Post de Isabelle d'Halluin Communication

L’esprit de gauche avec lequel notre caste enarchique de droite et de gauche a conduit le pays depuis 50 ans a conduit à un modèle économique et social socialo-communiste de consommation collectiviste avec 58% du PIB en dépenses publiques. L’aveuglement de cette caste enarchique dont le seul objectif était de s’accaparer et conserver le pouvoir c’est qu’elle a développé ce système français dans une économie mondiale neo libérale financiarisee et avide. Pour que le système tienne il fallait des variables d’ajustement c’est à dire déficit budgétaire abyssal déficit extérieur de la balance commercial et explosion incontrôlable de la dette publique plus couverte par les actifs traduisant une situation d’insolvabilité. Nous sommes un saumon remontant la rivière avec du plomb sur le dos donc noyade mortifère garantie !!’ Pendant que toute cette caste médiatico politico de gauche et de non gauche magouille pour garder le pouvoir la Banqueroute financière arrive à grandes enjambées. Alors devant ce champ de ruine la Morale politique si mal Portée et si mal incarnée n’a plus beaucoup de sens, Tant que l’humain juste ne sera pas remis au centre point de salut et comme disait Belmondo dans un itinéraire d’un enfant gaté << moi je ne crois qu’aux mathématiques., A chacun ce qu’il mérite >> et je rajoute pas grand chose pour le paresseux et beaucoup pour le courageux !!! RESPONSABILTE INDIVIDUELLE LIBERTÉ ET ÉQUITÉ.

À 48 heures des élections législatives françaises, je ne peux rester silencieux face à la catastrophe qui menace notre pays. À tous ceux tentés par les extrêmes, je vous invite à lire l'article joint de #JeanTirole. Dimanche, nous voterons avant tout pour l'avenir de nos enfants, de notre pays et de l'Europe. Croire aux promesses à court terme du Front Populaire serait une erreur. Et que dire du Rassemblement National, aux idéologies racistes et dont le programme archaïque ne servira certainement pas les plus démunis. Ne vous méprenez pas, je reconnais également que la financiarisation de notre économie pose un problème majeur. Elle profite principalement à ceux qui possèdent un patrimoine, exacerbant ainsi la pauvreté des plus vulnérables. Nous devons innover pour permettre un meilleur partage de la valeur. Cependant, évitons de penser que la solution est simple et qu'elle réside dans une rupture totale avec notre modèle actuel. Ce modèle, rappelons-le, est intégré à l'économie mondiale et nous sanctionne déjà des risques liés aux extrêmes par la hausse des taux d'intérêt de nos emprunts. Mobilisons-nous tant qu'il est encore temps pour influencer le vote. Sortons collectivement de notre silence! car lundi il sera trop tard. Partagez ce post pour faire entendre la voix de ceux qui refusent de croire aux solutions simples et populistes, tout en étant conscients que des problèmes d'inégalité restent à résoudre. https://lnkd.in/eaHPw99n #Élections2024 #France #Démocratie #JeanTirole #Économie #Inégalités #Innovation #VoteResponsable #Europe

Bonsoir, Sous la pression de législatives express, le débat français sur les programmes économiques tourne au brouhaha démocratique ❗ Le camp présidentiel attaque la crédibilité de programmes montés en quelques jours. Ces délais ne posent-ils pas un problème démocratique ❓ Le Conseil Constitutionnel présidé par Laurent Fabius a donné quitus au Président. Cette semaine, ce qui reste de la macronie avait clairement décidé d'attirer l'attention sur ce qu'elle décrit comme l'-absurdité- des programmes économiques de ses concurrents, de gauche et d'extrême droite. Elle a été aidée par différents événements, comme l'audition des responsables de partis par les représentants du patronat jeudi le RN avec le nouvel attelage Ciotti/Bardella. La gauche lui a répondu ce vendredi. C'est dans une grande interview au journal Le Monde que le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait ouvert les hostilités mardi en déclarant, chiffres à l'appui que la victoire de ses opposants - conduirait à la mise sous tutelle de la France- pour lui, - les marchés ont tout simplement peur de la folie économique et financière des extrêmes, de gauche comme de droite-. Sa longue et piteuse gestion de l'économie française ne convainc pas et le dessert . Je ne pense pas qu'il soit la personnalité plus appropriée pour engager la contre offensive. Des économistes distingués ont parlé : Olivier Blanchard et Jean Tirole, ancien chef économiste du FMI et le Prix Nobel d'économie relèvent clairement les incohérences du projet du RN publication le 18/06/2024 12h05. Esther Duflo Prix Nobel d'économie 2019 professeure au Collège de France elle soutient le programme du Nouveau Front populaire. Ce qui compte ce n'est pas ce qui arrive c'est ce qu'on fait de ce qui arrive. Les Français ont beaucoup d'arrières pensées et il y a un moment où il faut se mettre en accord ou en désaccord avec elles ❓ Ce sera le 7 juillet, et sortir par le haut du dilemme qu'induit la philosophie le doute ❓ 🇫🇷

