Post de Julien Rousset

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Le même poisson se sent énorme dans une petite mare, et minuscule dans l’immensité de l’océan. Aux échecs, la tour est puissante par rapport au pion, mais pas face à la reine. C’est le référentiel qui nous donne des raisons de nous satisfaire de notre situation, ou de nous en plaindre. Quand on se compare aux autres (sur LinkedIn par exemple), il y a 3 directions possibles selon la théorie de Leon Festinger ⤵️ 1. Comparaison latérale 👉 avec les personnes qui nous ressemblent et sont à notre niveau 2. Comparaison descendante 👉 avec les personnes qui ont moins que nous 3. Comparaison ascendante 👉 avec les personnes qui ont plus que nous Une comparaison ascendante peut nourrir une ambition saine, nous donner de l’énergie et nous tirer vers le haut. Elle peut aussi engendrer de la jalousie, de l’insatisfaction et de l’anxiété. Une comparaison descendante peut nous faire invoquer de la gratitude envers ce que l’on a. Elle peut aussi catalyser le dédain et le mépris. Le problème ne réside pas pas dans les comparaisons elles-mêmes, mais dans leur nature souvent irréfléchie. Elles sont trop impulsives, et pourtant elles nécessitent du discernement. Je creuse le sujet dans ma newsletter Screenbreak de cette semaine, lien en commentaire 👇

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Alice FAURE

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8 mois

J'ai encore plus hâte de la lire maintenant, le sujet a l'air passionnant ! merci pour ce décryptage Julien

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