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🌱 Et si l'écoconstruction devenait un pont entre ville et campagne ? 🌱 Imaginez des communes où nature et humains s'allient pour rebâtir ensemble nos belles communes de France. Chaque nouvelle activité installée serait comme une promesse de renouveau pour nos campagnes. Le 1er Quartier Rural en Transition pilote de TERA à Lustrac est assurément l'un de ces lieux, et l'écoconstruction y joue déjà un rôle central. C'est pour saisir cette opportunité de réconcilier l’homme et la nature que nous y bâtissons notre Centre d’Écoconstruction, de Ressources et de Formation (CERF), une première en Lot-et-Garonne. 🔑 Pourquoi l'écoconstruction est la clé de ce renouveau ? 🔑 Parce qu'elle n’est pas qu’une tendance, mais une véritable (R)évolution silencieuse. En Lot-et-Garonne, la terre, la paille et le bois sont des trésors naturels. Saviez-vous que notre département regorge de paille excédentaire, prête à devenir une isolation naturelle ? Mais pour exploiter ces ressources locales, il nous manque des artisans, des compagnons formés pour les mettre en œuvre. Le CERF formera ces bâtisseurs de la Ruralité 2.0. 🌍 Redonner vie à nos campagnes 🌍 Nos campagnes, nos communes se vident, mais elles sont prêtes à renaître. Leurs rues désertes et commerces fermés sont autant de cicatrices laissées par la désindustrialisation. Mais leurs habitants refusent de n’être que le passé des mégalopoles. De plus en plus de citadins même cherchent refuge dans nos campagnes. Loin d'être le passé, elles sont le futur de nos villes surpeuplées. ✨ Former, inspirer, et transformer ✨ Nous voulons inspirer une nouvelle génération d'écobâtisseurs. Nous voulons qu'ils réinventent la manière dont nous habiterons le monde. D'ailleurs, avec nos partenaires, les Compagnons Bâtisseurs Nouvelle Aquitaine, 12 stagiaires de la formation professionnelle participent déjà à la construction du CERF et se préparent à bâtir les bâtiments autonomes, nourriciers et écologiques de demain. 🤝 Construire ensemble, investir ensemble 🤝 Pour concrétiser cette vision, nous avons besoin d'équipements. C’est là que vous intervenez. Chaque euro investi dans notre campagne de financement participatif sera doublé par le département du Lot-et-Garonne. 🚀 Votre geste aura donc deux fois plus d’impact sur nous et notre territoire de vie ! En soutenant ce projet, vous devenez partenaire de cette (R)évolution silencieuse. Mais attention ... le département s'engage avec nous que pour 47 jours ! Alors Prêt à bâtir ce futur avec nous ? 🌿 Si c'est le cas, investissez avec nous dans l'outillage du CERF en suivant le lien dans le 1er commentaire ci-dessous ! Un grand merci pour votre soutien, Frédéric,   Fondateur du projet TERA   Directeur de la SCIC SA QRTL qui porte le CERF #TransitionRurale #Écoconstruction #InvestissementDurable #LotEtGaronne #ChangerLeMonde

🌟 Un écosystème dynamique pour l'Économie Sociale et Solidaire ! 🌱 Au cœur de notre territoire en pleine métamorphose, l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) se développe progressivement. En lien avec le Schéma de développement économique de Bordeaux Métropole et les orientations des communes Mairie de Bordeaux, Ville de Bègles et Ville de Floirac, l'EPA développe des quartiers où des entreprises de toute taille peuvent s'installer, y compris des acteurs de l'Économie Sociale et Solidaire, grâce à une stratégie immobilière dédiée. 🤝 Une cinquantaine d'entreprises, commerces ou associations sont accueillies par ailleurs dans le patrimoine de l'EPA dans les secteurs où le projet d'aménagement n'est pas encore arrêté, dont plusieurs structures de l'ESS. Grâce à des conventions d'occupation précaire, ces structures accèdent à des espaces à des prix accessibles, favorisant ainsi leur développement et leur ancrage dans la vie locale. ✨ Des lieux emblématiques se réinventent également pour accueillir des initiatives porteuses. Des propriétaires institutionnels se font le soutien d'activités transitoires. SNCF IMMOBILIER, dans la Halle d’Armagnac, étudie une nouvelle vie sous la grande charpente métallique. Dès 2025, une dizaine de projets d’Économie Sociale et Solidaire pourraient y prendre place, animant ainsi le quartier dans une démarche d'urbanisme transitoire. Ces initiatives contribuent à dynamiser nos quartiers, offrant un nouveau souffle à des lieux non exploités. 📸 : Les halles d’Armagnac, 2021 ©[ATELIER] CAUMES

