🇪🇺 Les élections en #Moldavie : Une victoire décisive pour l'avenir européen du pays #EnBref Maia Sandu, la présidente pro-européenne sortante, a remporté une réélection écrasante avec 55 % des voix, défiant son rival Alexandru Stoianoglo, soutenu par des factions prorusses. Ce résultat ne se limite pas à une simple victoire électorale, mais constitue un rejet clair de l'influence russe et une affirmation déterminée de la voie européenne pour la Moldavie. ➡️ Un choix pour la souveraineté et les valeurs européennes La réélection de Maia Sandu symbolise un tournant décisif dans l'effort de la Moldavie pour renforcer sa souveraineté et son alignement avec les principes de l'Union européenne, malgré les tentatives persistantes d'ingérence de Moscou. ➡️ Désinformation et résistance Malgré les campagnes de désinformation orchestrées par des acteurs prorusses, le peuple moldave a exprimé de manière claire son souhait de se rapprocher des valeurs européennes. Ce choix renforce la position stratégique de la Moldavie dans l'orbite de l'UE, même si la Russie réagit violemment en imposant des restrictions énergétiques et en intensifiant ses pressions hybrides. Cette élection illustre également l'importance des stratégies d'influence et de lutte contre la désinformation, des dimensions clés de l'Intelligence économique, dans un environnement géopolitique complexe. ➡️ Diversification énergétique et soutien international Face à ces défis, Maia Sandu met en œuvre une stratégie de diversification énergétique, renforçant la coopération avec la Roumanie et l'UE. Cette démarche, tout en consolidant les relations européennes, place la Moldavie au cœur d'un affrontement géopolitique de plus en plus marqué entre l’Est et l’Ouest. Ce contexte fait de la Moldavie une cible privilégiée des campagnes russes d'ingérence. Dans ce contexte, les États-Unis et l'UE intensifient leur soutien financier et technique pour aider la Moldavie à contrer la désinformation et à garantir sa sécurité énergétique. #Moldavie #UE #Démocratie #Désinformation #Ingerence #Geopolitique #Souverainete #IntelligenceEconomique Sources : https://lnkd.in/eSZurhPv https://lnkd.in/dtxzpGr9
Post de Master Intelligence Économique. IFIS - Université Gustave Eiffel
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La Moldavie 🇲🇩 et la Géorgie 🇬🇪 face à des choix décisifs pour leur avenir européen 🇪🇺 🇲🇩 Le 20 octobre dernier, la Moldavie a vécu un moment décisif pour son avenir européen. Le référendum constitutionnel sur l'intégration à l'Union européenne a donné une courte victoire au « oui » avec 50,46 % des voix, marquant un tournant crucial pour ce pays tiraillé entre l'influence russe et son aspiration à se rapprocher de l'Europe. La présidente sortante, Maia Sandu, pro-européenne convaincue, est arrivée en tête du premier tour de l'élection présidentielle, consolidant ainsi la voie vers un ancrage européen, malgré des accusations d'achat de votes et d'une « interférence sans précédent » de la Russie dans le processus électoral. 🤝 L'Union européenne, par la voix de Josep Borrell, a salué ce « choix historique » du peuple moldave, qui a exprimé sa volonté d'un avenir paisible, démocratique et prospère, malgré les défis posés par une campagne hybride menée par la Russie et ses relais. Ce vote est un signal fort en faveur de l'indépendance et de la stabilité de la Moldavie dans un contexte géopolitique tendu. 🇬🇪 En Géorgie, le week-end prochain (26.10), les électeurs décideront s’ils souhaitent mettre fin à 12 ans de gouvernement prorusse du parti "Rêve Géorgien" ou ouvrir une nouvelle ère pro-européenne en portant l’opposition au pouvoir. Ces élections sont décisives pour ces deux pays à la croisée des chemins, entre la volonté d'intégrer l'Union européenne 🇪🇺 et la persistance de l’influence russe 🇷🇺. Elles détermineront également la nouvelle politique d'élargissement de l'UE, transformée par l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022. Pour mieux comprendre cette période décisive et les enjeux politiques derrière ces scrutins, retrouvez la dernière publication de Confrontations Europe, par Gian Paolo Accardo de Voxeurop 👉 https://lnkd.in/e3fXpRZ7 #Europe #Démocratie #Élargissement
