📣#iciçarecrute - Ingénieur-e de recherche en écologie lacustre et bio- indication 🎯 Contexte et objectif : Afin d’assurer la surveillance de l’état écologique des plans d’eau en France pour la mise en œuvre de la directive cadre européenne sur l’eau, des bioindicateurs basés sur les communautés de macroinvertébrés et sur l’ichtyofaune ont été développés. 📝 Missions : En combinant analyse statistiques et modélisation, écologie théorique et sciences environnementales, vous : 1) mettrez en œuvre les meilleures méthodes pour développer des modèles de type pressions/réponses i.e. réponse de l’ichtyofaune et de la faune des macroinvertébrés benthiques à l’hydromorphologie lacustre, en tenant compte du degré d’altération des conditions hydromorphologiques, afin d’améliorer la qualité des diagnostics écologiques et de progresser sur le concept de « soutien à la biologie », deux prérequis de la DCE. 2) transposerez les résultats obtenus dans le cadre réglementaire par la rédaction de rapports destinés au Ministère et à la Commission européenne (CIS ECOSTAT) démontrant le lien hydromorphologie/ biologie et définissant les seuils de différentes classes d’état hydromorphologique. 3) Valoriserez vos résultats par la co-rédaction d’au moins un article scientifique. 🎓 Formations et compétences recherchées : Diplôme d’ingénieur ou docteur en écologie aquatique ou biostatistiques Compétences : avérées en analyse de données écologiques et modélisation des réponses des communautés biologiques à différents stress. Maîtrise de l’environnement R. Une expérience en bioindication et une connaissance du fonctionnement des écosystèmes lacustres serait un plus. Vous avez un gout affirmé pour les travaux en lien avec la mise en œuvre des politiques publiques, vous aimez le travail en équipe et la multidisciplinarité. Capacités personnelles : Autonomie et bonnes capacités d’adaptation, de travail en équipe, de communication (présentations en français et en anglais) et de rédaction (français et en anglais). 📍 Le tholonet, UMR Risques, ECOsystèmes, Vulnérabilité, Environnement, Résilience) - RECOVER 📆 Date limite de candidature : 22/11/2024, le poste est à pourvoir à partir du 01/02/2025 🕛 Durée : 12 mois 🚀 Postulez dès maintenant sur INRAE JOBS : https://lnkd.in/dJgPg42Q 💎 Pourquoi nous rejoindre ? ⚖️ Équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle : Jusqu'à 30 jours de congés + 15 RTT par an (pour un temps plein), 🎁 Avantages et prestations sociales : Activités sportives et culturelles, prestations vacances et loisirs (chèques vacances, hébergements à tarif préférentiel… ). 🏛️ 🌳 Une communauté de travail investie et mobilisée, un cadre d'exercice et de vie agréable. #recherche , #biostatistique, #écologieaquatique, #ingenieurrecherche, #letholonet, #aixenprovence, #paca
Post de INRAE Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Offre de post-doc de 18 mois pour analyser les effets de systèmes de grande culture et d’aménagements écologiques sur la biodiversité du sol et sur les services rendus, à partir de jeux de données collectées par les UMR Agronomie, EcoSys et EMMAH. La personne retenue sera affectée à l’UMR Agronomie (INRAE-AgroParisTech) à Palaiseau, et elle interagira avec les UMR EcoSys et EMMAH. Les travaux de l’UMR contribuent à la production de connaissances et de méthodes pour concevoir et évaluer des systèmes de culture répondant aux enjeux du développement durable. Ils visent en particulier à faire évoluer les systèmes de culture de manière à répondre à différents objectifs : réduire leur dépendance aux intrants de synthèse, réduire leurs impacts environnementaux négatifs, permettre une rentabilité économique satisfaisante, réduire l’utilisation d’énergie fossile, permettre la production de biens divers. Pour cela, l’UMR analyse des processus de régulation biologique, met au point des méthodes et outils de conception et d’évaluation de systèmes de culture innovants, analyse les relations entre l’organisation spatiale des systèmes de culture et les bioagresseurs, et évalue les performances des systèmes de culture à l’échelle globale. Le post-doctorat aura pour objectif d’analyser comment se structure la