🐝 Eloquente prise de parole de Timothée Parrique lors de notre séminaire sur les différences notables entre l’austérité et la décroissance, ce qui permet de tordre le coup à nombre de clichés imbéciles. L’économiste rappelle que l’austérité est une « contraction expansive » qui se base sur la justification du budget déséquilibré de l’Etat et sur une hypothèse néolibérale empiriquement inexacte. Celle selon laquelle la hausse des dépenses publiques va mener les agents rationnels que nous serions à anticiper une future hausse des impôts et donc à garder notre épargne au lieu d’investir dans l’économie. En suivant ce raisonnement totalement hors sol, que seuls les économistes néolibéraux savent produire, il faut faire de l’austérité pour relancer le Dieu croissance. Or empiriquement l’austérité n’aide pas l’économie à se relancer et génère des effets délétères dont la casse des services publics ce qui appauvrit les plus précaires et la baisse des investissements pour la transformation écologique. 🌸 Volontaire, planifié, socialement juste et axée vers la recherche du bien être la décroissance est capable de nous apporter une nouvelle forme de prospérité là où l’austérité nous conduit au gouffre. 🏛 Séminaire co-organisé par Alter Kapitae, l'Institut Momentum, la Maison commune de la décroissance et l'observatoire de la post-croissance et de la décroissance à l'invitation de Delphine Batho. #post #croissance #assemblée #nationale

Le risque lorsque l'on se définit comme "le centre" est de devoir abandonner valeurs et principes propres. La "gauche" et la "droite" n'ont pas non plus de frontières précises et se redéfinissent constamment l'une par rapport à l'autre. Mais on arrive tout de même à associer des valeurs à la gauche (égalité, libertés sociales...) et à la droite (ordre, libertés économiques...). La promesse initiale d'En Marche était de concilier libertés sociales et économiques et de réconcilier centre-gauche et centre-droit sur une ligne libérale-libérale. D'autres centres sont possibles. Cette tribune de 100 économistes s'attelle à la définition d'un autre centre. L'exercice est méritoire et les signataires respectables. L'exercice est toutefois difficile puisqu'il s'agit à la fois de défendre la position centrale du gouvernement sortant et de la redéfinir. Or l'accord trouvé se fait sur une ligne libérale-libérale autour des libertés économiques, de la non-discrimination et de l'égalité des chances. La tribune insiste sur l'école mais on se retrouve au point de départ: c'est exactement la même proposition politique qu'en 2017. Tout juste est-il rappelé que cette proposition n'a pas été entièrement appliquée et que certains n'ont pas été écoutés. Resservir les mêmes propositions alors que les trois partis de gouvernement sont à 15% des suffrages est une gageure, d'autant plus que PS et Ensemble seuls ne pèsent également que 30%. Si l'on s'en tient à la géométrie électorale, avec une extrême-droite à 40%, le centre de gravité du reste du champ politique se situe au niveau des sociaux-démocrates et écologistes. La tribune traite mal le centre gauche social-démocrate. La justice ne devrait pas une question de méthode, c'est un objectif. La social-démocratie se définit d'abord par les régulation du marché du travail (assurance-chômage, démocratie en entreprise, retraites), or toutes les lois récentes sont pleinement assumées au nom de l'emploi. On ne résout pas un problème avec pour seul recours les modes de pensée qui l'ont engendré. L'économie - comme le "réalisme", "l'emploi", "la productivité" - doit être vue comme un instrument au service d'un projet de société, voire une contrainte. Il faut repartir des objectifs (émancipation, bien-être, justice sociale, préservation de l'environnement) et ne pas les perdre de vue. Politiquement, économiquement, un changement de paradigme est nécessaire. Depuis 10 ans, politique de l'offre rime avec crédits d'impôts et flexibilisation. Dans une logique keynésienne la vraie politique de l'offre ce sont les investissements publics complémentaires aux investissements privés (éducation, recherche, transports, énergie) et la sécurisation de l'emploi permettant l'investissement personnel. Une autre économie est possible et surtout souhaitable. https://lnkd.in/eiy6bAbH

