Post de Kaitsuko

🕰 Coups de coeur et confidences d’un horloger (ancien de chez Patek Philippe) On a passé une journée avec Colin, horloger restaurateur, ancien de chez Patek Philippe et fondateur de Semper & Adhuc pour découvrir son métier. Qu’est-ce qu’il préfère dans son métier ? Et bien sûr, qu’est-ce qu’il aime le moins ? Si vous souhaitez en découvrir plus sur le métier d’horloger, rdv sur le reportage complet « Métier horloger : des montres suisses à la restauration de mécanismes anciens » #horloger #horlogerie #suisse

Pourquoi j'ai créé Martialis et à quelle fin? J’ai créé Martialis parce que j’ai constaté que les entreprises payaient trop cher leurs produits manufacturés en Chine, qu’ils n’en n’étaient pas conscients, et même qu’ils étaient heureux de leurs prix d’achats. J’ai remarqué en fait que personne ne les avait formés à faire du sourcing en Chine. Et c’est normal, parce que de telles formations n’existaient pas. Dans le cadre de mon activité de grossiste, j’ai d’abord acheté sur internet, sur des sites comme made-in-china ou global sources. J’ai appris à mes dépens… parfois j’étais satisfait, mais parfois j’étais victime de mauvaise qualité, mauvais délais, d’arnaque (j’attends encore la marchandise), problèmes de douane, de quantité, de qualité… Si on apprend à ses dépens, je peux dire que, trop crédule, j’ai fait de grandes études… Puis je suis allé à la foire de Canton, deux années de suite, j’étais plutôt satisfait, je n’ai pas eu de mauvaises surprises, malgré une gestion fastidieuse et chronophage des fournisseurs. Mais je sentais qu’il me manquait quelque chose… je savais que je ne pouvais pas me contenter de la Foire de Canton… même satisfait des produits, je me sentais limité dans le choix de mes articles, et frustré dans la gestion de la fabrication et de l’importation. Je n’avais pas encore d’agent. J’ai pris le taureau par les cornes, et j’ai sauté le pas : je suis allé à Yiwu. J’ai été subjugué. Même dans mes rêves les plus fous je n’avais pas imaginé ce que j’y ai trouvé : l’Eldorado… un autre Monde, une autre planète. Vous parler du Futian market ici serait trop long, je réserve cet exercice pour mon blog. Les autochtones ne parlant que rarement l’anglais, j’ai suivi les conseils trouvés sur internet : j’ai pris un agent. Mais il y avait quelque chose qui me gênait chez mon premier agent, j’avais l’impression qu’il n’était pas à mon écoute à 100 %, qu’il n’avait que faire de défendre mon business et qu’il ne pensait qu’à une chose : ses commissions… Il n’y avait pas une profonde communion de travail… suite...

Sommes-nous vraiment libres d’acheter (ou pas) ce que nous voulons ? De nombreux exemples montrent à quel point les consommateurs que nous sommes sont influençables. Parmi ceux-là, il y a le cas De Beers. Dans les années 1930, les ventes de diamants étaient en déclin. A l’époque, les diamants n'étaient pas particulièrement associés aux fiançailles. Et la crise de 29 avait laissé des traces. Au début des années 40, De Beers confia à l’agence Ayers le lancement d’une campagne publicitaire, essayant d’associer le diamant, non plus l’univers de la bijouterie, mais à celui de l’amour. Les slogans tels que « A Diamond is Forever » ou « Diamonds are a girl's best friend », créés alors, jouèrent un rôle crucial dans cette association. Ces messages ancrèrent dans l'esprit du public l'idée que les diamants représentent l'amour éternel et qu'ils sont le choix naturel pour les bagues de fiançailles. Les résultats furent spectaculaires : en quelques décennies, les diamants devinrent synonymes d'engagement et de mariage. La norme sociale de dépenser environ deux mois de salaire pour une bague de fiançailles fut également popularisée par ces campagnes. Edifiant. Ma question est de savoir à quel point nos comportements, et notamment nos comportements de consommateurs, sont influencés (dictés ?) par les normes sociales, les modes, les tendances, ou des opérations plus ponctuelles de communication. Ou, à l’inverse, quelle part notre libre arbitre prend-il dans nos décisions d’achat. Autrement dit, qu’achèterions-nous si la « communication » n’existait pas ? A l’heure où nous nous interrogeons de plus en plus sur l’impact environnemental de notre consommation, et parfois même sur le bien-fondé de consommer tel ou tel produit, la question se pose de savoir ce qui nous amène à choisir, par exemple, de rouler en SUV dans nos grandes villes plutôt que d’utiliser des transports en commun, d’acheter des voitures thermiques plutôt que de passer à l’électrique, d’acheter une perceuse électrique plutôt que de l’emprunter à notre voisin (voir mon dernier Post), etc. A quel point sommes-nous libres de nos choix ? Les tenants du libre marché, qui plaident pour « laisser faire » les consommateurs, « qui sont bien assez grands pour décider ce qui est bon ou pas pour eux » sont les premiers à dépenser des milliards en communication pour les influencer. N’est ce pas un peu paradoxal ? Alors, libre le consommateur ? Un peu ? Beaucoup ? Totalement ? Pas du tout ? Qui sortirait aujourd’hui avec un col pelle à tarte, ou des chemises aux imprimés psychédéliques ? Et qui aurait rasé les murs, dans les années 70, s’il n’avait pas été habillé dans ce style ? Pas de théorie du complot ! Mais pas de naïveté non plus. Je cherche à mieux comprendre les frontières de notre système économique, et à mesurer l’efficacité de ses boucles de régulation. Je suis preneur de publications d’économistes, sociologues, ou psychologues sur le sujet. 

