Journée mondiale de la #procrastination aujourd'hui o La procrastination est très ancienne, elle date de la Grèce antique. Puis, elle est réapparue en France au XVIe siècle, et on l’emploie de nouveau de plus en plus depuis une vingtaine d’années : « C’est dû à l'accélération de notre société et du fait que l’on remplit de plus en plus nos agendas. On a besoin de plus en plus de notifications pour nous rappeler de faire les choses. Or, les philosophes en ont parlé depuis très longtemps, ils l’appelaient l’acrasie, c’était l’absence de pouvoir, la faiblesse de la volonté. Cela remet nos convictions à l'envers, car depuis les Lumières, on nous dit que nous sommes des êtres rationnels, gouvernés par la raison, hors la procrastination montre que nous sommes parfois incohérents en faisant le choix du pire », comme l’explique Mathilde Ramadier. Extrait de l’article sur #FranceInter, Émission La procrastination, l'art de remettre au lendemain https://lnkd.in/eaPxmrRz #bienetreautravail #rse #qualitedevieautravail #handicap #inclusion #developpementpersonnel, #gestiondustress #yogaautravail #massageautravail #ea #entrepriseadaptee #JourneeMondialeProcrastination #Joam
Post de Joam Pour Mieux Être
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Réflexion: je rentre de l’étranger où j’ai pu voir une société différente, enviable où les gens se parlent, prennent le temps de la rencontre avec l’autre (qu’il soit lent ou vieux ou bébé ou… etc), plus spirituelle, ou les ambitions matérialistes et productivistes n’entachent pas les relations entre les personnes, n’entretiennent pas la pression d’ici, qu’on impose à tout le monde (ou rien, chômage), jusqu’aux enfants… qui rend fou ou malade et qui crée une jeunesse, mal habile à la relation, qui crève la substitution d’ envie de vivre à celle de consommer même quand on voyage on « fait » un pays, une ville, sans prendre le temps d’en passer avec les locaux … plus jamais être dans le être mais dans le faire … revisitons notre société et nos entreprise : s’il y a besoin de bien-être au travail, de coachs de vie, d’ateliers de mindfulness etc… c’est aussi parce que le mal être est partout, chez les jeunes, les middles, les vieux, les très vieux … les maladies professionnelles, la solitude, l’exclusion des vieux, des chômeurs, étrangers, mauvais élèves… qui ne rentrent pas dans les cases de la productivité, la dépression galopante qui va avec partout… La violence qu’on retrouve, dans les incivilités, même dans la plainte du quotidien, le « ça pourrait aller mieux si … » re semble un cri collectif de frustration et de désenchantement - à l’échelle de toute une société - à s’envisager autrement que par une identité d’homos économicus, élevés, éduqués, calibré, évalué, jetté… et pour ces derniers exclus, la honte d’une soit disante inutilité économique, d’un coût social, d’un poids pour les autres ? L’arnaque du « droit à la considération » liée à l’arnaque à « la valeur » ? Conséquence = En-sauvagement ? On ne peut respecter ce genre de schéma de société « le vivre ensemble » réduit à sa plus simple expression…. À ces conditions ça me paraît logique, voire sain !! Alors on continue comme ça ? Merci d’avoir pris le temps de me lire, de prendre le temps d’y réfléchir avant de réagir … cette méditation sur nos styles de société nappelle qu’au dialogue
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PRENDRE SOIN DE LÀ OÙ ON VIT... C’est là où j’habite. Là où je fais mes courses, là où je vais au ciné, là où je vais danser, là où j’invite les amis, là, sans doute, où je serai enterrée. Le lieu où l’on vit, le territoire – comme on dit de façon un peu plus jargonneuse – est le lieu du quotidien. Pas forcément pour la vie. On peut en changer, par choix ou par obligation, mais le lieu de vie est important voire déterminant pour notre équilibre, notre épanouissement, notre qualité de vie, nos liens sociaux et notre santé. Et parce qu’il est important, il doit être un élément majeur de notre attention et des politiques mises en place à tous les niveaux. On doit en