biodiversité en tenant compte (1) des perturbations générées par les techniques culturales (2) des interactions trophiques possibles entre les organismes du sol. Il mobilisera pour cela un jeu de données acquis en 2024 dans 27 parcelles de colza, avec les possibilités de mobiliser des données des années précédentes pour approfondir certaines questions et pour relier la biodiversité aux services de régulation (régulation des ravageurs et fertilité du sol). L’analyse des données sera réalisée par des approches fonctionnelles et trophiques permettant de décrire les communautés et par des analyses statistiques (modèles en équations structurales) mettant en évidence les relations directes et indirectes entre la méso- et macrofaune du sol (ex. collemboles) et les invertébrés épigés. La modélisation des relations trophiques s’appuiera sur plusieurs indicateurs écologiques et fonctionnels pour décrire ces relations. Compétences requises ● Expérience de recherche en analyse de bases de données sur la biodiversité, en écologie des communautés, ou en agroécologie ; ● Maîtrise de R et de méthodes d’analyse de données avancées, incluant l’analyse de jeux de données multi- relationnels avec des variables aux déterminants multifactoriels ; ● Excellente capacité de communication orale et écrite, et capacité à collaborer avec plusieurs équipes de recherche ; ● Très bon niveau de publication et capacité à publier dans des revues à comité de lecture internationales. Le post-doc sera basé dans l'UMR Agronomie (INRAE-AgroParisTech) à Palaiseau, et commencera le 1er janvier 2025. Les candidatures sont à envoyer pour le 30 septembre au plus tard à antoine.gardarin@inrae.fr
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🎓 🕷 [Biomimétisme & Enseignement] Quel lien entre biomimétisme et effondrement ?📍SUP’Ecolidaire Lyon 🐝 Impossible de répondre simplement. Impossible de proposer une réponse tranchée. Il n’y a que des pistes de réflexion à proposer. 🐜 L'effondrement ou plutôt l'érosion de la biodiversité est en cours. C’est un fait régulièrement documenté et souvent mis à jour pour diverses populations d’espèces - oiseaux, insectes, espèce végétales, etc [1-3]. 🕸 Cependant, il y a très peu de littérature qui aborde le lien entre le biomimétisme et l’Effondrement - en cours ou qui vient ou peut venir - excepté les essais de Gauthier Chapelle qui lient ces concepts à l’entraide [4-5] et Emmanuel Delannoy à la permaeconomie [6]. 🎓 En conclusion, il faut se (re)plonger dans ces essais pour débattre du lien entre des deux concepts. 📖 Bibliographie ▶︎ [1] #PBES, Rapport d'évaluation mondial de la biodiversité et des services écosystémiques de l'IPBES, 2019 ▶︎ [2] #UICN, Liste rouge de l'UICN des espèces menacées, 2020 ▶︎ [3] #WWF, Planète vivante, 2021 ▶︎ [4] Gauthier Chapelle - Biomimétisme, effondrement et entraide, 2018, interview Kaizen Magazine. ▶︎ [5] #Biomim’Expo 2018, Cité des sciences et de l'industrie, Gauthier Chapelle ▶︎ [6] Permaéconomie - Interview Emmanuel Delannoy, Usbek & Rica 2017 📷 Credits Commons 4.0 - Estelle Cruz et al. 2024 #Biomimetisme #Bioinspiration #TransitionEcologique #Ceebios #Enseignement #biodiversité
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Journée Scientifique du #PEPR SoluBiod 📆 09 et 10 octobre 2024 📍 Institut de Botanique, Montpellier (34) ❓ Des détails : https://buff.ly/3XZV0zD La crise #climatique et le déclin de la #biodiversité obligent nos sociétés à se réinventer. Les Solutions fondées sur la Nature (SfN) sont des approches de #protection, #restauration ou #gestion des écosystèmes permettant de relever efficacement différents défis sociétaux et ayant des impacts positifs à la fois sur le plan social, environnemental, économique et sur la biodiversité. Basées sur le fonctionnement des #écosystèmes, les SfN peuvent être complémentaires voire se substituer aux solutions d’ingénierie technologique. Elles suscitent un intérêt grandissant de la part de nombreux acteurs dont les #collectivités locales mais aussi certaines entreprises. Co-piloté par le CNRS et INRAE, le programme de #recherche vise à promouvoir des approches #scientifiques qui accompagnent la conception, la mise en œuvre et l’évaluation des SfN. Il souhaite également favoriser l’émergence d’un nouveau secteur économique avec de fortes retombées #sociales et #environnementales. Enfin ces deux journées permettront de rencontrer M. Jean-Paul METZGER de l’université de Sao Paulo et Mme Véronique Helfer du Leibniz Centre for Tropical Marine Research (ZMT) GmbH - Allemagne. Solutions fondées sur la Nature - Programme de recherche
