Post de Jean Pierre DE FARIA

RÉUNION AVEC LES COMMERÇANTS | Compte-rendu de l'enquête 🔍 et de l'étude 📊 sur le commerce en centre ville de Saint-Ambroix, réalisées par la CCI Gard, dans le cadre du programme Petites villes de demain (PVD). Une réunion de restitution avec les commerçants a été organisée afin que les conclusions de l’étude soient partagées et débattues. La CCI Gard aux côtés du maire Jean Pierre DE FARIA, a ainsi pu exposer les résultats de cette expertise, faire un retour sur l’enquête de terrain réalisée auprès des commerçants et proposer des actions de revitalisation 🚀 pour soutenir et développer l’activité marchande. Fort de ces préconisations, des actions concrètes pourront être réfléchies conjointement entre les commerçants et la municipalité : mise en œuvre d’un périmètre de sauvegarde du commerce et de l’artisanat, lutte contre la vacance commerciale, poursuivre l’expérimentation via le dispositif « ma boutique à l’essai », croiser développement touristique et commercial, adaptation des horaires d’été en lien avec les festivités municipales, fidéliser la clientèle vers les commerces du centre-ville, embellissement des façades et des devantures commerciales, travailler sur la formation (informatique et linguistique), etc. Jean-Pierre De Faria : « Cette étude nous apporte des éclairages quantitatifs par les analyses statistiques et qualitatifs par l’enquête commerçants sur les dynamiques marchandes de notre centre-ville mais aussi à l’échelle de la zone de chalandise de Saint-Ambroix. A la lumière de ces éléments, nous devons œuvrer conjointement dans un même effort. Municipalité et commerçants ont tout intérêt à s’unir pour faire front face aux dures réalités économiques qui pénalisent l’activité marchande du centre-ville. Cette réalité n’est malheureusement pas propre à Saint-Ambroix et touche nombre de communes. L’action publique peut agir pour soutenir l’activité marchande, mais les commerçants eux-mêmes ont un rôle central à jouer. Nous comptons notamment sur leur dynamisme et leur implication pour relever les défis qui s’offrent à nous. L’association des commerçants, en ce sens, est un relai et un interlocuteur privilégié pour coordonner nos actions en faveur de l’attractivité de notre centre-ville. »

Quelques 200 commerçants, micro commerçants et artisans ont été interrogés dans neuf territoires : Paris, Marseille, Nîmes, Aix-en-Provence, Saint Ouen, et quatre villes de la Métropole Rouen Normandie (Duclair, Elbeuf-Sur-Seine, Le Trait, Rouen). Le tout pour 11 catégories de commerces représentés : alimentaire, artisan, caviste, culture, esthétique, fleuriste, habillement, restauration, santé, vente de matériel, vente de services. L’analyse de ces entretiens a ainsi permis de dégager 18 effets sociaux et environnementaux du commerce, regroupés dans 6 catégories : lien social, environnement, espace public, santé et sécurité, solidarité, vie de quartier.

🚀 Découvrez le portrait du commerce de Thonon-les-Bains ! 🛍️ Focus sur la récente enquête menée par la CCI Haute-Savoie et la Ville de Thonon-les-Bains auprès des commerces de détail de la #commune. La forte participation à cette démarche confirme l'engagement des commerçants de Thonon dans la vie locale, avec des résultats qui soulignent leur professionnalisme et leur proximité avec leurs clients 👍 Quelques faits saillants du "commerçant type" à Thonon : un fort esprit d'entreprendre, un positionnement en adéquation avec la #clientèle, un investissement dans l'humain et les #RH et une transformation numérique déjà bien engagée ! 🙏 Merci à Thonon-les-Bains pour ce partenariat et à Rachel CARRIER et Johanna Gheno pour avoir conduit cette enquête qui peut être menée à l'échelle d'une #intercommunalité, d'une #commune voire d'un #quartier. N'hésitez pas à les contacter si vous souhaitez obtenir une analyse détaillée de votre commerce local et une présentation associant les #professionnels du territoire pour renforcer ensemble l’attractivité de votre commune. 🌟 #CommerceLocal #ThononLesBains #Partenariat Marion Fonfrède Karine Bretineau Anne Lechevallier