prendre soin. Parce qu’il est souvent fragile, spécifique et mouvant. Voir se dégrader son territoire ou contribuer à le dégrader, c’est un peu détériorer son nid, sa maison, son cocon. Quand la qualité de l’air, de l’eau, des relations, de l’habitat, des services de soins, de l’éducation, etc. se dégradent, c’est une souffrance, comme une injonction à le fuir, quand on le peut, à partir sans en avoir envie. C’est quitter ce lieu où, il fut un temps, on était si bien. Pourtant, revendiquer l’importance du local serait un peu désuet, suranné, dépassé, dans cette société mondialisée, hyperconnectée où l’on peut (ou doit) être partout en même temps. Revendiquer le local serait même considéré comme réactionnaire, allant à l’encontre de la « modernité ». Pourtant, n’est-ce pas justement lorsque l’on prend soin du local que l’on est confronté à tous les enjeux que traverse la société ? N’est-ce pas à cette échelle, que l’on perçoit le mieux, par exemple, les dégâts de l’arasement des haies sur l’érosion ou les évolutions de la démographie médicale ? Prendre soin de là où l’on vit, ce n’est pas du repli sur soi. Au contraire. C’est l’absence de politiques volontaristes, de dynamiques et de moyens financiers dans certains territoires qui fait émerger la violence, la peur ou le sentiment de déclassement. Alors qu’au contraire vivre dans un territoire dont individuellement et collectivement on s’occupe c’est comprendre et agir, sortir du fatalisme et du repli sur soi. Alors on peut retrouver l’espoir et l’envie. Les territoires ne sont pas des supports où l’on peut implanter ou détruire tout ce qu’on veut, ce ne sont pas des variables d’ajustement des politiques. Tout comme le sol pour les plantes, ils doivent être respectés et nourris de culture et de liens pour faire germer des enchantements et produire de la joie. Sylvie LE CALVEZ, directrice de publication de Village
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du travail, je n'en ai rien gardé de leçon philosophique, si ce n'est que la praxis, le concept phénoménologique, la nécessité et le principe indissociable à la survie de l'homme indépendamment de la qualité duquel travail, au sens sociologique. en termes religieux, le travail découle du péché originel, qui n'est pas sans être une seconde chance pour l'homme et contraste la naissance du monde en science. sans pousser plus loin, voici sommairement mes concepts du travail. il semble que certains n'aient pas bougé d'un iota, c'est ma réaction, si cela devrait contenter dans les ténèbres. les termites travaillent, les abeilles travaillent en construisant des ruches, même si les modèles n'ont pas évolué. les fauves pratiquent la chasse, l'homme préhistorique pratiquait la chasse/la cueillette. vaguement et pour faire table-rase de cette question à la fois essentielle, épineuse, incontournable, embarrassante à maintes facettes, mais aussi préventive de dérive. parce qu'aussi bien le chômage, le licenciement abusif que la paresse et la fainéantise sont des tares sociétales. les grèves et manifestations syndicales sont de moins en moins à l'ordre du jour, encore moins les révolutions et la toute dernière ramène à la révolution numérique et digitale. si tous les travailleurs indépendamment de leurs statuts doivent s'unir, il est judicieux que cela prennent en compte les aspects et les modes nouveaux du travail liés à la facilitation, à la santé et à la conservation des sujets. C'est ainsi que le burn-out est de plus en plus stigmatisé en milieu professionnel de nos jours. #Être parti du #Travail : #Perspective #Rocambolesque, #Sinueuse & #Déroutante : #Merde...On Est Où ⁉️⁉️ #Marx n'était-il pas plus #idéaliste que #marxiste ⁉️⁉️ #Bon #Objectif N⁰ 1: #Retour #Á #La #Maison #Bisou