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🐦 💻 [InvaPact, un projet de recherche original abordé de manière originale]🐦 💻 💻🦀L’unification des différents types d’impacts écologiques des invasions biologiques en une seule mesure permettrait ➡ 1️⃣ de 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗶𝗿𝗲 𝘂𝗻 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗲 qui conduirait une meilleure compréhension et à une meilleure prise de conscience des invasions biologiques ➡2️⃣ de 𝗾𝘂𝗮𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 et donc de permettre des compilations et des comparaisons entre les régions, les groupes taxonomiques, les secteurs impactés et le temps 💻🦀Dans ce cadre, le workshop #InvaPact a été organisé en Octobre 2023 avec pour objectif ambitieux d’obtenir cette mesure quantitative unique des impacts écologiques, pertinente pour l’ensemble des types d’impacts existants, et si possible mesurée (ou estimée) à l’aide d’une unité unique et unificatrice. 💻🦀 Le workshop a réuni plus de 𝟰𝟬 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 d'horizons thématiques et d'origines très différents sur deux semaines, avec un première phase de réflexion et de construction de méthodes, suivie d'une phase de mise en application 💻🦀Le workshop s'est conclu sur la conception de 𝟮 𝗺𝗲́𝘁𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : ➡1️⃣ une métrique permettant de quantifier 𝗹’𝗮𝗺𝗽𝗹𝗶𝘁𝘂𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗻’𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗶𝗻𝘃𝗮𝘀𝗶𝗼𝗻 dans n’importe quel écosystème ➡2️⃣ une métrique permettant d’en 𝗾𝘂𝗮𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿 𝗹’𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁. Les recherches vont être poursuivies dans les années à venir. Pour lire l'article complet sur le site du Centre de ressources Espèces exotiques envahissantes, c'est ici 👉 https://lnkd.in/emztmzkH
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Une étude montre la faible pertinence écologique des mesures de compensation en France #Écologie #Science #Biodiversité
Une étude montre la faible pertinence écologique des mesures de compensation en France
actu-environnement.com
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Il y a encore du boulot avant de faire coïncider résultats de recherche et pratiques réglementaires ! L'article publié (en Opendata, on apprécie) par l'UMS PATRINAT du MNHN est disponible ici : https://lnkd.in/epZAtStD "La stratégie de localisation des mesures compensatoires ne vise pas prioritairement à générer un gain écologique important, mais répond à d’autres contraintes économiques et foncières." ==> C'est tout à fait exact, puisqu'en cherchant une additionnalité théorique, on doit dans le même temps : - utiliser des méthodes éprouvées (si les mesures sont expérimentales et cherchent à développer de nouvelles méthodes, ce n'est plus de la compensation mais de l'accompagnement, bénéfice très faible pour le porteur de projet qui propose et finance les mesures) ; - sélectionner des sites sur lesquelles ont est le plus certain de trouver les espèces cibles (voire ne retenir que des sites où les espèces cibles sont déjà présentes !!) le tout pour garantir un résultat de la mesure = "oui, les espèces cibles sont bien présentes, oui les (indicateurs type effectif ou autre) sont à la hausse. Je ne m'étendrais pas sur la difficulté à trouver du foncier, l'acceptabilité des mesures localement etc. mais il faut garder en tête que chaque projet est différent, que les mesures ERC retenues dans les dossiers soumis et autorisées sont le résultat d'un travail au cas par cas, et que la réglementation aujourd'hui ne permet pas une analyse à large échelle comme celle proposée dans l'article. Un projet (d'envergure variable) nécessitant de la compensation = une évaluation de la perte nette et du besoin compensatoire à l’échelle du projet (et des projets voisins via l'analyse des effets cumulés...) = une recherche de sites dont la surface cumulée respectera les conditions d'équivalence écologique, temporelle et géographique des impacts dudit projet, à hauteur du besoin estimé. Les porteurs de projet consciencieux n'hésitent pas à financer des mesures expérimentales, associés à des instituts de recherche, pour peu qu'ils soient bien accompagnés, c'est un fait. Mais la place de la Recherche n'est pas systématique dans les dossiers et n'est pas aisément intégrables au contexte réglementaire global. Une des solutions pourrait être de proposer des évaluations comme celles proposées dans cet article via des "scores d’intégrité biophysique", "de qualité écologique" et "d'indice de connectivité du paysage" en amont pour aider à la décision des emplacements de sites. (Et comme d'habitude, Actu-environnement sélectionne ses illustrations à la va-vite avec ici une photo d'espèce nord américaine pour un article ciblé sur la France métropolitaine)
[À relire] Une étude montre la faible pertinence écologique des mesures de compensation en France #Écologie #Science #Biodiversité
[À relire] Une étude montre la faible pertinence écologique des mesures de compensation en France
actu-environnement.com
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#FDS2024 | Cap sur le thème "L'eau dans tous ses états" 💧 à travers les sept travaux de recherche des doctorantes et doctorants Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche ! À la fois ressource, milieu et élément vital, l’eau est au cœur de nombreux défis auxquels l’humanité est confrontée aujourd’hui. Saviez-vous que, selon l' UNESCO : - la moitié de la la population du monde fait face à la pénurie d'eau - 2,2 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable. 💬 L'eau est le fil conducteur de sept bandes dessinées, publiées dans le cadre de l'édition 2024 de "Sciences en bulle". Les personnages principaux, sept doctorants et doctorantes, nous ouvrent les portes de leurs laboratoires et racontent leurs travaux de recherche en images. Voici quelques faits insolites liés à leur sujet de thèse : 💧🌊 Cinquante nuances de bleu : la vie cachée du phytoplancton "Le phytoplancton est l’un des rouages essentiels d’un cycle appelé « pompe biologique à carbone », dont le bon fonctionnement est crucial pour le climat. Il capture du CO2 pour produire de la matière organique utile à son développement.[...] À l’avenir, on espère ainsi récolter des informations en 3D, à l’échelle mondiale, sur la présence du phytoplancton, et même sur les espèces concernées." - Lou Andrès, doctorante en océanographie du laboratoire d'Océanographie de Villefranche, Sorbonne Université Institut de l'Océan. 🌏🌳 Les secrets d'une forêt aux pieds dans l'eau " Dans les régions tropicales et subtropicales, trois quarts environ des littoraux sont bordés des mangroves. On y trouve des arbres sur échasses,les palétuviers, dont les racines font le pont entre terre et mer. Les mangroves sont essentielles à l’équilibre des côtes.Elles forment un rempart qui les protège contre cyclones et tsunamis ; de nombreuses espèces y trouvent gîte et couvert et s’en servent de nurserie." - Naïna Mouras, doctorante en sciences de l'environnement à l'Université de la Nouvelle-Calédonie et du laboratoire LEAD-NC de l' Ifremer Nouvelle Calédonie. Géoarchéologie, chimie des matériaux, bioacoustique, économie écologique, écologie et génie des procédés, océanographie et optique ou encore sciences de l’environnement : la diversité des disciplines scientifiques concernées révèle l’extraordinaire richesse des recherches menées sur « l’eau dans tous ses états ». 🔍Découvrez la nouvelle édition de Sciences en bulles : l'eau dans tous ses états ainsi que les sujets de thèse des doctorant(e)s sur https://lnkd.in/e3QRN4UV 🔍Retrouvez la programmation de la Fête de la Science sur https://lnkd.in/eYxrFmBt