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Les élections en Moldavie et en Géorgie révèlent une bataille politique cruciale entre aspirations européennes et influences prorusses. Les présidentes Maia Sandu et Salomé Zourabichvili, toutes deux proeuropéennes, font face à des défis dans leurs pays respectifs. Elles dénoncent des méthodes de manipulation. En Moldavie, Maia Sandu accuse l’oligarque prorusse Ilan Shor d’avoir organisé un vaste achat de votes, estimé entre 130 000 et 300 000 voix, pour influencer le référendum. En Géorgie, les autorités, sous contrôle du Rêve géorgien depuis douze ans, auraient orchestré des bourrages d’urnes et exercé des pressions directes pour orienter le vote. En Moldavie, un référendum a récemment approuvé de justesse l’inscription de l’objectif d’adhésion à l’Union européenne dans la Constitution, avec 50,3 % des voix, malgré une intense campagne prorusse. En Géorgie, en revanche, le parti prorusse Rêve géorgien, dirigé par l’oligarque Bidzina Ivanichvili, affiche une nette victoire aux législatives, malgré les forts soupçons de fraude. Les opinions publiques en Géorgie et en Moldavie sont pourtant majoritairement favorables à l’UE. En 2023, 79 % des Géorgiens soutenaient l’adhésion, et les sondages moldaves indiquaient 55 % de soutien à l’approche du référendum. Cependant, la crainte de représailles de la Russie, exacerbée par la guerre en Ukraine, nourrit une volonté de neutralité parmi certains électeurs. Cette peur est renforcée par le souvenir des conflits avec les régions séparatistes soutenues par Moscou : l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud pour la Géorgie, et la Transnistrie pour la Moldavie. Dans ce contexte, les campagnes prorusses exploitent cette crainte en brandissant l’argument de la stabilité et de la paix, comme l’illustre le Rêve géorgien avec des affiches contrastant la modernité géorgienne à la dévastation en Ukraine. Pour Romain LE QUINIOU, directeur du think tank Eurocréative, ces résultats reflètent aussi une surestimation de la volonté populaire pour l’UE, alors que les citoyens géorgiens et moldaves craignent les conséquences d’un rapprochement avec l’Ouest tant que le conflit ukrainien reste en suspens. Il souligne que les manœuvres de fraude et d’ingérence ne suffisent pas à expliquer seuls ces résultats décevants pour les partis proeuropéens. Ces scrutins envoient un signal d’alarme à Bruxelles. La victoire serrée de Maia Sandu en Moldavie au référendum pourrait se fragiliser face à l’élection présidentielle du 3 novembre, où elle affrontera Alexandr Stoianoglo, candidat socialiste prorusse. En Géorgie, Salomé Zourabichvili conteste les résultats des législatives, qualifiant cette victoire prorusse de « menace d’assujettissement » à Moscou. Dans ce contexte, les soutiens européens demeurent limités. D’après Romain Le Quiniou, l’UE doit aller au-delà du simple statut de candidat et engager une stratégie plus concrète avec des investissements conséquents en infrastructures pour ancrer ces pays dans la sphère européenne.
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Les sondages donnaient 60% de « oui » : à l’arrivée il n’y a eu qu’un poil d’avance : 50,39% d’approbation au référendum sur l’inscription de la vocation européenne dans la constitution de la Moldavie. C’est le vote de la diaspora moldave, plus nettement pro-européen, qui a sauvé la mise à la présidente Maia Sandu. Celle-ci se retrouve elle-même en ballotage difficile dans la présidentielle dont le premier tour se déroulait le même jour. Ce double vote dans ce petit pays d’à peine 33.000 km carrés, l’un des plus pauvres d’Europe, avait pris une dimension géopolitique majeure, tout comme les élections législatives qui se déroulent dimanche prochain en Géorgie, dans le Caucase. En jeu, le destin de ces deux nations ballotées entre influence russe et pouvoir d’attraction de l’Europe ; entre pesanteurs post-soviétiques, et horizon européen. A l’issue de la réorganisation du continent dans les années 90, après la chute du mur et la disparition de l’Union soviétique, trois pays sont restés orphelins, ni intégrés dans l’OTAN, ni totalement dans l’orbite russe : l’Ukraine, la Géorgie et la Moldavie. L’Ukraine est en guerre avec la Russie, et les deux autres en conflit plus sournois. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇
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"La Moldavie dans l'UE? Un élargissement problématique". Retrouvez mon article sur ce nouvel élargissement de l'UE sur le site de la Revue de géopolitique Conflits. L'adhésion de ce petit pays, dont une partie est occupée militairement par 1500 soldats russes depuis 1992, pose évidemment problème. Il en est de même pour l'Ukraine en guerre avec la Russie et mais aussi pour la Géorgie, dont 20% du territoire est occupé par les forces russes. En juillet 2022, le statut de candidat à l'adhésion a été octroyé par Bruxelles à la Moldavie. L’Ukraine a obtenu ce statut en juin 2022, et la Géorgie en décembre 2023. En s'élargissant à ces pays, l'UE se fragilise. Les peuples européens n'ont jamais eu voix au chapitre (ex. referendum) sur ces sujets brûlants en dépit des conséquences délétères que ces adhésions comportent aux plans stratégique (guerre avec la Russie), financier (fardeau de l'aide économique fournie aux candidats à l'adhésion) et sécuritaire (crime organisé avec des ramifications internationales).