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Pour revenir sur la notion de #travail et de mon dernier poste au sujet de Baudelaire : ) « D'après #Kant, l'Homme se dicterait librement le travail car il en aurai besoin pour se libérer de la nature qui est en lui. En effet, le travail est une activité qui induit de suivre des règles, et ces règles permettent à l'être humain de se libérer de la nature qui réside en lui, c'est-à-dire de se civiliser. » « Le travail amène également vers la liberté. Selon #Hegel, l'homme serait soumis à la nature qui lui est imposée, mais avec le travail, activité rationnelle, s'oppose à la nature avec le technique et la transformation. De cette manière l'homme se libère de ces “lois” de la nature et accède à sa liberté. » Pour ma part, il ne s’agirait pas de se libérer de sa nature mais de la transformer en #profondeur pour vivre en paix avec elle-même, pour vivre en symbiose avec soi-même. Une deuxième hypothèse serait que le travail permettrait à l’Homme de mieux comprendre ou de mieux interpréter sa nature pour mieux l’intégrer . Une compréhension qui amènerait à la paix intérieure ? #Amour #Connaissance #Symbiose #Paix Jeter sa nature avec l’eau du bain ou la nier n’est pas la solution il me semble. Car c’est bien dans la Nature que la vie existe. #Vie #Nature #Natalité « La nature, c'est l'existence des choses, en tant qu'elle est déterminée selon des lois universelles. » Kant #Universalité Il me semble aussi que la Pensée ne fait que tendre vers cette universalité, à la fois source d’évolution mais aussi de sentiment de complétude jamais satisfait parce sans cesse en mouvement vers un au-delà. #Au-delà #infini Ne nous reste-t-il plus que raisonnablement à poser des limites à notre pensée pour trouver du repos ? #Raison #limite #Repos Il me semble aussi que rien n’est le fruit du hasard, nos politiques devraient se pencher sur ces questions. #Politique Marc Lefrançois
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Est-ce que cela ferait une différence si nous montrions des réfugiés qui décorent leur intérieur de fortune avec un soin inouï ? Si nous racontions à quel point un éboueur peut aimer son boulot et en être fier ? Si nous écoutions une enfant d’immigrés expliquer à quoi cela sert que la première génération ne s’intègre jamais vraiment et reste cœur et âme « là-bas » ? Si nous disions, avec les mots de celle qui en vient, la honte que c’est d’être pauvre ? Si nous parlions de l’avortement en entrant dans la tête de celle qui n’a pas avorté mais a rayé vingt ans de sa vie ? Est-ce que nous nous comprendrions mieux les uns les autres, par-delà les frontières visibles et invisibles qui traversent les sociétés fragmentées qui sont les nôtres ? Je ne sais pas. Mais, à travers L’Intimiste, j’essaie. J’essaie de faire entendre la voix de ceux qui ne vivent pas ou ne pensent pas comme nous, et pourtant nous touchent. Parce que je ne peux pas m’empêcher de croire que le partage des expériences de vivre intimes aide à construire des proximités affectives avec des inconnus. Car on atteint souvent, par là, l’humain à l’état pur. La fin de vie, les relations parents-enfants, l’amour, le deuil, la parure, le corps et l’ensemble du quotidien sensible renvoient à ce que nous vivons tous, même si nous ne le vivons pas forcément de la même manière selon la civilisation ou l’époque. Et qui peut nier l’importance, aujourd’hui, de cultiver ce terrain commun qui permet de se parler en dépassant les clivages culturels et idéologiques ? Enfiler la peau de l’autre, plonger dans des psychés et des manières de vivre autres que les nôtres, est à mes yeux l’un des plus sûrs moyens d’échapper aux simplismes et aux jugements à l’emporte-pièce. Les médias doivent contribuer à « l’effort pour imaginer ce qui diffère de soi » dont parle Proust. Peut-être même est-ce la condition préalable pour faire advenir ce que le philosophe Michaël Foessel appelle une « démocratie sensible » qui devient urgente. L’Intimiste fait sa part, comme le modeste colibri de la fable. Est-ce vain ? Je me pose beaucoup de questions, par les mauvais temps qui courent… [Pour ceux et celles que cela intéresse, je mettrai en commentaire les liens vers les récits évoqués au début du post, sur demande.] 📸 Bruno Fert, tirée de son travail essentiel sur l’habitat dans la « jungle » de Calais, avant son démantèlement.