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[Recherche] 👩🦰 Directrice de recherche au Laboratoire d'écologie alpine de l’université Grenoble-Alpes, Sandra Lavorel a reçu la médaille d'or du CNRS en 2023 pour ses avancées sur l'écologie fonctionnelle. Cette scientifique reconnue participe aussi aux travaux de l' IPBES, le "Giec de la biodiversité". 🎙Dans un entretien avec la magazine #Parc93, Sandra raconte en quoi les espaces protégés constitue un vivier d'opportunité pour la recherche - extrait : "𝘓𝘦𝘴 𝘗𝘢𝘳𝘤𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘱𝘳𝘪𝘷𝘪𝘭𝘦́𝘨𝘪𝘦́𝘴 𝘥'𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘭𝘭𝘢𝘣𝘰𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴, 𝘦𝘵 𝘦𝘯 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘶𝘭𝘪𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘤𝘦𝘴 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴. 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦𝘴 𝘦𝘴𝘱𝘢𝘤𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘦́𝘨𝘦́𝘴, 𝘰𝘯 𝘢 𝘨𝘦́𝘯𝘦́𝘳𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘥𝘦 𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦́𝘦𝘴, 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘰𝘤𝘰𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘷𝘪, 𝘶𝘯𝘦 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘪𝘭𝘪𝘦𝘶𝘹, 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘦 𝘶𝘯 𝘣𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘪𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘥𝘦́𝘱𝘢𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘯𝘰𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘶𝘹. 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦𝘳𝘵𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘤𝘢𝘴, 𝘰𝘯 𝘳𝘦́𝘱𝘰𝘯𝘥 𝘢̀ 𝘥𝘦𝘴 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦𝘴, 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦 𝘈𝘭𝘱𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘯𝘵𝘪𝘯𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘯𝘪𝘵𝘪𝘦́ 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦 𝘗𝘢𝘳𝘤 𝘥𝘦𝘴 𝘌́𝘤𝘳𝘪𝘯𝘴 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘊𝘦𝘳𝘱𝘢𝘮 (𝘊𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘥'𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘳𝘦́𝘢𝘭𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘱𝘢𝘴𝘵𝘰𝘳𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘈𝘭𝘱𝘦𝘴-𝘔𝘦́𝘥𝘪𝘵𝘦𝘳𝘳𝘢𝘯𝘦́𝘦). 𝘔𝘢𝘪𝘴 𝘰𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘢𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘥𝘦𝘴 𝘪𝘥𝘦́𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 : 𝘰𝘯 𝘢 𝘱𝘢𝘳 𝘦𝘹𝘦𝘮𝘱𝘭𝘦 𝘥𝘦́𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦́ 𝘶𝘯𝘦 𝘤𝘢𝘳𝘵𝘰𝘨𝘳𝘢𝘱𝘩𝘪𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘤𝘦𝘴 𝘦́𝘤𝘰𝘴𝘺𝘴𝘵𝘦́𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦𝘳𝘵𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘗𝘢𝘳𝘤𝘴, 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘢 𝘱𝘶 𝘢𝘮𝘰𝘳𝘤𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘪𝘯𝘵𝘦́𝘳𝘦̂𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘵𝘩𝘦́𝘮𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦. 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘢𝘴, 𝘤𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘰𝘱𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘮𝘶𝘵𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘣𝘦́𝘯𝘦́𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴. 𝘓𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴 𝘭𝘪𝘮𝘪𝘵𝘦́𝘴 𝘥𝘦𝘴 𝘗𝘢𝘳𝘤𝘴 – 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘪𝘱𝘦𝘳 𝘢̀ 𝘯𝘰𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵𝘴, 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘮𝘦𝘴𝘶𝘳𝘦, 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭𝘭𝘪𝘳 𝘰𝘶 𝘦𝘯𝘤𝘢𝘥𝘳𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘵𝘢𝘨𝘪𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 – 𝘱𝘦𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘯𝘦́𝘢𝘯𝘮𝘰𝘪𝘯𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘦𝘳 𝘶𝘯 𝘧𝘳𝘦𝘪𝘯. 𝘖𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦 𝘤𝘢𝘴 𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘧𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘦𝘵 𝘳𝘦́𝘧𝘭𝘦́𝘤𝘩𝘪𝘳 𝘢̀ 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘪𝘰𝘳𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦." 📲 Retrouvez tout l'échange entre Sandra et le magazine #Parcs93 avec la lecture en ligne ➡https://swll.to/parcs93 📷 Hubert Raguet - CNRS