Europe : le besoin de prospérité n’a pas trouvé de réponses convaincantes dans les offres politiques . Tous les responsables politiques en Europe vont bien être obligés de répondre à la véritable demande qui ressort du résultat des élections : une demande de prospérité , de liberté et de sécurité contre tous ceux qui ne partagent pas les mêmes valeurs que celles des Européens occidentaux. Il y avait tout ce que demandent les français dans cette élection , mais face a cette demande plus ou moins bien exprimée , l’offre était complètement éclatée entre lès différents courants . Il y avait même, tous les ingrédients pour produire un modèle libéral mais il fallait aller les chercher partout. Aucun n’a su proposer un modèle cohérent et responsable . Il y a eu beaucoup de « conneries », beaucoup d’’ ego » beaucoup de querelles politiciennes et incohérentes , beaucoup de Hors sujet , pas assez d’Europe et encore moins de responsabilités. Pour Emmanuel Macron, l’heure de vérité a sonné. Le résultat des élections européennes lui a envoye un message très clair et très critique de son bilan , de ses projets , de ses attitudes et discours . Il va donc lui falloir renouer les liens de confiance qui n’existent plus entre l’exécutif et la population. Le contact ne se renouera pas avec un beau discours ou même avec des changements d’hommes si ces changements ne prennent pas en compte la véritable demande. Parce que , au-delà de ce qu’on découvre dans les interventions des candidats et les sondages, au-delà des revendications de pouvoir d’achat, de protectionnisme, de régulation de l’immigration, au-delà d’un besoin de plus ou de moins d’Europe, d’un besoin de meilleurs services publics de la santé ou de l’école, la priorité des priorités des Français porte sur le pouvoir d’achat, un concept encore flou et difficile à cerner. Chacun a sa propre définition du pouvoir d’achat en fonction de son style de vie ou de sa structure de consommation. Les uns ne supportent pas les prix de l’essence ou de l’électricité, d’autres se plaignent du prix exorbitant du chocolat ou du logement…. https://lnkd.in/eq-MbdMh

La droite française s’est asphyxiée parce qu’elle a oublié les trois principes de base de l’ économie libérale . Alors que l’économie de marché est le système le plus efficace pour créer de la richesse, la droite française n’a pas osé défendre l'application des principes du libéralisme, à savoir la liberté, la responsabilité individuelle et la propriété des actifs de production. La France est sans doute aujourd'hui le pays du clan occidental le plus socialisé de toutes les démocraties libérales. La France reste un pays puissant, performant et attractif, mais ses moteurs ont progressivement asphyxié les ressorts de résilience et de dynamisme. Son État est trop fort et son administration obèse. Conséquence, le montant des dépenses publiques est donc très lourd, près de 65 % des richesses créées, ce qui nécessite des prélèvements obligatoires considérables et l'appel à l'endettement qui va devenir insoutenable. Notamment si le rythme de croissance se tasse, comme l'indique l'INSEE pour 2024. Sans croissance, pas de revenus suffisants et une trajectoire de déclin qui aura du mal à se redresser. Depuis une trentaine d’années, la France a choisi de répondre aux incertitudes et aux crises par des mécanismes et des moyens d’intervention très keynésiens. Depuis le premier choc pétrolier en 1974 jusqu’au Covid et à la guerre en Ukraine, les gouvernements, de droite comme de gauche, n’ont pas dit la vérité aux Français. Ils ont préféré faire appel à l'État pour colmater les brèches et amortir les douleurs sociales sans s’interroger sur les structures et même les mentalités qu’il fallait faire évoluer. Aucun de ces gouvernements (de droite comme de gauche) n’a oublié les grandes leçons du siècle des Lumières et de la Révolution : la liberté d’expression, de création, de mobilité, mais aussi l’égalité et la fraternité. Mais tous ces gouvernements ont pensé que l’État était le seul moyen efficace pour veiller au respect de ces principes. D’où le développement d’un État jacobin et puissant capable non seulement de contrôler le fonctionnement de la maison France, mais aussi d’intervenir à tous les niveaux pour s’assurer que les principes d’égalité étaient eux aussi respectés. Le résultat, c’est que la machine étatique avait besoin de créer de la richesse si elle voulait pouvoir la redistribuer et qu’elle a oublié que les principes libéraux étaient les moteurs les plus puissants pour créer cette richesse. Le développement de l'État providence a freiné le fonctionnement de l’économie de marché et de la concurrence, qui sont les conditions nécessaires à la création de richesse. Et l'économie de marché ne fonctionne correctement que si, et seulement si, on respecte les principes de liberté, de responsabilité individuelle et de propriété. Il faut relire Tocqueville, Bastiat et même Adam Smith…. https://lnkd.in/ea3gwq4F