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La fatigue D&I (diversité et inclusion) Je voulais partager cela avec vous J’étais invitée à un événement organisée par KOKOROE qui fêtait ses 10ans, avec de prestigieux invités, et parmi eux une intervention que j’ai apprécié de Marie-Pierre Rixain , députée et membre du haut conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes. Je trouvais au début son discours trop institutionnel à mon goût , mais je me suis réveillée quand elle a présenté un petit livre rouge sur la « D&I fatigue » co-écrit avec toute une équipe. Il m’était incroyable de découvrir l’ampleur du phénomène dans notre monde en constante évolution, où justement ces enjeux de Diversité et d’Inclusion sont de plus en plus dans les débats sociétaux. Nous aspirons à un meilleur vivre ensemble et le phénomène du ras le bol sur le sujets d’inclusion et de diversité semble gagner du terrain , suscitant ainsi lassitude et résistance croissante! Fou non? Alors que je cherchais du boulot à 58 ans , des personnes envieuses me disaient « tu as de la chance , à ton âge , si on n’est pas une femme , on n’a pas de poste.» Des choses que je n’aurai jamais imaginé exprimée aussi clairement , avec cette pointe de jalousie , et en creux l’idée appuyant lourdement sur l’autre constat : « pourquoi tu prends le boulot d’un homme? » à un moment où je pensais que ces questions étaient lissés. Il arrive que certain se sentent menacés ou désavantagés par des initiatives de diversité et d’inclusion. Une certaine saturation commence à prendre son espace, provoquant chez d’autres un sentiment de culpabilité - c’est ce que j’ai un peu ressentie avec l’équation: être femme, senior et obtenir un poste sympa comme le mien , cela revenait presque à faire face à une accusation : mérite tu ton poste? Ou bien es tu le résultat d’un quota ? Mais toujours est-il qu’il y a là un phénomène de lassitude - à quoi est il lié ? Surcharge d’informations ? de sollicitations ? Submersion par les actions et attentions à porter sur le D&I? Pression permanente que chacun ressent et peur de mal faire, d être maladroit ? Pour finir je me dis aussi que le “social-washing” d’entreprises qui ont tenté de se donner une image progressiste sans pour autant mener d’actions concrètes a plus exaspéré qu’aidé - non ? Alors que faire ? Peut être démarrer en se disant simplement que chaque action même symbolique à une Valeur? Si vous vous demandez ce que peut être une petite action je vous recommande d’aller voir le film “ un p’tit truc en plus” , de l’excellent Artus . Certes il n’adresse qu’un aspect uniquement du vaste champ adressé par D&I - mais il remet les idées en place -une petite chose , un petit acte , une pensée nouvelle peut avoir un grand impact tout simplement - et c’est ainsi que ça marche , pas à pas, mais jamais lâcher prise ! #D&Ifatigue #D&I #diversityandinclusion #effort #unpetittrucenplus #nerienlacher Photo : un autre petit livre rouge 📕😉 et les présidentes de Kokoroe
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💗 20 mars 𝐽𝑂𝑈𝑅𝑁𝐸́𝐸 𝑀𝑂𝑁𝐷𝐼𝐴𝐿𝐸 𝐷𝑈 #BONHEUR proclamée par les United Nations. Son 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 sortira aujourd’hui et dire qu’il y a encore beaucoup à faire serait enfoncer une porte ouverte. Une seule journée quand il en faudrait 365 serait une utopie. Mais cette occasion (résolution prise par les Nations Unies depuis 2012) a un objectif essentiel : « Informer le grand public sur des thèmes liés à des enjeux majeurs comme les droits fondamentaux, le développement durable ou la santé…permettre d’organiser des activités de sensibilisation et de mobiliser des ressources ». Sénateurs, ambassadeurs, professeurs émérites, experts de l’impact international, chercheurs, médecins etc présenteront les résultats de l’enquête 2024 et l’état des lieux de la perception du bonheur et du bien-être de tous les peuples, ainsi que les développements économiques et politiques qui l’impactent, l’affectent ou l’améliorent. Avec une moyenne de 35-40 ans passés à travailler en France, 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗯𝗼𝗻𝗵𝗲𝘂𝗿 𝗮𝘂 #𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲́𝗴𝗶𝘁𝗶𝗺𝗲🚦, travail qui participe au développement et à l'insertion de chacun dans la société. Pour ma part, je trouve mon bonheur professionnel dans les rencontres, l’échange, la découverte, le partage d’idées, la conception de beaux projets ou d’outils de #communication utiles. Un bonheur personnel : 📝 l’#écriture au calme, poser les mots affutés qui insuffleront à un #message la valeur qu’il mérite pour mes clients. Et pour le bien-être de mes neurones, je mesure ma chance de prendre le temps d’une marche en forêt, une parenthèse-bonheur dans la concentration quotidienne ! Et vous, 𝗲̂𝘁𝗲𝘀-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗮𝗻𝗱 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗲́𝗱𝗶𝗴𝗲𝘇 ? Géraldine de Friberg 𝗟𝗮 𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗖𝗼𝗻𝘃𝗲𝗿𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 Stratégie de communication - Création éditoriale
