Post de Jean-Pierre Reymond

➡ Indifférence générale - Vers des millions de morts ? Au Soudan, l’anarchie politique a généré la pire famine sur la planète depuis 40 ans Des responsables humanitaires de l’ONU s’alarment d’une « catastrophe absolue » au Soudan, où la famine menace 26 millions de personnes. Avec Marc Lavergne Atlantico : Comment l'absence de gouvernement stable et l'anarchie politique au Soudan ont exacerbé cette crise humanitaire en rendant difficile toute tentative de résolution ou de distribution d'aide ? Quelle est la situation politique sur place ? Marc Lavergne : Le conflit actuel oppose deux groupes armés. Il y a d’un côté l’armée et de l’autre ses supplétifs qui ont été les deux piliers de la dictature de Omar el-Bechir pendant 30 ans, de 1990 à 2019. Ces deux groupes ne sont pas motivés par une idéologie mais par l'appât du gain. Ils se partagent les ressources comme ils l'ont fait pendant 30 ans, aux côtés d'Omar el-Bechir. Le problème est que l'armée a considéré que les forces de soutien rapide avaient des privilèges qu'elles n'avaient pas. (...)

Via #BreakingtheSilence "Biden dit qu'il arrêtera les expéditions d'armes vers Israël s'il lance une invasion majeure de Rafah. Pense-t-il qu'une petite invasion n'apportera pas de dévastation ? Regardez les forces qui se préparent en masse. Alors regardez les milliers de tentes. Un cessez-le-feu est la seule voie viable et morale pour avancer. L'invasion de Rafah entraînera un coût énorme pour des vies humaines. Les frappes aériennes qui ont précédé les forces terrestres afin de dégager leur chemin l'ont déjà fait. Les derniers mois montrent clairement que les dévastation qui attendent ceux qui ne peuvent pas fuir seront insupportables. Les FDI ont appelé ceux qui résident dans l'est de Rafah à évacuer vers de supposées « zones sûres ». Comme si ceux qui s'abritent là-bas n'avaient pas été en proie à la faim et à la maladie grandissantes. La crise humanitaire déjà catastrophique va sans aucun doute s'aggraver, surtout dans le sud. De nombreuses zones appelées à évacuer seront redéfinies comme «zones de mort», comme cela s'est passé précédemment, sans tenir compte du fait que certaines ne pourront pas partir. Le résultat inévitable : plus de vies innocentes ont été prises, justifiées en les qualifiant cyniquement de dommage collatéral. La vie des otages israéliens sera également mise en grave danger. Il a été démontré jusqu'à présent que les actions militaires ont fait plus de mal aux otages que ceux qu'elle a sauvés. Des règles d'engagement permissives et une utilisation disproportionnée de la puissance de feu mettent tout le monde à Gaza en danger. Et à quelle fin ? La recherche d'une « victoire » inaccessible. Le rêve messianique de la droite de s'installer dans une bande de Gaza dépourvue de Palestiniens. Les combats interminables qui maintiendront Netanyahu au pouvoir. Le mensonge que seule la force militaire libérera les otages et apportera la sécurité. La seule façon d'aller de l'avant doit être un cessez-le-feu, un accès complet à toute l'aide humanitaire nécessaire et un accord d' Le nombre insondable de morts et la destruction doivent cesser. Cela a toujours été le seul moyen viable et moral de sortir de cette folie, et il n'y a pas de temps à perdre. Il n'y en a jamais eu. "

Il y a quelques décennies, le Sahel était une terre de paix, de fraternité et de générosité. Les voyageurs de passage étaient accueillis avec chaleur et offerts des présents : des œufs de pintade, des poulets, des chèvres, des moutons, et même des bœufs. Aujourd'hui, cette image idyllique semble appartenir à un passé lointain. La paix a laissé place à la haine, à la désolation et à la violence. Les champs sont abandonnés, les maisons vidées, la famine s'installe et des milliers de veuves et d'orphelins portent le poids de cette tragédie. Les déplacements internes massifs témoignent de cette crise : des villages désertés au profit des villes des provinces et des villes de province vers la capitale, dans l'espoir de retrouver sécurité et stabilité. Ces mouvements de populations exercent une pression supplémentaire sur des ressources déjà limitées et fragilisent davantage le tissu social. Mais au milieu de cette obscurité, une lumière persiste #laRésilience. Une force inébranlable anime encore les populations du Sahel, gardant l'espoir d'un retour à la paix et à la prospérité. Ensemble, œuvrons pour reconstruire le Sahel et raviver son esprit de solidarité et de paix.