Parce que trop souvent on me pose la question… 📢 Pourquoi l’or 9 carats n’est pas vraiment “de l’or” ? Une comparaison simple pour comprendre ! Imaginez un litre de lait qui ne contiendrait que 37,5% de lait de vache, et le reste serait de l’eau. Est-ce que ce produit pourrait être vendu en tant que “lait de vache” ? Bien sûr que non. Ce serait illégal et surtout trompeur pour le consommateur. Pourtant, dans le monde de la bijouterie, c’est exactement ce qui se passe avec l’or 9 carats. L’or 9k ne contient que 37,5% d’or pur. Le reste ? Du cuivre, de l’argent ou d’autres alliages. Et pourtant, il est toujours vendu sous l’appellation “or”. Cela donne une image trompeuse à l’acheteur qui pense acquérir un bijou en or véritable. Alors, quelle est la différence ? ➡️ Un bijou en or 18 carats contient 75% d’or pur. C’est une qualité reconnue, résistante et durable, parfaite pour un bijou précieux. ➡️ L’or 9 carats, avec seulement 37,5% d’or, est bien plus fragile, s’oxyde plus vite, et perd son éclat au fil du temps. En résumé : L’or 9k, c’est comme du lait coupé à l’eau. C’est un compromis, mais pas un produit authentique. Si vous cherchez la vraie valeur, la durabilité et l’élégance, l’or 18 carats est le choix incontournable. 🔍 Mon petit conseil : Informez-vous bien avant d’acheter, car tout ce qui brille n’est pas “or” au sens noble du terme.

Dans un monde où la qualité prime sur tout, MIZUTANI se distingue par son engagement envers l'artisanat d'exception. Chaque paire de ciseaux est le résultat d'un processus méticuleux alliant tradition et innovation. Les matériaux de première qualité, tels que l'acier japonais, sont façonnés avec précision pour offrir une durabilité et une netteté inégalées. Ce qui distingue vraiment MIZUTANI, c'est son attention obsessionnelle aux détails. Chaque contour, chaque courbe est étudié avec soin pour offrir un équilibre parfait et une prise en main confortable, réduisant ainsi la fatigue et permettant une coupe précise et sans effort. C'est cette recherche incessante de perfection qui place MIZUTANI au sommet de son art depuis près d'un siècle. En tant que leader mondial, MIZUTANI continue d'innover en introduisant de nouvelles technologies et des designs avant-gardistes, repoussant sans cesse les limites de la performance et de la créativité. Ainsi, choisir MIZUTANI, c'est choisir l'excellence, la fiabilité et la confiance pour chaque coupe, à chaque instant.

