Post de Jérôme COTTET

Je vous partage la lettre de Francois Guiffant au directeur de la @SAEM Vendee Une lettre pleine de bon sens 🌊 Merci de relayer pour son très beau projet Imoca “PARTAGE”//Je soutiens Fanch 🙏 Lettre ouverte à l’attention de Monsieur Leboeuf - Président de la SAEM Vendée Monsieur Lebœuf, J’ai appris mardi, par votre communiqué de presse annonçant la liste des 40 sélectionnés pour la 10ème édition du Vendée Globe, que je n’en faisais pas partie. J’ai souhaité vous rencontrer avant cette prise de décision, afin de vous présenter mon projet, dans lequel je mets toute mon énergie depuis 3 ans, et dans lequel mes partenaires ont investi et se sont projetés sur cette épreuve mythique. Toutes mes demandes d’entretien étant restées sans réponse, c’est par cette lettre ouverte que je m’adresse à vous. J’ai bien conscience de la difficulté de choisir entre trois marins. Mais, pour nous, pour mes partenaires, ma petite équipe et notre projet «PARTAGE» qui correspond parfaitement à l’ADN du Vendée Globe – solidaire, sportif, humain – votre décision de ne pas ouvrir la flotte de cette édition exceptionnelle à 42 skippers est extrêmement brutale et difficile à comprendre. C’est la première fois de son histoire, que le Vendée Globe partirait en laissant deux projets qualifiés à quai. Deux, pas dix, pas cinq. Juste deux qui ont fait le même parcours que les autres, fait face aux mêmes éléments, affronté les mêmes difficultés. Certes, il y a les règles, mais il y a aussi l’esprit du Vendée Globe, si cher aux Vendéens. Comment expliquer au grand public que cette épreuve éminemment populaire et ouverte refuse deux marins qualifiés ? Quel est le point bloquant ? Je n’ignore pas que l’accueil d’autant de bateaux aux Sables d’Olonne est un challenge pour vos équipes. Deux places supplémentaires, à fortiori pour des IMOCA à dérives, relève-t-il vraiment de l’impossible ? Des solutions ne peuvent-elles pas être trouvées ? Nous sommes prêts à amarrer nos bateaux ailleurs qu’au ponton Vendée Globe et à nous adapter autant que nécessaire. La sécurité est-elle remise en cause par deux concurrents de plus ? Ni la Direction de course, ni les 40 skippers engagés ne semblent voir de problème de cet ordre. Alors, comment expliquer aux Vendéens et à tous les amoureux du Vendée Globe, que deux marins voient les portes de ce Graal se fermer devant eux ? A travers ce courrier, je vous pose la question à vous, Élu et représentant des Vendéens : que vont penser vos concitoyens et les millions de passionnés d’aventure et de course au large qui s’apprêtent à suivre cette course de cette décision ? De votre décision ? En voile, il existe la possibilité de modifier une règle en fonction d’un contexte, de l’évolution d’une situation. Cela s’appelle un avenant. Un avenant qui serait tout à votre honneur et s’inscrirait dans la belle histoire du Vendée Globe. Merci de votre attention. François Guiffant, Skipper de l’IMOCA PARTAGE - #42audepart| #voilepartage | #gofanch | #imoca

