Post de Jérôme Vauselle

🗞️🧳L'historiette de la semaine : prendre l’Espoir là où il se trouve 🧳🗞️ Nous avons décidé de vous emmener dans nos valises chaque semaine pour vous raconter un événement marquant, un élément sympa ou une info rigolote que nous avons apprécié, une historiette qui pourrait passer pour du banal mais qui au contraire enrichit nos quotidiens. 🧳 Cette semaine, plus exactement mercredi 22 mai, c’était la Sainte-Rita, patronne des causes désespérées aussi appelée Sainte de l’Impossible. Et si vous avez écouté le podcast des Lueurs intitulé «Votre parole est une arme», vous avez entendu Anne et David expliquer que nous avions un cierge dédié à Sainte Rita dans notre bureau. Evidement, nous ne comptons pas sur elle pour faire le job à notre place, mais si elle peut nous donner un coup de pouce, on tente notre chance 😊 🗞️ Au sein de l’équipe, les croyances spirituelles sont diverses et variées, et il n’est pas question ici d’imposer une vision chrétienne à qui que ce soit. Il s’agit plutôt d’une posture qui consiste à dire «prenons tous les espoirs et vents favorables où ils existent» et Sainte-Rita, c’est une représentation communément admise de l’Espoir. Nous savons que nous sommes très compétents, mais nous savons aussi que nous ne sommes pas omnipotents et si une infime part de chance ou d’espoir peut nous aider, nous prenons ☺️ Parce que Sainte-Rita dans notre bureau, c’est cette symbolique : nous rappeler que quoiqu’il arrive, quelle que soit la crise ou le problème, il y a forcément un espoir et que tant que ce n’est pas terminé, ce n’est pas terminé. (Et comme nous sommes très ouverts d’esprit, vous pourrez également trouver dans nos bureaux des trèfles à 4 feuilles, un oeil porte-bonheur ou encore un éléphant ou une mini-poupée vaudou 😁)

À quelques semaines de Noël, berceau éternel d’un avènement et d’un événement, à ce moment précis où notre monde a mal et manque d’une espérance que semble revêtir l’hiver, demandons-nous ce qu’il faut faire pour que naisse un nouveau printemps. Loin d’être perdue, l’âme de notre société est plus prégnante qu’imaginée, l’intelligence du cœur n’a rien d’artificiel et éveillera toujours le champ des possibles. La fraternité n’est pas une valeur du passé. Elle conduit à voir ce qu’il faut entreprendre pour créer des solidarités actives qui désemmurent de l’habitude. Rien ne peut laminer ce qui est juste. Alors s’ouvriront des passages pour habiter le temps de ces possibles qu’offre toute création. Notre association Habitat et Humanisme Eure change d’échelle, se transforme par la rencontre de ceux qui la soutiennent, de ceux qui l’ont fait grandir, de ceux qui la rejoignent, de ceux dont elle s’approche, ceux-là « cognés » par de multiples blessures, l’isolement, la pauvreté, la dépendance physique et psychique. La Fraternité est l’une des réponses, tisser des liens sans aucun doute le support de notre action, bâtir reste notre devoir. Le monde a besoin de ce berceau qu’est la fraternité pour répondre à ceux qui nous interrogerons sur le monde que nous laisserons. C’est cette responsabilité assumée que nous portons auprès de ceux qui n’espèrent plus aucune reconnaissance de ce monde, au visage du plus humble qui a perdu toute espérance, traduisant ainsi le souci que nous avons les uns des autres afin que personne ne soit laissé dehors. Espérer c’est agir ! Faire mieux autrement est notre devise. Ne restons pas sourds à l’oreille du cœur qui, seule, fait entendre l’urgence de la fraternité ! Bon mois de décembre 2024 à vous !

