💥 DESIGN DU JOUR 💥 ⭐ VOX BLAST ⭐ 🔆 IL FAUT ARRÊTER DE TROUVER DES EXCUSES AUX IMBECILES, ON NE PEUT PAS METTRE UNE FLEUR DANS UN TROU DU CUL ET APPELER CA UN VASE 🔆 Un avertissement Un appel à faire entendre la voix de la justesse et de la justice Combien de fois avons-nous excusé des comportements ou des paroles inexcusables ? Combien de fois avons-nous gardé le silence face à des imbéciles qui nous ont imposé leur façon de penser ? Sans réagir, en laissant passer ? Le silence personnel ou de masse n’est-il pas coupable quand ses conséquences sont dramatiques ? N’est-il pas temps de remettre du bon sens dans la vie et de faire entendre la voix de la raison ? Les temps changent, et ils nous demandent de changer avec eux. https://lnkd.in/ewKBXQRp #VOX #VoxBoutique #VoxMode #VoxDesignDuJour #ExprimezVotreStyle #ModeEngagée #Authenticité #PorteurDeMessage #ModeResponsable #Partage
Post de Jean-Dominique Poupel
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Le rôle de l’inconscient collectif dans la représentation et l’organisation du couple # L’inconscient collectif est le pain quotidien des études qualitatives : le déclaratif ne livre pas tout, parfois il égare. Nous sommes des chercheurs de l’ombre. # L’inconscient collectif, concept créé par Karl Gustav Jung (Métamorphose de l’âme et ses symboles, 1912), influence nos pensées, nos rêves, notre imagination, nos opinions, nos comportements. Il inspire les arts et la littérature et façonne nos sociétés. Cette culture intériorisée est si évidente qu’elle est invisible aux yeux de celui /celle qui l’incarne. Tellement invisible qu’il/ elle ne peut la déclarer comme active dans ses représentations et ses comportements, et pourrait être choqué(e) de la transmettre à son insu. # Hier soir j’ai vu Dans ton cœur au théâtre du Rond Point, un spectacle familial de cirque moderne de la compagnie Akoreacro, encensé par la presse, qui met en scène des numéros acrobatiques dans un storytelling comique et poétique du couple moderne : rencontre au travail, union, arrivée des enfants, usure du couple dans la routine familiale, fantasmes, adultères, luttes, réconciliation. # Animé par une troupe de jeunes gens hors norme professionnellement, polyvalents dans tous les arts de la scène, acrobatie, danse, théâtre et musique, et hors norme probablement dans leur vie quotidienne, le spectacle véhicule pourtant une vision normative du couple. # L’espace domestique qui s’agrandit sur scène au fur et à mesure de l’arrivée des enfants, est le lieu où se perpétue le cliché de la femme au foyer, s’activant frénétiquement aux travaux du ménage, vidant et remplissant des machines, ramassant inlassablement des chaussettes qui traînent, accourant au-devant de son époux le soir quand il rentre pour un baiser aérien et amoureux à la Chagall. # Alors que femme et homme sont présentés comme tout à fait égaux dans le travail qui précède la mise en ménage, dans leurs fantasmes, l’adultère et la lutte qui s’ensuivent, pourquoi est-ce que l’organisation au sein du foyer reste aussi figée ? Est-ce que Pierre Guillois, le metteur en scène, témoigne d’une organisation de la famille qui reste identique à celle des générations précédentes, même chez des saltimbanques… Est-ce qu’il veut plutôt représenter le couple moyen tel qu’il se le figure aujourd’hui ? Le storytelling du couple est le prétexte d'un spectacle acrobatique. Ce n’est pas un spectacle politique, il ne cherche pas à renverser l’ordre établi, il reste descriptif. A ce titre il livre du lourd sur l’état du couple dans la société et dans l’inconscient collectif. Le spectacle transmet (à son corps défendant ?) le schéma traditionnel du couple « elle dans l’espace domestique, lui dans l’espace public ». # Pour comprendre pourquoi l’égalité homme-femme n’est pas qu’une question de législation, il faut s’intéresser à l’inconscient collectif. Pour aller au-delà du déclaratif, il faut observer les comportements involontaires.