📣 MANAGER DE COMMERCE MUTUALISE – La CAHC va expérimenter ! 👉 En juin 2022, La CAHC a défini sa stratégie communautaire en matière de commerce et d’artisanat, qu’elle a voulu pertinente pour les communes, efficace pour les commerçants, et perceptible pour les partenaires. Aujourd’hui, pour aller encore plus loin dans la déclinaison opérationnelle, la CAHC a proposé aux communes dites « intermédiaires », ayant souvent moins de capacités structurelles à accompagner le commerce, de créer un service commun au travers d’un poste de MANAGER DU COMMERCE Mutualisé. 🤝 4 communes se sont montrées volontaires pour cette expérimentation, avec 3 priorités d’actions identifiées lors des phases de concertation : ➡️ Le suivi de leur vacance commerciale et l’accompagnement à la reprise, ➡️ Le soutien à la mobilisation et à l’animation de leurs unions commerciales, ➡️ L’aide à la redynamisation des marchés hebdomadaires. Elle se partageront donc cette création de poste prévue pour le dernier trimestre 2024 (le profil et les critères d’embauche sont en cours de finalisation) au travers d’une convention commune. Un projet qui s’inscrit également dans la démarche plus globale de mutualisation déjà engagée avec les communes.

[COMMERCE] 📣 La ville de Cabourg s'engage depuis toujours pour favoriser le développement du commerce sur son territoire. Avec près de 200 commerces aux services des cabourgeais et des touristes sur l'ensemble de la station, nous avons su pérenniser leur ouverture à l'année grâce à une politique événementielle et touristique forte et structurée. 🤝 Afin de poursuivre notre engagement, Emmanuel Porcq, Maire de Cabourg et Conseiller départemental du Calvados, David Le Monnier, conseiller municipal délégué à l’Artisanat, au Commerce, aux Professions Libérales et à la Communication Institutionnelle, et la CCI Caen Normandie viennent de signer une convention pour mettre en place un observatoire du commerce. Cet observatoire a plusieurs objectifs :  👉 Obtenir des données fines et objectives sur le commerce pour accompagner la stratégie en faveur de celui-ci.  👉 Favoriser un développement équilibré en matière de commerces et de services. 👉 Partager les données et les conclusions établies entre la commune, les commerçants/artisans, les unions commerciales ainsi que les autres acteurs du territoire. 🔎 Les données, mises à jour annuellement, nous permettrons à terme de mieux connaître les acteurs de notre territoire, les habitudes de consommation de nos usagers mais aussi d'analyser la fréquentation piétonnière de certaines rues, afin de toujours adapter notre politique commerçante et innover en fonction des attentes et besoins de chacun. #cabourg #commerce #cci #convention #partenariat #observatoire