L'UKAINE EN GUERRE...ET VICTIME DU CHANGEMENT CLIMATIQUE. Merci à Romashka et Christine Kohut pour ce partage. " Pendant que des millions de français votent pour un parti pro-russe et anti-immigration sans avoir vu un seul immigré, un parti violement anti-écologique, et dont la politique environnementale se résume au déni total du changement climatique, d'autres pays suffoquent. l'Ukraine aussi suffoque, privée d' électricité. Le problème des soldats Ukrainiens qui se battent pour leur pays pour la liberté, pour NOTRE démocratie mise en danger par l'agresseur n'est pas la fin du mois, mais l'heure qui suit. Mon propre quartier, constitué de coquets pavillons, situé dans un écran de verdure entre vigne et forêt, ne connaît pas ces températures extrêmes et ne les a pas encore connues. On n'y connaît non plus ni violence ni immigration, sinon très progressivement de blancs plus aisés en raison de la hausse des prix de l'immobilier. La grande majorité de ses habitants ont pourtant raison de se plaindre du coût de la vie, mais n'ont pas véritablement de problèmes de fin de mois, et ici pas de désert médical, et une commune bien gérée et accueillante. Pourtant cet agréable quartier qui est le mien est celui qui a exprimé le plus de vote d'extrême droite de toute la ville. J'entends dire dans tous les médias qu'il ne faut pas diaboliser l'extrême droite, que ses électeurs seraient des "victimes" de la "désinformation", etc. Foutaises. Les électeurs de l'extrême droite de mon quartier sont de foutus égoïstes qui ne voient pas plus loin que le bout de leur terrain de privilégiés. Point. Il est temps de mettre les électeurs de l'extrême droite face à leurs contradictions et à leurs lourdes responsabilités. https://lnkd.in/eaGFXuad

Face aux guerres et violences ? Les journaleux télévisés espèrent que l'électorat craintif se rallie à la doxa 🇨🇵 de Valérie Hayer Ils font de la propagande & non du journalisme Ils s'arc-boutent sur leurs intérêts de classes petits-bourgeois devant la peur que LFI parvienne à fédérer l'attention des gens sur l'enjeu social des élections européennes du 9 juin et réussisse à déjouer le piège des va t-en guerre que tendent (Glucksman, Hayer, Bellamy, Bardella, Marion née Lepen), au peuple ? Sans avions, sans munitions l'occident a décidé du sort de l'Ukraine comme il a décidé de celui des Gazaouis Si l'effondrement militaire Ukrainien devient réalité, qu'en sera-t-il du capital qui s'enrichit du commerce des armes et profite de la soumission des peuples sous les bruits de bottes Si la Nouvelle Calédonie n'était pas la 2ème réserve mondiale de nickel, les milliardaires l'abandonneraient aux kanaks. De Rocard à Jospin 28 ans de réflexion pour décoloniser la nouvelle Calédonie et faire suite à la résolution de l'ONU de 1984 ? Gagné du temps sur le temps en favorisant l'émigration européen et autres immigrés via l'exploitation de la mine de nickel, et ce afin d'inverser la tendance majoritaire en faveur des caldoches ? C'est une imposture faite aux autochtones Kanak alors qu'en 1988 ils étaient encore majoritaires ? Quand on veut réellement décoloniser on n'utilise pas la durée comme une entrave ? Macron fort aisé des 40 années écoulées depuis 1984 en profite pour maintenir et accélérer le processus d'assimilation de la Calédonie au territoire national français Glucksman, Hayer, Bellamy, Bardella, Marion née Lepen portes voix aux élections européennes prônent l'état d'urgence nationale pour rétablir l'ordre républicain sur une île coloniale. Bug de langage ou problème sémantique ?? Ils masquent leur réel intention d'instaurer une solution ségrégationniste en nouvelle Calédonie (comme en Israël), pour préserver la souveraineté française et ainsi maintenir la France dans le giron des puissances militaires qui règnent en l'Indonésie Pacifique ! Depuis 40 ans les milliardaires aidés des pouvoirs politiques successifs bafouent la résolution de l'ONU alors qu'elle dénonce la colonisation française en nouvelle Calédonie ? Le capital donne rendez-vous le 9 juin à l'Europe pour qu'elle perpétue le capitalisme de guerre au seul fin des profits de l'armement et des prédateurs de paix Oyez oyez citoyens, ne manquer pas ce rendez-vous et mêlé vous de ce qui vous regarde ?