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« Désolée, j’aime Polnareff » C’est le creux de la journée. La supérette est déserte. Une seule caisse est ouverte. A l’extrémité du tapis roulant la jeune femme s’ennuie, les yeux fixés au plafond, dans une pose rêveuse. - Vous avez un air de madone - Un air de qui ? - Un air de madone. - Désolée, j’aime Polnareff La réponse surréaliste m’enchante. - Vous aimez Polnareff ? - Non. J’ai dit, « désolée, J’AI PAS LA REF » Université, écoles, entreprises, services publics, j’observe depuis quelques temps la montée de cette réaction à la mention d’un élément de la culture générale. Liberticide ? j’ai pas la ref Rosa Parks ? j’ai pas la ref Invertébré ? j’ai pas la ref Charles Pasqua ? J’ai pas la ref Pixel ? j’ai pas la ref Benares ? J’ai pas la ref Orson Welles ? j’ai pas la ref RGPP ? j’ai pas la ref Etc. Ce qui me saisit dans le « j’ai pas la ref » c’est qu’il acte une posture identitaire d’ignorance parfaitement assumée. Il clôt sans appel toute possibilité de développement, renvoyant les deux parties dos à dos à leurs mondes inconnaissables. On y perçoit de la fierté, de l’impatience, parfois même de la condescendance. Je découvre que pour une part croissante de la génération Z une part de l’échange se conçoit comme une sorte de ping pong entre nomenclatures personnelles . T’as la ref / t’as pas la ref. La ref, petite ombre de signification, saisie à la surface des torrents qui dévalent le lit des réseaux sociaux, charriant images, histoires, anecdotes, émotions, news, fake news. Il s’agit avant tout chose d’être initié. De savoir tenir son rang de placier dans la vertigineuse brocante du scrolling. « Le fascisme ce n’est pas d’empêcher de dire, mais d’obliger à dire ». Rolland Barthes, dans « Leçon », révélait le rapport intime qui existe entre le langage et le pouvoir. Le parler de la ref, à la syntaxe de rupture, avec son lexique en table des matières sans fond, dévoile le pouvoir disséminé d’une multitude d’encyclopédies solitaires, étrangères à la curiosité et à la construction de l’esprit par le dialogue. « ici et là, une lumière sans ombre élabore une émotion sans repli » Le monde où l’on catche – Mythologies – Rolland Barthes
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Le rapport entre vice&versa 2, la communication et la politique ? Promis je ne spoile (presque) rien ! Hier soir je suis allée voir V&V2 avec mon petit de 6 ans. Je suis toujours très épatée des différents niveaux de lecture proposés par les scénaristes pour permettre aussi bien aux enfants qu’aux adultes d’y trouver leur compte. L’une des nouvelles émotions qui arrivent dans ce deuxième volet et qui prend un place considérable dans la vie de Riley, c’est l’anxiété 🫣. Elle utilise toute l’imagination et l’énergie et, même, la rationalité pour pousser l’héroïne à agir dans telle ou telle direction. Et si elle peut être un outil de protection, quand elle prend toute la place, elle devient une arme contre soi-même. Il y a cette scène, au milieu du film, où l’anxiété est aux commandes et parlent sur grand écran à une armée de petits scénaristes qui dressent tous les pires scénarii possibles de ce qui peut arriver à Riley. Ce qui empêche l’adolescente de dormir. Et il y a la, au moment du réveil des scénaristes qui aspirent à imaginer aussi du positif sous l’impulsion de Joie, une scène en référence directe à la publicité d’Apple lors du Super Bowl de 1984, où une femme envoie un marteau dans l’écran géant, mettant fin à la diffusion de la propagande officielle. Ici, le réveil signifie la fin du règne de l’anxiété au profit de l’expression d’autres émotions. J’ai étudié cette publicité dans mes années Celsa, comme un cas d’école de communication. Et à l’heure où les communications s’emballent et où nous sommes tenté.e.s de laisser nos peurs et nos angoisses décider pour nous, j’espère du fond du cœur un réveil républicain, et une possibilité d’espoir composé par une nuance de toutes les émotions. Je garde en apprentissages : 1/ qu’on est naturellement très doués pour les scenarii catastrophes et que cela demande un effort pour voir les bonnes choses, et que dans le même temps la vigilance est de mise pour que la communication ne serve pas des desseins funestes 2/ qu’un climat anxiogène mène au bug total de l’esprit, donc on fait de la santé mentale un vrai sujet de société et d’entreprise porté par le comex et pas seulement par les RH 3/ que la joie et l’inclusion restent nos plus sures alliées sur n’importe quel chemin Vous l’avez vu ? Qu’en avez vous pensé ?
