L’Anses lance un appel à candidatures d’experts scientifiques afin de procéder à la constitution du groupe de travail (GT) « LBE La Réunion ». Depuis trois ans, à la suite d’une orientation gouvernementale forte, un plan d’assainissement de la leucose bovine enzootique (#LBE) a été activé dans le département de La Réunion. Les dispositions de l’arrêté ministériel du 3 juin 2020 ont permis le déploiement progressif des mesures de police sanitaire, par ailleurs précisées par une instruction technique. À ce jour, les résultats obtenus sont encourageants, avec plus de 70% des élevages assainis ou en cours d’assainissement. Toutefois, l’assainissement est beaucoup moins avancé en filière laitière qu’en filière allaitante. Le plan d’assainissement prévoit l’élimination des animaux testés positifs dans les cheptels placés sous arrêté préfectoral. Compte tenu de l’impact financier des mesures d’assainissement pour le #cheptel réunionnais #laitier, la question de la pérennité, tant sanitaire qu’économique, de la filière bovine laitière réunionnaise se pose. Pour répondre à cet enjeu, la filière laitière a fait la demande d’autorisation de circulation de #bovins locaux porteurs du virus de la LBE mais faiblement excréteurs, afin de les maintenir en production dans des #troupeaux non encore assainis. Dans ce contexte, l’#Anses a été saisie par la Direction générale de l’alimentation (DGAL) d’une demande d’évaluation intermédiaire du volet LBE du plan global de maîtrise sanitaire bovine déployé dans le département de La Réunion. L’avis évaluera la capacité à maintenir un objectif d’assainissement de la filière laitière dans un horizon de deux à trois ans et préconisera d’éventuelles orientations sanitaires complémentaires nécessaire à la robustesse du plan et à son avancée.
Post de Johanna Fite
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Première semaine et premier lundi du mois de Septembre, Emmogéo Services vous souhaite une excellente semaine et un fructueux mois. Aujourd'hui, nous allons parler de la Peste Porcine Africaine (PPA). Récemment identifiée au Nord Bénin dans la commune de Pèrèrè, la #PPA est virose à forte prévalence avec une #morbidité et une #mortalité pouvant atteindre les 100% du cheptel atteint. Ne possédant pas de vaccin, les mesures de prévention reposent uniquement sur la #biosécurité. Pour tout éleveur, la biosécurité au sein de son élevage doit être une question prioritaire à ne jamais négliger. Nous exhortons les éleveurs porcs dont les cheptels porcins sont indemnes de la #PPA de mettre en place le plus rapidement possible un système solide de sécurité sanitaire pour préserver leurs animaux. Ainsi, #Emmogéo #Services se rend disponible pour vous accompagner techniquement dans la mise en place des mesures d'hygiène et de biosécurité dans votre ferme d'élevage et dans votre maison (pour les propriétaires d'animaux de compagnie). Nous sommes à votre service 24h/24, 7jrs/7. Le bien-être et la santé de vos animaux, notre priorité. #Biosécurité #Santéanimale #Productionanimale #Epidémiologie #PestePorcineAfricaine
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Toute exploitation qui garde des bovins doit se préoccuper de l’approvisionnement en minéraux, car chaque animal – qu’il s’agisse d’une vache laitière, d’une vache allaitante, d’une génisse d’élevage ou d’un animal d’engraissement – a des besoins en minéraux spécifiques. C’est uniquement en couvrant ces besoins que la santé et les performances des animaux peuvent être maintenues: https://lnkd.in/gev2Dyr9 #Animaux #vache #vachelaitière #vachemère #génisse #engraissement #alimentation #minéraux #approvisionnementenminéraux #besoinsenminéraux #santéanimale
Rindvieh: Mineralstoffe gezielt einsetzen
ufarevue.ch
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🚨 PREMIÈRE ÉDITION DES JOURNÉES VÉTÉRINAIRES DU BÉNIN (JVB) : Trois jours de discussions profondes et de prise de nobles résolutions 📍Du 26 au 28 septembre 2024, le Palais des Congrès de Cotonou a vibré aux sons des médecins vétérinaires du Bénin. Si la santé animale dépend entièrement de ces derniers, il n’en demeure pas moins que celle humaine et publique reposent également sur leurs épaules. Jouant ainsi un rôle indispensable dans le quotidien du commun des mortels, il a été primordial de penser ces journées qui ont mis en lumière les actions peu visibles de ce métier et les défis actuels auxquels il fait face. Plus qu’une simple profession, le rôle du vétérinaire s’impose comme une pièce maîtresse de la santé publique, reliant la santé animale, humaine et environnementale. C’est ce qui justifie ces journées vétérinaires organisées par l’Ordre National des Médecins vétérinaires du Bénin, un événement tant attendu qui a éclairé la lanterne du grand public sur les enjeux de ce métier. Placée sous le thème « le vétérinaire, un agent essentiel de santé au cœur de l’approche « One Health », cette première édition des JVB vient à point nommé selon le Ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Gaston Dossouhoui.... Lire les détails sur LE RURAL ⤵️ https://lnkd.in/emAKDxR5 LE RURAL, parce que le monde Agricole compte ! Ordre National des Médecins Vétérinaires du Bénin (ONMVB) MAEP Bénin #JVB