[𝗧𝗛𝗘́𝗔̂𝗧𝗥𝗘 : 𝗟𝗘 𝗣𝗥𝗜𝗡𝗖𝗘 𝗔̀ 𝗧𝗘̂𝗧𝗘 𝗗𝗘 𝗖𝗢𝗧𝗢𝗡]🎭 La nouvelle saison #culturelle de la CCEALS comporte un certain nombre de spectacles qui entrent dans le dispositif #IDYLLE, de la Région Bourgogne-Franche-Comté, cofinancé également par le Département de Saône-et-Loire et la 𝗗𝗥𝗔𝗖 𝗕𝗙𝗖. ➡️ Parce que la culture est une source puissante du vivre ensemble, qu'elle nous questionne, nous fait réfléchir, nous rapproche parfois, nos #élus ont décidé d'adhérer à ce dispositif, ➡️ Il nous permet, en coopération avec la COMPAGNIE CIPANGO, de mener à bien des projets qui visent non seulement à amener la #culture à ceux qui en sont éloignés géographiquement, au coeur de notre territoire #rural, mais aussi d'effectuer un 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗼𝘅𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗵𝗮𝗯𝗶𝘁𝗮𝗻𝘁𝘀, des jeunes des centres de loisirs ou de la Mission locale, aux personnes résidant en EHPAD, en passant par le grand public à travers des ateliers gratuits. 📅 𝗣𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗮𝘁𝗲 : 𝗟𝗲 𝗣𝗿𝗶𝗻𝗰𝗲 𝗮̀ 𝘁𝗲̂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘁𝗼𝗻 Jacques ne pourrait pas vous écrire ce résumé. S’il le faisait, il commencerait par une citation de Jacques Tati. Puis, il se décrirait comme un jeune professeur retraité. La troisième phrase inverserait deux mots. La quatrième serait confuse, et la cinquième franchement illisible. Jacques ne le sait pas encore, mais il est atteint d’une #aphasie primaire progressive, maladie neurodégénérative rare, qui mène à une détérioration progressive de la connaissance des mots, de la syntaxe et de l’élocution. L’incapacité progressive de s’exprimer, et de comprendre. Face à la #maladie, c’est toute sa famille qui se réorganise. Le prince à la tête de coton est une pièce #théâtrale plurielle qui mêle #monologue, #dialogue, #conte, #chanson, #poème et #musique. Elle raconte par fragments le parcours d’une famille touchée par la maladie, avec profondeur et légèreté, franchise et poésie, humour et délicatesse. 📌𝗟𝗶𝗲𝘂 : 𝗠𝗼𝘂𝗹𝗶𝗻-𝗱𝗲𝘀-𝗥𝗼𝗰𝗵𝗲𝘀, 𝗧𝗼𝘂𝗹𝗼𝗻-𝘀𝘂𝗿-𝗔𝗿𝗿𝗼𝘂𝘅 | 𝗗𝘂𝗿𝗲́𝗲 :𝟭𝗵𝟯𝟬 | 𝗮̀ 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝟭𝟯 𝗮𝗻𝘀 | 𝗧𝗮𝗿𝗶𝗳𝘀 : 𝟲€ / 𝟯€ 📌I𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 : 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲@𝗰𝗰𝗲𝗮𝗹𝘀.𝗳𝗿