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DE L'HOMME Caveant consules ne quid detrimenti respublica capiat L’Énigme de la Bienveillance et de la Malveillance Chers Réseau Un Ami, #JeanJacques, en a été ces derniers temps l'injuste victime ! Il n'est certes pas le seul, mais pour moi, et je le sais pour un très grand nombre, cette iniquité qui l'a frappé est intolérable .. Alors, aujourd’hui, je me penche sur une question existentielle qui me taraude l’esprit. Dans notre ère moderne, où la bienveillance devrait être la norme, pourquoi persiste-t-il encore des individus malsains dont l’unique dessein est de déverser leur fiel sur les penseurs de LinkedIn ? Pourquoi, malgré les avancées de la société, ces inquisiteurs de la pensée continuent-ils à semer la discorde et à répandre leur venin ? Je m’interroge sur la nature humaine. Nous sommes censés évoluer, grandir, et embrasser la bienveillance. Pourtant, certains semblent s’accrocher à la malveillance comme une bouée de sauvetage dans un océan de tolérance. Leur unique but semble être de détruire, de rabaisser, et de discréditer ceux qui osent élever la voix. Mais pourquoi ? Pourquoi cette soif de détruire l’homme, de le réduire à néant ? Est-ce par jalousie, par frustration, ou simplement par ignorance ? Ces inquisiteurs de la pensée, souvent dépourvus d’intelligence véritable, se cachent derrière leurs écrans, prêts à démolir toute idée qui ne correspond pas à leur vision étriquée du monde. Pourtant, c’est dans la diversité des opinions que naissent les révolutions intellectuelles. C’est en écoutant les voix discordantes que nous pouvons remettre en question nos certitudes et élargir nos horizons. Mais ces inquisiteurs, aveuglés par leur propre petitesse, préfèrent la répression à la réflexion. Ils brandissent leurs fourches virtuelles, prêts à lyncher quiconque ose sortir du rang. Alors, comment réagir face à ces ombres malveillantes ? Je propose une approche empreinte de bienveillance. Plutôt que de les vouer aux gémonies, cherchons à comprendre leurs motivations. Peut-être sont-ils eux-mêmes blessés, perdus dans un monde qui les dépasse. Peut-être ont-ils besoin d’être guidés vers la lumière, vers une compréhension plus profonde. En tant que vieil humain je choisis la voix active. Je m’adresse à vous, lecteurs, avec sincérité et conviction. Ne soyons pas des spectateurs passifs, mais des acteurs du changement. Défendons la pensée libre, la bienveillance, et la tolérance. Et peut-être, un jour, ces inquisiteurs de la pensée se joindront à nous dans cette quête d’humanité.