Isère La marque Vertical mise en vente, spécialisée dans les produits de ski de rando, d’alpinisme et de randonnée. Saint-Pierre-de-Chartreuse, Matthieu Estrangin - 15.3.2024 En août 2020, Benoît Laval et ses associés veulent se concentrer sur le développement de Raidlight et de produits destinés à la pratique du trail. L'accord de distribution et de co-conception avec Go Sport pour la marque Vertical, vêtements et matériels de ski de rando, d’alpinisme et de randonnée, a élargi la gamme Vertical en 2022 à la pratique de la montagne quatre saisons., Malheureusement, les difficultés de l’enseigne Go Sport placée en redressement judiciaire en janvier 2023 a torpillé ce plan. Un an plus tard, ils choisissent de remettre en vente Vertical (fonds de commerce et marque) pour concentrer tous nos efforts sur le trail. "Vertical est une très belle marque avec une notoriété forte, une image positive, une cinquantaine de références techniques. Si nous voulons laisser le temps au repreneur de bien construire la prochaine saison d’hiver, c’est le bon moment pour vendre." Le cabinet Action Reprise a été mandaté pour accompagner cette opération. « Les équipes Raidlight seront disponibles pour une transmission douce et accompagnée », assure Benoît Laval, PDG de Raidlight-Vertical. « Hors de question de laisser mourir » Vertical Raidlight-Vertical compte aujourd’hui 35 collaborateurs. Aucun n’est concerné par la vente, ils resteront tous chez Raidlight si Vertical trouve un repreneur. Si aucun ne se présente, on rappelle chez Raidlight l’attachement de Benoît Laval à la marque fondée en 1984 par le groupe Francital et on précise : « Il est hors de question de la laisser mourir » Vertical est un beau nom pour la Montagne, reste à vérifier sa protection légale et définir une politique commerciale ambitieuse pour un domaine en voie de développement. https://lnkd.in/dmkBntM3

En ce dimanche ensoleillé, les 36 concurrents de la Solitaire du Figaro Paprec ont quitté le port de Gijon dans les Asturies pour s’élancer dans la deuxième étape de leur périple. Au programme : 515 milles de navigation intense à destination de Royan en Charente-Maritime, avec un passage obligé par les îles Sisargas situées au large de la Galice. Une étape cruciale qui pourrait bien redistribuer les cartes au classement général. Un départ sous le signe des prévisions météo Après un rappel général dû à un petit vent capricieux de 5-6 nœuds, les Figaro Beneteau 3 ont finalement pris le large à 14h22 précises. Si les premières heures s’annonçaient plutôt sereines, l’approche d’un front dépressionnaire vers 4 heures du matin risquait bien de corser l’affaire. Un moment clé selon Basile Bourgnon (Edenred), l’un des favoris : Il va falloir être bon tout de suite. L’étape devrait se jouer sur la différence que l’on va faire dès la première nuit. Au passage d’un front qui apparaît velu, avec plus de 30 nœuds. Basile Bourgnon, Edenred Des options stratégiques divergentes Face à ces conditions météorologiques musclées, les marins avaient le choix entre plusieurs options tactiques. Romain Bouillard (Décrochons la Lune), échaudé par son pari risqué à l’ouest lors de la première étape, ne comptait pas retenter le diable : Cela va être une course de vitesse sans vraiment d’options divergentes sur le papier. […] Je vais assurer sur cette étape et s’il y a un gros coup à jouer sur la dernière, je tenterai le tout pour le tout. Romain Bouillard, Décrochons la Lune Une stratégie partagée par Jules Delpech (Orcom), 25ème lors de la première manche, qui entendait bien « replacer le curseur de risques » et « faire les choses peut-être plus simplement ». Un front actif qui va secouer la flotte Qu’ils aient opté pour la prudence ou l’audace, une chose était sûre : les 36 skippers allaient devoir en découdre avec le passage du front et son lot de vents soutenus et de mer croisée. Édouard Golbery (Verdier-Seastemik) ne s’y trompait pas : Il va falloir le plus possible s’éloigner des côtes pour être bien au large à l’approche du front. En arrivant dessus, dans ces zones de transition nocturne, tu te fais un peu cueillir. Il faudra être prêt avec voiles et drisses bien rangées. Édouard Golbery, Verdier-Seastemik Paroles de marins heureux au départ Malgré les défis qui les attendaient, les marins affichaient des mines réjouies sur les pontons de Gijon avant le départ. Heureux de repartir au large après une première étape intense : Xavier Macaire (Groupe SNEF) : « Je suis hyper content d’en être. J’ai envie de découvrir, d’avancer, sans pression du résultat. » Charlotte Yven (Helm) : « Le plus dur est fait, maintenant il faut kiffer et prendre du plaisir sur l’eau ! » Nils Boyer (Sep Eurovan) : « On a fait une belle Nav de nuit. Ce soir on sera dans le dur, mais c’est ça la Solitaire ! » Après quelques heures de cour...