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📢 TerrOïko tient à soutenir des projets de recherche en faveur de la biodiversité. Nous lançons donc un appel à projets ! Après plusieurs semaines de réflexion nous avons décidé de lancer un appel à projets de recherche pour l’utilisation de SimOïko. 🖥️ SimOïko c’est notre logiciel de modélisation qui permet de simuler la vie des espèces sur un territoire. De par ses caractéristiques techniques, SimOïko est en mesure de modéliser l’intégralité du cycle de vie des espèces sur un territoire, les dynamiques métapopulationnelles et les réseaux écologiques à différents horizons temporels. 📌Cet appel à projets donnera l’opportunité à plusieurs porteurs de projets de recherche de tester SimOïko . 📋 Si vous êtes un chercheur, une association, une université... et que vous souhaitez participer à notre appel à projets téléchargez le en cliquant sur le lien suivant : https://lnkd.in/e46vCaF9 #AppelaProjets #SimOïko #Recherche #Biodiversité #Terroïko #InnovationScientifique
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Sciences et recherches participatives en écologie et agronomie, un levier face aux crises environnementales ? avec R. JULLIARD (MNHN) et D. DESCLAUX (INRAE) Le séminaire aura lieu Vendredi 17 mai de 14h à 16h Université Paris-Saclay Bibliothèque Universitaire – Salle de Conférences (RdC) Bât 407 rue du Doyen Georges Poitou 91400 Orsay En présentiel et en visioconférence. Inscription : centre.dalembert@universite-paris-saclay.fr Intervenants : Romain Julliard (MNHN) "Sciences participatives : Un changement profond dans la manière de produire des données" Les sciences participatives sont souvent associées au paradigme « big data » : collecter en masse des données simples pour adresser des questions complexes. L’expérience Vigie-Nature poursuivie depuis 2020 dans l’unité de service Mosaic, nous indique qu’une autre voie est possible tout aussi prometteuse : des données plus exigeantes et ambitieuses mais également une participation plus engageante et transformative. A travers différents exemples proposés à des réseaux d’observateurs variés, notamment conçus pour des publics sans connaissance particulière préalable, nous avons fait deux constats. D’une part, loin d’être rebutante, une certaine complexité dans ce qui est demandé peut au contraire être engageante, notamment sur le long terme, en permettant une expérience de participation qui continue à s’enrichir au fil du temps. D’autre part, le partage des données entre les contributeurs a un double effet essentiel dans ce genre de dispositif : (i) enrichissement et contrôle qualité des données ; (ii) mise en place d’une communauté « apprenante » de participants qui montent en compétence individuellement et collectivement. Si ces constats peuvent sembler aller de soi une fois énoncé, ils s’avèrent en fait en profonde contradiction avec l’orthodoxie de la production scientifique de données et laisse penser que les sciences participatives ne transforment pas seulement la nature des données produites et les participants eux-mêmes, mais aussi la manière de faire de la recherche. Dominique Desclaux (INRAE) "De la monoculture à la biodiversité intégrale : 25 ans d’indisciplines participatives" Un projet participatif ne fait pas juste référence au pro de l’anticipation et au jet de la réalisation, simple trajectoire linéaire, mais intègre surtout le part du partage et le capere de la préhension et de la compréhension. Le participatif nous centrifuge à la périphérie de dimensions où humanité, discipline, temps et espace sont questionnés dans un ajustement de valeurs. Il convoque une valse à 3 temps, déséquilibrant le Chronos, temps chronologique et linéaire au profit du Kairos et de l’Aion, temps de l’action et de l’ailleurs. Comment vingt-cinq ans de recherches participatives des semences à l’assiette ont contribué à dissoudre la monoculture semencière, disciplinaire et épistémique dans un vortex dynamisant de biodiversité intégrale… ? avec le soutien de la MSH Paris-Saclay
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