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DE L'HOMME Caveant consules ne quid detrimenti respublica capiat L’Énigme de la Bienveillance et de la Malveillance Chers Réseau Un Ami, #JeanJacques, en a été ces derniers temps l'injuste victime ! Il n'est certes pas le seul, mais pour moi, et je le sais pour un très grand nombre, cette iniquité qui l'a frappé est intolérable .. Alors, aujourd’hui, je me penche sur une question existentielle qui me taraude l’esprit. Dans notre ère moderne, où la bienveillance devrait être la norme, pourquoi persiste-t-il encore des individus malsains dont l’unique dessein est de déverser leur fiel sur les penseurs de LinkedIn ? Pourquoi, malgré les avancées de la société, ces inquisiteurs de la pensée continuent-ils à semer la discorde et à répandre leur venin ? Je m’interroge sur la nature humaine. Nous sommes censés évoluer, grandir, et embrasser la bienveillance. Pourtant, certains semblent s’accrocher à la malveillance comme une bouée de sauvetage dans un océan de tolérance. Leur unique but semble être de détruire, de rabaisser, et de discréditer ceux qui osent élever la voix. Mais pourquoi ? Pourquoi cette soif de détruire l’homme, de le réduire à néant ? Est-ce par jalousie, par frustration, ou simplement par ignorance ? Ces inquisiteurs de la pensée, souvent dépourvus d’intelligence véritable, se cachent derrière leurs écrans, prêts à démolir toute idée qui ne correspond pas à leur vision étriquée du monde. Pourtant, c’est dans la diversité des opinions que naissent les révolutions intellectuelles. C’est en écoutant les voix discordantes que nous pouvons remettre en question nos certitudes et élargir nos horizons. Mais ces inquisiteurs, aveuglés par leur propre petitesse, préfèrent la répression à la réflexion. Ils brandissent leurs fourches virtuelles, prêts à lyncher quiconque ose sortir du rang. Alors, comment réagir face à ces ombres malveillantes ? Je propose une approche empreinte de bienveillance. Plutôt que de les vouer aux gémonies, cherchons à comprendre leurs motivations. Peut-être sont-ils eux-mêmes blessés, perdus dans un monde qui les dépasse. Peut-être ont-ils besoin d’être guidés vers la lumière, vers une compréhension plus profonde. En tant que vieil humain je choisis la voix active. Je m’adresse à vous, lecteurs, avec sincérité et conviction. Ne soyons pas des spectateurs passifs, mais des acteurs du changement. Défendons la pensée libre, la bienveillance, et la tolérance. Et peut-être, un jour, ces inquisiteurs de la pensée se joindront à nous dans cette quête d’humanité.
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Certaines expressions sont à la mode. Ainsi en est-il du terme « gaslihting ». Le tire son origine d’un film de George Cukor intitulé Gaslight (Hantise en français), sorti dans les salles en 1944 et inspiré d’une pièce du dramaturge Patrick Hamilton, Gas Light, publiée en 1938. Ce film raconte l’histoire d’une jeune femme, Paula, incarnée par Ingrid Bergman, dont la tante a été mystérieusement assassinée, séduite par Gregory qui la convainc, après leur mariage, de retourner vivre à Londres dans l’appartement qu’occupait cette tante. Mais Gregory est aussi le meurtrier, il cherche à retourner dans cet appartement pour y trouver les bijoux de grande valeur de la tante qu’il n’a pas découvert lors du meurtre. Il va manipuler sa femme et chercher à la convaincre qu’elle est folle, par exemple en cachant des objets et en affirmant qu’elle les a perdus, afin de la maintenir dans le domicile pendant qu’il passe ses nuits à chercher les bijoux dans le grenier de l’appartement. Son but ultime est de la faire enfermer dans un asile pour être seul dans l’appartement. L’histoire se déroule dans un Londres de l’époque victorienne éclairé au gaz. Lorsque Gregory part le soir discrètement explorer le grenier, il ouvre un robinet de gaz pour s’éclairer. Cela a pour effet de diminuer le flux de gaz dans les autres pièces de l’appartement et donc la luminosité des lampes. Paula le remarque. Lorsqu’elle lui en parle, il tente de nier sa perception en lui affirmant qu’elle se trompe et qu’il s’agit là d’un signe supplémentaire de sa dégradation mentale. Le terme « gaslighting » désigne ainsi une manipulation interpersonnelle volontaire, incrémentielle, durable dans le temps, visant à modifier la perception