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𝕯𝖊́𝖈𝖔𝖚𝖛𝖗𝖎𝖗 𝖑𝖊𝖘 𝖋𝖆𝖈𝖊𝖘 𝖈𝖆𝖈𝖍𝖊́𝖊𝖘 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝕵𝖔𝖚𝖗𝖓𝖊́𝖊 𝕴𝖓𝖙𝖊𝖗𝖓𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓𝖆𝖑𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝕯𝖗𝖔𝖎𝖙𝖘 𝖉𝖊𝖘 𝕱𝖊𝖒𝖒𝖊𝖘 La Journée Internationale des Droits des Femmes, célébrée chaque 8 mars, revêt une signification profonde, mais force est de constater que certaines femmes ignorent encore plusieurs aspects essentiels de cette journée. 𝑷𝒐𝒖𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕, 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒑𝒍𝒆𝒊𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒐𝒏 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆, 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒓𝒖𝒄𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒐𝒏𝒈𝒆𝒓 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒔𝒆𝒔 𝒐𝒓𝒊𝒈𝒊𝒏𝒆𝒔 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔. Cette journée trouve en effet ses racines dans les luttes ouvrières du début du XXe siècle, où les femmes se sont battues pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote. 𝐄𝐧 𝐨𝐮𝐭𝐫𝐞, 𝐮𝐧 𝐚𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭𝐦𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮 𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐚 𝐝𝐢𝐦𝐞𝐧𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞.De nombreuses femmes ne réalisent pas que cette journée est célébrée dans le monde entier, dans de nombreux pays et cultures différentes. 𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒔𝒕 𝒃𝒊𝒆𝒏 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒒𝒖'𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒊𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆́𝒎𝒐𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒍𝒐𝒄𝒂𝒍𝒆, 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒕𝒐̂𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒏𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒍𝒊𝒅𝒂𝒓𝒊𝒕𝒆́ 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒏𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍𝒆. ℭ𝔢𝔭𝔢𝔫𝔡𝔞𝔫𝔱, 𝔪𝔞𝔩𝔤𝔯𝔢́ 𝔰𝔞 𝔯𝔢𝔠𝔬𝔫𝔫𝔞𝔦𝔰𝔰𝔞𝔫𝔠𝔢 𝔪𝔬𝔫𝔡𝔦𝔞𝔩𝔢, 𝔦𝔩 𝔭𝔢𝔯𝔰𝔦𝔰𝔱𝔢 𝔲𝔫𝔢 𝔪𝔢́𝔠𝔬𝔫𝔫𝔞𝔦𝔰𝔰𝔞𝔫𝔠𝔢 𝔰𝔲𝔯 𝔩𝔞 𝔫𝔢́𝔠𝔢𝔰𝔰𝔦𝔱𝔢́ 𝔡𝔢 𝔩'𝔢𝔫𝔤𝔞𝔤𝔢𝔪𝔢𝔫𝔱 𝔠𝔬𝔫𝔱𝔦𝔫𝔲. Certaines femmes peuvent penser que la lutte pour les droits des femmes est terminée ou moins pertinente aujourd'hui. 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭, 𝐢𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐬𝐢 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐞̀𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐬, 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐞́𝐠𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐢𝐬𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞. Ainsi, la Journée internationale des droits des femmes est une occasion de rappeler l'importance de rester engagé·e et mobilisé·e pour faire progresser l'égalité des sexes. #JIF #PlanBenin #droitdesfemmes