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40 bateaux. 40 skippers. Potentiellement 24 300 milles à parcourir. Comment on appréhende ce départ en tant que marins ⁉️👇🏻 Le match va être dingue ! 👉🏻 40 IMOCA, c’est beaucoup. Il y a une quinzaine de grands marins capables de jouer aux avant-postes et on oublie probablement de sérieux outsiders. Toutes les équipes ont progressé et il y a un bel alignement des compétences. Il me faudra les observer de près car cela fait partie de la bagarre sur l’eau... 😏 Il faudra garder un oeil sur les vitesses, les comportements, voir qui est en forme, qui est à l’attaque. Si les analyses météos sont similaires, on a des bateaux qui peuvent optionner à quelques degrés près. Nos bateaux ouvrent le jeu avec leurs combinaisons de voiles singulières, leur formes particulières. La flotte sera groupée durant les 3 premières semaines, mais il y a un tel niveau que les écarts se feront sur de petits décalages... Avec ce Vendée Globe, on n’est pas loin du challenge ultime, sur un truc hors norme. Je pars serein, sans m’interroger sur l’avenir. Totalement concentré sur mon Vendée. On a mis beaucoup d’énergie pour parvenir à cet état. Je suis fier de ce que l’on a fait.   Morceau par morceau 👉🏻 La météo du départ n’est pas encore établie. Cela change encore beaucoup. Je veux profiter de ce public, des amis, de la famille. Je veux offrir un beau spectacle. On devrait avoir du portant assez vite, jusqu’à l’équateur. Attention à ne pas prendre trop de retard si le départ est vraiment très mou. Une Transat est un sprint, mais sur ce parcours, entrer dans les mers du sud placé est important, car cela peut partir par devant! En Atlantique Nord, on n’est pas encore dans le dur du Vendée et cela peut partir vite. Une bonne descente de l’Atlantique est importante. Une fois dans le train des dépressions du Sud, d’énormes écarts peuvent se créer. J’essaie de ne pas regarder trop loin. Réguler mon bateau dans la seconde, dans l’instant présent est jouissif. On se donne des objectifs à court, moyen et long terme. Je ne me projette pas sur l’arrivée, mais sur les premiers temps forts, Finisterre, Alizé, pot au noir… morceau par morceau. To be continued... 😉 #VULNERABLE / Advens x TR Racing 📸© L'Equipe - Sébastien Boué

🗓️ Semaine 14 Nouvelle semaine = nouvelle expédition Direction l’Anse Marcel et coucou la décharge de Saint-Martin Pas de vent, pas de vague et de la pluie. Ça change des conditions agitées et c’est agréable d’avoir un plan d’eau calme pour travailler sur la technique. Que du plaisir sur cette sortie longue, Avec un cadre unique. Une vue qui se révèle uniquement depuis la surface de l'eau. Mais faire du sport en milieu naturel c’est aussi constater nos incohérences environnementales. En témoigne cette image de la décharge de Saint-Martin. Une montagne de déchets, à quelques mètres seulement de l'océan, Au cœur même d'une réserve naturelle. --- Hello, moi c’est Antoine. Après une pause de 4 ans et une dernière aventure de 50km. Je reprends le Prone Paddleboard longue distance avec pour objectif de participer au Championnat du monde de la discipline à Hawaï en Juillet ! Je documente sur Linkedin mes entraînements et ma préparation. 3 autres objectifs : Traverser Saint-Martin / Saint-Barth en autonomie = 35 km (Mars) Tour de l’île de Saint-Martin en autonomie = 60 km (Avril) Molokabra au Brésil = 3 x 30km (Septembre)

