Post de Jérémy LAHAYE

📊 Saviez-vous que la prévalence de la souffrance psychique liée au travail était deux fois plus élevée chez les femmes que chez les hommes entre 2013 et 2019 ? Ce constat alarmant met en lumière les défis uniques auxquels sont confrontées les femmes dans l'environnement professionnel. La souffrance psychique liée au travail (SPLT) englobe une variété de troubles mentaux, souvent exacerbés par des problématiques managériales et relationnelles. Ces troubles ne se limitent pas uniquement à des diagnostics médicaux formels, mais comprennent également des expériences telles que les surcharges de travail et les conflits interpersonnels. Malheureusement, cette réalité touche de manière disproportionnée les femmes, en particulier celles occupant des postes de cadres et travaillant dans des secteurs tels que le transport, l'entreposage, la construction et l'industrie. Au-delà de la reconnaissance croissante des troubles psychiques comme maladies professionnelles, il reste un long chemin à parcourir pour garantir une prise en charge adéquate et une prévention efficace. Santé publique France souligne l'importance de cibler les secteurs à haut risque et de réduire les inégalités entre les sexes dans les expositions professionnelles, afin de créer des environnements de travail plus égalitaires et soutenants pour tous. #SantéPsychiqueAuTravail #Entreprise #ExpertComptable https://lnkd.in/e2nVZ_P2

📊 Saviez-vous que la prévalence de la souffrance psychique liée au travail était deux fois plus élevée chez les femmes que chez les hommes entre 2013 et 2019 ? Ce constat alarmant met en lumière les défis uniques auxquels sont confrontées les femmes dans l'environnement professionnel. La souffrance psychique liée au travail (SPLT) englobe une variété de troubles mentaux, souvent exacerbés par des problématiques managériales et relationnelles. Ces troubles ne se limitent pas uniquement à des diagnostics médicaux formels, mais comprennent également des expériences telles que les surcharges de travail et les conflits interpersonnels. Malheureusement, cette réalité touche de manière disproportionnée les femmes, en particulier celles occupant des postes de cadres et travaillant dans des secteurs tels que le transport, l'entreposage, la construction et l'industrie. Au-delà de la reconnaissance croissante des troubles psychiques comme maladies professionnelles, il reste un long chemin à parcourir pour garantir une prise en charge adéquate et une prévention efficace. Santé publique France souligne l'importance de cibler les secteurs à haut risque et de réduire les inégalités entre les sexes dans les expositions professionnelles, afin de créer des environnements de travail plus égalitaires et soutenants pour tous. #SantéPsychiqueAuTravail #Entreprise #ExpertComptable https://lnkd.in/dSmW-64s

𝐂𝐨𝐮𝐩 𝐝𝐞 𝐆𝐮𝐞𝐮𝐥𝐞 : 𝐋'𝐈𝐧𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐅𝐚𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐒𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐌𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐚𝐮 𝐓𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥 😡 Mon coup de gueule du jour porte sur un sujet crucial : la santé mentale au travail 🚺🧠. Tandis que le gouvernement fait des efforts notables pour améliorer la situation, la réponse de la sécurité sociale demeure insuffisante, illustrant un contraste frappant entre action et indifférence. Cet article se concentre particulièrement sur les femmes au travail, mettant en lumière les défis spécifiques auxquels elles sont confrontées. Cependant, il est essentiel de noter que les questions de santé mentale ne connaissent pas de distinction de sexe. Bien que les femmes soient souvent les plus touchées, les hommes subissent également des impacts significatifs. D'une part, des mesures sont prises pour aborder des problèmes comme les troubles musculosquelettiques et la souffrance psychique, qui affectent de nombreux travailleurs. L'attention accordée à la santé mentale au travail devrait être un levier vers une équité de santé professionnelle pour tous 🌟. D'un autre côté, l'approche adoptée par la sécurité sociale, qui se caractérise souvent par son 𝐢𝐧𝐞𝐫𝐭𝐢𝐞 😶, ne répond pas adéquatement aux besoins spécifiques des femmes comme des hommes. Face à cette situation, des thérapeutes, psychologues, coachs professionnels et médecins spécialisés peuvent jouer un rôle crucial dans le processus de reconstruction. En effet, il ne faut pas attendre de la sécurité sociale qu'elle fournisse des solutions adaptées, car souvent elle se contente de remettre les individus au travail sans égard suffisant pour leur santé mentale. Bien sûr, cela reste une généralisation ; il existe heureusement des professionnels dans ce secteur qui accomplissent un travail remarquable, mais ils sont malheureusement peu nombreux. Cette indifférence met en évidence le besoin urgent d'une politique de sécurité sociale intégrant pleinement les préoccupations de santé mentale. Ce n'est pas en exigeant qu'une personne retourne travailler après un arrêt de plus de 6 mois que la santé mentale s'améliorera, bien au contraire. Il est crucial que la sécurité sociale s'implique davantage pour garantir une véritable équité de santé au travail. Il est impératif de revoir notre approche et d'adopter une vision plus inclusive 🌍, où les efforts du gouvernement et de la sécurité sociale convergent pour offrir un environnement de travail soutenant et équitable à tous les travailleurs. #SantéMentale #ÉgalitéProfessionnelle #CoupDeGueule #ActionGouvernementale #IndifférenceSécuritéSocialehttps ://https://lnkd.in/e8NJ_yBM

