrir les différentes facettes de l'entrepreneuriat ● Valoriser les compétences transversales telles que la créativité, la communication, la résolution de problèmes et la prise de décision ● Encourager les initiatives individuelles et collectives en laissant les élèves libres de mener des projets et de prendre des risques ● Mettre en place des partenariats avec des entrepreneurs pour permettre aux élèves de bénéficier de leur expérience et de leurs conseils L'éducation nationale a un rôle crucial à jouer dans la promotion de l'entrepreneuriat. En adaptant ses programmes et ses méthodes pédagogiques, elle peut contribuer à faire émerger une nouvelle génération d'entrepreneurs talentueux et audacieux. 𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝗰'𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗰̧𝗮, 𝗹'𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝗹'𝗲́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 ?

53 % des cadres possèdent un Bac +5 (APEC) contre 32 % des entrepreneurs (INSEE). 🤔 De Xavier Niel aux fondateurs de Gifi et d’Yves Rocher, les exemples d’entrepreneurs autodidactes ne manquent pas. Est-ce parce que créer son entreprise est un moyen pour ceux qui ne poussent pas les études à fond de progresser dans leur vie professionnelle ? Ou est-ce plutôt ceux qui ont une fibre entrepreneuriale innée qui préfèrent se lancer au lieu de s’attarder sur les bancs de l’école ? Moi-même, avec un Bac +2 en télécommunications et réseaux, j’ai créé mon business… au lycée. J’ai du mal à comprendre dans certaines professions l’obligation d’avoir un diplôme pour s’établir à son compte. Certes, je ne me ferais jamais opérer par un chirurgien n’ayant pas mis les pieds en fac de médecine. Je serais prêt en revanche à tester le pain d’un boulanger non diplômé quitte à ne pas me régaler. Non, un diplôme n’est pas nécessaire pour entreprendre du moins pas autant que des qualités telles que : 👉 Chercher à constamment se former et se remettre en question Formation continue, lectures et recherches personnelles ou encore échanges dans des clubs business. 👉 S’entourer de personnes qualifiées Parce qu’on ne maîtrisera jamais 100% des compétences nécessaires à la gestion de son activité. Et surtout ne pas hésiter à se lancer si l’envie est là.

🎓 Quand l’éducation se transforme en dilemme entrepreneurial… avec un goût de défi et de stratégie ! 🚀 Rien n’est plus gratifiant que de voir d’anciens étudiants en l'occurrence ceux de Sup de Pub Bordeaux, revenir avec leur projet entrepreneurial, né sur les bancs de l’école, et te dire : “On est bloqué, mais on y croit toujours… Vous aviez raison de nous encourager !” 🙌 Leur concept, qui n’était au départ qu’un simple exercice académique – un jeu destiné à favoriser les conversations lors d’un premier rendez-vous ("date") 💌 – est aujourd’hui face à un acteur majeur du marché, prêt à discuter “partenariat”. Mais là, le coup de massue : rien n’a été protégé, et même pas la disponibilité du nom ! 😲 Ils n’imaginaient pas que ce projet susciterait autant d’intérêt… mais l’opportunité se transforme vite en piège quand on réalise les failles dans la stratégie initiale. 💡 Selon Saiz-Álvarez et García-Villaverde (2018), le manque de protection des innovations est l’une des principales causes d’échec des startups. Pourtant, se protéger ne doit pas être perçu comme une entrave, mais comme un levier. La tentation de se vendre pourrait etre grande : céder une part de du projet pour être propulsées par un géant. Mais à quel prix ? 🤔 Un jeune entrepreneur mal armé risque de voir son idée dévalorisée et sa vision transformée. L’envie d’aller plus loin, mais se heurte au manque de stratégie et de priorisation des actions à mener. 💪 🎯 Nos discussions ont couvert tous les aspects : prix de vente, coût de revient, perception client. Céder ou rester indépendant ? Une exclusivité temporaire ou un contrat de licence ? 🤝 🔍 Mon rôle ? Coach, conseil, mentor… ou les trois ? 🤝 Comme le disent Yitshaki & Kropp (2016), "l’apprentissage par l’échec" renforce la résilience. L’échec est une école de l’apprentissage ! L’impasse n’est qu’une étape vers la réussite. 🔥 Une idée non protégée, c’est du carburant pour vos concurrents. Mais une idée mal négociée, c’est l’assurance de perdre le contrôle. Vous avez la volonté, il vous faut la stratégie ! Rien n’est perdu, tout est à construire. N’oubliez jamais que tout est possible… tant qu’on y croit ! 💪💥 🔹 Je suis Pascal Decombis, conseil en stratégie d'entreprise, spécialiste de l'entrepreneuriat étudiant, président de l'association Philomathique de Bordeaux, et professeur en école de commerce. Je réalise une thèse en finance comportementale sur les business angels et leur processus décisionnel. #Entrepreneurship #PropriétéIndustrielle #Stratégie #Mentorat #Echec #Résilience #Innovation #BusinessModel #PricingStrategy #EtudiantsEntrepreneurs #Mindset #Jeu #Date OMNES Education Sup de Pub Laurent Bergeruc Aziz ZRAOULA Elodie ANDERSON Jean-Baptiste Hoursiangou Frédérique Roux Daniela Midy Kim Jesel Olivier Fernandez

