𝐋’𝐀𝐧𝐠𝐥𝐞𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞̀𝐠𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐬𝐬𝐞𝐳 𝐬𝐞𝐬 𝐀𝐌𝐏 Wildlife and Countryside Link a publié son rapport "30x30 Progress Report 2024", évaluant les progrès de l'Angleterre dans la protection de 30 % de ses terres et de ses eaux d'ici 2030. Concernant la protection marine, le rapport souligne que bien que 20 % des eaux anglaises soient désignées comme aires marines protégées (AMP), seulement 9,92 % sont actuellement protégées de manière efficace contre les activités destructrices, comme la pêche au chalut de fond. Le rapport appelle à des actions plus ambitieuses, notamment la désignation de zones marines hautement protégées (HPMAs) couvrant au moins 10 % des eaux anglaises. Il met également en avant l'urgence d'améliorer la gestion et la surveillance des AMP existantes pour protéger efficacement les écosystèmes marins fragiles. Ces mesures sont cruciales pour assurer la résilience des océans face aux défis du changement climatique et des pressions humaines croissantes. Wildlife and Countryside Link, une coalition regroupant 70 organisations environnementales au Royaume-Uni, travaille pour protéger la biodiversité et influencer les politiques de conservation de la nature. Cette coalition joue un rôle clé en faisant pression sur le gouvernement britannique pour tenir ses engagements en matière de protection de l'environnement. Aline Schaffar Chevillon Christophe
Post de J'aime les réserves marines XXL
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🚀 Vers une réforme de la gestion de la faune sauvage à Madagascar 🌿 Madagascar, riche de sa biodiversité unique, se dirige vers une nouvelle ère de protection de sa faune sauvage. Avec des initiatives innovantes et des partenariats stratégiques, le pays renforce son engagement envers la préservation de ses espèces emblématiques. Selon Rinah Razafindrabe - Directeur Général de la Gouvernance Environnementale - Ministère de l'Environnement et du Développement Durable - [...] La plateforme juridique permet au grand public d'accéder aux différents cadres législatifs et réglementaires relatifs à plusieurs domaines et relatifs à la gestion de la faune sauvage.[...] Le SWM Programme est une initiative de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP) financée par l’Union européenne (UE) et cofinancée par le Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM) et l’Agence française de développement (AFD). Ce programme de dix ans (2017-2026) est mis en œuvre dans 17 pays par un consortium international de partenaires incluant WCS, la FAO, le CIRAD et CIFOR-ICRAF. Wildlife Conservation Society FAO CIFOR-ICRAF CIRAD European Commission Secretariat of the Organisation of African, Caribbean and Pacific States (OACPS) #Biodiversité #Conservation #Madagascar #GestionDeLaFaune
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🔴Suite à l'élaboration d'une feuille de route régionale pour la conservation et la gestion durable de ces espèces, ainsi qu’à la signature du Mémorandum d'Entente sur la conservation des requins en 2017, le Plan National de Conservation et de Gestion Durable des Requins et Raies (PNCGDRR) de Madagascar a été officiellement présenté le 2 septembre 2024. 🔹Soutenue par la Wildlife Conservation Society (WCS), cette initiative conjointe entre le Ministère de l'Environnement et du Développement Durable (MEDD) et le Ministère de la Pêche et de l'Économie Bleue (MPEB) vise à préserver la biodiversité marine tout en assurant une gestion durable des populations de requins et de raies, essentielles à la santé des océans. La Grande Île abrite 80 espèces de requins et 44 espèces de raies. La Liste Rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) classe 37 espèces de requins comme « menacées » et 22 autres comme « à données insuffisantes ». Ces prédateurs marins jouent un rôle crucial dans la régulation des écosystèmes océaniques, mais leur survie est menacée par la surpêche et la dégradation de leurs habitats. 🔹Le PNCGDRR, élaboré en fonction des besoins spécifiques de Madagascar, met en avant plusieurs points clés, notamment la collecte de données et les résultats de recherche sur les populations de requins et de raies, afin d'évaluer l'efficacité des efforts de conservation. Il insiste également sur l'importance de l'éducation et de la sensibilisation du public à la valeur écologique de ces espèces pour l'écosystème marin. 🚀 Rejoignez notre chaîne WhatsApp : https://bit.ly/3Ua8fMQ Toute l'actualité de Madagascar sur https://lnkd.in/dWKt_rK
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Stratégie nationale mer et littoral 2 : des aires marines et des voiliers-cargos Secrétariat d’État chargé de la Mer et de la Biodiversité #CNML Mer et Marine GICAN Association Wind Ship Agence française pour la biodiversité
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A savoir : La conservation des espèces, aussi appelée conservation de la vie sauvage (de l'anglais wildlife conservation) ou conservation de la faune et de la flore, est la pratique de la protection des espèces animales et végétales sauvages. La faune et la flore jouent un rôle important dans l'équilibre entre l'environnement et la stabilité des différents processus naturels. L'objectif de la conservation de la faune et de la flore est de veiller à ce que la nature appartienne aux générations futures et à reconnaître l'importance de la vie sauvage et de la naturalité pour les humains et les autres espèces. #Biodiversite #Conservation