Voici un petit extrait de ma newsletter sur l'exaspération ambiante, qui s'accroît de jour en jour ces derniers temps: https://lnkd.in/dXPjVpbk Parmi toutes les choses que j’ai apprises à Paris, j’inclus cette phénoménale faculté de s’agacer pour tout et rien. Au début, cette attitude étonnait et attristait la sudiste que je suis. Je ne comprenais pas ces coups d’épaule répétés, ces claquements de langue impromptus, ces yeux au ciel et ces mines amères qu’arboraient les Parisiens, dès que les choses ne se passaient pas exactement comme ils voulaient. Et puis un jour, cette humeur m’a saisie à mon tour. J’ai éprouvé à quel point il est pénible, quand on veut rentrer chez soi, de voir un touriste planté en plein milieu de l’escalator, bloquant la sacro-sainte file de gauche destinée aux gens pressés. Et j’ai lâché mon premier claquement de langue, plus tard suivi par d’honteux regards vers le ciel et quelques discrets “pffff” lâchés subrepticement, dès qu’un individu, par sa lenteur ou sa nonchalance, venait troubler le flux de la circulation.  C’est à cette période que je me suis vraiment sentie intégrée à cette ville. Mais à trop s’agacer pour tout et rien, l’aigreur risque de finir par nous envahir pour de vrai. C’est ce que nous enseigne l’étymologie du terme “agacement”, qui vient du latin acidare, signifiant “aigirir”, “acidifier”. Celui qui s’agace s’acidifie le corps. Il se ronge lui-même de l’intérieur. Au fond, l’agacement est donc tourné vers soi-même. Il est selon Sartre la marque d’un regret, d’une forme d’impuissance. On croit que l’on s’agace à cause des autres, mais ce sont essentiellement nos propres manquements qui nous irritent : la panne de réveil, la gaffe provoquant un malaise persistant ou encore l’étourderie catastrophique… Cet auto-agacement culmine, selon le philosophe, dans les situations où je suis confronté aux limites de mon esprit ou de ma mémoire – par exemple lorsque “j’essaie de retrouver le souvenir d’un rêve et que ce souvenir fond entre mes doigts”. Le simple fait de s’exaspérer devant une tâche impossible prouve qu’on a essayé de la mener à bien, qu’on a tenté le coup. L’agacement est également la preuve qu’il y a eu une quête, et donc une certaine volonté. Pour Sartre, ce sentiment est même le symptôme par excellence du désir – et de son aboutissement dans l’acte sexuel. Désirer quelqu’un, vouloir lui faire l’amour, consiste selon lui à avoir face à soi “l’image irritante et séduisante d’un corps perpétuellement possédé et perpétuellement neuf, sur lequel la possession ne laisse aucune trace”. L’impossible union totale, l’incapacité à posséder quelqu’un, à l’épuiser et à le faire sien, déclenche l’agacement qui accompagne la mécanique du désir. Cette irritation est donc aussi, parfois, une voluptueuse démangeaison. Les Parisiens qui râlent et maugréent à longueur de journée, n’accumulent-ils pas en réalité un trop-plein de désir inassouvi ? » 😏

La semaine dernière, une femme marquante du monde philanthropique nous a quittés. Son départ laisse un grand vide, et les hommages affluent pour saluer l’héritage de soutien qu’elle a offert à tant de gens. Pourtant, au-delà de ses contributions et de son influence dans les projets qu’elle a portés, ce qui semble marquer le plus ceux qui l’ont côtoyée, c’est avant tout sa profonde gentillesse. Sa douceur, sa bienveillance et son écoute étaient des qualités qui touchaient, transformaient, et résonnaient bien au-delà de son rôle professionnel. Ce souvenir collectif de sa gentillesse a fait écho pour moi à un texte de Véronique Grenier paru dans La Presse, que Julie Ouellet-Courtois, une personne chère à mon coeur qui incarne parfaitement cette gentillesse, m’a partagé ce week-end. Dans son article, Véronique nous rappelle la portée de cet acte simple, accessible à tous, que l’on pourrait presque considérer banal tant il se fond dans nos interactions quotidiennes : la gentillesse. "Il y a quelque chose à faire, à mesure humaine, à portée quotidienne et de quasi tout le monde. Un quelque chose dont, selon des études, on évalue mal la force : la gentillesse. " Pour moi, la gentillesse transcende les mots, elle s’ancre dans les gestes, dans la manière dont nous accueillons l’autre, dont nous lui offrons une écoute réelle, sans jugement ni précipitation. En contexte de travail, elle ne signifie pas ignorer les conflits (comme beaucoup le supposent), mais plutôt aborder chaque situation avec un regard renouvelé, qui cherche d'abord à comprendre l'autre plutôt qu'à le juger. "La pratique de la gentillesse est un geste politique. " partage Véronique pour clôturer son article. Je ne peux être plus en accord. Je nous souhaite alors, en ce lundi d'automne, d'oser ouvrir cet espace en soi pour l'autre. Ce n'est jamais futile, jamais inutile. Pour lire l'article au complet : https://lnkd.in/e9S8i_fw