Mot du jour : Charge mentale 🧠 La charge mentale désigne le poids invisible mais constant de l'organisation et de la gestion des tâches, souvent assumé de manière disproportionnée par les femmes, notamment dans les sphères domestique et familiale. C’est ce phénomène où l’on jongle avec des listes interminables de choses à faire, même lorsque ces tâches ne sont pas physiquement exécutées. Planifier les repas, gérer l’éducation des enfants, se rappeler des rendez-vous médicaux ou anticiper les besoins du foyer : autant de responsabilités qui s’ajoutent aux engagements professionnels et personnels. La charge mentale est une des manifestations modernes des inégalités de genre. En la nommant et en en parlant, nous pouvons : Reconnaître son impact sur la santé mentale et le bien-être des femmes. Encourager une répartition équitable des responsabilités. Remettre en question les normes sociales qui la perpétuent. Et vous, avez-vous déjà ressenti ou observé cette charge mentale dans votre entourage ? #ChargeMentale #ÉgalitéDeGenre #16JoursDAvocat #SantéMentale #PartageDesTâches

En tant que femme, il est parfois difficile de s'alléger de la charge mentale qui pèse sur nos épaules 🏋🏻♀️ 8 femmes sur 10 déclarent en souffrir. La charge mentale, c'est : • Le travail • Les enfants • Les tâches ménagères Au final, c'est tout ce qui vient s'ajouter à notre quotidien, de façon injuste. Par exemple, les femmes consacrent en moyenne 3h26 aux tâches domestiques. (2h pour les hommes) Le sentiment de toujours penser à tout est épuisant. Pour remettre les choses en place, ce n'est pas simple : Il faut dire stop. En discuter avec son conjoint, c'est une première étape. Pour les hommes, comprendre que partager équitablement les tâches n’est pas un acte de gentillesse, mais de justice, est crucial. C’est ensemble, en reconnaissant et en allégeant cette charge, que le changement peut s’opérer. Et vous, comment gérez-vous cette charge mentale au quotidien ? Nelly Bouillon - Sophrologue Certifiée 🌈

🎯 Les femmes sont beaucoup plus touchées par la souffrance psychique en lien avec le travail que les hommes. 📰 Santé publique France, dans son bulletin épidémiologique du 5 mars (consultable ici : https://lnkd.in/efNMJbJP), la souffrance psychique en lien avec le travail était deux fois plus importante en 2019 qu’en 2007 et, sur toute cette période, cette souffrance était deux fois plus élevée chez les femmes, avec notamment davantage de troubles anxieux et dépressifs. Quelles en sont les raisons ? 1️⃣ Généralisation de la souffrance au travail et en particulier des burn-out à toutes les strats du monde du travail. 2️⃣ Les femmes doivent "composer avec une organisation du travail pensée par les hommes et pour les hommes, où l’on doit prouver à l’entreprise son engagement par un présentéisme. Cela les dessert forcément, car elles doivent le plus souvent assumer la double journée" indique Marie Pezé (Voir également le site Souffrance et travail : https://lnkd.in/evxPY7aw). 3️⃣ Les femmes sont plus souvent victimes des agissements sexistes et des harcèlements. 4️⃣ Le fait pour les femmes de devoir assumer une double journée. 👉 article payant du monde : https://lnkd.in/efFtJnDd 📷 Image par Gerd Altmann de Pixabay #santésécuritéautravail #iprp #rps #duerp #prevention

