Post de Joel Jedidia Gnolou

De l'urgence de repenser le transport de personnes au Sénégal Le calvaire subit par les voyageurs pour la tabaski appelle une réflexion en vue de trouver des solutions structurelles. Il faut d’emblée noter que le transport de personnes est une question hautement stratégique notamment sur le plan économique et sur le plan de la sécurité. Au regard de l’état du problème, il convient d’opter pour des mesures fortes pour dépasser ce genre de difficultés. Ainsi donc, la solution pourrait consister à : -      favoriser l’émergence de sociétés privées de transport pour susciter la concurrence et apporter une réponse adaptée aux limites apparentes de notre système de transport. Cela est d’autant plus compréhensible que le déplacement des personnes et de leurs biens est une prérogative de service public. Fort de cela il convient d’envisager l’arrivée de nouveaux acteurs capables de s’acquitter convenablement de cette mission car le modèle actuel a largement montré ses limites; -      relever l’âge des véhicules de différents gabarits destinés au transport des personnes pouvant être importés tout en redéfinissant des conditions strictes de délivrance de licences pour le transport des personnes. Cette mesure va de paire avec le retrait de la circulation des véhicules dont l’obsolescence ne permet plus d’évoluer dans le segment transport ;  -      élaborer un cahier de charges à respecter et exiger une formation plus rigoureuse en direction du personnel d’exploitation des véhicules (chauffeurs, billeteurs…). Cette option permettra de revaloriser le métier des ingénieurs au niveau des services régionaux en charge du transport qui auront ainsi plus de matière ; -      permettre l’usage du gaz à la place du carburant pour les voitures de transport en commun pour abaisser le coût du transport et de relever la qualité des prestations dans les gares routières. En effet, le gaz étant plus économique que le carburant, la contrepartie de cette dérogation sera d’exiger un départ avec des horaires fixes déterminés de commun accord entre les parties prenantes du transport. Ainsi, le client ne sera plus amené à connaître un retard du fait du manque de clients ;  -      promouvoir un système de surveillance dans les gares routières à la veille des grands événements. L’objectif est d'enrayer toutes les velléités de spéculation sur les prix. Ces propositions permettront d’imprimer un bon qualitatif à notre système de transport pour résoudre durablement les problèmes devenus endémiques. Elles devront naturellement être éprouvées et enrichies par les spécialistes du ministère en charge de la question. Adrien Théodore DIENE Conseiller d’orientation psychologue Diplômé en sociologie et en Développement international Ministère de la Famille et des solidarités Courriel : adrien.diene@yahoo.fr

Le débat fait rage : qui a raison et qui a tort sur sur les routes encombrées de la capitale congolaise ? Cette femme sur sa moto, bravant les embouteillages, incarne l'opinion de certains qui estiment que les conducteurs de moto, communément appelés wewa, sont dans leur droit. D'autres, au contraire, affirment que ce sont les chauffeurs qui ont raison, critiquant souvent le non-respect du code de la route et le manque de civilité des wewa, parfois accompagné d'injures faciles. Et vous, vous en pensez-quoi ? Les embouteillages contraignent ceux qui veulent éviter d'être bloqués à choisir les conducteurs de moto. Ils se faufilent entre les véhicules, enfreignant le code de la route pour arriver plus rapidement à destination. Cela n'est pas sans risque, car les accidents sont fréquents et les mesures de sécurité, comme le port du casque, sont souvent négligées. À Kinshasa, il m'arrive souvent de recourir à ce moyen de transport pour échapper aux embouteillages. Bien que je ne le recommande pas, parfois, c'est le seul choix entre être coincé dans le trafic ou opter pour la marche à pied. Cette réalité, palpable lors d'une visite dans mon pays d'origine, m'a inspiré à la présenter à travers cette vidéo, mettant en lumière mes compétences de chargé de communication. Si vous n'avez pas encore pris le temps de vous connecter à mon profil sur ce réseau, c'est le moment idéal pour embarquer avec moi dans cette aventure humaine et professionnelle. #Kinshasa #Trafic #Communication