Fermer les yeux et se boucher les oreilles devant les menaces du changement climatique ne peut que nous mener à notre extermination. Est-ce cela que nous cherchons inconsciemment ? Nous avons besoin de toute notre intelligence, de tous nos moyens existants, de toute notre solidarité pour contrer ce dérèglement que nous avons provoqué. Chacune et chacun est concerné. Nous sommes des êtres solidaires que nous le voulions ou non. Ce qui se passe partout dans le monde nous concerne, concerne chaque humain. Nous dépendons des autres et les autres dépendent de nous. Ainsi, ce qui se vit et se meurt en Ukraine rejaillit sur nos vies. Les ambitions de Poutine et de ses fidèles de reconstituer la grande Russie par tous les moyens nous concernent. Il est prêt à nous écraser, à utiliser l’armement atomique contre l’Europe si nous nous opposons à son délire. Comment le contrer sans embraser la planète ? La guerre n’est jamais une solution. Elle a des répercussions destructives sur plusieurs générations bien longtemps après que la paix soit enfin revenue. Les Ukrainiens n’ont pas le choix, soit se battre pour ne pas être colonisés, soit se résigner et perdre leur liberté. Il ne semble pas y avoir de compromis possible. La paranoïa de Poutine et de ses sbires risque de détruire ce que les humains ont péniblement établi au long des siècles pour parvenir à vivre-ensemble. Les guerres présentes ne sont plus du même ordre que celles du passé. Elles ont un impact sur la terre entière jusqu’à devenir un génocide planétaire. La guerre en Palestine peut aboutir aux mêmes conséquences si nous ne savons pas l’arrêter. Pour le moment nous l’alimentons. Les États-Unis, l’Allemagne, la France et d’autres pays fournissent des armes et du matériel militaire à Israël et malgré nos discours de réprobation, nous continuons à attiser le brasier par nos livraisons guerrières. Les armes ne sont pas compatibles avec la paix. Plus nous en fabriquons et vendons, plus nous nous engageons dans des processus de guerre. Fermer les yeux et se boucher les oreilles devant les menaces du changement climatique ne peut que nous mener à notre extermination. Est-ce cela que nous cherchons inconsciemment ? Nous avons besoin de toute notre intelligence, de tous nos moyens existants, de toute notre solidarité pour contrer ce dérèglement que nous avons provoqué. Allons-nous être capable d’éviter le pire ? Le voulons-nous ? 

