#Scène #Scène Lemi Ponifasio : Le Chant de la Terre x Kiribati: Lemi Ponifasio s’installe au Luxembourg et confronte Gustav Mahler à la puissance cosmogonique des voix et gestes d’Océanie. Sea Beneath the Skin : La mer auprès de la peau, et avec ça,… @Transfuge https://t.co/jF3VhLhBu3
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Lemi Ponifasio : Le Chant de la Terre x Kiribati - Transfuge
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Nouvel article sur le carnet | Virils, les gladiateurs du XXᵉ siècle ?
Virils, les gladiateurs du XXᵉ siècle ?
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From Le Monde--- "JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture. Une des scènes de la cérémonie d’ouverture, qui a suscité de nombreuses réactions, fait référence au festin des dieux de l’Olympe, un thème qui a inspiré plusieurs tableaux. Un tableau de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, vendredi 26 juillet, fait depuis lors scandale. C’est celui où paraît le chanteur Philippe Katerine quasi nu, le corps peint en bleu. Il a été accusé d’impudeur et d’obscénité au nom de diverses religions, et la Conférence des évêques de France a déploré « des scènes de dérision et de moquerie envers le christianisme ». Ceux-ci ont cru y voir une parodie de la Cène, le dernier repas du Christ avant la Crucifixion, dont la représentation la plus connue est la fresque (1495-1498) de Léonard de Vinci, mais dont il existe d’innombrables autres versions peintes, dessinées ou gravées. Selon la tradition chrétienne, ce dîner – cena en latin – rassemble le Christ et les douze apôtres. Ce simple chiffre suffirait à établir que la scène conçue par Thomas Jolly n’a pas de rapport avec la Cène, étant donné le nombre bien plus élevé d’invitées et d’invités. Sans doute l’équivoque est-elle née de la mise en scène : des figures groupées derrière ce qui peut ressembler à une table, bien qu’il y manque les plats et les boissons traditionnellement présents dans les images de la Cène." https://lnkd.in/gfqqwjMp
JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture
lemonde.fr
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Pour qui souhaite penser l'humanité aux échelles historique, matérielle, sensible et même poétique. Tout cela réuni sous des longitudes souvent méconnues (jusqu'ici, de moi en tout cas) https://lnkd.in/e7XSZK3Y
« Asie centrale. 300-850s », d’Etienne de La Vaissière : à l’apogée de la Route de la soie
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From Le Monde--- "JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture. Une des scènes de la cérémonie d’ouverture, qui a suscité de nombreuses réactions, fait référence au festin des dieux de l’Olympe, un thème qui a inspiré plusieurs tableaux. Un tableau de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, vendredi 26 juillet, fait depuis lors scandale. C’est celui où paraît le chanteur Philippe Katerine quasi nu, le corps peint en bleu. Il a été accusé d’impudeur et d’obscénité au nom de diverses religions, et la Conférence des évêques de France a déploré « des scènes de dérision et de moquerie envers le christianisme ». Ceux-ci ont cru y voir une parodie de la Cène, le dernier repas du Christ avant la Crucifixion, dont la représentation la plus connue est la fresque (1495-1498) de Léonard de Vinci, mais dont il existe d’innombrables autres versions peintes, dessinées ou gravées. Selon la tradition chrétienne, ce dîner – cena en latin – rassemble le Christ et les douze apôtres. Ce simple chiffre suffirait à établir que la scène conçue par Thomas Jolly n’a pas de rapport avec la Cène, étant donné le nombre bien plus élevé d’invitées et d’invités. Sans doute l’équivoque est-elle née de la mise en scène : des figures groupées derrière ce qui peut ressembler à une table, bien qu’il y manque les plats et les boissons traditionnellement présents dans les images de la Cène." https://lnkd.in/gfqqwjMp
JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture
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Le Trésor de Priam. Comme les objets d'art originaires du Moyen Orient, d'Égypte, Grèce et Rome, il relève du patrimoine mondial de l'Humanité. Et devrait être décalé incessible, inaliénable et imprescriptible. Une convention internationale à négocier dans le cadre de l'UNESCO devrait fixer le sort des objets détenus en dehors de leur territoire d'origine. https://lnkd.in/eB-jQRS7
Heinrich Schliemann (1822 - 1890)
herodote.net
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From Le Monde--- "JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture. Une des scènes de la cérémonie d’ouverture, qui a suscité de nombreuses réactions, fait référence au festin des dieux de l’Olympe, un thème qui a inspiré plusieurs tableaux. Un tableau de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, vendredi 26 juillet, fait depuis lors scandale. C’est celui où paraît le chanteur Philippe Katerine quasi nu, le corps peint en bleu. Il a été accusé d’impudeur et d’obscénité au nom de diverses religions, et la Conférence des évêques de France a déploré « des scènes de dérision et de moquerie envers le christianisme ». Ceux-ci ont cru y voir une parodie de la Cène, le dernier repas du Christ avant la Crucifixion, dont la représentation la plus connue est la fresque (1495-1498) de Léonard de Vinci, mais dont il existe d’innombrables autres versions peintes, dessinées ou gravées. Selon la tradition chrétienne, ce dîner – cena en latin – rassemble le Christ et les douze apôtres. Ce simple chiffre suffirait à établir que la scène conçue par Thomas Jolly n’a pas de rapport avec la Cène, étant donné le nombre bien plus élevé d’invitées et d’invités. Sans doute l’équivoque est-elle née de la mise en scène : des figures groupées derrière ce qui peut ressembler à une table, bien qu’il y manque les plats et les boissons traditionnellement présents dans les images de la Cène." https://lnkd.in/gxnVqH4w
JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture
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🔴 Grande frime en Grande-Grèce Commençons par les habituelles précisions limino-topographiques : la Grande-Grèce (voir carte en commentaire) désigne cette partie de l’Italie - le Mezzogiorno actuel - dont les Hellènes, lancés alors à la conquête de l’Ouest, colonisèrent les côtes entre le VIIIème* et le mitan du Vème siècle av. J.-C.** Parmi les cités les plus renommées de la Magna Graecia – la megálê Hellás en VO - il faut bien sûr citer Tarente et Métaponte, Sybaris et Thourioi, Poseidonia (Paestum), Cumes et Néapolis (Naples). Quoi qu’il en soit, pour un Grec resté en Hellade, un Athénien par exemple, la Grande-Grèce s’apparentait à ce que représentait les Etats-Unis pour un Européen, un Anglais par exemple. Il suffit de relire les nombreuses vacheries sur les Etats-Unis colportées par Oscar Wilde pour en avoir une juste représentation***. Alors bien sûr, quand un Grec du vieux continent découvrait le genre d’exagération supra-capillaire que vous avez sous les yeux, il ne pouvait qu’être conforté dans la conviction que les cousins de Grande-Grèce était de grands enfants portés, en toutes choses, à l’excès baroque que leur permettait leur proverbiale richesse. Quelle idée en effet que de greffer à la manière barbare la représentation d’un bélier sur un casque doté de paragnathide**** reprenant le même motif ? Précisons à l’intention de ceux que la chose pourrait intéresser que ce couvre-chef, potentiellement destiné à un usage plus cérémoniel que martial, date du tournant des VIème-Vème siècles av. J.-C. Réalisé en bronze, il comporte des incrustations d’ivoire (les yeux des béliers) et provient du site de l’ancienne Métaponte, une cité excessivement ouverte à l’influence des autochtones, Oenôtres et Lucaniens, soit dit en passant. Ce casque est aujourd’hui conservé Saint Louis Art Museum, dans la galerie 259. Photo : Saint Louis Art Museum. *Vers 770 av. J.-C., fondation de Pithécusses par des colons venus de Chalcis et d’Erétrie, les deux grandes cités de l’Eubée. **444-443 av. J.-C., Fondation de Thourioi par des colons essentiellement athéniens. ***L’histoire de la copie de la Vénus de Milo en est un bon exemple. ****Un mot savant qui ne signifie rien d’autre que protège-joues.
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Notre-Dame, devenue Temple des Ténèbres, Quand les Francs-Maçons et les Satanistes s’approprient la Renaissance Spirituelle. Vous vous souvenez de l’ouverture des Jeux Olympiques sur la Seine, où la foi chrétienne a été ouvertement moquée ? Parmi les scènes les plus provocantes, il y avait celle d’un bateau symbolique, véritable affront à la foi et à ses symboles sacrés. Ces moqueries sataniques ont choqué nombre de spectateurs, mais ce que nous avons vu n’était qu’un avant-goût. Voici désormais le clou du spectacle : la réouverture de Notre-Dame, orchestrée sous l’égide d’une élite qui semble décidée à transformer un monument sacré en temple des ténèbres. La réouverture orchestrée par Emmanuel Macron a pris des airs de tribune politique forcée qu'aucun roi n'avait jamais faits, où les valeurs chrétiennes se sont retrouvées reléguées au second plan au profit d’un discours universel empreint de références ambiguës. Ce glissement subtilement orchestré semble effacer les racines spirituelles de Notre-Dame pour en faire un lieu marqué par une vision mondialiste et ésotérique. Les nouveaux vêtements liturgiques, conçus par Jean-Charles de Castelbajac, renforcent cette impression de désacralisation. Avec leurs motifs modernes et flashy, ils tranchent radicalement avec la sobriété et la dignité des traditions liturgiques, donnant davantage l’impression d’un spectacle profane que d’une véritable célébration religieuse. Ces choix esthétiques semblent participer à une banalisation des rites sacrés, privant l’édifice de sa profondeur spirituelle. L’impact se ressent aussi dans les choix musicaux. Le nouvel orgue, loin de magnifier les mélodies sacrées, s’oriente vers des tonalités dissonantes et troublantes. Cette évolution détourne l’âme musicale de la cathédrale, créant une ambiance déroutante qui s’éloigne des Évangiles pour s’aventurer sur un terrain symbolique ambigu. Notre-Dame de Paris, autrefois sanctuaire d’une foi enracinée dans l’histoire, semble désormais transformée en un espace flou, vidé de son essence chrétienne et remodelé en outil de communication idéologique. Pourquoi gommer l’identité spirituelle de ce monument emblématique au profit d’une scénographie si éloignée de son héritage ? Le mystère demeure, mais les signaux alarmants invitent à une réflexion profonde sur ce que cette transformation révèle de notre époque et de ses priorités.
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