Oniva Motors se joint à l’appel de Bill Diara à #Aidonsnousàregler# un problème accru par les mauvaises priorités et les froussards. Il faut combien de morts pour que les propositions, comme celle de Bill Diara, Tukijamm, des services War Gainde ou le projet Oniva Motors, soient considérées comme élément critique d'une solution à la recrudescence meurtrière d’accidents des transports publics terrestres? Jusqu’à quand les grandes théorisations de bureau par les responsables et les « experts » sur la réglementation? Quel point de vacuité doivent atteindre des structures comme l’Agence pour la sécurité routière ou le FDTT? Jusqu’à quand les yeux fermés?! Combien de bus sans passer la visite technique (un 40% des Tatas !) sont suffisants pour justifier les vies qu’ils coûtent à cause du mal fonctionnement des freins ou le manque d’entretien? Combien d’amendes justifient le j’e m’en foutisme des vrais responsables des conditions opérationnelles des véhicules, le manque de formation des conducteurs et les conditions de travail des conducteurs ? La force policière, les codes de la route, les décrets, les belles déclarations s’avèrent être rien que des amuse-vies, c’est lamentable de le dire. Et ceux qui ont la capacité d'investir ou de financer des solutions réalistes comme celle de Oniva Motors sont incapables de sortir de leur boite noire : zéro risque, importation de véhicules avec bénéfice facile et rapide mais qui sont inadaptés aux réalités et en plus coutent une petite fortune à ceux qui n’ont pas de « parrain » ; ou pire encore, à l’attente que ce soit une société étrangère qui vienne tout faire et ensuite se vanter de participer à une solution importée. Il y a de bonnes solutions à portée! Oniva s’attaque de front au nœud gordien du transport terrestre public: l'industrialisation endogène. C’est une approche ancrée dans le réalisme et le réalisable. Parce que la priorité du moment n’est pas la digitalisation en soi sinon celle de réinventer des solutions endogènes que la digitalisation puisse renforcer. La souveraineté économique passe par la recherche et la mise en valeur de ce qui dépasse toute solution cosmétique, qui panse la plaie avec des modèles importés mais finit par la gangréner et plonge le secteur des transports terrestres dans l’abysse de la dépendance. Si le problème matériel à la base n’est pas réglé la digitalisation n’aura pas d’intérêt pour des acteurs qui ont besoin d’être motivés et d'améliorer leurs compétences et surtout d’être inclus dans la réflexion. C’est pourquoi Oniva Motors Senegal fait appel aux petits porteurs -- les groupements de transporteurs, y inclut les War Gaindé, de services de mobilité, de mécaniciens, de femmes, de producteurs agricoles, etc. -- qui veulent faire partie de la solution à la saignée des vies sénégalaises par le transport public. L'union fait la force! L’investissement minimum : 6 millions Fcfa. Vous pouvez communiquer avec nous à travers le site web : www.onivamotors.com

J'ai besoin de vous. 🇨🇵 De #Lille à 🇬🇦 #Libreville. #HOLEB est prêt à être testé, et nous recherchons activement des chauffeurs sur #LBV et #FCV qui souhaitent rejoindre cette aventure, ainsi que des bêta-testeurs – passagers et chauffeurs – pour nous aider à peaufiner chaque détail. Que vous soyez conducteur ou simple utilisateur, chaque retour compte pour faire d’HOLEB un service qui vous ressemble vraiment. À ceux qui souhaitent nous soutenir : #Chauffeurs : Nous avons besoin de vous pour tester, donner vie à cette vision et offrir un transport de qualité. #Partenaires : Toute personne pouvant nous mettre en relation avec des responsables du projet Taxi Gab+, de la Fédération des Transporteurs Urbains et Interurbains Gabonais, ou tout autre acteur du transport est la bienvenue. #Volontaires et #Talents : Que vous soyez designer, développeur, expert en finance, ou tout simplement passionné par ce projet, rejoignez-nous ! Chaque compétence peut faire la différence. Côté Passager : L’expérience est conçue pour être ultra simple et sécurisée : 1. Une fois inscrit, le passager peut se géolocaliser automatiquement ou entrer son adresse de départ et sa destination. 2. Après avoir validé, il obtient une tranche de prix et choisit la catégorie de véhicule. 3. Il envoie la demande aux chauffeurs à proximité et peut suivre le trajet du chauffeur avant son arrivée. 4. Quand un chauffeur accepte, un code est généré pour des raisons de sécurité. Le passager le donne au chauffeur pour démarrer la course. 5. Une fois arrivé, il règle la course et attribue une note au chauffeur pour toujours améliorer le service. --- #Gabon #HOLEB #Unité #TransportPourTous #Partenariat #MobilitéGabon #FiertéGabonaise #TaxiGab #GaTaxi #holebtechnologies --- Présidence de la République gabonaise Présidence du Comité de la Transition et la Restauration des Institutions Communication Gouvernementale Brice Clotaire Oligui Nguema Raymond Ndong Sima Loïc Dieudonné Moudouma (RET)