Imaginez une rue commerçante, au cœur de la Presqu’île lyonnaise. Devantures colorées, vitrines alléchantes, passants affairés. Mais derrière cette façade dynamique, l’inquiétude grandit parmi les commerçants. En cause : les projets de la municipalité écologiste, entre piétonnisation et zone à faible émission (ZFE). Face à la gronde, la mairie vient d’annoncer la tenue d’Assises du commerce en novembre prochain. Une main tendue qui peine pourtant à convaincre… Des commerçants sur le qui-vive Depuis plusieurs mois, les tensions montent entre la Ville de Lyon et les acteurs du commerce local. Au cœur des préoccupations : la future zone à faible émission qui limitera l’accès des véhicules polluants au centre, et l’extension des zones piétonnes sur la Presqu’île. Des projets perçus comme une menace par de nombreux commerçants, qui redoutent une baisse de fréquentation et de chiffre d’affaires. Pour faire entendre leur voix, ils se sont regroupés au sein du collectif “Défenseurs de Lyon”. Mathieu Bruel, membre du collectif et patron d’une boutique, résume le sentiment général : “On n’a jamais eu l’impression d’être entendus ni par la mairie, ni par la métropole. Là, ils voient que ça bouge du côté des commerçants et veulent calmer les choses”. Une défiance qui s’est matérialisée ces derniers mois par des manifestations et des actions symboliques, comme la “fermeture” de l’Hôtel de Ville avec des cartons. La mairie tend la main Face à cette fronde, la municipalité a décidé de réagir en annonçant la tenue “d’Assises du commerce et de l’artisanat” le 4 novembre prochain. L’objectif affiché est de “construire avec le secteur des propositions concrètes pour améliorer le dynamisme de Lyon”, dixit le communiqué de la Ville. En amont, une consultation en ligne est lancée pour “identifier les habitudes et les perceptions des commerçants, artisans et habitants”. Les commerçants et artisans ont une place particulière dans le cœur des Lyonnais et dans la vie de la cité. Les entendre et les impliquer, c’est tout simplement prendre le pouls de la ville. Camille Augey, adjointe au maire de Lyon déléguée à l’Emploi et à l’Économie durable Un “coup de com” pour les commerçants Mais pour beaucoup de commerçants, cette main tendue a un goût amer. Ils y voient avant tout une opération de communication de la part d’une mairie qui n’aurait pas su les écouter jusqu’ici. “Ça fait deux ans que personne ne nous écoute sur la piétonnisation et les travaux. On n’a jamais rencontré un élu. C’est une forme de mépris”, tacle Mathieu Bruel, pour qui ces Assises sonnent comme une “moquerie”. Malgré tout, les commerçants assurent qu’ils participeront bien à la réunion du 4 novembre. “L’espoir fait vivre”, ironise le représentant du collectif. Mais il prévient d’ores et déjà : la rencontre s’annonce tendue pour l’exécutif écologiste. Après des mois de bras de fer, la confiance semble rompue. Il faudra plus que des mots pour restaurer le dialogue entre la Ville et se...

Commerce français - Et si l’on retrouvait le goût de flâner en ville ? Sur 500 centres-villes étudiés par Procos, la fédération du commerce spécialisé, c’est le secteur de l’habillement qui a perdu le plus de boutiques, passant d’une occupation de 22,7 %, en 2012, à 17,2 %, en 2022, au profit de la restauration, notamment rapide, qui est passée de 2,4 % à 4,9 % durant cette période. Chausseurs et bijoutiers reculent aussi, mais dans une moindre mesure. Dans le centre-ville de Bruxelles, sur le terrain, on a le même sentiment mais d'après les chiffres peut-on verifier ce changement de type de commerce? https://lnkd.in/euvUwwAf

