Post de Jérôme Delavenne

Un an après son lancement, La Tribune Dimanche a réussi à se faire une place parmi les journaux dominicaux. Avec une moyenne de 45 422 exemplaires vendus par numéro entre octobre 2023 et juin 2024, ce chiffre dépasse les attentes initiales de 30 000 exemplaires, selon Jean-Christophe TORTORA, directeur général de CMA Média, la branche médias de CMA CGM. Les ventes sont réparties entre 18 680 exemplaires vendus en kiosques, 10 112 abonnements numériques, environ 1 700 abonnements print, et 14 975 ventes via des kiosques numériques comme Cafeyn. En comparaison, Le Journal du dimanche écoule en moyenne 101 662 exemplaires et Le Parisien Dimanche 163 293 exemplaires. Le succès du titre repose également sur ses performances publicitaires, avec une moyenne de 6,9 pages de publicité par édition. L’objectif pour 2025 est de franchir la barre des 60 000 exemplaires vendus, avec un renforcement de la présence du journal en zones rurales et périurbaines, où sa diffusion reste limitée. Tatiana de Francqueville, directrice générale, et Jean-Christophe Tortora ambitionnent de développer plusieurs axes stratégiques pour faire de La Tribune une référence dans la presse économique, face à des titres comme Les Echos. Lucie Robequain, nouvelle rédactrice en chef depuis l’été 2024, a pour mission de renforcer l’offre d’informations exclusives et de piloter la croissance de La Tribune Dimanche ainsi que du site d’info économique La Tribune. Bien que les recrutements aient ralenti, sur la vingtaine de postes annoncés, une douzaine de journalistes ont déjà rejoint les équipes, dont deux transferts des Echos attendus en novembre. La séparation entre les équipes numériques et celles de l’édition du dimanche crée des silos qu’il faudra fluidifier pour renforcer l’unité rédactionnelle. La complémentarité entre Bruno Jeudy, directeur délégué de La Tribune Dimanche, et Lucie Robequain, ainsi que les synergies avec BFM-TV et BFM Business, récemment acquises par Rodolphe SAADE, doivent renforcer la notoriété du journal et dynamiser les ventes. Rodolphe Saadé, propriétaire de CMA CGM, a exprimé son souhait d’amener La Tribune Dimanche à l’équilibre financier, un défi pour la deuxième année du titre, alors que les équipes s’inquiètent de possibles restrictions budgétaires dans un contexte économique incertain.

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A demain avec l'UDECAM pour cette nouvelle matinée des rencontres sur la problématique du "Décloisonnement", traité en 4 thématiques : I . Consumer journey ou messy funnel ? Ii. La mesure - cross devices, cross plateformes, cross frontières Iii. L’organisation : horizontale ou verticale ? Iv. Ciblage et interopérabilité: les nouvelles offres de data sont-elles en train de creer des wallgarden dans l'open web? Autant d'évolutions qui impactent les organisations et nécessitent des ajustements de compétences permanents des collaborateurs en agence, chez l'annonceur, en régie ou chez les médias. Pour cela adLearnMEDIA Innovation ou Innov8learn mettent leurs experts au service de vos besoins (Franck TERRIER - Carole DISANT) Programme détaillé ici https://lnkd.in/e5ZBDWW5

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Pour permettre à notre filiale #webtoon de se structurer de manière autonome, se consolider et s'épanouir, il va nous falloir travailler de concert avec l'ensemble des métiers concernés par son développement : artistes, auteurs, métiers annexes, éditeurs, producteurs, diffuseurs (les plateformes), stores (Google, apple), institutions... et les pouvoirs publics, bien sûr 😊 L'un des plus grands défis est, à mon sens, une meilleure valorisation des webtoons "made in France", et pourquoi pas ouvrir ces réflexions aux autres pays européens où la filiale prend forme. Si nos histoires ne parviennent pas à générer de valeur, notamment aux yeux des lecteurs et lectrices, notre filiale ne pourra pas se structurer. sans valorisation, le financement des créations originales peut vite devenir compliqué, si ce n'est impossible... Le modèle qui pour le moment nous est proposé (devrais-je dire "imposé" ?) est celui de la production intensive au moindre coût, suivie d'une publication intensive et gratuite. cette publication mise sur l'envie des lecteurs de payer pour "débloquer" les épisodes inédits encore plus vite... est-ce réellement un modèle que nous souhaitons imiter ? n'y a-t-il pas d'autres alternatives ? pour le moment c'est le seul modèle proposé aux lecteurs et lectrices, donc ces habitudes de "consommation" s'installent... La gratuité des contenus pour certains représente forcément un coût pour d'autres. Ce modèle n'est absolument pas viable sur le long terme. Ce n'est pas un modèle tenable sans investissements colossaux. Ces investissements, seuls des géants de la tech Coréens le font pour le moment... mais jusqu'à quand ? A-t-on des géants de la tech en France et en Europe qui seraient prêts à investir massivement, afin d'aider à la structuration de notre industrie naissante ? Il faut comprendre que les motivations de ces investisseurs ne sont pas éditoriales ou artistiques. Ils misent uniquement sur les performances d'une série, et si possible reproduire des formules qui "marchent", garantir l'engagement... générer du trafic et de l'engagement sont les principaux critères d'une série "réussie". On vous estime au nombre de likes, de commentaires et d'abonné.e.s, sans trop se soucier de ce que raconte l'histoire. Je comprends cette logique, mais j'apprécierais voir émerger des approches différentes de ce formidable médium qu'est le webtoon. pour toutes ces raisons, une meilleure valorisation des webtoons est nécessaire. quelques exemples de ce qui pourrait être fait pour permettre cette valorisation : - Limitation ou abandon progressif du modèle du freemium, - Régulation du modèle économique, avec notamment une meilleure transparence des tarifs pratiqués à la lecture, - Lutte sans merci contre le piratage. N'oublions pas que ce qui se décide aujourd'hui, c'est ce qui constituera les fondations du monde dans lequel nous évoluerons demain. Alors merci à toutes les personnes qui permettent à ces questions passionnantes d'avancer !

Pourquoi donc certains leaders de la vente directe ne sont ils pas adhérants de la FVD? Comment se plaindre des difficultés de recrutement, des contraintes administratives, du poid des médias et des associations de défense des consommateurs et ne pas participer activement à la reconnaissance de nos professions ? A votre disposition pour accompagner votre réflexion concernant votre intérêt à venir rejoindre la FVD

efficace, pertinent et pédagogue

La revue de presse du retail : Falaise : 7 500 habitants et deux librairies indépendantes qui contribuent à faire vivre la culture: ... grande distribution. Commerces non essentiels pendant la crise du Covid, les libraires avaient vu affluer une clientèle nouvelle, à la faveur d ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

L’ACPM dévoile les chiffres de diffusion et fréquentation des titres et sites des éditeurs de Presse sur l’année 2023.

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