❓ D'où vient la journée internationale des droits des femmes ? 📆 Le #8mars, journée internationale des #droits des #femmes vient de l'Internationale des femmes socialistes, réunie à Copenhague en 1910. 🔎 Cette rencontre des femmes propose à l'époque d'instaurer une journée annuelle pour les #droitsdesfemmes.  🔎 Le choix du 8 mars vient de la révolution russe. En Russie, en pleine guerre, le 23 février 1917, soit le 8 mars dans le calendrier grégorien, des femmes ont défilé pour le suffrage, le pain et la paix. Cette journée est célébrée en URSS, puis dans tous les pays devenus socialistes après 1945. 🔎 Dans les années 1970, les mouvements féministes lui enlèvent son lien privilégié avec le communisme et l'inscrivent dans leurs combats pour l'autonomie des femmes. L'ONU en fait une journée internationale en 1977. Dans la plupart des démocraties, le #8mars est depuis un jour particulier mais il reste un enjeu de #lutte dans des pays conservateurs. 🌍 Aujourd'hui, dans les pays occidentaux, les combats prioritaires sont la lutte contre les #violences #sexistes et #sexuelles, célébrées en cette journée féministe. Dans les années 70, les féministes dénonçaient déjà ces violences, mais on ne les entendait pas.  🌍 Dans les pays autoritaires, les féministes ont des combats pour des droits élémentaires, acquis ailleurs bien avant, comme circuler librement, recevoir une instruction, pouvoir travailler... 📆 La journée du 8 mars n'est pas la journée des “femmes”, mais la journée des #droits. Chaque droit reconnu pour des femmes est un pas de plus vers une société égalitaire. Chaque femme qui se lève pour revendiquer ses droits, ses choix, ses talents, ses projets, ses idées, est un pas vers l'émancipation des femmes, pour atteindre progressivement la parité et l'égalité des sexes En tant que femme, mère, entrepreneuse, féministe, professionnelle de l'accompagnement, j'aide des femmes au quotidien dans la gestion et l'équilibre de leurs vies professionnelles et personnelles. Comment trouver une place et prendre du temps pour soi dans un temps contraint d'une journée de 24 h ? 💪 Pensées et égalités pour toutes nos girls power

❌ Rappel aux adeptes de la "journée de la femme" Gardez vos fleurs, offrez nous plutôt des droits. Demain, ce sera la journée internationale des DROITS DES FEMMES. Connaissez-vous son histoire ? Je vous la partage car elle reflète bien son réel sens. Le 8 mars trouverait son origine dans le mouvement ouvrier en Europe au début du 20ème siècle. A l'époque, les femmes demandent le droit de vote, droit au travail et la fin des discriminations au travail - oui, déjà! La féministe allemande Clara Zetkin lance la proposition d’une journée internationale des femmes en 1910. Des journées de mobilisation féministe se déroulent partout en Europe les années suivantes 💪 Mais c’est le 8 mars 1917 qui fait rentrer cette date dans l’histoire, avec la grève des ouvrières de Saint-Pétersbourg - début de la révolution russe. Les femmes exigent alors « du pain et la paix ! ». Quatre jours plus tard, elles obtiennent le droit de vote. Les françaises ne l'obtiendront qu'en 1944🗳 Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la journée du 8 mars est célébrée dans de nombreux pays à travers le monde. La journée internationale est officialisée depuis 1977 par les United Nations "pour les droits de la femme". Vous voyez ? Depuis plus d'un siècle, diverses féministes du monde entier se rallient ce jour, en plus d'autres, pour exiger plus de droits et de justice de genre ⚖ Il ne s'agit donc pas de reconnaître nos qualités individuelles et notre résilience face aux inégalités, mais bien d'essayer de changer collectivement la donne ce jour-là. Alors, partant·e pour vous mobiliser pour nos droits ? Si l'envie y est mais que vous ne savez pas comment vous y prendre, faites-le moi savoir. Promis, je vous aiderai. *************** Photo prise en 2012 à Tunis lors d'une manifestation contre l'introduction de la "complémentarité entre les sexes" dans la future Constitution. #8mars #droitsdesfemmes #mobilisation

FÉMINISME, HISTOIRE & MATRIMOINE 8 mars. Journée internationale pour les droits des femmes. Issue d’une tradition socialiste et ouvrière au début du XXe siècle, elle est désormais un jour de grève général et féministe, appelant les femmes à stopper travail productif et travail reproductif. En ce 8 mars 2024, des milliers de manifestant-e-s occupent l’espace public et en Bretagne, on célèbre le centenaire des Penn Sardin, ces ouvrières ayant profondément lutté, à Douarnenez, pour la dignité et l’amélioration des conditions de travail dans les conserveries. À Rennes, on célèbre également la venue de Michelle Perrot, historienne, professeure émérite d’histoire contemporaine et militante féministe, organisée par l'association Champs de Justice. Un siècle de combats et de révoltes pour dénoncer les inégalités entre les femmes et les hommes, exiger des droits et gagner en liberté. Un siècle de révolution féministe pour faire entendre les voix des femmes et pour faire reconnaitre leurs existences. Toutes les existences. Un siècle de résistances pour affronter les retours de bâtons, les discours haineux et conservateurs, sans jamais rien lâcher. Un siècle aussi de transmission entre les générations pour poursuivre les luttes, réhabiliter les femmes du passé et construire un futur plus égalitaire, inclusif et sans violences. Un siècle que Michelle Perrot a, à quelques années près, entièrement vécu, observé et analysé. Texte : Combe Marine Photos : Célian Ramis Lire l'article intégral ici : https://lnkd.in/e_rufDGg