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🐐 Dans le dernier Réussir La Chèvre de septembre-octobre 2024 : 👉 Un dossier sur Patuchev qui allie autonomie et productivité grâce à l'herbe 👉 Une étude sur les coûts indirects de la prédation 👉 Des articles santé et une interview de la présidente de la commission caprine de la SNGTV 👉 Des reportages sur la génétique, le paillage, la complémentarité bovin-caprin et les fourrages 👉 Un résultats d'essai sur la présence d'adulte avec les chevrettes 👉 Des conseils pour réussir ses ensilages 👉 Une explication de l'intérêt des bloc-moule 👉 Un éleveur qui a inventé une balance automatisée pour les chevrettes 👉 ... ➡ https://lnkd.in/eNJWiehm 👋 Groupe Réussir - L'information de l'Agriculture et de l'Alimentaire Institut de l'Elevage (idele) #chèvre #chèvres #LaChèvre #caprin Damien Hardy Gaëlle Béroud INRAE Nouvelle-Aquitaine Bordeaux jérémie jost Maxime MAROIS Capgenes Bernard Andrieu
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Le bien-être animal au sein des élevages bovins est source de nombreux questionnements chez les éleveurs et éleveuses de vaches laitières et allaitantes. 👩🏻🌾 Au cours de leur vie, les vaches vont vivre plusieurs gestations, et donc plusieurs mises bas corrélées avec une production laitière plus ou moins importante selon le mode de production. Elles vivront en bâtiment et / ou dans les prés au sein d’un troupeau. 🐮 Une bonne alimentation, un troupeau équilibré et des infrastructures adaptées à leurs besoins physiologiques sont les bases du bien-être bovin. 🌻 Un suivi régulier en ostéopathie est conseillé afin d’optimiser l’état général de l’animal, son confort et son équilibre. Ce suivi régulier permettra de prévenir les éventuelles traumatismes, les vêlages difficiles et le vieillissement des structures corporelles particulièrement sollicitées par les gestations et les mises bas. 🥑 Si vous voulez plus de précisions, n’hésitez pas à lire l’article que j’ai rédigé sur l’ostéopathie bovine : https://lnkd.in/eSji3wKi 🗞 Et surtout, n’hésitez pas à posez vos questions en commentaire ! 😸 #osteopathievache #santeanimale
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[ 🩺 LES RONÉOS - 𝗔𝗻𝗮𝗹𝘆𝘀𝗲 𝗱'𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲 - 𝗣𝗿𝗲́𝘃𝗮𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗯𝗼𝗶𝘁𝗲𝗿𝗶𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗵𝗲𝘀 𝗹𝗮𝗶𝘁𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀 : 𝗥𝗲𝘃𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗶𝘁𝘁𝗲́𝗿𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲] Cette semaine, votre rendez-vous Ronéos s'intéresse aux bovins avec cette analyse d'article sur la prévalence des boiteries chez les vaches laitières. Bonne lecture ! Et surtout, n'hésitez pas à nous faire vos retours sur ce nouveau format de fiche clinique sur bonjour@temavet.fr
Analyse d'article - Prévalence des boiteries chez les vaches laitières : Revue de littérature
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🔔 Rencontres Bov'idée 2024 : Découvrez la quatrième intervention ! 🔔 Le 27 juin prochain, Marc Delacroix, vétérinaire spécialiste des boiteries, animera une conférence essentielle intitulée "𝗟𝗲́𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 : 𝗲́𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘁𝗲́𝘀". 🐄🩺 À propos de la conférence : La précision dans l'identification des lésions des onglons des bovins et l'évaluation de leur gravité sont cruciales pour diagnostiquer et traiter efficacement les boiteries. Marc Delacroix abordera les points suivants : ◾ 𝗔𝗰𝘁𝘂𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : Des précisions ont été apportées aux définitions des lésions courantes pour réduire les biais de notation ◾ 𝗡𝗶𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗴𝗿𝗮𝘃𝗶𝘁𝗲́ : Introduction d’un 4ème niveau de gravité pour certaines lésions comme l’ouverture de la ligne blanche et l’ulcère-cerise. ◾ 𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗲́𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗲́𝗲𝘀 🎯 Objectif : Harmoniser l’identification des lésions entre professionnels (pédicures, vétérinaires) à l’échelle nationale et internationale pour une meilleure prise en charge des boiteries. 👨⚕️ Intervenant : Marc Delacroix, expert en boiteries, nous partagera les dernières avancées et pratiques pour améliorer la santé des bovins. Ne manquez pas cette opportunité de vous mettre à jour sur les nouveautés en matière de diagnostic et de traitement des boiteries ! 👉 Découvrez le résumé complet sur notre site web : https://lnkd.in/eshqqPdz. #RencontresBovidee #SantéBovine #Boiteries