Enquête express   EMBOUTEILLAGES A ABIDJAN    Un calvaire pour la population   Une vue d’un embouteillage de véhicule à Abidjan  Photo : Internet Depuis plusieurs Années les populations Abidjanais ont du mal à se déplacer dans la capitale économique Ivoirienne. Celles-ci doivent faire face à ces embouteillages car il est impossible de circuler sans être dans un bouchon. Les victimes évoquent la mauvaise conduite des chauffeurs, et les travaux sur les routes à n’en point finir. Ce qui impacte le quotidien des abidjanais.  Y a-t-il des solutions à ce phénomène ?   Lundi 25 Mars 2024 il est 10h plateau gare sud, ici élèves, étudiants et travailleurs attendent les bus qui sont ‘’certainement’’ dans les bouchons. Une jeune élève, exprime sa colère :« les embouteillages nous fatigue beaucoup, on sort à cinq heures, le bus arrive à six heures, malgré cela, nous sommes toujours en retard ».   Le fait que toutes les administrations se retrouve à Abidjan est le véritable problème des embouteillages. « Les embouteillages sont les raisons du retard au service, il faut se réveiller tôt et cela agit sur la vie familiale, les rendements au travail est mauvais et cela provoque des sanctions Comme résolution il faut désengorger Abidjan », Affirme N’Guessan Elie un jeune entrepreneur.   Les embouteillages à Abidjan son dû à la vétusté des voies « les anciennes voies que le pays possède ne correspondent pas aujourd’hui aux nombres de la population dans la mesure ou la population d’Abidjan s’est accrue. Chaque personne fait l’effort d’avoir un véhicule et lorsque on n’a un véhicule on veut bien vouloir utiliser du cout si nous avons une fois deux voies cela ne peut pas faire l’affaire » S’estime-t-il.   Les travaux qui son entrain d’être réalisé à Abidjan créent également les bouchons. « Les travaux au niveau du carrefour Akwaba qui font que depuis le début, les embouteillages commencent du pont Félix Houphouët Boigny au carrefour Akwaba », explique M. Kacou Bi usager. IL accuse également les forces de défense et sécurité de créer des barrages anarchiques. « Les forces de défense et de sécurité opèrent des contrôles tous azimuts. Créant ainsi, des bouchons car plusieurs voitures sont interpelées à la fois ». Dénonce-t-il. Selon lui pour résoudre les problèmes de bouchons à Abidjan il faut terminer au plutôt les travaux routiers. « L’achèvement de la réalisation du quatrième pont facilitera le déplacement de tous ceux qui vont à Abidjan ouest (Yopougon et autres) car beaucoup l’emprunter pour les voyages et pour ceux qui veulent contourner les embouteillages en passant par la MACA », conclue-t-il. KOOMSON FRANCIS