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Puisque vous me demandez mon avis : Il ne s’agit ni d’ignorer les difficultés réelles que traverse la France, ni l’opinion de millions de gens qui ont le droit de voter comme ils l’entendent. Mais j’ai la chance d’avoir séjourné dans un grand nombre de pays, et quand on fait les comptes, très peu nombreux sont ceux où la majorité des êtres humains vivent en paix, mangent à leur faim, ont accès aux soins, peuvent étudier, se déplacer et s’exprimer librement, qu’ils appartiennent à la majorité ou à une minorité quelconque (nous faisons tous partie d’une minorité pour quelque chose qui nous tient à cœur !). Quand on a la chance de vivre dans l’un de ces pays, il est bon de se souvenir que cette situation d’équilibre n’est pas forcément définitive. Cela vaut pour ceux qui sont prêts à prendre le risque de rompre cet équilibre, comme pour ceux qui n’ont pas su l’entretenir et donner confiance en l’avenir. Cela vaut aussi pour tous ceux qui n’y pensaient pas ou plus. Ne soyons pas un pays qui oublierait de se préoccuper sérieusement des grands enjeux de l’avenir pour se focaliser sur le court terme. Ne soyons non plus pas un pays qui oublierait de se réjouir de ce même court terme quand par exemple la flamme olympique arrive chez nous et nous donne l’occasion de vivre un vrai moment d’unité mondiale. Ne soyons pas enfin un pays qui oublierait qu’il a plus qu’il ne pense pour être heureux ! Pour essayer d’être heureux, souvenons-nous du fait que nous avons tous le pouvoir d’agir, ici et maintenant, là où nous sommes. Pas simplement en exprimant notre mécontentement, mais aussi et surtout en posant, chacun à sa mesure, de petits et grands actes qui rendent heureux en contribuant à un mieux, « pour moi, pour toi, pour les voisins, pour notre pays, pour la vie des générations à venir... ». Dans notre sphère personnelle, dans notre travail, dans notre retraite, dans nos difficultés, « créer le monde que nous voulons est bien plus puissant que de détruire le monde dont nous ne voulons plus » nous rappelle Marianne Williamson. Au fond nous avons tous les mêmes besoins. Alors créons ce monde ensemble plutôt que les uns contre les autres.
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“L’origine latine du mot travail est tripalium”. C’est ce que l’on m’a répondu quand je me suis plains de mes difficultés et de la dureté de mon travail. 👶🏾 Au tout début de ma jeune carrière pro et du haut de ma naïveté, j’ai pris mon courage à deux mains pour évoquer les difficultés que je rencontrais. Je faisais régulièrement des erreurs et l’une des pistes selon moi, était de revoir la charge de travail. 🤯 L’échange se déroule normalement, fin, je crois. Mais ce qui m’a marqué, c’est cette phrase “L’origine latine du mot travail est tripalium”. Sur le moment, je n’ai pas compris. Mode déni activated! 📴 Pour la faire courte, la situation ne s’est pas améliorée et j’ai préféré sauver ma peau. Bien plus tard, j’ai conscientisé la violence du propos et du contexte global de travail. J’aime à dire que cette expérience d’une année est un ressenti de 5 années. Le monde du travail perpétue très bien les dominations de classe, de race et de genre et je l’ai expérimenté sans y être préparée. ⁉ Ça a été le déclencheur sur mes questionnements au sujet du monde du travail et de justice sociale. La diversité et l’inclusion ont la hype en ce moment, mais ça demande une réelle et profonde remise en question dans le travail. À l'ecchelle individuelle “Suis je sain pour l’autre?” et à l'echelle collective “Le cadre est il sain et accueillant pour l’autre ? “. ✊🏾 Pour cette journée de lutte pour la défense des droits des travailleuses et travailleur, c’est l’occasion de se rappeler que l’on n'est pas là pour souffrir ok ?! Pour poursuivre la réflexion, voici mes recommandations en commentaires. #JusticeSocialeAuTravail #InclusionProfessionnelle #Travail #1erMai #PasLàPourSouffrir
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