Vendredi c'est le post passion! 😎 Je vous raconte cette histoire de passionnés où l'art de vivre des gentlemen se rencontrent entre savoir-faire et passion. Tous les trois mois, je réunis un cercle de passionnés autour d'une table où l'art de vivre à la manière des gentlemen est célébré. Sartorialisme, horlogerie d'exception, voitures rares, vins & spiritueux... Ce sont bien plus que des sujets de conversation, ce sont des passions qui tissent des liens, forgent des amitiés. Lors de notre dernier dîner, un moment unique s'est gravé dans les esprits. Un ami nous a présenté un "briquet artisanal", habillé de cuir de galuchat. Pas un simple objet, mais une véritable œuvre d'art. L’éclat mystérieux de son revêtement a captivé l’assemblée, un instant suspendu où le savoir-faire rencontre la beauté. Quelques jours plus tard, je me suis baladé jusqu'à la boutique d'un ami, et par chance, l'artisan derrière cette pièce d'exception était présent. Il m’a raconté avec humilité comment chaque briquet est façonné à la main, avec une minutie qui transforme le galuchat en une pièce unique, reflet de patience et de passion. Il y a une leçon à tous cela ? Dans un monde d’immédiateté, il est essentiel de redécouvrir la valeur des choses faites avec soin, là où chaque détail compte, là où chaque geste est maîtrisé. C’est ça, "le véritable luxe". Qu'est ce que le galuchat? 💡 C'est un cuir de poisson cartilagineux (de raie ou de requin) utilisé depuis longtemps en ébénisterie, gainerie, et plus récemment en maroquinerie. Ce cuir était même utilisé par les Samouraï ,la cuirasse protégeant le torse en deux parties fixées sur les côtés était revêtue de galuchat!

Décryptage des bougies japonaises : Comment lire les graphiques de prix? Découvrez comment lire les graphiques de prix et comprendre les bougies japonaises. Apprenez à interpréter les sommets et les bas des prix grâce aux mèches des bougies. Une explication détaillée pour les débutants en trading. #BougiesJaponaises #GraphiquesDePrix #InterprétationDesBougies #TradingPourDébutants #AnalyseTechnique #IndicateursFinanciers #MèchesDesBougies #StratégieDeTrading #MarchéFinancier #ApprendreLeTrading

Associer le meilleur du sport et de la mode: DÉFI ACCEPTÉ 🔥 Le sport m'a appris le DÉPASSEMENT DE SOI et l'ESPRIT D'ÉQUIPE. Ces valeurs, je les ai découvertes puis cultivées au fil des entrainements, des matchs: des victoires comme des défaites. La mode m'a apporté de LA CRÉATIVITÉ et de L'AUDACE. Pour moi, chaque collection est une reflexion philosophique sur ce que l'on souhaite changer dans notre société. En contractant ces expériences, voilà comment j'ai créé les costumes Epta Syn Ena et comment je les commercialise: 👉LE DÉPASSEMENT DE SOI: la recherche de l'élégance ET du confort optimal: pour relever des défis au quotidien, il est primordial de se sentir beau et de se sentir bien dans ses vêtements. Je conçois des silhouettes modernes et dynamiques avec des chemises et blazers intemporels mais revisités avec des détails singuliers, aux matières douces et extensibles. 👉L'ESPRIT D'ÉQUIPE: chaque vêtement est 100% personnalisable pour devenir un uniforme d'équipe. La couleur des matières, le motif des empiècements, le message imprimé sur l'étiquette ou encore le logo en coeur; toutes ces personnalisations symbolisent l'unité et la fierté collective. De plus, l'achat en équipe permet de faire des économies 💰 ou de faire un acte de solidarité 💖: soit le prix d'achats diminue soit le don au club sportif de votre choix augmente. 👉LA CRÉATIVITÉ: Le challenge était "Comment fabriquer des chemises et des blazers qui sont des pièces complexes en confection + les sur-personnaliser aux envies des clients + les produire en petites-séries?" Il a fallu faire preuve de résilience pour trouver le meilleur équilibre entre style, savoir-faire, agilité et proximité. Aujourd'hui, la personnalisation est disponible dès 5 pièces achetées (contre 30 il y a encore 6 mois) avec une fabrication européenne: Pologne, Italie ou France. 👉L'AUDACE: Les costumes sont commercialisés en direct pour que l'on puisse se rencontrer et échanger. Via un échange téléphonique, une visio ou un rdv, je vous présente les produits et on se projette ensemble sur une édition exclusive. Je m'implique avec chaque client: clubs de sport, entreprises et groupes d'amis pour que mes tenues racontent leurs histoires et leurs ambitions. C'est cette proximité qui me permet d'imaginer des événements originaux où tous se rencontrent comme lors des défilés de mode, des afterworks ou des shootings photos. Est-ce que le défi est relevé? Trop tôt pour le dire mais les premières victoires sont là: les produits sont 🤩, les premiers clients sont 👍 et les premiers événements sont 📈 Voici le Manifeste de la marque Epta Syn Ena distribuée par la société Télaé Design 👇 💻 https://eptasynena.fr/ Merci USDK Dunkerque Handball Grand Littoral jean-pierre jean-pierre Regis Giunta Jean-François Bruneau OMR Marcq Rugby Lille Métropole Olivier Gradel Fabrice Beguin Margot Denimal Sambre Avesnois Handball Gregory CAULIER Camille Aoustin Pierre Dupont so-boat Grégory Duquesnoy ⛵