Qui n’a jamais emprunté un taxi ? Qui n’est jamais monté dans un minibus ? Qui ne s’est jamais rendu à l’intérieur du pays dans les autocars ou autres véhicules de transport en commun ? Qui n’a jamais engagé un chauffeur pour le conduire ou emmener ses enfants à l’école ? Presque tout le monde a eu recours à un chauffeur, soit pour des courses ou dans le cadre du transport en commun. Nous critiquons parfois leur façon de conduire, mais jamais de question sur les conditions de travail ou de vie de ces chauffeurs qui nous conduisent. Sont-ils bien payés ? Sont-ils déclarés à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale ? Tout est-il mis en œuvre pour que ces gens qui tiennent notre vie en main, soient lucides au volant ? Pas très sûr. Les chauffeurs en Guinée, sont confrontés à une série de problèmes : l’absence de la réglementation du travail, la multiplicité de postes de contrôle, le harcèlement, les agressions policières, le manque d’équipements de sécurité, le mauvais état de routes… Si au niveau de l’amélioration des conditions de travail, des efforts ont été faits dans certains pays, la Guinée est encore à la traine. La majorité des chauffeurs vivent une vie professionnelle de martyr. #ChauffeursenGuinée https://lnkd.in/e-Fx7y3V

Entre 2022 et 2023, l’achalandage dans le transport collectif chez exo est en hausse de 25 % pour l’ensemble des modes de transport du réseau. Pour la Couronne Nord, la ligne du train de banlieue de Saint-Jérôme est la plus achalandée du réseau. 

Il faut en finir avec cette saignée du Sénégal ! L’insistance sur la mise en place de systèmes et d’équipements de transports importés est entrain de peupler un cimetière de vies tronquées et de tragédies familiales. Le manque accumulé d’investissements dans des infrastructures de transport appropriées, qui répondent aux besoins des opérateurs et des usagers plutôt qu’à ceux de l’aide et des entreprises étrangères, a abouti à des solutions malsaines. Des infrastructures routières étendues, des véhicules appropriés au bon endroit et au bon moment, sont un facteur crucial pour déterminer un système de transport de qualité appropriée. Mais il faut fuir ce réflexe ou faux sentiment d’obligation de rechercher des conseils et des «solutions» auprès des organisations et consultants internationaux. Ils considèrent les systèmes de transport africains axés sur les réalités des populations autochtones comme «dépassés» et favorisent le copier-coller de leurs modèles (non-africains) et l’importation de leurs véhicules neufs et d’occasion. Il faut plutôt demander l’avis d’experts basés au Sénégal qui connaissent et comprennent les réalités du secteur. Les transports publics du pays ne peuvent pas être planifiés et développés sur des hypothèses élaborées à New York, Paris ou Tokyo. De meilleurs transports peuvent et doivent rapprocher les Sénégalais pour soutenir leur développement économique. Pour ce faire, les véhicules doivent répondre aux BESOINS LOCAUX, qui sont très différents de ceux des États-Unis, de la France ou du Japon. Les bus de grande capacité ou les minibus, tous deux à plancher surbaissé et dotés d'énormes fenêtres, sont conçus pour les conditions des pays non africains. Ils sont INADÉQUATS aux besoins d’un transport sur des routes à double sens sans accotement, ouvertes aux animaux et aux enfants ou aux motos qui traversent sans avertissement, qui sont balayées par les nappes de sable sahariennes ou inondées pendant la saison des pluies et plus tard piqué par un soleil qui grille. Plus le véhicule est gros, moins il est maniable et plus grand est le risque d'accident. Capacité plus élevée = plus de décès. Ce n’est pas pour rien qu’en Afrique de l’Ouest, les bus sont appelés «des tombeaux roulants» ! Oui, le facteur humain et une faible formation jouent leurs rôle. Mais les chauffeurs ne peuvent pas servir de bouc émissaire pour les défaillances des responsables des investissements. Le nouveau Ministre des Infrastructures et des transports a une opportunité en or pour changer les données du système qu’il a trouvé en place. L'objectif clé devrait être de fournir des solutions et des équipements de transport qui répondent aux besoins et exigences spécifiques du transport au Sénégal. Veuillez visiter www.onivamotors.com pour une solution efficace au transport interurbain de passagers : le Malaw (7-15 places) https://lnkd.in/eMnJMYEt