Une nouvelle de l’#OCDE que je relaie avec plaisir: les Suisses🇨🇭sont nettement plus confiants dans leurs institutions publiques que la moyenne! ➡️ Si le niveau de vie y est certainement pour quelque chose, c’est la démocratie directe qu’il faut soigner car elle cimente la confiance de la population face aux autorités. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas d’espace d’amélioration: les Suisses rejoignent la moyenne pour affirmer que le gouvernement ne serait pas capable de dire non aux grandes entreprises au détriment de l’intérêt général. Et ils sont une large majorité à penser que les politiques accepteraient de donner des faveurs en échange d’un emploi solide dans le privé - à l’américaine. Un appel à plus de cautèles, de transparence et d’enquêtes indépendantes. Autre danger clair (lié!), la faible confiance dans les médias, sur lesquels repose le travail d’investigation. Une démocratie qui fonctionne est une démocratie avec des comptes à rendre et où les opinions se consolident avec des données objectives et s’expriment avec une nuance de mise (qui n’enlève rien à la clarté attendue). Les défis journalistiques nous concernent donc tous: nouvelles sources de financement, nouveaux modèles d’affaires, renverser l’appauvrissement en cours face à la pression (multiple). Pour l’heure, je célèbre ce rapport en général, dont j’aurai certainement envie de me souvenir ces prochains temps! https://lnkd.in/ecX8U8QG #OECDTrustSurvey #ParlCH Délégation suisse près OCDE Catherine Cudré-Mauroux

Le #Parlement fédéral est-il paralysé? 🏛️ 👉 Je vous invite à débattre sur mes réflexions publiées dans l'AGEFI, Nouvelle Agence Économique et Financière de ce jour: • ▶️ Notre pays, souvent cité en exemple pour sa stabilité #politique et son pragmatisme institutionnel, est pourtant confronté actuellement à un défi majeur: l’incapacité croissante de son système politique à porter des projets ambitieux. • 🚇 Les projets qui permettraient de transformer notre pays sont passés aux oubliettes (le Swissmétro, ou la fin d’un siècle de prélèvement provisoire de l’impôt fédéral direct). • ✍️ Le paysage politique s'est considérablement morcelé entre 1848 et aujourd'hui. • 👆  Les intérêts des partis politiques prennent souvent le pas sur l’intérêt commun et les débats se perdent dans des querelles émotionnelles et de détails plutôt que de s’orienter vers des solutions constructives. • 🤝Le morcellement politique n’est pas une fatalité. Il peut devenir une richesse si les politiciens parviennent à transcender leurs divisions pour se concentrer sur l’intérêt commun en faisant abstraction de leurs ego. 👉 Qu'en pensez-vous ? #suisse #politique #centrepatronal

Un changement significatif s’est opéré en France il y a 50 ans dans le domaine de la gestion publique . Nos hommes politiques ont abandonné les idées de Jacques Rueff recommandant que les dépenses publiques et sociales ne dépassent pas 30% du PIB, pour adopter celles de Keynes qui donnaient une justification théorique aux déficits publics. Depuis, la prospérité relative de notre pays n’a cessé de décroître. https://lnkd.in/eCGE-juW