Trois questions à Fabien Zufferey, cofondateur de Bien Commun 🏫 Société coopérative d’intérêt collectif toulousaine, Bien Commun aide à la revitalisation des centres-villes de communes qui se dépeuplent. Elle contribue à maintenir de la vie en favorisant la rénovation du bâti ancien et la création de projets qui collent aux attentes des habitants : petits logements, commerces de proximité… Le point avec Fabien ZUFFEREY, cofondateur. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulouse, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : https://lnkd.in/e25qSEgZ Pouvez-vous présenter Bien Commun ? 🎯 ◾ « C’est une SCIC, une société coopérative d’intérêt collectif, avec une mission d’utilité sociale. Nous sommes huit au sein de l’équipe. » ◾ « L’objet est d’œuvrer à la revitalisation des petites et moyennes villes en Occitanie, en participant à la rénovation de logements et de locaux d’activités, loués à un prix abordable. » ◾ « Les besoins de la société ont évolué, il faut réadapter le parc. Il faut souvent des logements de petite typologie, pour les seniors par exemple. » Comment travaillez-vous ? 🔦 ◾ « Notre méthodologie consiste à faire une analyse du territoire, une concertation avec des habitants et des représentants du tissu associatif, économique, les élus… Puis nous réalisons des scénarios de programmation. » ◾ « Nous préfigurons aussi des outils de financements. Le fait d’être en SCIC permet d’en mobiliser d’autres, comme des subventions. C’est ce qui fait l’innovation de notre modèle. » Vous lancez une levée de fonds ? 💰 ◾ « En parallèle, nous achetons du foncier que l’on rénove. Comme à Cazes-Mondenard dans le Tarn-et-Garonne, avec la création de huit logements de petite typologie pour des jeunes et des seniors, et, au rez-de-chaussée, une épicerie multi-service en circuits courts. » ◾ « L’idée est de porter un projet tous les 18 mois. Aussi, cette campagne va nous permettre de satisfaire le besoin en fonds de roulement pour lancer cette opération et d’avoir des fonds propres pour la prochaine. » ◾ « Nous sommes en phase de pré-collecte, avec 140 000€ d’intentions en une semaine ! L’objectif étant de 200 000€. » 📰 Retrouvez toutes les actualités essentielles du 2 mai : https://lnkd.in/ddFk-2XQ Crédit photo : Bien Commun #urbanisme #rénovation #logement #commerce #toulouse

Un grand merci à l'incubateur Les Ecossolies pour son accompagnement dans le développement de Quartier Libre ! 🙏 Notre mission est de contribuer à la redynamisation des petites et moyennes communes en Département de Loire-Atlantique, notamment par la réalisation d'études visant la réhabilitation de bâtiments vacants en espaces répondant aux besoins de notre territoire. Dans une démarche participative et collaborative, nous travaillons avec les communes, leurs élus et citoyens pour évaluer l’utilité, les potentiels et les contraintes des biens mal ou inexploités sur leur territoire. Suite à une étude de faisabilité nécessaire pour estimer les dépenses à réaliser, et les sources de financement disponibles, nous confirmons ou non la viabilité socio-économique du projet. Nous accompagnons ensuite la scénarisation la plus adaptée pour passer à l’action et démarrer le projet de réhabilitation : portage en propre par la commune, acquisition par un privé, bail emphytéotique sur des longues durées auprès d’un bailleur social ou d’un acteur de l’insertion par le logement. ✅ Les avantages pour la commune sont multiples : - Répondre avec réactivité à un besoin identifié (création de nouveaux logements et/ou nouveaux commerces, lieux d’intérêt commun) - Rester propriétaire de son patrimoine ou le céder en vue d’y faire réaliser un projet co-conçu - Réhabiliter son patrimoine avec des artisans locaux - Faciliter la gestion et l’entretien d’une partie de son patrimoine ✅ Les avantages pour les citoyens / porteurs de projets : - Louer un logement ou local d’activité à prix abordable - Investir ou s’investir dans la réhabilitation d’un bâtiment vacant de leur commune - Embellir et redynamiser leur lieu de vie Votre commune est propriétaire ou a identifié un bâtiment vacant - mal exploité ? Vous souhaitez étudier son potentiel pour y accueillir un projet d’intérêt commun ? 👉 contact@fonciere-quartier-libre.fr 👋 Les Ecossolies Incubateur Centrale-Audencia-Ensa Établissement public foncier de Loire-Atlantique Association des Maires Ruraux de France - AMRF Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité ANCTerritoires