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⚠ 𝗜𝗻𝗳𝗹𝘂𝗲𝗻𝘇𝗮 𝗮𝘃𝗶𝗮𝗶𝗿𝗲 : 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗮𝗴𝗲 𝗲𝗻 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗺𝗼𝗱𝗲́𝗿𝗲́ ⚠ Depuis lundi 18 mars, le risque IAHP est passé d'élevé à modéré. Attention, cela ne veut pas dire que toutes les mesures de biosécurités deviennent obsolètes ! Pour les communes en ZRP (zones à risque particulier, pour la Drôme le couloir rhodanien par lequel passent les migrateurs, carte ICI), les mesures restent les mêmes qu'en risque élevé, en particulier la claustration est toujours de mise. Il est possible d’avoir des dérogations pour sortir les poules pondeuses. Cette dérogation est à demander à la DDPP. 👉 https://lnkd.in/eHz24aHK #InfluenzaAviar #risques #elevage #eleveurs #agriculture #aviculture
Influenza aviaire : passage en risque modéré
extranet-drome.chambres-agriculture.fr
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Cap sur l’installation au féminin dans l'édition de novembre de Grands Troupeaux. Dans le Finistère, Clarisse Léon, 24 ans, a rejoint son frère et son père sur un élevage mixte. La jeune femme raconte son parcours à l’installation, entre appréhension et bonheur d’avoir finalisé son projet. Dans le Morbihan, Emilie et Boris Lemair, normands d’origine, ont repris une exploitation laitière, son cheptel et ses terres. Accompagnés par la Safer, ils ont privilégié le cadre de vie, la proximité des services et des grands axes. Dans cette rubrique, Quatuor Transactions donne les tendances du marché des exploitations agricoles. Dans ce numéro, Grands Troupeaux Magazine rebondit sur l’annonce faite par Lactalis le 25 septembre dernier et donne la parole aux producteurs et aux organisations professionnelles (#Unell) de la filière laitière, bio et conventionnelle. Du renforcement du pouvoir des OP à la diversification des débouchés, en passant par une prise de conscience des pouvoirs publics sur la nécessité de maintenir la collecte partout en France, chacun avance son analyse/ses positions/ses arguments. (#Terrena #LSDH) Côté nutrition : Depuis six ans, le Gaec Bannier (Maine-et-Loire) mise sur la génétique Leafy Floury pour la culture du maïs (#Semental). Cet hybride impressionne par sa taille et l’implantation de l’épi. Dans cette rubrique également, un focus sur l’international. Aux Pays-Bas, l’élevage laitier des Hofstra utilise #OmniGenAF (#Phibro), un antibiotique soutenant l’immunité des vaches, même en cas de stress. En Allemagne, le salon EuroTier a récompensé IsoFerm (#Zinpro), un mélange d’acides gras volatils améliorant l’efficacité alimentaire. Côté santé : Le point sur la progression des cas de FCO-3 en France et l’état des lieux de la vaccination. Côté génétique : #GènesDiffusion lance un outil de prédiction de la longévité des vaches laitières tandis que #CharolaisUnivers propose un nouvel index de fertilité des femelles. Dans la Sarthe, Cédric Chapron élève 85 Charolaises en misant sur l'insémination. Il mise sur les bolus (#Metrabol #Techna) pour maintenir un appareil reproductif sain.
Au sommaire du mois de novembre - Grands Troupeaux Magazine
grands-troupeaux-mag.fr
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Communiqué de presse de Défense de l'Animal « Le plan national pour améliorer le bien-être animal manque d’ambition : l’urgence est de donner aux refuges et associations indépendantes les moyens financiers de remplir leur mission » Le plan national pour le bien-être animal lancé hier par le Ministère de l’Agriculture n’est pas à la hauteur de nos attentes : les mesures annoncées ne permettront pas de soutenir les 270 refuges et associations SPA indépendants de France. Leurs besoins tiennent en une chose : des moyens financiers qui permettent d’accueillir, nourrir et soigner les dizaines de milliers de chiens, chats, NAC et autres animaux (chevaux, animaux de ferme) abandonnés ou maltraités” déclare Sabine Fghoul, la présidente du plus grand réseau de protection animale de France : la Confédération Nationale Défense de l’Animal (CNDA). La CNDA regroupe 270 refuges et associations SPA indépendants dans tout le pays, animés par 1200 salariés et plus de 3000 bénévoles. Depuis des décennies, l’Etat s’appuie sur des bénévoles pour résoudre un énorme problème sociétal : celui des abandons et de la maltraitance animale. Ce problème est plus grave que jamais en raison de la crise économique qui nous frappe de plein fouet : explosion des coûts de l’alimentation animale, de l’énergie, des frais vétérinaires… Le nombre des abandons n’a jamais été aussi élevé : la précarisation croissante des ménages, leurs difficultés à faire face à leurs dépenses, en sont la cause. Nos refuges sont déjà saturés précise Sabine Fghoul. Pour en savoir plus sur la CNDA, cliquez sur le lien de la publication.
[𝗔𝗖𝗧𝗨] 𝗣𝗹𝗮𝗻 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗮𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹 🐕🐈 Découvrez la réaction de la CNDA dans notre communiqué de presse officiel en cliquant ici ➡️ https://lnkd.in/gBHBUAbZ
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