⚰️ Tuer ton business en essayant de plaire à tout le monde. Ça m’est arrivé.👇 ➡️ L’erreur Au lancement de Swivells, j’ai misé sur une niche : des chaussures de danse swing ultra confort. Les danseur(se)s adoraient… et, surprise, les non-danseur(se)s aussi ! Pourquoi ? Parce que l’ADN était clair, authentique, singulier. Puis le COVID est tombé. Plus de soirées danse, 70% de ma clientèle habituelle aux abonnés absents. J’ai paniqué. J’ai voulu vendre “à tout le monde”, sans frontière, sans niche. Grosse erreur 🚨. ➡️ Le résultat J’ai commencé à perdre mon public de danseur(se)s ET les autres. Les non-danseur(se)s n'aimaient pas Swivells malgré l’aspect danse, ils l’aimaient POUR ça. Sans ce positionnement unique, je devenais juste une marque lambda de plus. ➡️ La leçon 🔸 Ton ADN est ta plus grande force. 🔸 Le grand public aime les marques de niche 🔸 Faire une marque généraliste coûte extrêmement cher et te met en concurrence avec des mastodons Si tu lances ton projet, n’aie pas peur d’être trop “niche”. Ton identité sera toujours plus puissante qu’une quelconque promo 🔥.

Tu connais Armor Lux ? Ils ont tué le Game en terme de ciblage client. Étude de cas de : A quoi ça sert de connaître son client ? Armor Lux c’est une marque de vêtements de style classique feat. breton. Des t-shirts à rayures bleues ou rouge. Des cirés entre tradition et modernité. Des bottes de pluies tendance et quali. Des foulards anti-vent des côtes d’armor et des silhouettes mi-chics mi-décontractées pour aller marcher le long des côtes. Bref t’as compris La cible ? Les amoureux du made in France. Etttt les amoureux de la Bretagne. Et ils aiment quoi les bretons en dehors de leur pays ? Hein ? Ils aiment l’apéro 😂 Et ça Armor Lux l’a bien compris. Alors, à côté des marinières et des coupe-vents, ils ont installé un nouveau rayon : 🥃 Whisky 🍺 Cidre Ils en ont mis PLEIIIIINS Qui viennent tous de Bretagne. De quoi allumer le chauvinisme à 300% De quoi alimenter un effet « collection » « Je veux tout goûter ! » « Tiens celui-là je l’ai pas testé ! » « Oh ça vient du patelin de ma mamie ! » « Je vais soutenir les producteurs de la région » Tu vends un produit non prévu sur la liste d’achat du client. Tu touches sa corde sensible. Et tu le fidélise (parce que crois moi que ce produit sera prévu sur la liste d’achat du client la prochaine fois qu’il viendra… VOIRE il reviendra pour ça 🙃) Marketing aussi brillant que celui des bricoles IKEA qui nous accueillent aux caisses (on en reparlera sans doute). Mais c’est pas QUE du marketing. Parce que vendre de l’alcool dans un magasin de fringue : ça ne coule pas de source ! Et d’ailleurs… ils ne le faisaient pas il y a quelques années. Déjà parce que les bretons n’avaient pas encore bien développé leurs whiskys. Ensuite parce que c’était pas le bon timing. Ce qui leur a permis de « débloquer » cette opportunité ? C’est une Image de Marque ancrée et solide Auprès d’une clientèle précise et fidèle A quoi ça sert de connaître son client ? A quoi ça sert de développer sa marque ? Juste à ouvrir un max d’opportunités de croissance pour ton entreprise. Et la liberté d’aller vers des offres qui sortent complètement de ta première niche sans que personne n’ait rien à y redire. La Rentabiliberty 🙃 Un bon marketing c’est bien. Un bon marketing bien ciblé c’est cool. Un bon marketing, bien ciblé, relié à un branding intelligent et assumé ? C’est Puissant. (Image d’illustration à l’arrache : en direct de ma cuisine)