🩺 "Souffres et tais-toi, c'est normal d'avoir mal, tu es une femme" : Brisons le silence sur les problèmes utérins et leur impact professionnel 🩺 Les problèmes utérins touchent des millions de femmes dans le monde, mais restent souvent un sujet tabou, particulièrement dans le milieu professionnel. Endométriose, fibromes, dysménorrhée... ces conditions peuvent causer des douleurs intenses et chroniques, affectant la qualité de vie et la performance au travail. 🔍 Pourquoi est-ce important d'en parler ? 1. Reconnaissance de la douleur: Trop souvent, la douleur des femmes est minimisée ou ignorée. Il est crucial de reconnaître que souffrir n'est pas "normal" et que ces douleurs peuvent être débilitantes. 2. Impact sur la carrière: Les absences répétées, la baisse de productivité et les difficultés à maintenir une performance constante peuvent freiner la progression professionnelle. En parler ouvertement peut aider à mettre en place des mesures de soutien adaptées. 3. Briser le tabou : En ouvrant la conversation, nous pouvons réduire la stigmatisation et créer un environnement de travail plus compréhensif et inclusif. 4. Adaptations et soutien : Les entreprises peuvent jouer un rôle clé en offrant des aménagements de travail flexibles et en sensibilisant les équipes à ces problématiques. 🌟 Actions à entreprendre ! - Éducation et sensibilisation: Organiser des ateliers et des formations pour informer sur les problèmes utérins et leur impact. - Politiques de soutien : Mettre en place des politiques qui permettent des horaires flexibles et des congés médicaux sans stigmatisation. - Communication ouverte: Encourager un environnement où les femmes se sentent à l'aise de parler de leurs problèmes de santé sans crainte de jugement. Il est temps de reconnaître que la santé utérine est une question de bien-être et de performance professionnelle. Ensemble, nous pouvons créer un milieu de travail où les femmes ne sont plus forcées de souffrir en silence. 💬 #SantéFéminine #Kystes #Fibromes #BienÊtreAuTravail #ÉgalitéProfessionnelle #Formation

💥 23 % des femmes actives sont dans un état de santé mentale critique ou à risque en France, selon les déclarations de plus de 6.000 Françaises. Un score qui s'élève à 15 % du côté de leurs homologues masculins. ☹️ Dans le flop 5 des dimensions où les femmes sont le plus en difficulté : ➡️ 31 % d'entre elles seulement se sont senties « fraîche et disposée » au réveil, ➡️ 38 % pleines d'énergie et vigoureuses, ➡️ 40 % en forme physiquement, ➡️ 43 % calme et tranquille, ➡️ 44 % ont réussi à se débarrasser de leurs pensées négatives.