de la réalité d’autrui, à le faire douter de cette perception, de ses propres sensations et de son état mental. Les techniques utilisées par le gaslighter sont le mensonge, la dissimulation ou la falsification d’informations, l’isolation, l’illusion d’empathie et l’invalidation des perceptions. Elles finiront par rendre la victime dépendante du manipulateur qui prend le contrôle des croyances de sa victime. Le scénario se répète. Tous les soirs, peu après que le mari soit sorti en prétextant une ballade nocturne, la luminosité des lampes à gaz baisse. Cette baisse de luminosité deviendra le critère permettant à Paula de retrouver confiance dans ses propres perceptions et de savoir qu’elle n’est pas folle. Grâce à l’aide d’un inspecteur de Scotland Yard, elle fera arrêter son mari meurtier. Ainsi, paradoxalement, l’éclairage au gaz (gaslighting) n’est pas ce qui fait basculer Paula dans la folie, mais au contraire sa bouée de sauvetage, lui permettant de sortir de la manipulation et de déjouer les plans de son mari. Par une drôle d’inversion, le terme a depuis acquis un sens bien différent de son sens d’origine. Pour aller plus loin : https://lnkd.in/dUU_hjZ4
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LE DRAME, L'ENNUI OU LE JEU ? C’est la deuxième consultation philo avec X. Elle a vu et analysé la vidéo de la première consultation. Elle me dit qu’elle est catastrophée d’avoir pris conscience de ses façons de combler les vides, de ne pas répondre aux questions et de sa difficulté à penser. "Catastrophée", le mot est fort, et je le souligne en lui demandant si elle a tendance à dramatiser les choses. En effet, elle se reconnaît dans ce schéma : elle dramatise souvent. Je lui demande : "pourquoi les humains ont-ils tendance à dramatiser ?" "La vie semble alors plus excitante", me répond-elle. "En se créant des drames, on sent qu’on est vivant." X me dit osciller comme un pendule entre le drame et l’ennui. Pour elle, c’est soit les tourments de l’existence, la tempête déchaînée, soit la mer d’huile où il ne se passe rien, ce qui l’angoisse aussi beaucoup. Je lui suggère que ce mouvement pendulaire pourrait être vu comme un fonctionnement amusant. Mais X ne trouve pas cela amusant du tout. Je lui fais remarquer sa cohérence : il est logique qu’elle ne trouve pas cela amusant puisqu’elle dramatise. Cette remarque la fait sourire. Oui, on peut aussi regarder cela comme amusant, reconnaît-elle. Entre le drame et l’ennui, il y aurait donc une autre voie : celle de la personne qui s’amuse à observer ces jeux, à les questionner, à en comprendre les rouages et les subtilités. C’est intéressant de comprendre ce qui se trame à l’intérieur de nous. Et cela permet aussi d’envisager et d’expérimenter d’autres chemins.
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Rampe Etincelante. Rendre les choses compliquées en les traduisant simplement, est une phase artistique et délicate, mais pas impossible à réaliser dans une synthèse Les feux dans leurs beautés brillantes indiquent une célébrité vérifiée Le podium fait monter le ton sur des preuves tangibles et bien prouvées De nos jours, justice divine ou justice pénale? Très bonne question à se poser Toucher à certains éléments propices de la nature dans une inconscience totale, est une folie pure et dure Un dossier complet est intitulé convaincant lorsque les papiers officiels sont transmis avec une explication précise, nette et le plus claire possible Attention, beaucoup de choses peuvent être dites derrière notre dos Donc, à nous d'écouter les bonnes paroles en suivant des comportements, qu'ils soient compréhensibles ou non dans la direction d'une mise en scène Ecoutons, regardons, observons, traduisons et comprenons chaque thème Telle est la manière de déceler une manipulation, une escroquerie, une malversation, un abus de confiance dans l'instance prédominante Ne jamais foncer tête baissée dans les actions que nous menons Les communications, les mots, l'endroit, les phrases, la stature humaine Tout est passé au crible et dans les moindres détails comme une fiche technique de cuisine ou comme une belle danse dans un travail objectif Découvrir le poteau rose sur une affaire hors normes relève d'un défi Chaque papier vérifié et lu méticuleusement, nous mène aux différentes administrations concernées par l'objet