Le tout-ski, mais à quel prix ? Pas évident de parler d'un sujet qui, tel un marronnier, agite les montagnes chaque hiver. Avec Sylvain Paley on s'est longuement interrogé sur l'angle à prendre pour parler des stations de montagne et de l'avenir du ski avec un regard neuf. Un regard qui ne soit pas redondant avec l'abondance d'articles qualitatifs déjà publiés sur le sujet. Et aussi pour éviter l’écueil stérile, du POUR ou CONTRE le ski. Avec ce souci en tête, on a donc décidé d'aller à la rencontre de deux personnes qui vivent dans leur chair ces bouleversements. L'un, Franck Piccard, a fait du ski le fil rouge de sa vie. D’abord en tant que sportif et champion de la discipline, puis en tant que chef d’entreprise dans cette industrie avec PICCARD SPORTS. L’autre, 🏔️Valérie PAUMIER ⏱ a fondé l’association Résilience Montagne dès qu’elle a pris conscience de l’impact imminent du dérèglement climatique sur les milieux alpins. Son but : permettre aux habitants de pouvoir continuer d’y vivre dignement. Ensemble, on s'interroge sur l'avenir de cette industrie et discipline sportive. Sur le coût que cela implique de continuer sur la voie du tout-ski. On évoque également ce que c'est que de vivre ces transformations, de voir les conditions de ski se dégrader, alors que pour certaines familles comme celle des Piccard, le ski n'est pas qu'un sport. C'est une histoire de famille ainsi qu'une histoire olympique. Notre enjeu avec cet épisode : faire prendre conscience que l'on ne peut plus skier aujourd'hui comme on skiait hier, et en toile de fond, aborder discrètement la question du renoncement dans le sport. Bonne écoute et merci à l'IGN (Institut national de l'information géographique et forestière) de nous soutenir dans cette belle aventure sonore. https://lnkd.in/eFH94DCW

Quelles sont les règles du Vendée Globe? Le Vendée Globe est une course au large qui est autant une aventure humaine qu’un exploit sportif. Ce statut unique dans le monde du sport, elle le doit aux règles que les skippers doivent respecter pendant tout leur tour du monde sur leur Imoca, en solitaire. Les skippers du #VendéeGlobe sont généralement vus comme des héros par les passionnés de nautisme, mais aussi par le Grand Public. Et cela semble évident, vu ce qui attend ces marins solitaires pendant plusieurs mois. Ils vont affronter les mers, seuls, sur un voilier de 18 mètres, et sans assistance. Cette course, créée par Philippe Jeantot en 1989, mérite bien son nom d’Everest des Mers. https://lnkd.in/efci4GDP Je vous propose de découvrir les règles du Vendée Globe, strictes, que doivent respecter le

Comparer le règlement sportif des 24 Heures du Mans avec celui du Vendée Globe peut être osé. Il y a pourtant quelques comparaisons à en tirer.

𝗣𝗮𝗻𝗼𝗿𝗮𝗺𝗮 𝟮𝟬𝟮𝟰 - 𝘌𝘹𝘵𝘳𝘢𝘪𝘵 #2 Les 3 activités préférées des français L'hiver, la proportion de non-skieurs est en constante progression, le développement constant de l'appétence pour la montagne ouvre la voie à un changement de paradigme. La modernisation des remontées mécaniques a également libéré du temps pour les autres activités.🏔 Le VTTAE (VVT à assistance électrique) est omniprésent à la fermeture annuelle des pistes et d'après le baromètre du ski 2022 (Ipsos pour DSF), les 3 activités préférées des Français sont :      1 · Les balades à pied (49%)      2 · Le ski alpin/snowboard (48%)      3 · Les raquettes (29%) Les stations d'altitude ont également investi dans des activités pour les non-skieurs, de luge racing avec le Moriond Racing de Courchevel, de balades à cheval dans la réserve naturelle du lac de Tuéda de Méribel, dans un Muséum des animaux de montagne au milieu du domaine skiable des Arcs, ou encore de l'ice floating en découpant la glace des lacs gelés en altitude à Tignes, Val d'Isère ou Val Thorens. ❄ 📖 Pour en savoir plus, consultez notre étude annuelle de l'immobilier de montagne ici https://lnkd.in/e8FVWXbh