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Les récentes élections législatives en Géorgie, ancienne république soviétique du Caucase, ont été marquées par la victoire du parti au pouvoir Rêve géorgien. Mais cette victoire est loin de faire l’unanimité. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a vivement critiqué le scrutin, accusant la Russie d’ingérence et estimant que Moscou a “enlevé la liberté” aux Géorgiens. Des élections entachées d’irrégularités selon l’opposition Selon l’opposition pro-européenne géorgienne, mais aussi la présidente Salomé Zourabichvili pourtant en rupture avec le gouvernement, ainsi que plusieurs chancelleries occidentales, le scrutin de samedi dernier a été entaché d'”irrégularités“. Des accusations graves qui jettent une ombre sur la légitimité de la victoire de Rêve géorgien. Pour Zelensky, le constat est sans appel. Dans une interview publiée mercredi, le dirigeant ukrainien a déclaré : Nous devons reconnaître qu’en Géorgie, aujourd’hui, la Russie a gagné. Une stratégie russe d’ingérence bien rodée ? Selon le président ukrainien, la mainmise de Moscou sur la Géorgie s’est faite progressivement. D’abord en prenant le contrôle d’une partie du territoire géorgien lors de la guerre russo-géorgienne de 2008, avec la reconnaissance par le Kremlin de l’indépendance des régions séparatistes d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud, où la Russie maintient depuis des bases militaires. Ensuite en changeant la politique et le gouvernement géorgiens pour installer un “gouvernement prorusse“. La Russie a gagné en Géorgie pour le moment. Elle lui a enlevé sa liberté. Volodymyr Zelensky Ces accusations font écho à celles formulées mardi par Mykhaïlo Podoliak, conseiller de la présidence ukrainienne, qui accusait le Kremlin d’avoir œuvré à “saboter les élections” en Ukraine et en Géorgie, soulignant que la stratégie russe d’ingérence électorale est facilement reconnaissable d’un pays à l’autre. Entre ambitions européennes et pressions russes Malgré les dénégations du parti Rêve géorgien, qui se défend de toute politique prorusse et affirme maintenir l’adhésion à l’UE comme priorité, la Géorgie semble prise en étau entre ses aspirations européennes et l’influence grandissante de son imposant voisin russe. Les manifestations massives du mois de mai contre une loi sur les “agents étrangers“, inspirée d’une législation russe liberticide et dénoncée par les Occidentaux, avaient déjà illustré ces tiraillements. Durant la campagne, Rêve géorgien s’est aussi présenté comme le seul rempart pour éviter à la Géorgie de subir le même sort que l’Ukraine. L’avenir démocratique de la Géorgie en question Au-delà du cas géorgien, ces élections s’inscrivent dans un contexte plus large d’ingérence russe présumée dans les processus démocratiques de nombreux pays, notamment d’ex-URSS. Des ingérences régulièrement dénoncées par les Occidentaux, à l’instar des accusations américaines contre Moscou lors de la présidentielle de 2016. Face à ces défis, l’avenir démocratique de la Géorgie,...