⚕️Le Gouvernement a présenté jeudi 11 octobre 2024, les quatre objectifs prioritaires pour 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘂𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲, érigée "Grande cause nationale" pour l’année 2025. ❓Comment sommes-NOUS impactées, nous autres 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀, par la santé mentale, dans notre sphère professionnelle ? Vous posez-vous parfois la question ? 📑 Les études récentes sur la santé des femmes au travail révèlent des chiffres accablants (Humanis Malakoff, Vyv mutuelle, le Sénat, Santé Publique France...). Qu'elles soient 𝗽𝘀𝘆𝗰𝗵𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗼𝘂 𝗹𝗶𝗲́𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗹𝗲́𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗴𝗲𝗻𝗿𝗲 (cycle menstruel, grossesse, accouchement, ménopause…), ces difficultés sont 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲́𝗲𝘀 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗶𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲... Aucune structure publique n’accompagne par exemple à la formation d’un « référent santé » dans les TPE/TME. 🤷🏼♀️ Que dire alors des 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗻𝗼𝗻-𝘀𝗮𝗹𝗮𝗿𝗶𝗲́𝗲𝘀 ?? -      Les solopreneuses avouent qu’elle se sentent souvent isolées, -      Les mamans en couple subissent encore trop de charge mentale, -      Les artisanes/artistes gèrent un gros stress lié au manque de formation en comptabilité, gestion, communication, -      Certaines dirigeantes cherchent de l’empathie ou du soutien dans leur entourage, -      Les mamans solos souffrent de semaines de travail écourtées et de soucis d’organisation travail-enfants… 🧠 La fatigue physique précède souvent l'épuisement psychique. Mais 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗮̀ 𝗾𝘂𝗶 𝗲𝘅𝗽𝗿𝗶𝗺𝗲𝗿 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘀𝗼𝘂𝗳𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗼𝗻 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲 𝘀𝗲𝘂𝗹𝗲, quelles solutions apporter à un mal-être exprimé ? 👇🏻 𝗡’𝗵𝗲́𝘀𝗶𝘁𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗮̀ 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲𝗿 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗰𝗲 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁 𝗰𝗶-𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀. 👇🏻 Pour creuser le sujet, rejoignez « Les Nanas Responsables », un groupe où chaque personne soucieuse des problématiques féminines est la bienvenue : https://lnkd.in/egBckMEy

La sonnette d'alarme est tirée. Si l'évolution des femmes dans le monde de l'entreprise tend, dans l'ensemble, vers le mieux, il reste de nombreuses ombres au tableau. D’après l’étude de Santé publique France (SpF), publiée en mars 2024, la souffrance psychique en lien avec le travail a doublé entre 2007 et 2019. Et ces chiffres n’ont fait qu’augmenter depuis la crise du Covid. L’Etude révèle, par ailleurs, que cette souffrance est deux fois plus élevée chez les femmes. Et c'est encore plus flagrant chez celles qui ont des responsabilités. Troubles anxieux et/ou dépressifs, burn-out, troubles du sommeil, syndromes de stress post-traumatique. Voici quatre raisons qui l'expliquent. 1. L'effet double journée : Les femmes font, en moyenne, cinq heures de plus par jour de travail domestique non-rémunéré, ce qui pèse sur leur bien-être dans le milieu professionnel. La pression mise sur les femmes pour mener de front équilibre personnel et professionnel est disproportionnée. Et c'est encore plus flagrant quand elles ont des enfants. 2. La présomption d’incompétence : Les femmes qui occupent un poste à responsabilité doivent souvent travailler deux fois plus pour prouver leur légitimité et ont, moins que leurs collègues masculins, le droit à l’erreur. Elles doivent prouver qu’elles sont compétentes, qu’elles n’ont pas été embauchées ni pour leurs beaux yeux ni parce que ce serait “à la mode” de recruter des femmes. Etre attendue au tournant, obligée de faire ses preuves jour après jour, c’est épuisant. 3. Des manageuses plus à l'écoute : Les manageuses prennent davantage de mesures pour soutenir psychologiquement leurs équipes, et se préoccupent plus de leur bien-être global. C'est souvent une tâche ingrate pour elles. Car si la plupart des entreprises admettent qu'il s'agit de compétences primordiales, elles sont minoritaires à les reconnaître formellement. 4. Plus de temps à soutenir leurs collègues : Pour 100 hommes promus à un poste de direction, seules 86 femmes le sont. Et plus elles avancent dans la hiérarchie, plus elles prennent d'autres femmes sous leurs ailes pour leur créer des opportunités. Ce qui représente une charge de travail supplémentaire dont les hommes s'encombrent moins. Autant de dossiers qui s'accumulent sur les épaules des femmes, et contribuent aussi à leur souffrance psychique au travail. Les femmes représentent plus de la moitié de la main d’œuvre qualifiée. Dans un monde en crise où le besoin d’innovation et de diversité des regards est une question de survie, je crois qu’il est grand temps que les entreprises se mobilisent !