🥇"Présentateur au top !" 💯 Sympa et captivant !" ⭐ "Atelier super intéressant", 🎯"Super le côté 'Faire participer les candidats'", sont les retours de nos #etudiants #entrepreneurs lors du premier #atelier du parcours #SNEE 2024-2025. 👉"Découvrez-vous pour fixer des objectifs clairs et les atteindre !" par notre intervenant expert Nicolas Bayod . Vous êtes étudiant et avez envie de créer une activité, mais vous hésitez à vous lancer ? Si vous ne savez pas comment vous y prendre, le statut #SNEE délivré par PÉPITE ÉCRIN vous permet de développer vos compétences entrepreneuriales, en prenant en compte les enjeux environnementaux et sociaux, en parallèle de vos études. 🗓️🚨 La 4e date pour passer le comité de sélection est fixée le ➡️ mardi 15 octobre 2024 (👀 deadline d'inscription : avant le 10 octobre 2024). Le Statut National Étudiant Entrepreneur (#SNEE) : un dispositif pour vous accompagner, quel que soit votre stade d'avancement. Allez Go Pépite ! 😉

Je suis ravi de vous dévoiler que le concept évoqué précédemment est le podcast : Youth Vision 🎙️ Ce concept est dédié aux jeunes entrepreneurs qui se lancent avec énergie et ambition. Youth Vision met en lumière leurs histoires, leurs défis et leurs succès, tout en prouvant qu'ils ont autant de légitimité que tout autre entrepreneur. C'est un espace pour valoriser leurs idées et reconnaître leur véritable potentiel. 🎧 Découvrez dès maintenant le premier épisode ici : https://lnkd.in/d4NCW5iT

😅 On se moque des entrepreneurs de la connaissance et pendant ce temps … ▫️Ils se lancent plus tôt que n’importe qui, quasi sans moyen et gagnent leur autonomie ▫️Ils mettent sur le marché des compétences qu’il est parfois impossible d’apprendre à l’école ▫️Ils ouvrent la voie à d’autres personnes pour en faire de même ▫️Ils créent de nouveaux métiers qui correspondent aux besoins des métiers de demain ❌ Alors non, vendre du vent n’est pas éthique mais seul une partie d’entre eux le font, comme dans les business traditionnel d'ailleurs. ❌ Non, ce n’est pas destiné à tout le monde dans la société et il faudra toujours des métiers manuels pour cela ❌ Non, le marketing n’est pas une secte satanique de vilains jojos qui vendent n’importe quoi, cela te met juste la rage qu’ils osent parler de leurs compétences et pas toi. 💡 Mais il y a beaucoup de compétence dont on peut s’inspirer dans leur méthodologie. Si on passait plus de temps à s’inspirer des réussites et des stratégies de ceux pour qui ça fonctionne pour les appliquer aux business éthiques au lieu de tirer sur l’ambulance, on pourrait enfin avancer. 🙌 Alors si tu es curieux.se de découvrir de nombreux business models et astuces pour bien vendre tes prestations, reste dans le coin. Tu vas te RE-GA-LER ! #entreprendre #innover #transformation #société #visionnaires