Contexte L’association EcoVie porte le projet « Résidence Autonome Collective » (RAC), construction d’une maison principale autonome résiliente et permettant un mode de vie collectif intergénérationnel et solidaire. Ouverte à divers types de profils (retraité.e.s, xn--crateur-cya.trice.s d’entreprise, artistes, etc.), le projet permet aussi d’envisager une création d’emplois locaux au sein de la résidence (maraîchage, cuisine, formation…) La résidence permettra aussi l’hébergement touristique de courte et moyenne durée (dans les murs ou en habitat léger sur le terrain) ainsi que des activités de type stages, ateliers, table d’hôtes. Les valeurs de l’économie sociale et solidaire sont très importantes dans le projet, avec notamment l’envie de construire la prise de décision de façon coopérative. L’association EcoVie a été fondée en 2024, après deux années environ de réflexions du projet. Maxime Menin et Livie CANDUSSO portent le projet et sont respectivement président et trésorière de l’association. La structure associative vise à ce stade essentiellement à pouvoir utiliser un véhicule (personne morale) et à commencer à travailler sur la mobilisation autour du projet. Maxime et Livie rencontrent en ce début 2024 l’essentiel des acteurs de l’ESS locaux (réseaux, incubateurs, soutiens) et les collectivités (Grand Poitiers, Communauté d’Agglomération du Niortais).

🔹 Réflexions Clés sur le Foncier Économique et le ZAN : Une Matinée Enrichissante à Nantes (Nantes Métropole). Ce vendredi, j'ai eu le privilège de participer à une matinale enrichissante organisée par la CCI Pays de la Loire à la Maison de l'entrepreneuriat et des transitions à Nantes. L'événement a mis en avant les défis & opportunités présentés par la mise en œuvre du Zéro Artificialisation Nette (ZAN), un sujet crucial pour l'aménagement du territoire et pour nous, professionnels de l'immobilier d'entreprise. L'une des révélations majeures de la journée fut le résultat d'une enquête menée auprès des dirigeants de Département de Loire-Atlantique. Il apparaît clairement que la balance locataire-propriétaire reste équilibrée, et que la majorité des entreprises du territoire se situe dans l'une des 418 zones d'activité du département, lieux vibrants d'innovation et de croissance économique, représentant plus de 35% des établissements et plus de 50% des emplois salariés de la région. Le saviez-vous? Les 3️⃣ principales raisons qui poussent les entreprises à changer de site : 👉 53% signalent un manque de place sur leur site actuel, 👉 34% trouvent leurs locaux obsolètes ou inadaptés, 👉 27% aspirent à changer leur statut d'occupation, souvent avec le désir de devenir propriétaires. Ces discussions ont souligné (sinon confirmé) une rareté croissante de l'offre en foncier disponible, un enjeu qui s'accentuera probablement avec l'approfondissement des initiatives ZAN. La journée a également été l'occasion d'entendre des acteurs clés sur le sujet tels que Anne-Cécile Bernard, Julie Kremer de REDON Agglo, et Maillere Claude de l'ADDRN, enrichissant notre compréhension collective des défis à venir. Les ateliers de travail ont permis de débattre des nouveaux enjeux économiques à l'ère du ZAN, prélude à des discussions plus approfondies avec les collectivités et à une nécessaire réévaluation des pratiques actuelles en matière d'aménagement foncier. Cette matinale n'était pas seulement une occasion de réseautage, mais aussi un moment de réflexion profonde sur l'avenir de notre territoire et les stratégies d'entreprise à adopter face aux contraintes foncières croissantes. À suivre... #ImmobilierCommercial #ZAN #AménagementTerritorial #AtlantiqueExpansion #Entrepreneuriat #CCI #Nantes ATLANTIQUE EXPANSION

#Ain : Bugey Sud établit une stratégie pour 10 ans. L’intercommunalité a dévoilé lors de ses deuxièmes rencontres économiques, son schéma de développement 2024-2034. Avec 18 zones d’activités pour un total de 158 hectares (soit 9 ha en moyenne), la Communauté de communes Bugey-Sud (CCBS) serait plutôt bien dotée, surtout eu égard aux caractéristiques du territoire, selon les études réalisées par Modaal, une entreprise lyonnaise spécialisée en valorisation foncière et accompagnement de projets immobiliers ou d’aménagement. De plus, ces ZAC ont encore « des disponibilités et des potentialités foncières » qui ouvrent « des possibilités de redensification et de développement », dixit Edouard Mougin, l’un des associés de ce cabinet. Celui-ci était invité à présenter les grandes lignes du Schéma de développement économique du territoire, élaboré pour la période 2024-2034, lors des deuxièmes Rencontres économiques organisées par l’intercommunalité et le club d’entreprises Bugey Développement, le 7 novembre, au sein des ateliers de CDB (Conditionnement Dechets Béton) à Chazey-Bons. L’autre atout de ce territoire où l’on compte 2 000 entreprises pour 16 000 actifs et 25 % d’emploi industriel serait, selon le cabinet, son équilibre entre sphère productive et sphère présentielle, autrement dit, les services. « Bugey Sud tire sa force des deux, ce qui lui confère une certaine résilience », observe Édouard Mougin. Fort de ces constats et des enjeux identifiés auprès des entreprises (l’accessibilité, les infrastructures, le cadre de vie…), le schéma se répartit en quatre axes : une stratégie foncière immobilière, un travail sur l’attractivité du territoire assorti d’investissements sur la connectivité et les infrastructures, des actions pour... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dW-DVNJg