✝☮ Célébration liturgique de grande importance, il ne s'agit pas de déshabiller #Pierre pour habiller #Paul ! Ils sont fêtés ensemble pour être les piliers de l'église. Cette fête est une solennité, c’est-à-dire une célébration liturgique de grande importance. Enlever la tenue de l’un pour habiller l’autre ne servirait donc à rien puisque l’un des deux se retrouverait de toute façon sans vêtements… ❓ Déshabiller Pierre pour habiller Paul: comment résoudre (en apparence) un problème pour en aggraver un autre. - Rien ne se perd, rien ne se crée, tout est déjà présent en soi nous dit : 🌪 (Caroline Beauchamp, insatiable chercheuse de vérités !) La communication animale est arrivée dans sa vie alors qu'elle effectuait des recherches pour l’écriture d’un livre. Elle découvre alors la prophétie amérindienne de l’Aigle et du Condor. 🦅 L'Aigle et le Condor se partagent la domination du ciel en alternant des règnes de cinq cents ans. Aujourd'hui est une période de transition. ✒ Les ponts entre la sagesse des peuples premiers et le monde moderne. ✔ La conscience du #Condor et l'expérience de l'#Aigle peuvent s'unir pour nous permettre de construire ensemble le monde de paix auquel nous aspirons tous. Le Condor est l'oiseau de la sagesse. Il est le gardien de la nature et partage ses secrets à ceux qui ont l'humilité d'apprendre d'elle, en termes de médecine, d'écologie et de société. Le Condor inspire l'être humain, par la voie du coeur et de l'âme, à s'intégrer dans son environnement. Il est l'oiseau des peuples du Sud. L'Aigle est l'oiseau des hauteurs. Il accompagne les peuples du Nord, les nouveaux mondes, le futur et les perspectives ; le développement, la science, les technologies et les nouveaux paradigmes. Les peuples du Nord et du nouveau monde inspirés par l'Aigle ont appris à étudier, comparer, analyser, élaborer des stratégies avant d'agir.

Quelle joie de vous retrouver CE JEUDI 19 SEPTEMBRE, à 19 HEURES, à la librairie l’ECUME DES PAGES (174 Bd Saint-Germain, 75006), pour la présentation de mon nouveau livre, « Le devoir d’espérance. Faire face à la crise spirituelle » (publié chez DDB, Desclée de Brouwer) ! Aux dernières nouvelles, la séance ressemblera à ceci : un petit quart d’heure de dialogue de présentation avec @François Huguenin Maillot, mon éditeur chez DDB, suivi d’une séance de signature, tout en buvant le verre de l’amitié. Bref, un des meilleurs jeudi soir de la rentrée ! PRESENTATION : La crise spirituelle est, selon Yann Boissière, la crise majeure de notre temps. Elle n'est pas une crise supplémentaire, elle est la matrice de toutes les autres. Le constat est sans appel : l'individu né avec la modernité, fort de sa conscience autonome, éclate sous la pression de la révolution technologique et numérique. La mutation anthropologique qu'elle implique écartèle l'homme entre deux postures contradictoires : d'une part, la prétention à contrôler le monde de manière purement mentale ; de l'autre, l'impuissance et le désengagement face à la supériorité supposée des machines. Si cette crise est profonde – disparition du for intérieur, incapacité à accepter la limite, projet postmoderne de tuer le temps –, elle n'a cependant pas le dernier mot. S'appuyant sur la pensée juive et les enseignements de la sagesse universelle, Yann Boissière montre que l'espérance est à notre portée pour redonner sens et souffle à nos existences bouleversées. Les Voix de la Paix Officiel Judaïsme en Mouvement #Esperance #RentréeLittéraire #Spiritualité #Spirituality #Philosophie #Judaïsme #Judaism #PenséeJuive #Espoir