Aujourd'hui, en cette Journée Internationale des Femmes, nous célébrons bien plus qu'une date. Nous honorons le flambeau de l'espoir, la lutte pour l'égalité à travers les âges. Ce 8 mars n'est pas une simple commémoration, mais un vibrant hommage à l'histoire des luttes des femmes, à leur courage, leur persévérance et leur détermination inébranlable. C'est une journée qui marque l'origine de mouvements ouvriers historiques et la reconnaissance mondiale de la lutte pour les droits des femmes par l'ONU en 1977. Mais le 8 mars est surtout un appel à la réflexion sur les avancées et les défis à venir. Il incarne notre objectif inlassable de construire une société où l'égalité est vécue au quotidien, où chaque femme et fille peut s'épanouir librement. Nous célébrons les victoires législatives et sociales, tout en reconnaissant le chemin restant à parcourir. La solidarité féminine, transcendant frontières et différences, se manifeste à travers marches, discours, et initiatives, portant le flambeau de l'espoir et de la résilience. Cette solidarité est le socle de notre vision pour l'avenir, un avenir où les droits des femmes sont incontestables et inaliénables. Le 8 mars est donc un moment de reconnaissance, d'espoir, et de solidarité mondiale, nous rappelant que chaque action compte dans la marche vers l'égalité. C'est un appel à l'action contre toutes les formes d'oppression des femmes, soulignant l'urgence d'une solidarité internationale pour soutenir celles en lutte pour la liberté et la dignité, notamment sous des régimes oppressifs comme celui des talibans en Afghanistan. En cette Journée Internationale des Femmes, engageons-nous à renouveler notre solidarité et notre action pour un monde plus juste et équitable. Honorons les accomplissements, réfléchissons aux défis persistants, et continuons à lutter pour l'égalité des sexes. C'est un combat pour la justice, la liberté, et l'égalité, et il nous concerne tous. #JournéeInternationaleDesFemmes #ÉgalitéDesSexes #SolidaritéFéminine

Quelle est l’origine de la journée du 8 mars, dédiée à la lutte pour les droits des femmes ? Si l’idée de cette journée internationale remonte aux mouvements féministes du début du XXe siècle, le choix de la date reste, lui, l’objet de débats historiques. Par Simon Auffret Publié sur le journal Le Monde du 07 mars 2019 Parfois critiqué pour ses nombreuses récupérations marketing ou pour son aspect plus symbolique que politique, le 8 mars reste un rendez-vous annuel important pour faire le bilan des progrès et des régressions sur la question de l’égalité des sexes dans de nombreux pays. Mais quels sont les fondements historiques de cette journée ? Si son origine est bien antérieure à sa proclamation officielle par l’ONU, son événement de référence et le choix de la date du 8 mars font encore l’objet de discussions chez les historiens. Une journée internationale évoquée dès 1910 La première occurrence de cette idée remonte au début du XXe siècle. Marqué par la mobilisation des suffragettes, présentes au Royaume-Uni dès 1903, le mouvement de lutte pour les droits des femmes connaît en 1909 un autre temps fort lors d’une manifestation nationale aux Etats-Unis : le Parti socialiste d’Amérique évoque alors le dernier dimanche de février pour mobiliser, chaque année, tout le pays autour de cette thématique. En 1910, la Conférence internationale des femmes socialistes, constituée d’une centaine de femmes de dix-sept pays rassemblées à Copenhague, vote à l’unanimité une motion soulignant la nécessité d’une « journée internationale des femmes ». Il s’agirait de la 1ère déclaration appelant à un mouvement rassemblant plusieurs pays, menée par l’Allemande Clara Zetkin, journaliste et femme politique La déclaration de Copenhague n’a cependant pas été inscrite dans le compte-rendu du congrès socialiste en raison, selon l’universitaire Simone Bonnafous, « des réticences d’une grande partie des dirigeants de la 2e Internationale pour toute action autonome publique des femmes socialistes ». Désavoué politiquement, cet appel reste pourtant fondateur dans la construction de la journée internationale telle qu’elle est organisée aujourd’hui. Une origine communiste ? Quant au choix de la date du 8 mars, il a, dès 1955 et pendant plus de trente ans, fait l’objet d’un mythe, largement relayé dans les médias, par plusieurs historiennes US ou même dans la documentation officielle de l’ONU. « L’origine de cette journée remonte au 8 mars 1857, où à New York, pour la 1e fois, des travailleuses, des ouvrières de l’habillement manifestèrent pour leurs revendications », raconte ainsi le 26 fév 1955 le journal France Nouvelle. Problème: aucun document historique ne fait mention de cet événement, qui n’est d’ailleurs jamais mentionné par Clara Zetkin comme référence pour la journée internationale qu’elle appelle de ses vœux. Mais une hypothèse se dégage:celle du 8 mars17, date d’une grève d’ouvrières à Saint-Pétersbourg (alors appelée Pétrograd), suite dans commentaire