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Conciliation de la protection de la faune sauvage et le développement économique. Madagascar abrite 1300 espèces de faunes sauvages dont la plupart sont des espèces endémiques. Actuellement, elles subissent une forte pression, telle que la déforestation, le changement climatique, l’exploitation et exportation illicite. En plus, l'ordonnance n°60-126 de 1960 fixant le régime de la chasse, de la pêche et de la protection de la faune est désormais jugée obsolète face aux enjeux contemporains, tels que la préservation de la biodiversité, la lutte contre la pauvreté et contre les changements climatiques, dans le respect des droits humains. Pour combler l’absence d’un cadre légal spécifique à la faune sauvage, une réforme ambitieuse a été initiée en 2024, débutant par l’élaboration d’une politique sectorielle nationale. Ce document stratégique jettera les bases d’une gestion intégrée et durable de la faune sauvage, conciliant protection, valorisation, et développement économique. Le ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD), en partenariat avec le Programme Sustainable Wildlife Management (SWMProgramme), a organisé un atelier de consultation des parties...Lire la suite sur www.journalmadagascar.com
FAUNE SAUVAGE DE MADAGASCAR : Vers l’adoption d’une politique nationale de gestion durable | Journal Madagascar
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🦔🐃𝐏𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐒𝐖𝐌 𝐦𝐚𝐝𝐚𝐠𝐚𝐬𝐜𝐚𝐫 : 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐞𝐧é𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝’𝐞𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐫𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞🌿 La chasse et la consommation de viandes de brousse sont liées à des risques sanitaires, souvent méconnus par les populations locales. Le projet Sustainable Wildlife Management ( #SWM ), financé par la commission européenne vise à améliorer la #conservation et l'utilisation durable de la #faunesauvage dans les écosystèmes forestiers, de savane et des zones humides. 🟢A Madagascar, les activités se concentrent dans le Parc naturel de Makira dans la région d'Analanjirofo à travers un partenariat entre le Wildlife Conservation Society (WCS), l' Institut Pasteur de Madagascar et le CIRAD 👩🔬 Après une campagne de dépistages réalisés sur les tenrecs et les potamochères entre juillet 2022 et mars 2023, une mission de restitution de résultats et de sensibilisations au niveau des chasseurs a récemment été menée par Lahatranjarasoa Raharinaivo, doctorante au Cirad associée à l'UMR ASTRE. Une occasion de renforcer les connaissances des communautés locales et d'impliquer les autorités locales dans les démarches de sensibilisation. En savoir plus : https://bit.ly/3Wmr4gh Délégation de l'Union européenne à Madagascar et aux Comores - FAO in Madagascar, Comoros, Mauritius and Seychelles
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Protection de la faune marine au Cameroun : entre nécessité de renforcer la règlementation et urgence de l’application d’un régime juridique encore balbutiant Examen critique du droit positif camerounais à l’aune des enjeux de conservation de la faune marine Talla Marius, Aristide Takoukam Kamla Le droit camerounais de l’environnement est supposé encadrer l’utilisation des ressources naturelles du pays dans un contexte de contraintes diverses faites de changement climatique, de divergences voire de confrontation d’intérêts et d’enjeux d’acteurs divers. Ces défis qui s’imposent au législateur camerounais ne sont pas toujours relevés. C’est la conclusion à laquelle on aboutit au terme d’une analyse critique du droit positif camerounais à l’aune des enjeux de conservation de la faune marine. Sur cette question, le régime juridique camerounais de la protection de la faune marine vogue entre nécessité de renforcer la règlementation en la matière et urgence de l’application effective d’un régime juridique encore balbutiant. En effet, si l’on note un cadre normatif camerounais en matière de protection de la faune marine qui organise la protection de la faune marine, sa gouvernance et met en place des mécanismes de contrôle de l’application des actes juridiques relatifs à la protection de la faune marine, il convient de reconnaitre que le régime juridique y afférent comporte de nombreuses limites. Cette réalité permet d’aboutir à la conclusion selon laquelle en dépit de nombreux mouvements règlementaires (très peu législatifs), de nombreux domaines du droit camerounais de l’environnement restent encore non couverts et pour ceux qui le sont déjà, des vides juridiques subsistent. C’est notamment le cas de la faune marine. - Sur le plan politique, les plaidoyers auprès des acteurs compétents en vue d’une adoption des mesures appropriées de protection des élasmobranches dans le droit positif camerounais doivent être poursuivis ; - Toujours sur le plan politique, les outils de contrôle (notamment les élus nationaux) de l’action du Gouvernement en matière de conservation de la faune marine devraient être utilisés de manière optimale ; - Sur le plan technique, l’utilisation des AMP et des AMPc comme outils de protection des espèces appartenant à la faune marine doit être légalement consacrée ; - Sur le plan juridique, le juge administratif doit être impliqué dans les thématiques cruciales (comme celui lié à l’administration compétente en matière de protection des élasmobranches) lorsque les arbitrages administratifs ne parviennent pas à trancher.