Les derniers attentats islamiques survenus ces derniers jours sont une invitation de plus à fermer les frontières. Non pour empêcher la libre circulation des ressources, comme le craignent tous les actionaires du commerce international privé, mais pour diminuer la libre propagation des menaces liées aux flux et reflux de touristes, de clandestins. Des menaces précisements identifiées qui peuvent être contenues à échelle internationale: -Risques sanitaires:Propagation de nouvelles pandémies exogènes -Risques socio-culturels nationaux: la présence de terroristes sur le territoire, plombe l'ambiance nationale, affects la libre pensée et de nombreux pans psycho-sociaux de chacun des pays du monde dans lesquels leur présence est crainte. -Risques écologiques:émissions de CO2 maintenue, précarité énergétique au profit des loisirs énergivores de quelque uns. Parler de risques sans parler des bénéfices à tirer de leurs éradications serait entretenir un manque de discernement, comme se complaîsent à le faire les partis néo-libéraux: - Meilleur responsabilisation territoriale de la gestion écologique grâce à la prise en considération des programmes de gestion de l'habitabilité locale, car obtenir un statut de réfugié pour des motifs écologiques demande davantage de rigueur. - Meilleur gestion de la consommation; la relocalisation industrielle et la renationalisation des services financiers amenant naturellement à plus d'attention pour dégager du temps libre nécéssaire à la transition écologique et à l'expansion des mobilités douces. - Harmonisation culturelle et ethnique permettant un meilleur sentiment d'appartenance à la vie locale et d'engagement pour les animations culturelles, sans subir les risques de dissensions socio-culturelles liées au sur-tourisme ou aux divergences et incompréhensions culturelles exotiques, voir de railleries (les fameuses blagues belges en France par exemple) auprés des autochtones présents depuis des temps immémoriaux (convivialité et bien-être accrue). - Stabilistion des dynamiques économiques à échelle individuelle et collective:la finance privée n'étant plus une fin en soi mais un outil d'échange de biens matériels. Pour gérer cela, l'O.N.U. doit-être une organisation incontournable pour assurer la souverainté de chaque nation du monde, inclut dans des dispositifs diplomatiques qui tiennent compte des nouveaux paramètres géo-politiques liés à l'écologie, au risque de pandémie, à la raréfaction du pétrole, la suffocation des pompes biotiques. Le sérieux et la vigilance sont nécéssaires pour éviter que l'O.N.U. ne redevienne un outil d'interposition de l'O.M.C. pour faciliter l'accés au F.M.I. aux richesses souterraines dans des pays où les conflits sont volontairement entretenus par les puissances néo-colonialistes pour faire diversion. En illustration:vers la création d'un état tampon Russie-Ukraine, carrefour ethnique diversifié sur un territoire diplomatiquement neutre et riche en ressources.

Selon des informations rapportées par l’agence de presse nationale libanaise, la situation s’est brutalement détériorée dans les villages frontaliers du sud du Liban. D’intenses explosions ont retenti alors que l’armée israélienne dynamitait des habitations, plongeant la région dans le chaos. Des maisons réduites en poussière À Adaysseh, un village libanais situé à proximité immédiate de la frontière israélienne, l’armée de l’État hébreu a fait sauter plusieurs bâtiments. D’après une source proche du dossier, les habitations visées se trouvaient près des barbelés marquant la ligne de démarcation. L’ampleur des déflagrations était telle que les capteurs sismiques israéliens ont été activés sur une grande partie du territoire. Des vidéos amateur circulant sur les réseaux sociaux témoignent de la violence des explosions simultanées, qui ont projeté d’épaisses volutes de fumée dans le ciel. Le spectre d’une escalade Le village voisin de Kfar Kila a lui aussi été le théâtre d’explosions massives dont l’écho s’est propagé à travers tout le sud du pays du Cèdre. Ces opérations de dynamitage interviennent dans un contexte de vives tensions entre Israël et le Hezbollah libanais. Depuis plus d’un mois, les deux protagonistes sont engagés dans une guerre ouverte. Le Hezbollah a en effet ouvert un “front de soutien” en solidarité avec le Hamas palestinien de Gaza, après l’offensive israélienne déclenchée début octobre 2023. Selon des témoins, les combattants chiites affrontent désormais “à bout portant” les forces israéliennes dans ces villages frontaliers. Lourd bilan humain et exode Le conflit a pris un tour encore plus violent le 23 septembre avec des opérations terrestres israéliennes au Liban et des bombardements dévastateurs sur le sud, l’est et la banlieue sud de Beyrouth. En un mois, le bilan est très lourd avec au moins 1600 morts côté libanais selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Cette guerre a provoqué le déplacement de 1,3 million de personnes au Liban, dont plus de 800 000 déplacés internes d’après l’ONU. Plus d’un demi-million de réfugiés, surtout syriens, ont fui vers la Syrie voisine. Les opérations de dynamitage israéliennes risquent d’aggraver encore cet exode massif des populations civiles. Cette nouvelle escalade fait craindre le pire. En détruisant des maisons, l’armée israélienne force les habitants à fuir, étendant le conflit bien au-delà des seuls combattants. – Un analyste régional souhaitant garder l’anonymat Alors que la communauté internationale peine à imposer un cessez-le-feu, les civils libanais continuent de payer le prix fort de l’engrenage guerrier entre Israël et le Hezbollah. La destruction méthodique d’habitations par l’État hébreu marque une nouvelle étape dans la politique de la terre brûlée. Une stratégie qui risque d’alimenter un peu plus le cycle des représailles. The post Liban : Des maisons dynamitées dans des villages frontaliers first appeared on ViralMag.