Au-delà de la journée de célébration des Droits des femmes du 8 mars, forgeons ensemble un monde où les hommes et les femmes puissent se sentir égaux dans la diversité. Creusant des faussées, les stéréotypes du genre, les plus fréquents, sont liées à des activités et/ou des tâches du quotidien jugées plus féminines ou plus masculines. Cela peut s’étendre à des jugements sur des métiers, des droits voire des passions. « Vivre sa passion au-delà des stéréotypes » : nos 5 collaboratrices en témoignent. Pour nous, une passion n’a pas de genre spécifique. Levons le voile sur ces préjugés et partageons la fierté de ces femmes passionnées : - SONIA : « La détermination et le talent ne connaissent pas de genre » - MALALATIANA : « Le sport et l’endurance sont liés à la discipline et non au genre » - BEATRICE : « Seuls la pratique et la persévérance comptent » - AINA : « On dit souvent à tort que…mais en réalité… » - HENINTSOA : « les femmes, autant que les hommes, peuvent être des agents clés du changement dans la société. » Une citation de Emma Watson le confirme : « L'égalité des sexes libère non seulement les femmes, mais aussi les hommes soumis aux stéréotypes du genre. ». Ceci n’est que le commencement… Restez connectés… #BNIMADAGASCAR . #JAvanceAvecMaBanque

(1/2) En ce 8 mars, je vois beaucoup d'hommes (sur mon propre fil, en tout cas) rendant hommage aux combats des femmes, aux conditions des femmes, aux femmes ou à une femme en particulier. C'est vraiment très bien. Toutefois, comme la Saint-Valentin (!), l'engagement et le combat vers l'égalité dépasse la seule journée du 8 mars. Les hommes peuvent être proféministes et représenter des alliés bien intentionnés mais, par leurs actes au quotidien, parfois compliquent voire même affaiblissent les efforts des mouvements féministes. De tout temps, les féministes se sont méfiées des hommes qui font mine de s'intéresser au féminisme, "sans doute parce que tant d'hommes soit-disant proféministes se sont révélés problématiques dans leurs prises de parole, leurs attitudes, leurs actions, voire leur inaction” (Dupuis-Déri (2023)). David Kahane (1998) identifie 4 types d’hommes proféministes problématiques (types qui peuvent se combiner) : 1) Le poseur : Il a tout lu sur la théorie féministe mais n’applique pas grand chose dans sa vie au quotidien. Un féministe de façade quoi! 2) L’initié : Met en pratique certains principes féministes mais se sent supérieur aux autres hommes car ce sont ”eux” (i.e les autres!) qui font preuve de misogynie et perpétuent le système patriarcal. 3) L’humaniste : Profite du patriacrcat mais il en subit les soufrances autant que les femmes. Il se bat contre les inégalités, sous toutes ses formes. 4) L’autoflagellateur : Le féminisme est un chemin de croix. Croit en la rédemption par un féminisme pur et idéalisé.