ECO DE L'AIN | Actualités économiques de l'Ain | Groupe Ecomedia #Ain : Bugey Sud établit une stratégie pour 10 ans. L’intercommunalité a dévoilé lors de ses deuxièmes rencontres économiques, son schéma de développement 2024-2034. Avec 18 zones d’activités pour un total de 158 hectares (soit 9 ha en moyenne), la Communauté de communes Bugey-Sud (CCBS) serait plutôt bien dotée, surtout eu égard aux caractéristiques du territoire, selon les études réalisées par Modaal, une entreprise lyonnaise spécialisée en valorisation foncière et accompagnement de projets immobiliers ou d’aménagement. De plus, ces ZAC ont encore « des disponibilités et des potentialités foncières » qui ouvrent « des possibilités de redensification et de développement », dixit Edouard Mougin, l’un des associés de ce cabinet. Celui-ci était invité à présenter les grandes lignes du Schéma de développement économique du territoire, élaboré pour la période 2024-2034, lors des deuxièmes Rencontres économiques organisées par l’intercommunalité et le club d’entreprises Bugey Développement, le 7 novembre, au sein des ateliers de CDB (Conditionnement Dechets Béton) à Chazey-Bons. L’autre atout de ce territoire où l’on compte 2 000 entreprises pour 16 000 actifs et 25 % d’emploi industriel serait, selon le cabinet, son équilibre entre sphère productive et sphère présentielle, autrement dit, les services. « Bugey Sud tire sa force des deux, ce qui lui confère une certaine résilience », observe Édouard Mougin. Fort de ces constats et des enjeux identifiés auprès des entreprises (l’accessibilité, les infrastructures, le cadre de vie…), le schéma se répartit en quatre axes : une stratégie foncière immobilière, un travail sur l’attractivité du territoire assorti d’investissements sur la connectivité et les infrastructures, des actions pour... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dW-DVNJg

👐 Les Partenaires de Base Commune à l'honneur : ATELIER RUELLE 👐 Nous sommes heureux·ses de vous annoncer qu’ATELIER RUELLE a fait son entrée parmi les sociétaires de la coopérative Base Commune ! 📖 Agence de paysage, d’architecture et d’urbanisme fondée dans les années 1980 par Gérard Pénot, Atelier Ruelle regroupe une équipe dont la diversité de compétences lui permet de mener des projets allant de l'aménagement d'espaces publics à des missions de maîtrise d'œuvre urbaine. ✨ Les projets de l'agence étant marqués par une forte préoccupation de la qualité du « volume du piéton » et de la richesse des interactions entre l’espace public et les rez-de-chaussée, l'engagement de l’Atelier comme sociétaire de la coopérative Base Commune prend tout son sens. L’agence témoigne aussi d'une attention particulière portée à la concertation avec les communautés locales et aux enjeux de transition écologique. Le travail de Gérard Pénot a ainsi été célébré par le Grand Prix de l’Urbanisme dont il a été lauréat en 2015. 💡Nous sommes ravi·es qu’Atelier Ruelle nous accompagne dans ce projet, qui n’est pas seulement celui de notre coopérative mais de l’écosystème qui nous entoure. 💕 Professionnel·les de l’immobilier, citoyen·nes et investisseur·euses, vous pouvez vous aussi nous rejoindre en investissant ou en prenant des parts de la coopérative. Rendez-vous en commentaire pour avoir le lien ! NB : Investir dans des entreprises non cotées comporte un risque important de perte partielle ou totale des montants investis ainsi qu'un risque d'illiquidité #Partenariat #InvesitssementResponsable #VilleDurable #Inclusion #Innovation #ESS #Levéedefonds

Avis aux entreprises innovantes de la logistique urbaine! Dans le cadre de notre AAP métropolitain "Quartiers métropolitains d'Innovation" (QMI), la Ville d'Aubervilliers se donne entre autres pour priorités de : • Apaiser l’espace public (moins de pollution visuelle et sonore, moins de flux routiers) • Décongestionner le centre-ville (moins d’embouteillage, de stationnements sauvages, moins de densité, plus de marchabilité) 👇👇👇