🔴Les pertes financières s’accumulent pour les entreprises impactées par la fermeture de la ligne de la Maurienne 🔴 ➡️ Tandis que les travaux de remise en état se poursuivent 7 jours sur 7, certaines activités comme le terminal d’Aiton sont au chômage technique 🔴 Pour rappel, la seule ligne transalpine France - Italie via Modane (73) est toujours interrompue en raison d’un éboulement majeur survenu fin août 2023. La réouverture est attendue pas avant novembre prochain, voir même mi-2025 🔴 Faute de ligne alternative au gabarit suffisant, les trains du combiné #railroute et de ferroutage entre la France et l’Italie sont en arrêt forcé durant toute cette période (sauf pour certains trafics détournés par la Suisse) ⚠️ Face à de fortes contraintes pour faire circuler les trains d’autoroutes ferroviaires et combiné à travers les alpes, les marchandises ont tout bonnement été transférées sur la route depuis l’interruption. Certains trafics conventionnels ont quant à eux pu être détournés par Vintimille ⚠️ Opérateurs de transport combiné mais aussi transporteurs routiers du dernier kilomètre, soit près de 50 entreprises de transport, sont en grande difficulté de chaque côté de la frontière. Ces acteurs ne sont pour l’instant pas soutenus par les pouvoirs publics 🔴 Le terminal AFA d’Aiton (73) est notamment à l’arrêt complet depuis l’éboulement avec près de 20 salariés mis au chômage technique ⚠️ Cette situation met en grand danger les acteurs du #FretFerroviaire de l’axe risquant d’avoir des conséquences majeures à la reprise des circulations 🔴 De plus, le report modal inversé du rail vers la route entraîné par la coupure de la ligne pendant cette longue période fait craindre un retour difficile des clients sur le rail après la réouverture. Un certain délai sera probablement nécessaire pour retrouver la confiance des clients 🔴 Bien que des moyens historiques soient mis en œuvre pour rétablir les circulations, les conséquences de cet éboulement risquent de se faire sentir bien après la réouverture et causer un véritable handicap à long terme au #FretFerroviaire sur cet axe https://lnkd.in/esy6s3dB

🔴Les pertes financières s’accumulent pour les entreprises impactées par la fermeture de la ligne de la Maurienne 🔴 ➡️ Tandis que les travaux de remise en état se poursuivent 7 jours sur 7, certaines activités comme le terminal d’Aiton sont au chômage technique 🔴 Pour rappel, la seule ligne transalpine France - Italie via Modane (73) est toujours interrompue en raison d’un éboulement majeur survenu fin août 2023. La réouverture est attendue pas avant novembre prochain, voir même mi-2025 🔴 Faute de ligne alternative au gabarit suffisant, les trains du combiné #railroute et de ferroutage entre la France et l’Italie sont en arrêt forcé durant toute cette période (sauf pour certains trafics détournés par la Suisse) ⚠️ Face à de fortes contraintes pour faire circuler les trains d’autoroutes ferroviaires et combiné à travers les alpes, les marchandises ont tout bonnement été transférées sur la route depuis l’interruption. Certains trafics conventionnels ont quant à eux pu être détournés par Vintimille ⚠️ Opérateurs de transport combiné mais aussi transporteurs routiers du dernier kilomètre, soit près de 50 entreprises de transport, sont en grande difficulté de chaque côté de la frontière. Ces acteurs ne sont pour l’instant pas soutenus par les pouvoirs publics 🔴 Le terminal AFA d’Aiton (73) est notamment à l’arrêt complet depuis l’éboulement avec près de 20 salariés mis au chômage technique ⚠️ Cette situation met en grand danger les acteurs du #FretFerroviaire de l’axe risquant d’avoir des conséquences majeures à la reprise des circulations 🔴 De plus, le report modal inversé du rail vers la route entraîné par la coupure de la ligne pendant cette longue période fait craindre un retour difficile des clients sur le rail après la réouverture. Un certain délai sera probablement nécessaire pour retrouver la confiance des clients 🔴 Bien que des moyens historiques soient mis en œuvre pour rétablir les circulations, les conséquences de cet éboulement risquent de se faire sentir bien après la réouverture et causer un véritable handicap à long terme au #FretFerroviaire sur cet axe https://lnkd.in/e_m3J9Ud