#journéedesdroitsdesfemmes Comme le souligne Michelle Obama, '' 𝐼𝑙 𝑛’𝑦 𝑎 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑟 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠''. Aujourd'hui, nous avons la possibilité d'étudier, d'exprimer nos opinions dans les plus hautes sphères, et de poursuivre des carrières dans des domaines autrefois inaccessibles. Il n'y a pas si longtemps, les femmes instruites, dirigeantes, sportives, scientifiques, et même présidentes semblaient relever du domaine du mythe. Ces privilèges que nous avons aujourd'hui sont le fruit d'un labeur de plusieurs siècles, celui de femmes qui se sont battues siècle après siècle.  Des centaines, des milliers de femmes ont milité pour l'égalité entre les sexes, sacrifiant parfois leur vie sur l'autel de cette cause noble. Leurs luttes et leurs sacrifices ont ouvert la voie à notre liberté actuelle. Pourtant, le combat pour l'égalité des sexes persiste dans de nombreuses régions du monde. En nous appuyant sur les victoires du passé, nous pouvons surmonter les défis qui se présentent à nous aujourd'hui, et préparer le terrain pour les générations futures de femmes et de jeunes filles. Dans cette lignée, prenons l'exemple inspirant de 𝗠𝗮𝗿𝗶𝗮𝗺𝗲 𝗗𝗶𝗰𝗼𝗵, 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗰𝗵𝗶𝗺𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗶𝘃𝗼𝗶𝗿𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲. Son parcours exceptionnel et ses réalisations dans le domaine de la chimie sont une source d'inspiration pour les femmes ivoirienne, d’Afrique et du monde. Son histoire illustre parfaitement le potentiel illimité des femmes et leur capacité à briser les barrières pour atteindre leurs objectifs. En cette Journée des droits de la femme, rappelons-nous qu'il n'y a aucune limite à ce que nous pouvons accomplir.  Saisissons chaque opportunité qui se présente à nous, et investissons sur nous-mêmes comme sur un projet d'avenir. Plus qu'un simple rappel de nos droits, cette journée est un devoir pour nous, les femmes, une occasion de montrer au monde entier que nous méritons notre place et que nous sommes prêtes à relever tous les défis qui se présentent à nous. Schekinaël Grâce Gboto - Assistante Coordination de Programme #8mars2024 #journéeinternationaledesdroitsdesfemmes

Alors chez Donne-moi des Elles , s’il y a bien une chose qui nous hérisse le(s) poil(s) en ce 8 mars, c’est bien de lire encore à plein d’endroits que cette journée est “la journée de LA femme” ou "la fête des femmes". Parce que c’est tout le contraire d’une fête cette journée : il s’agit de sensibiliser l’opinion publique sur le fait que dans notre société, encore aujourd’hui, les inégalités perdurent en matière de droits pour toutes les femmes. Il s’agit de rappeler que les droits aussi essentiels que disposer de son argent, signer un contrat de travail ou voter ont été acquis il y a peu dans nos pays. Et que pour la liberté à disposer de son corps, comme le droit à l’avortement, les droits restent si menacés qu’on pense à les re-protéger. Alors exit les fleurs, les blablas et autres récupérations politiques, ce que l’on veut c’est l’égalité pour une humanité qui marche enfin sur ses deux pieds. Le 8 mars, il s’agit de faire les comptes. De rappeler ce qui a été acquis récemment, de remercier celles qui se sont battues pour ces avancées en matière de droits, et de pointer ce qui vacille et/ou manque encore. Et comme nous aimons toujours le faire ici, remettons en perspective l’origine de cette journée qui a démarré en 1909 aux Etats-Unis par un mouvement de femmes ouvrières en lutte contre les injustices, puis en Europe, sous l’impulsion d'une militante allemande appelée Clara Zetkin en 1910. C’est pas une fête donc. C’est un combat. À mener toutes et tous ensemble, uni.es et solidaires dans nos luttes ! #empowermentfeminin #femmeinspirante #donnemoideselles #feminisme #matrimoine #feministes #sororite #autrice #sinspirer #sourcedinspiration #girlpower #8mars #droits #journeemondialedesdroitsdesfemmes