ATELIER DE CONSTELLATIONS FAMILIALES EN REGION PARISIENNE le 1er et 2 MARS 2025 Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose. » Hermès Trismégiste. Et si nos réunions à l’occasion des constellations familiales faisaient avancer l’humanité dans un monde de réconciliation, de paix et d’amour ? Le macrocosme étant à l’image des microcosmes, comme la mer est faite de chacune des gouttes d’eau qui la constitue, je vous invite à soigner et à "gairire" vos relations intergénérationnelles. Il est temps de prendre votre responsabilité et les commandes de ce que vous générez chacun(e) à quelque niveau que ce soit, pour créer le monde que vous souhaitez. Puisse votre perception de vous-même, votre vie et de vos expériences, vous ouvrir à la conscience de l’Unité, si c’est votre souhait. Pour l’expérimenter, c’est un choix qui génère la paix et la sérénité. Passer de l’amour aveugle à l’amour qui “Gai Rit”. Participer à une constellation permet aux champs énergétiques propres à vos systèmes d’appartenance de s’harmoniser et de s’unifier et chaque personne présente ou absente en bénéficie par résonnance. Pour quoi « faire » une constellation familiale ou consteller ? - Pour retrouver ou installer l’aisance et la fluidité où elles n’apparaissent pas ou plus - Pour désactiver vos perturbations physiques, comportementales ou relationnelles découlant d’"intrications" Vous êtes « intriqués », lorsque vous essayez aveuglément (bien inconsciemment) de corriger un passé problématique en installant des comportements gênants, des symptômes, maladies, relations difficiles … Ces difficultés qui limitent votre existence sont « plus fortes que vous » mais grâce aux constellations vous vous en libérerez énergétiquement. Dans cette perspective, vous bénéficierez des transformations par résonance dans votre champs énergétique. Que l’amour et la douceur dans cette période de transformation individuelle, collective, sociétale, terrestre et planétaire, vous accompagnent ! Programme : Après avoir été tiré au sort, le participant, pourra vivre sa constellation, il deviendra un « constellant ». En pratique l’animateur aidera tout d’abord le participant à préciser son objectif. - Les membres importants de la parenté du constellant seront choisis parmi les membres du groupe. Le constellant mettra en place les représentants les uns par rapport aux autres. - L’animateur accompagnera les représentants dans leurs changements de position et les aidera à reformuler pour la guérison du clan. - Le constellant observera de l’extérieur les mouvements émotionnels et les enjeux cachés de la situation. Ils lui permettront d’avancer pas à pas vers une résolution. - Cette résolution sera alors source de joie. Informations et inscriptions : dominiquejacob2021@gmail.com / De cœur à cœur, Dominique

Cette semaine, il y a eu le hashtag #12marsjelis que nous avons eu envie de compléter par #lesautresjoursaussi. C'est pourquoi, aujourd'hui, jour du #15marsjelisencore, nous vous offrons les coups de cœur de Norbert Czarny, notre #critique littéraire, également conférencier sur plein de sujets, dont le #foot, pour lequel il a une véritable passion. Ces coups de cœur datent de l'automne 2023, certes, mais un bon livre est toujours un bon livre, même une fois passé le pic médiatique de la rentrée littéraire et tout son tralala de prix, de manchettes et de polémiques souvent aussi éphémères qu'inutiles. De façon assez évidente, chez culture&sens, la #littérature nous tient à cœur et même un peu plus que les autres pans de la culture. Parce qu'elle est un magnifique écrin de la #langue et que si l'Homme est un animal social, la langue n'y est pas pour rien ; sans elle, la société, ce serait quand même surtout la jungle. Aussi parce qu'elle est une invitation à la nuance, à la complexité, à l'#altérité, au voyage et au rêve. Parce qu'elle est, également, un refus de l'#instantanéité et une acceptation du temps. Parce qu'elle contribue, enfin, nous semble-t-il, à ce que l'on pourrait appeler une bonne #hygiène mentale. Et vous quels sont, dans vos dernières lectures, qu'il s'agisse d'ouvrages récents ou de classiques, vos #coupsdecœur ?

La projection de la conscience commence à organiser les activités humaines en fonction d’identifications individuelles ou de groupes. Ce sont les goûts, les lieux et les activités qui délimitent le champ d’action de chaque personne, formant l’image de son environnement. Certains philosophes ont appelé ce mouvement l'art de la distanciation culturelle Car, avec le phénomène des communications de masse, de la mondialisation virtuelle et physique, les gens sont devenus membres de cercles bien définis ayant leurs propres caractéristiques. Noël au continent serait par conséquent une œuvre d'art qui s'inscrit dans ce registre. Elle aborde une tension fondamentale entre deux dimensions : - La terre (le continent): ce qui est caché, ancré dans la matière. Un continent méconnu du père noël. - Les mœurs: ensembles de significations culturelles, sociales voire historiques qui émergent à partir de l'œuvre. Le philosophe M.Heidegger parle d'un lieu où se dévoile la vérité de l'être (une Alètheia). Comment ? Stay tuned demain même heure