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Le résultat des élections législatives géorgiennes, marquées par la victoire du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, ne fait que révéler le dilemme profond et douloureux qui déchire cette ancienne république soviétique du Caucase, dont deux provinces (Ossétie du Sud et Abkhazie) ont déjà été annexées depuis 2008. Derrière le score de 54% de ce parti connu pour ces penchants pro-Kremlin se profile un choix bien plus complexe qu’une simple allégeance, qu’elle soit européenne ou russe. Ce choix, presque existentiel, reflète en effet les tiraillements entre des attaches historiques, des pressions économiques et les aspirations européennes inscrites dans la Constitution géorgienne elle-même. En Géorgie, comme dans d’autres nations issues de l’URSS, l’idée d’une possible intégration à l'Union européenne semble portée autant par un espoir de prospérité que par un désir d’indépendance vis-à-vis de la Russie. C'est mal parti... La Libre #Russie #Georgie #Edito Dans l'ombre de la Russie https://lnkd.in/edd82Hjs
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🇲🇩 Réélection de Maia Sandu : Un Tournant pour la Moldavie et l’Europe 🇪🇺 La victoire de Maia Sandu avec 54% des voix marque une étape cruciale pour la Moldavie, un pays tiraillé entre son ambition de rejoindre l’Europe et ses liens historiques avec la Russie. Son adversaire prorusse, Alexandr Stoianoglo, a pu compter sur le soutien des régions rurales, sensibles à l’influence russe, soulignant ainsi les défis d’un pays divisé. En présidente déterminée depuis 2020, Sandu a su orienter la Moldavie vers l’Europe, défiant les pressions extérieures et plaçant la lutte contre la corruption au cœur de ses priorités. Depuis l’invasion de l’Ukraine, elle a rompu les ponts avec Moscou et accéléré les démarches pour intégrer l’Union européenne, une décision audacieuse en quête de stabilité et de modernisation pour son pays. Les dirigeants européens ont exprimé leur soutien sans réserve. Emmanuel Macron y voit un signal fort pour la démocratie en Europe de l’Est, tandis qu’Ursula von der Leyen se réjouit de continuer ce rapprochement entre l’UE et la Moldavie. Luc Frieden, Premier ministre luxembourgeois, a salué cette victoire comme un espoir renouvelé pour les démocraties à travers l’Europe. Qu’en pensez-vous ? La Moldavie pourrait-elle devenir le prochain membre de l’Union européenne ? Restez (toujours) à l’affût 👀
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Géorgie et Ukraine: Etaient présents à la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, le 7 décembre 2024, deux présidents actuellement sur la sellette, à savoir la présidente géorgienne (placée derrière Donald Trump sur l'image), Salomé Zourabichvili, dont le mandat expire mi-décembre 2024, mais qui refuse de partir, et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dont le mandat a expiré le 20 mai 2024 et qui n'a pas été réélu, car il avait annulé les élections présidentielles. Une telle gouvernance est tout à fait contraire aux valeurs démocratiques dans ces deux ex-Républiques soviétiques, qui ont obtenu, respectivement en 2024 et 2023, le statut de candidats à l'adhésion à l'Union européenne. L'élargissement de l'UE à ces deux pays constituerait un fardeau économique et stratégique pour les Etats membres de l'UE. Il faut que les peuples européens se prononcent enfin - pour la première fois - par référendum sur cette question cruciale!
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Les élections législatives françaises ont suscité un vif intérêt de la part de la Russie, Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, ayant annoncé que Moscou suivait de près ces élections. Le ministère russe des Affaires étrangères a même exprimé sa satisfaction après le premier tour, saluant le succès du Rassemblement national (RN). Cependant, les résultats du second tour, qui ont vu le RN obtenir des scores décevants, ont provoqué une réaction moins enthousiaste. Dmitri Peskov a exprimé le souhait de la Russie de voir triompher des forces politiques favorables à la restauration des relations bilatérales avec la Russie, mais a admis ne voir aucune volonté politique en ce sens pour le moment. Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères, a critiqué le processus du second tour, l'accusant de manipuler la volonté des électeurs pour contrer les forces conservatrices et populistes. En dépit des affirmations de certains nationalistes sur les réseaux sociaux, qui voient dans la gauche française une improbable ouverture potentielle à des pourparlers avec Vladimir Poutine, le Kremlin montre clairement sa déception. Une source anonyme proche du Kremlin a ironisé sur le choix des électeurs français, tout en minimisant l'importance des élections européennes sur la scène mondiale, pointant plutôt vers l'importance des prochaines élections présidentielles américaines. Le Kremlin, par la voix de divers commentateurs, dont Andreï Kolesnikov, interprète la montée de la gauche en France et l'incertitude quant à la formation du futur gouvernement comme une défaite pour Emmanuel Macron et le libéralisme en Europe. Léonid Sloutski, leader du parti nationaliste LDPR, a également salué ces résultats comme un rejet de la politique d’Emmanuel Macron, en particulier concernant le soutien à l'Ukraine. Cela dit, selon Tatiana Stanovaya, de R. Politik, ces résultats ne changent pas fondamentalement la stratégie du Kremlin, qui voit tout affaiblissement de la France comme bénéfique. Ekaterina Schulmann, du Centre Carnegie Russie Eurasie, souligne quant à elle que la Russie cherche avant tout à favoriser le désordre et la discorde en Europe, utilisant les résultats électoraux pour nourrir un discours de chaos et d'instabilité.
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