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Un exemple à suivre !
ENORMISSIME NOUVELLE ! La Grèce devient le 1er Etat de l'UE à s'engager massivement pour la protection réelle de ses eaux ! C'est la meilleure nouvelle que j'ai entendue depuis des années pour l'océan ! Je n'aime pas trop les points d'exclamation habituellement mais là, permettez que j'exulte, je n'en reviens pas ! Les gouvernements ont attendu la conférence "Our Ocean" qui se tient actuellement à Athènes pour annoncer de grandes décisions, et la Grèce a donné une leçon magistrale au reste du monde en annonçant l'interdiction du chalutage de fond (l'une des méthodes de pêche les plus destructrices) dans toutes ses aires marines protégées ! La Grèce a également décidé d'augmenter la taille et le nombre d'aires marines protégées, faisant passer les zones enfin épargnées des ravages causés par les bulldozers sous-marins que sont les chalutiers à 30% des eaux grecques ! La Grèce va engager plus de 700 millions d'euros pour protéger son espace maritime en deux étapes d'ici à 2026 et 2030, en investissant notamment dans des méthodes de surveillance des aires protégées pour que la protection soit bien réelle. Les dauphins, les cachalots, les phoques moine et l'ensemble des écosystèmes marins des eaux grecques vont ENFIN pouvoir souffler et connaître le répit. La régénération des écosystèmes est l'un des leviers les plus efficaces pour lutter contre le changement climatique. C'est un jour de joie pour les animaux mais aussi pour notre trajectoire climatique puisque les habitats marins stockent le carbone de façon massive, efficace et pérenne. La Grèce vient de montrer qu'il existe des pays qui prennent au sérieux la destruction du climat et des espèces vivantes sur Terre et que lorsqu'un gouvernement veut, il peut. L'annonce de la Grèce met en lumière l'incurie impardonnable du gouvernement français. Tous les regards étaient tournés vers la France, 1er espace maritime européen et 2ème au niveau mondial, mais qui protège moins de 0,1% de ses eaux métropolitaines. Les attentes étaient fortes puisque Emmanuel Macron a déclaré 2024 "Année de la Mer" et que la France accueillera en juin 2025 la 3ème conférence des Nations Unies sur l'océan. Mais au lieu de progresser dans le sens de la responsabilité climatique, la France régresse : au moment où la conférence "Our Ocean" ouvrait à Athènes, la France montait au créneau avec le ministre délégué à l'Europe Jean-Noël Barrot pour lutter CONTRE la protection décidée par le Royaume-Uni (voir mon post précédent). Malaise, embarras, gêne... La conférence "Our Ocean" en Grèce s'est progressivement transformée en sommet de la honte pour la France. On se donne jusqu'au 8 juin pour redresser le tir tous ensemble et obtenir l'interdiction du chalutage des aires protégées françaises. Rejoignez notre coalition : www.coalitionocean.org https://lnkd.in/ehmVQYiU
Greece becomes first European country to ban bottom trawling in marine parks
theguardian.com
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Impact des feux d'artifices sur la faune sauvage 🦉 🦔 🦌 : La LPO publie une fiche de médiation dans le cadre de sa mission de conseil biodiversité. Vos avis, interrogations et suggestions ?
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