🚀 𝐎𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐨𝐦𝐢𝐧𝐢𝐜𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐜𝐞𝐬 : 𝐔𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞̀𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐢𝐬𝐬𝐞𝐬❓ 🚀 En Suisse, le débat sur l'ouverture dominicale des petits commerces prend un tournant décisif. La Chambre du peuple a approuvé, par 109 voix contre 79, une motion visant à autoriser cette pratique dans les zones périurbaines, soulevant une vague d'espoir pour les petits villages... mais aussi d'inquiétude. 🏞️🛍️ Initiée par Philippe Nantermod (PLR/VS), cette proposition entend briser la "discrimination" actuelle qui voit certains emplacements privés de la possibilité d'offrir des services de proximité le dimanche, contrairement aux gares, stations-service et zones touristiques. 🚉⛽🏖️ Les critères stricts de cette motion visent à limiter l'ouverture à de petites échoppes, préservant ainsi le tissu commercial local tout en répondant aux besoins des résidents. Cependant, le Conseil fédéral et les syndicats s'élèvent contre cette mesure, soulignant les risques pour la santé et le bien-être des travailleurs, ainsi que la préservation des traditions familiales et de repos dominical. 😓👨👩👧👦 📢 𝙍𝙞𝙨𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝘿𝙚́𝙛𝙞𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝘾𝙤𝙢𝙢𝙚𝙧𝙘𝙚𝙨 Cette motion, bien qu'elle vise à dynamiser l'économie locale, soulève de sérieuses préoccupations pour le commerce de détail : 𝟭. 𝗔𝘂𝗴𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 : La nécessité d'ouvrir le dimanche pourrait imposer une charge supplémentaire sur les commerçants déjà en difficulté. 🏪💔 𝟮. 𝗖𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 : L'extension du travail dominical menace le repos nécessaire aux employés et pourrait précariser davantage les conditions de travail dans un secteur déjà vulnérable. ⏳👩💼 𝟯. 𝗣𝗿𝗼𝘁𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : La crainte que l'ouverture dominicale erode les moments privilégiés en famille ou entre amis, essentiels au tissu social suisse. 🍽️👪 Alors que le Conseil des Etats doit encore se prononcer, le débat s'intensifie. Doit-on privilégier la commodité et le dynamisme économique au risque de compromettre le bien-être des travailleurs et les valeurs traditionnelles? Merci à 20 Minuten pour leur article. #OuvertureDominicale #CommerceLocal #TravailDominical #PetitsCommerces #DébatSuisse #Suisse #Commerce Votre avis compte ! Que pensez-vous de cette proposition ? Est-ce un pas en avant pour l'accessibilité et la modernité, ou un pas de trop qui risque de transformer profondément nos traditions ? Partagez vos pensées ! ⬇️🗨️

#Besançon #Commerce #Travaux Travaux Route de Gray : “Encore un défaut d’accompagnement des commerçants” La boulangerie pâtisserie Maison Deschamps subit, depuis 4 mois, les conséquences des travaux route de Gray et dernièrement, la fermeture totale de la route à la circulation. Une pétition a même été lancée par des clients soucieux de son devenir, appelant Anne Vignot à agir pour préserver leur commerce de proximité, sans véritable réponse. Bien sûr que les travaux doivent s’effectuer. Mais, dans ces moments exceptionnels, le rôle des élus est d’être aux côtés des commerçants et de les accompagner. J’ai contacté M. et Mme Deschamps qui me confirment une perte importante de fréquentation, de chiffre d’affaires, treize salariés sont actuellement au chômage technique. S’ils ne se verseront que la moitié de leur salaire en octobre, c’est en piochant dans leur trésorerie. Je déplore, une fois encore, le manque d’accompagnement des commerces par la ville de Besançon et le Grand Besançon Métropole lors d’aménagements urbains. La vie commerçante ne peut pas être, par manque d’accompagnement, la victime collatérale des travaux de la municipalité. Durant les mandats précédents, des dispositifs d’aides ont été proposés aux commerces impactés lors des travaux du tram par exemple. La Présidente du Grand Besançon l’a refusé lors des travaux de la rue de Vesoul au printemps dernier. Certains commerces se sont trouvés alors exsangues à l’issue de longs mois de travaux et l’un d’entre eux a finalement choisi de quitter Besançon pour s’installer à Saint-Vit. La même erreur se reproduit route de Gray. J’ai donc écrit à la maire de Besançon présidente du grand Besançon pour réitérer mes demandes : -Que la ville de Besançon et le Grand Besançon métropole intègrent systématiquement une étude d'impact économique afin de prévenir les risques encourus par les commerces et les entreprises lors des projets d'aménagement urbain. -Que la commission développement économique du Grand Besançon Métropole travaille sur un protocole d’accompagnement, pouvant aller jusqu’à des aides financières en cas de travaux importants. Il s’agit d’anticiper et de mieux accompagner les commerçants. Derrière eux, c’est la vie de quartier qui est en jeu, ce sont des emplois. Les accompagner, et prévenir les risques économiques, c’est se soucier des Bisontins et Grands Bisontins. Pour soutenir la pétition lancée par des Bisontins : https://lnkd.in/eAqVsiTb www.laurentcroizier.fr – 24/10/2024