d'une ligne spécifique bien visible Une seule parole, un seul mot, une seule vantardise, un seul abus de pouvoir Les clefs de la réussite sont ouvertes et sont orientées vers celui ou celle, qui sait prendre en compte tous les éléments qui relèvent d'une contradiction L'énervement, la projection violente, les coups portés, les menaces Voilà un belle série d'événements qu'il faut savoir tenir compte devant des étapes graves qui sont la plupart du temps, relié à du lucratif et pire encore Soyons et restons vigilants en tous points, que ce soit dans notre vie privée que dans notre vie professionnelle Le thème d'une ou de certaines circonstances peuvent être mathématiques en suivant des certitudes intuitives qui peuvent nous dépasser parfois La réalité des sources noires et venimeuses existent hélas, par les temps qui courent, dans le style de vouloir forcer une personne, en abus de faiblesse à faire telle ou telles choses qu'elle ne veut pas exécuter ou qu'elle refuse Se renseigner, suivre son intuition, sa première idée, ces ressentis sont des sacrements de notre corps qu'il faut suivre de façons méticuleuses Un scandale français va-t-il avoir lieu dans la haute échelle et en haute fréquence? L'avenir 2025 nous le dira dans la parcelle des vérités hautement qualifiées
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A force de voir la violence partout, à force de la regarder sans cesse à travers la loupe grossissante des réseaux sociaux, on finirait par s'imaginer que le monde est devenu invivable et, pire que cela, par transmettre cette idée à nos enfants parfois même sans que nous nous en rendions vraiment compte. Il existe pourtant des antidotes à ce poison insidieux que représente cette violence quand elle contamine nos relations et teint nos visions du monde. On peut face à la mise en scène permanente de soi, la théâtralisation de ce que nous faisons et la spectacularisation de ce que nous vivons, ces trois amplificateurs de la violence contemporaine, opposer l'apprentissage de l'empathie, une culture de la bienveillance et le souci de la discrétion numérique. On peut également pour réduire le sentiment de brutalité qui nous oppresse en raison du culte actuel de la vitesse, de la prédilection permanente pour l'immédiateté et de la tendance persistante au clivage qui contamine nos manières de penser, faire l'éloge de la lenteur, valoriser le temps long et favoriser pour chacune de nos idées, chacune de nos pensées et chacune de nos opinions un retour systématique à la nuance. La violence de nos sociétés et celle des réseaux sociaux n'est pas une fatalité. On peut dans nos territoires intimes s'y opposer avec fermeté pour le bien commun de nous et de nos enfants. C'est cela l'objet véritable de ce livre qui vient de sortir aux éditions Genèse. Il n'y est pas seulement question de décrypter les formes de violence contemporaine mais aussi et surtout de découvrir pour nous-mêmes et nos enfants comment retrouver ensemble la voie de la sérénité en empruntant le chemin de traverse qui nous mène du pouvoir apaisant des arbres (et de la sylvotherapie) à l'Ikigai en passant par les vertus du rire partagé, de l'écriture apaisée, de la rêverie assumée ou de la contemplation mutualisée...
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Un triomphe sur internet en 2016 pour Johann Schneider-Ammann suite à cette allocution télévisée. Pourquoi ? Puisque l’ancien président de la Confédération Suisse arrive JUSTEMENT à nous faire rire, en parlant des bienfaits du rire avec ce ton morne et triste 🤣 Une véritable mise en abîme. L’a-t-il fait exprès ? 😂 « L’incarnation vocale », lorsque la voix est en adéquation avec le discours, est essentielle pour être pris au sérieux. Dans le doute d’ailleurs, la prosodie est plus forte que les mots. Elle fait comprendre l’intention, l’émotion de l’orateur. On croit plus le son que les paroles. Mais la « désincarnation vocale » a aussi un pouvoir. Créer une dissonance qui peut provoquer un sentiment d’absurdité et parfois de rires. Les humoristes l’ont très bien compris. Ils l’utilisent avec passion. Vous connaissez d’autres exemples de discours désincarnés ? #mercrediprosodie PS : les mercredis je vous parle de la prosodie, la musique du langage, tout ce qui à trait au son de la voix.
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